dimanche 28 décembre 2014

samedi 27 décembre 2014

Bibiche, la biche du chateau de Villersexel est morte

La mobilisation des deux associations de défense des animaux pour sauver Bibiche, qui avait été recueillie au chateau de Villersexel, en Haute-Saone, a connu un épisode malheureux.
On croyait la biche sauvée après sa capture et sa mise à l’abri mi-novembre. Quelques jours auparavant, elle était encore sous le coup d’un ordre préfectoral d’abattage : régulièrement nourrie par les promeneurs dans le Haut-Rhin, elle était devenue si peu farouche qu’elle flânait régulièrement en plein milieu de la route au risque de provoquer des accidents.
Grâce à l’intervention de l’association alsacienne Sauvegarde Faune Sauvage et de la Fondation Brigitte Bardot, la biche s’était trouvé un nouveau refuge au parc Cat’Pat du château de Villersexel. Hélas, le parc vient d’annoncer la mort de Bibiche sur sa page Facebook : « Ne sachant pas régler sa gourmandise, nous pensons que Bibiche se gavait trop de nourriture, ce qui a provoqué une acidose. Nous avons veillé sur elle, notre vétérinaire n’a eu de cesse de venir la trouver. Malgré les perfusions et tous les soins, elle s’en est allée».
Bibiche victime d’excès alimentaire… Une bien triste histoire, à méditer peut-être au moment des agapes de fin d’année.
http://www.estrepublicain.fr/insolite/2014/12/26/bibiche-n-est-plus

mardi 23 décembre 2014

Maltraitance sur animaux: 80 bêtes retirées à leurs propriétaires à Sospel

Chiens, équidés, caprins, volailles... Plus de 80 animaux ont été retirés lundi matin de l'endroit sordide où ils vivaient, dans le quartier Gypas à Sospel, sur ordonnance du tribunal de grande instance de Nice.
L'opération a été menée conjointement par la compagnie de gendarmerie de Menton et l'antenne 06 de la SPA assistée d'une quinzaine de bénévoles.
Au mois de mai dernier, deux frères, des agriculteurs sospellois à la retraite, comparaissaient devant le tribunal correctionnel de Nice pour actes de cruauté envers des animaux.
Seize chiens dans un état très critique leur avaient déjà été retirés avant l'été pour être placés en refuge. Cette fois, c'est l'ensemble de leurs animaux qui ont été enlevés et seront amenés dans des refuges de Nice, Perpignan et en Normandie.
http://www.nicematin.com/menton/maltraitance-sur-animaux-80-betes-retirees-a-leurs-proprietaires-a-sospel.2035361.html

jeudi 18 décembre 2014

11 maires se mobilisent pour sauver la réserve Africaine

Après les récentes inondations, la direction de la Réserve de Sigean a brandi la menace de déménager si rien n'était fait dans l'avenir. Les élus vont se battre pour maintenir le site.
Le torchon brûle entre les représentants des riverains de la Berre et la Syndicat de la Berre et du Rieu, depuis 1999, à chaque crue, notamment celle de 2006, les riverains ont manifesté leur colère devant leurs parcelles ou domaines riverains détruits par les crues, parmi ces riverains en colère, un homme dont la voix pèse et non des moindres, Jean-Jacques Boisard de la Réserve Africaine, lors des dernières inondations de fin novembre, ce dernier a poussé un coup de gueule et a annoncé qu'il allait quitter Sigean, devant l'incapacité de trouver une solution viable aux phénomènes des crues dont l'ampleur et la récurrence en font des événements préoccupants. Au mois de septembre, nous avions réalisé un article sur la rénovation de la digue de l'Espinat, prés du château de Villefalse au nord ouest de Sigean, le directeur du Syndicat de la Berre et du Rieu Jean-Claude Montlaur nous avait expliqué à propos de la réserve Africaine : «Tous les organismes concernés (syndicats et État) ont planché sur la situation de la Réserve africaine, il est apparu que le rapport coût/bénéfice est surdimensionné, M. Boisard doit organiser son espace commercial différemment, la solution d'araser la rive droite de la Berre est hors de prix». La menace du départ du plus important parc animalier de la région, pour ne pas dire de France n'a pas laissé indifférents, onze maires, Michel Py (Leucate), Roger Brunel (Portel), Michel Jammes (Sigean), Henri Martin (Port-la-Nouvelle), Jean-Paul Fauran (La Palme), Marie-Christine Théron-Chet (Roquefort), Armand Pradallier (Feuilla), Alexis Armangau (Fitou), Alain Bouton (Treilles), Bernard Devic (Caves), Catherine Gouiry (Peyriac-de-Mer), au motif que la Réserve Africaine emploi 100 personnes à l'année, le double pendant les six mois de la saison estivale, un parc qui génère 10 millions d'euros de chiffre d'affaires et qui attire plus de 350 000 visiteurs par ans, dans un département sinistré, qui n'a déjà pas beaucoup d'industrie et qui ne mise que sur le tourisme parce que pour l'instant on n'a pas trouvé mieux, il est clair que le départ de la réserve Africaine serait un sacré coup dur, même si on n'en est pas encore là.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/18/2013589-11-maires-se-mobilisent-pour-sauver-la-reserve-africaine.html

mercredi 17 décembre 2014

Marseille : un singe errant sème la panique dans une école

Il terrorisait les habitants du quartier et même les élèves d'une école et d'un collège. Un petit singe magot a été neutralisé par la police de Marseille dans le quartier de la Castellane. Un taser a été utilisé pour l'immobiliser.
Il menaçait les habitants et a même semé la panique dans une école primaire et dans le collège Henri Barnier. Un petit singe Magot qui errait depuis plusieurs jours dans le quartier de la Castellane à Marseille a été neutralisé par la police. Mardi, "une patrouille de la division nord" a enfin pu arrêter l'animal qui, jusqu'alors, avait toujours réussi à s'enfuir, rapporte La Provence. Les policiers ont utilisé un pistolet à impulsion électrique de type Taser pour le neutraliser. Au cours de l'intervention, l'un a été mordu par l'animal.
Dans le collège Barnier, où il avait pénétré la semaine dernière, le petit singe a fait fuir "des élèves qui démarraient leurs examens" , rapporte encore
La Provence.

Nourri à base de Kinder
Le Magot semble avoir été abandonné par son propriétaire. Il errait, depuis, sans être pris en charge. "Il trainait avec des jeunes de la cité dont certains l'auraient mal nourri notamment à base de Kinder", indique encore La Provence. C'est peut être ce manque de nourriture qui expliquait cette agressivité.
Une enquête est désormais ouverte pour identifier le propriétaire de l'animal détenu illégalement.

dimanche 14 décembre 2014

vendredi 12 décembre 2014

jeudi 11 décembre 2014

L’ours complice de l’évasion du lynx à Juraparc

Felix, le deuxième lynx en pension à Juraparc, à Vallorbe (CH), non loin de Pontarlier, s’est évadé du parc animalier grâce à la complicité de l’ours Kupa. A l'occasion d'un reportage, L'Est Républicain avait constaté l'amitié qui unissait les animaux. En partant en toute discrétion, le félin s’est montré plus «mallynx» que Aisha qui s’est évadée du Mont-d’Orzeires sous les objectifs des photographes en 2009.
La direction de Juraparc confirme l’information parue
dans la presse suisse.
" La dernière fois que Félix a été vu, c’est le 10 janvier de cette année. Le lendemain, il avait disparu. Après des recherches minutieuses dans les enclos, nous pensions que le lynx avait été mangé par les loups bien que nous n’en ayons pas la preuve matérielle. Au début de l’été, c’est un téléphone du service cantonal de la faune qui nous a appris que Félix était vivant. L’animal a été identifié sur une photo prise du côté de Saint-Georges et transmise au Kora service qui gère la faune sauvage dans notre pays.
Si l’évasion d’Aisha s’est déroulée devant des journalistes. Celle de Félix garde un aspect mystérieux. En effet suite à la mésaventure vécue avec le premier lynx, Nous avons pris toute les mesures nécessaires pour créer un nouvel enclos d’où les spécialistes affirmaient qu’il serait impossible à un lynx de prendre la poudre d’escampette. Pourtant l’ours kupa a réussi à mettre en évidence une faille dans le système de sécurité. Une brèche a été découverte après la disparition de Félix. Elle s’est trouvée au bout d’un tunnel reliant l’enclos sécurisé à l’enclos d’où Aisha s’est enfuie. Et où aujourd’hui cohabitent l’ours Georg et les loups. A l’extrémité de ce tunnel qui servait de caverne à l’ours Kupa était une palissade en bois. Fermeture boisée qui a été rongée par le plantigrade. Ce dernier a ainsi créé un trou suffisant pour permettre le passage du lynx. Félix en a profité. Il s’est retrouvé nez à nez avec les loups. Dans la neige, nous avons vu des traces de lutte entre le félin et les canidés, mais pas de sang, ni de carcasse. Nous pensons que le lynx a fuit face au danger, car seul face à la meute, il ne faisait pas le poids.
Juraparc a tout de suite informé de la disparition du lynx, la division biodiversité et du paysage du Département du territoire et de l’environnement (DTE) canton de Vaud. Ce dernier a entrepris des recherches, posés des pièges et réalisés des analyses d’ADN, qui n’ont pas permis de confirmer la mort ou la fuite du lynx. En effet le DTE a reçu la confirmation que Félix était vivant par le biais du Kora. Et depuis, l’animal n’a plus été revu. Jacqueline De Quatro, conseillère d’Etat en charge du dossier a décidé qu’il fallait tenter de capturer Félix pour le remettre en captivité dans un lieu sûr. Mais, cela n’est pas simple. La recherche du lynx de Juraparc se fera lors de la campagne de pièges photographiques et de captures organisée cet hiver par le Kora avec le DTE.
Notre erreur a été de na pas fermé les deux extrémités du tunnel qui relie les deux enclos. Nous somme contents de savoir Félix vivant, mais regrettons les conséquences engendrées par sa fuite. Et nous pouvons que nous excuser auprès des chasseurs pour les pertes que le comportement de Félix pourrait faire subir au gibier."

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/12/11/l-ours-complice-de-l-evasion-du-lynx-a-juraparc

mercredi 10 décembre 2014

lundi 8 décembre 2014

vendredi 5 décembre 2014

dimanche 30 novembre 2014

Belfort offre des abris aux chats errants

«Une ville avec des chats, c’est une ville sans rats », assure Pascal Simon, le trésorier de l’association Félis. D’où l’importance de laisser errer des chats, tout en assurant leur protection et leur bien-être, et en en maîtrisant la prolifération. C’est bien là l’objectif de la récente initiative de la Ville, la création de points de vie pour les matous sans foyer.
Agir en faveur des animaux est une volonté politique de la Ville, ce qui ravira les amis des chats, mais qui ne devrait pas faire bondir leurs détracteurs. Car, comme l’explique Christiane Einhorn, conseillère municipale déléguée, chargée de la protection des animaux, « tous les chats errants seront capturés par les gardes-nature qui seront chargés de les faire stériliser, identifier – soit par un tatouage, soit par une puce. Les chats subiront également le test de diagnostic de la leucose. On limite la prolifération d’un côté, et on donne un statut à ces chats libres, pour les protéger », note l’élue.

Adoptions possibles

Passées toutes ces précautions, les chats seront ensuite amenés vers les points de vie aménagés dans quatre quartiers de la ville : à Belfort-Nord, aux Glacis, en vieille ville et au Techn’hom. « Ces endroits n’ont pas été choisis au hasard. Ce sont des quartiers où ont été repérés pas mal de chats errants, même s’il est difficile de les comptabiliser. »
Sur chacun des sites, quatre, cinq ou six abris en béton ont été installés hier par les services de la Ville. Pour un faible coût puisqu’il s’agit de regards en béton, très peu onéreux, bricolés et peints par les agents communaux.
L’association Félis se chargera de la suite. Notamment d’apporter quotidiennement la nourriture aux chats. Là encore, c’est la Ville qui, par le biais d’une subvention, remplira le ventre des félins. Mais, sur le terrain, les bénévoles de l’association veilleront sur eux. « On est en train de collecter des couvertures pour mettre dans les abris. Dans les quartiers, il y a des gens qui les protègent déjà actuellement, qui pourront nous aider à en prendre soin, repérer lorsqu’il y en a des malades, par exemple », note M. Simon.
« Parmi les chats errants, beaucoup ne se laissent pas attraper, mais certains sont très sociables, et seront proposés à l’adoption », précise Mme Einhorn.

http://www.estrepublicain.fr/insolite/2014/11/29/belfort-offre-des-abris-aux-chats-errants

lundi 24 novembre 2014

L'oursonne Auberta retrouvée morte

L'animal, qui n'avait que quelques mois, a été retrouvé mort dans le parc des Pyrénées. L'oursonne abandonnée par sa mère avait fait l'objet d'un plan de protection. On s'interroge sur les raisons de ce décès dû peut-être à l'implantation d'un émetteur sur le corps à l'origine d'une plaie ouverte.
Voilà qui va relancer une fois encore la polémique autour de l'ours, espèce protégée dont le nombre ne fait que décroître dans le massif pyrénéen. Vendredi, le ministre de l'Agriculture du conseil général du Val d'Aran a confirmé la mort de la jeune oursonne Auberta, âgée de dix mois, dont le corps a été retrouvé dans l'enclos qui lui avait été réservé au cœur du parc des Pyrénées. Pour l'association ADET-Pays de l'ours, Auberta serait la fille de Fadeta et Pyros, qui est lui-même le père de quasiment tous les oursons nés dans les Pyrénées depuis 1997, y compris Fadeta…
Ainsi s'achève tristement la saga du petit animal baptisé du nom du village d'Aubert non loin duquel il avait été découvert le 17 avril dernier. Abandonnée sans doute par sa mère inexpérimentée, l'oursonne n'était qu'une boule de poils de trois kilos quand elle a été récupérée par une habitante, avant d'être enchaînée dans un garage, enfermée dans une cage pour être relâchée dans la nature. Des images avaient fait le tour des réseaux sociaux et soulevé l'indignation d'une association de protection de l'environnement espagnole.
Mais les tentatives pour qu'Auberta se réadapte dans la nature avaient échoué et c'est pourquoi l'animal avait finalement été placé dans un «périmètre protégé», loin de ses prédateurs et de la curiosité des hommes.

À cause d'un émetteur ?

Reste à connaître les raisons de cette mort qu'un journal espagnol impute à une cicatrice qui se serait rouverte là où avait été placé un émetteur abdominal pour suivre l'animal. Alors, frottement contre un arbre à l'endroit de la cicatrice, impact d'une branche ? Auberta est-elle morte d'une infection de cette plaie ? Le corps sera soumis à une autopsie dans les prochains jours. L'association écologiste Ipcena, qui dénonce une négligence vétérinaire, s'apprêterait à porter plainte. Le docteur en charge de l'animal n'aurait pas réalisé les procédures correctement. C'est donc, a priori, une intervention humaine qui aurait été fatale à l'animal.
L'association Ferus s'interroge à son tour sur «la pertinence d'avoir implanté un émetteur». Pour elle, «la situation et la mort de cette oursonne de l'année doivent alerter les services de l'État français sur la nécessité de se préparer à gérer d'autres cas similaires, mais aussi à l'intervention humaine sur un ours sauvage blessé ou accidenté». La même association demande qu'un protocole soit établi des deux côtés des Pyrénées pour parfaire le mode d'opérations à mettre en place. Tout comme une réflexion doit être menée «sur le suréquipement électronique des ours lâchés en provenance de Slovénie, mais aussi sur ceux capturés et relâchés dans les Pyrénées.»
L'ours des Pyrénées est un animal en voie de disparition (moins de 30 bêtes) classé «en danger critique d'extinction» par la liste rouge de l'Union internationale pour la conservation de la nature.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/24/1997685-l-oursonne-auberta-retrouvee-morte.html

dimanche 23 novembre 2014

La Réunion envahie par les chiens errants

Ce jour de novembre 2012, le réveil est dur pour Alexis, éleveur à Saint-André, dans le nord-est de la Réunion. Il retrouve 500 de ses pintades mortes, dévorées par des chiens errants. Il y a deux semaines, une meute décime un autre élevage à Sainte- Suzanne. Patrice Louaisel a connu la même mésaventure : « J'élevais des canards et des oies.

Un jour, mes bêtes ont été tuées par des chiens errants. Des attaques contre les humains surviennent aussi. » Pour lutter contre ce phénomène, il a mis en ligne, le 8 octobre, une pétition demandant une action de l'Etat, notamment une campagne de stérilisation. Il a recueilli à ce jour plus de 2 000 signatures.

Peu d'adoptants sur l'île

Près de 150 000 chiens errent sur l'île. « C'est un phénomène grave. On parle toujours des requins, mais les requins sont dans leur milieu naturel. Les chiens errants sont sales, cela pose un problème de
publique et ça ne donne pas une belle image de l'île aux touristes, tous ces chiens écrasés sur les routes », remarque David Hériche, à la d'une pension pour animaux et qui a mis gracieusement quelques box à disposition de particuliers.

Au milieu d'un champ de canne, dans le cirque de Salazie, ce passionné des bêtes requinque les chiens qui lui sont confiés. Ici, un animal qui prendra bientôt l'
pour être adopté dans l'Hexagone. Là, une chienne et ses deux petits ramassés près du McDonald's de Saint-Benoît. « C'est mon sauvetage, j'ai mis un an à l'approcher, elle était très craintive », raconte Valérie Nédélec, arrivée il y a deux ans sur l'île et choquée par le sort réservé à ces animaux. « Soit je faisais quelque chose, soit je partais. » Valérie consacre donc tout son temps libre à nourrir et soigner les chiens qu'elle trouve. Sur les réseaux sociaux, elle cherche des adoptants, principalement en métropole. Cela lui coûte entre 300 et 700 € par chien, avion compris. David Hériche remarque : « Ici, c'est compliqué de trouver des adoptants, les gens voyagent beaucoup en dehors de l'île et prendre un chien peut être un handicap. » Il poursuit : « A la Réunion, le chien, c'est le gardien. Il ne fait pas partie de la maison. » Selon Catherine Moilier, présidente du Crapa (Collectif réunionnais d'assistance et de protection des animaux), la solution à ce problème demeure dans la sensibilisation à la stérilisation : « Si on veut sauver ces bêtes, il ne faut pas qu'elles naissent. » Pour ce faire, elle participera à une manifestation dans quelques semaines dans les rues de Saint-Denis.

vendredi 21 novembre 2014

jeudi 20 novembre 2014

mercredi 19 novembre 2014

dimanche 16 novembre 2014

Le Blanc-Mesnil : un singe errant capturé

Surprenante découverte, ce dimanche matin, au Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis). Un singe errant a été aperçu sur un muret pas très loin de l’autoroute. Ce n’était pas une hallucination mais bel et bien un animal, sorti d’on ne sait où, qui  a fait aux riverains. La police a fait appel aux pompiers qui ont réussi à le capturer.
Son propriétaire n’a pas encore été identifié. 

http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/le-blanc-mesnil-un-singe-errant-capture-16-11-2014-4296449.php

OKAPI

jeudi 13 novembre 2014

La traque au tigre continue en Seine-et-Marne

Seine-et-Marne: un tigre brièvement échappé

Selon les informations du Parisien, plusieurs habitants de Montévrain (Seine-et-Marne) ont signalé ce matin la présence d'un tigre en liberté dans la commune. L'animal aurait été retrouvé vers 10 h 30, après deux heures de battue auxquelles ont participé la police nationale et municipale et les pompiers. Personne ne sait d'où vient le félin. 
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/11/13/97001-20141113FILWWW00182-seine-et-marne-un-tigre-brievement-echappe.php

mercredi 12 novembre 2014

Mais où sont passés les ragondins lâchés par les agriculteurs ?

«Écoutez, ça va, les ragondins sont des nuisibles qui bouffent tout ! Quand je pense que des associations veulent porter plainte pour maltraitance, ils feraient mieux de s'occuper des humains qui se font massacrer !» Pas tendres les agriculteurs avec leurs détracteurs, qui les taxent de «barbares» et de «gens inhumains» sur les réseaux sociaux. Il faut dire que la démonstration de mercredi dernier a laissé des traces, en plus des odeurs qui collaient encore aux murs et aux sols de l'Agence de l'eau Adour-Garonne, bien des heures après que le lisier eut été propulsé par les camions-citernes des agriculteurs. Du lisier où batifolait la cinquantaine de ragondins lâchés par-dessus le portail de l'agence. «Faux, il n'y en avait pas 50, tout juste une dizaine», corrige Guillaume Arrouy (Jeunes agriculteurs). Il précise, sans les dénoncer, que «ce sont les collègues de Tarn-et-Garonne qui ont procédé à ce lâcher». Avant de relativiser la polémique naissante avec des écologistes remontés comme des pendules face à ce qu'ils considèrent être de la «maltraitance». Et les ragondins dans tout ça ? Personne ne revendique à ce jour le fait de les avoir capturés, ni pour les remettre dans leur milieu naturel, ni pour les éradiquer… «Ne vous en faites pas, rassurent les agriculteurs, ils ont dû retourner à Garonne.» Sauf que le fleuve ne coule pas devant l'Agence de l'eau… et qu'ils ont dû pour le rejoindre traverser toute la cité d'Empalot… où personne ne les aurait vus ! Soit une distance avoisinant quand même le kilomètre. «Il ne faut pas se leurrer, les ragondins savent très bien où ils doivent aller. Il y a la Garonne où ils retrouveront leurs petits camarades», ironise à peine Guillaume Arrouy.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/12/1989619-mais-ou-sont-passes-les-ragondins-laches-par-les-agriculteurs.html

lundi 10 novembre 2014

dimanche 2 novembre 2014

samedi 1 novembre 2014

vendredi 31 octobre 2014

Droits nouveaux pour les animaux

L'Assemblée a adopté hier soir une disposition qui reconnaît aux animaux la qualité symbolique «d'êtres vivants doués de sensibilité».
Les animaux de compagnie et d'élevage seront désormais considérés en France comme des «êtres vivants doués de sensibilité» et non plus comme des «biens meubles».
Un amendement socialiste, introduit en première lecture à l'Assemblée, précise que «les animaux sont des êtres vivants doués de sensibilité» et que «sous réserve des lois qui les protègent», ils «sont soumis au régime des biens corporels».
Les députés ont entériné l'amendement la nuit dernière.
Le texte devrait passer au Sénat, fin novembre et devrait rejeter le projet de loi. L'Assemblée, qui a constitutionnellement le dernier mot, procédera ensuite à une ultime lecture.
Cette harmonisation a pour but de répondre à des décisions européennes qui ont déjà reconnu aux animaux une sensibilité. Elle permettrait aussi d'aligner le Code civil de 1804 sur les Codes rural et pénal.
Mais si plusieurs personnalités se sont emparées du sujet à l'image du moine bouddhiste Mathieu Ricard (lire interview), pour défendre la cause animale, les milieux agricoles voient dans cette nouvelle réglementation une entrave possible à l'exercice du métier d'éleveur. Ces derniers craignent une avalanche de recours de la part d'associations écologistes qui pourraient pénaliser la bonne exploitation d'un élevage. Autre écueil mais qui semble désormais levé : les chasseurs, inquiets pour l'avenir de leur hobby. Mais la loi ne vise que les animaux dits «appropriés» c'est-à-dire les animaux de compagnie. L'idée d'appliquer la loi aux animaux sauvages comme le cerf, ou le sanglier a été abandonnée tout comme celle d'inclure la corrida dans le nouveau dispositif légal.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/10/31/1982614-droits-nouveaux-pour-les-animaux.html

mercredi 29 octobre 2014

lundi 20 octobre 2014

Bordeaux: Quatre bébés tigres blancs gambadent au zoo de Pessac

Les quatre petits tigres blancs nés au Zoo de Bordeaux Pessac pèsent entre 6 et 8 kilos, on compte trois mâles et une femelle. Une portée de quatre petits est assez rare chez les tigres blancs, qui ont deux à trois rejetons la plupart du temps. L'équipe du zoo a attendu que les petits aient deux mois pour annoncer leur naissance, car la mortalité est élevée, en particulier les deux premières semaines. Les quatre petits se portent très bien, ils commencent à attaquer des os de poulet et ont découvert leur enclos la semaine dernière, sous la surveillance de leur mère,Olga.
Ils vont rester au sein du zoo jusqu'au printemps et seront donnés par groupe de deux à d'autres parcs animaliers

http://www.20minutes.fr/bordeaux/1464291-20141020-bordeaux-quatre-bebes-tigres-blancs-gambadent-zoo-pessac

mardi 14 octobre 2014

dimanche 12 octobre 2014

Serpents, lézards, furets: nos meilleurs amis...

S'il n'avait pas enfilé les pénalités sur le pré d'Armandie, nul doute que Raphaël Lagarde aurait opté pour la blouse blanche de vétérinaire. Quand on arrive chez le buteur, ce sont deux chats qui nous accueillent. Rien d'anormal. Mais à l'étage, deux terrariums sont occupés par des locataires particuliers : un gecko à crête — petit lézard nocturne avec des ventouses aux pattes — et deux couleuvres du sud-est des États-Unis. «Des élaphes guttata», précise le jeune homme. Car s'il possède des NAC, ce n'est pas par effet de mode. Des appellations latines à leurs environnements d'origine, le rugbyman maîtrise son sujet. Comme souvent avec les passionnés. Une fascination pour les serpents qui lui est venue de son époque montpelliéraine : «Mon coéquipier Benjamin Thierry avait plein de reptiles et il avait demandé une dérogation à l'ancien maire Georges Frêche pour mettre son grand boa dans la salle commune des joueurs. C'était devenu l'attraction et, comme j'aime les animaux, ça m'a intrigué.» Mais avant de franchir le cap, le joueur se documente et fait une rencontre décisive avec Marc Samirant, un éleveur de serpents, avec qui il garde un contact fréquent.

Pas froid, ni visqueux

Raphaël opte donc pour deux couleuvres, une femelle en septembre 2011 et un mâle en août 2012. «C'est une espèce docile, il y a peu de risques de morsure, c'est facile de les maintenir à température (son terrarium est constamment à 28°, ndlr). La couleuvre est idéale pour se faire la main, elle ne demande pas beaucoup d'attention», détaille-t-il. Pour cause, une souris par semaine contente ses amis rampants. Et pour le gecko, c'est petit pot pour bébé au menu.
Forcément, ces reptiles attirent la curiosité des voisins et des amis qui défilent à la maison pour voir les «bêtes». L'occasion de faire tomber certains clichés : «Beaucoup ont peur des serpents mais certain ont voulu les prendre dans leurs mains. Ce n'est pas froid, ni visqueux comme on peut le croire.» Même pas de jeux de mots possibles entre le buteur et les serpents autour du sang-froid car, là aussi, c'est une croyance populaire.
Et la famille Lagarde devrait s'agrandir dans les semaines à venir. Raphaël monte actuellement un dossier pour obtenir l'autorisation de détenir un boa de Guyane française. Un serpent une taille au-dessus. Mais quand on aime, on ne compte pas.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/10/12/1970417-les-nouveaux-meilleurs-amis-de-l-homme.html

vendredi 10 octobre 2014

mardi 7 octobre 2014

dimanche 5 octobre 2014

samedi 4 octobre 2014

Des animaux de la ferme s'installent dans une école de La Rochelle

Veuillez sortir en rang deux par deux, nous allons continuer le cours dans le poulailler..." Saugrenu ? Pas pour les petits Rochelais de l'école de Laleu, un quartier de La Rochelle. Les écoliers ont en effet la chance d'accueillir depuis ce samedi une "Drôle de ferme" composée d'un jardin potager, de poules - deux pour commencer, bientôt rejointes par des poussins - et de deux chèvres. Le projet a pris naissance il y a six mois lorsque les membres de la jeune association Graines de troc sont allés dans les écoles pour une simple opération de conservation variétale de tomates, baptisée "Drôles de graines".
"On a semé 200 variétés de tomates avec les enfants, avec environ mille pieds, dans dix écoles de La Rochelle et des environs", explique Sébastien Wittevert, le fondateur de l'association. Avant les grandes vacances, chaque enfant a rapporté un plan de tomates chez lui, qu'il a pu récolter durant l'été avant de récupérer les graines et les rapporter à la rentrée. Des graines ensuite partagées et envoyées dans divers lieux d'une trentaine de villes en France (écoles, associations, instituts médicalisés...) qui en ont fait la demande pour reproduire l'expérience, participer à la conservation de ces variétés et essaimer à leur tour des graines et des idées.

Lien social et connexion à la nature

Le projet génère beaucoup d'enthousiasme, car semer des graines ouvre bien des portes, tant aux enseignants qu'aux enfants. "Alors que j'intervenais dans une école, un enfant de 7-8 ans participait activement aux activités, en mettant les mains dans la terre et en posant beaucoup de questions, se souvient Sébastien Wittevert. Quelques instants plus tard, son maître est venu me raconter que cet enfant-là ne décrochait habituellement pas un mot en classe. Il était stupéfait qu'en quelques minutes, il se soit livré ainsi."
Portée par ce succès et à la demande des établissements scolaires, la jeune association et ses membres décident d'aller plus loin en développant des projets de jardins potagers dans les écoles. Leur constat ? Les enfants sont trop dans le béton. Pour les reconnecter à la nature, ils suggèrent de faire venir la nature à l'école afin de créer un lien quotidien sur le lieu de vie des enfants. Un défi relevé par une quinzaine d'écoles de la région et qui prendra diverses formes tout au long de l'année : interventions sur le fameux temps périscolaire pour certaines, vrais jardins potagers pour d'autres et même fermes à l'école pour six d'entre elles. Dans la région de La Rochelle, cinq autres "Drôles de fermes" devraient donc voir le jour durant l'année à venir.

Cycles de la nature

En pratique, l'association aide l'établissement à mettre en place la ferme et le jardin à l'école, mais les enseignants, parents et bien sûr enfants sont invités à participer largement à toutes les étapes du projet, depuis la création de l'enclos pour les animaux - et sa décoration par les jeunes artistes en herbe -, en passant par la mise en route du jardin (semer, désherber...), et le soin aux animaux (les nourrir, changer la paille, ramasser les oeufs...). Des activités qui offrent aussi bien des temps de partage et de créativité que de vraies ouvertures pédagogiques : reconnaître les plantes, les insectes, comprendre les interactions entre eux, les cycles de la nature et de la vie.
Durant les vacances, les membres de l'association entretiennent le jardin avec l'aide d'un réseau associatif tel que le mouvement des Incroyables Comestibles - qui promeut notamment le partage gratuit de fruits et légumes dans les espaces publics. Cela permet de transformer les récoltes de l'été pour pouvoir les redistribuer à la rentrée aux parents, enfants et enseignants, ou de les partager avec les voisins, les restaurants du coeur locaux ou encore les maisons de retraite voisines de l'école. Quant aux poules et aux chèvres, des roulements sont organisés entre parents, enseignants et lieux de refuge de l'association pour assurer leur garde durant les congés.
En pratique, monter une ferme à l'école coûte entre entre 1 000 et 2 000 euros environ, dont la moitié à la charge de l'école et l'autre financée par des partenaires publics ou privés. L'association développe actuellement un kit pédagogique regroupant ses conseils pour exporter ces "Drôles de fermes" dans d'autres villes de France. Une ferme dans une école parisienne serait déjà à l'étude...

http://www.lepoint.fr/societe/des-animaux-de-la-ferme-s-installent-dans-une-ecole-de-la-rochelle-04-10-2014-1869402_23.php

mardi 30 septembre 2014

Moitié moins d'animaux sauvages sur Terre qu'il y a 40 ans, selon le rapport WWF

L'action de l'homme a entraîné la disparition, en 40 ans, de plus de la moitié des animaux sauvages de la planète: ce constat brutal est au coeur du rapport Planète Vivante 2014 de l'ONG WWF, dernier état des lieux d'une Terre surexploitée.
«Les différentes formes du vivant sont à la fois la matrice des écosystèmes permettant la vie sur terre, et le baromètre de ce que nous faisons vivre à notre planète», écrit le directeur général du Fonds mondial pour la nature (WWF International), Marco Lambertini.«Et en nous désintéressant de leur sort, nous courons à notre perte», alerte-t-il.

Pas de ralentissement

Entre 1970 et 2010, l'Indice Planète Vivante - qui mesure l'évolution de 10.380 populations de 3.038 espèces de mammifères, oiseaux, reptiles, amphibiens et poissons - a chuté de 52 %. Et «cette tendance lourde ne donne aucun signe de ralentissement», selon la 10e édition du rapport, pour qui il est encore possible d'agir pour renverser ce déclin et combiner développement et sauvegarde de l'environnement.
Les zones les plus touchées sont l'Amérique Latine (-83%), suivie de près par la région Asie-Pacifique, et ce sont les espèces d'eau douce qui ont payé le prix fort (-76%) quand les espèces terrestres et marines ont diminué de 39%.

Nouvelle méthode de calcul

La baisse annoncée de 52% est beaucoup plus marquée que dans les rapports précédents, en raison de changements dans le mode de calcul qui proposent une représentation plus fidèle de la répartition mondiale des espèces de vertébrés, précise l'ONG spécialisée dans la protection des espèces en danger. Dans son dernier rapport bisannuel, datant de 2012, le WWF faisait état d'une baisse de 28% des espèces sauvages entre 1970 et 2008. L'indice ne couvrait alors que 2.699 espèces.
Les causes de ce déclin: la perte et dégradation des habitats (en raison de l'agriculture, l'urbanisation, déforestation, l'irrigation, les barrages hydroélectriques...), la chasse et la surpêche (y compris les prises accidentelles comme pour les tortues marines), et le changement climatique.
Ainsi, de nombreux poissons et animaux de rivage ont disparu du Coorong, zone du sud de l'Australie où le prélèvement d'eau pour l'irrigation a augmenté la salinité. Ou encore, en Afrique, l'aire de répartition de l’éléphant ne représentait plus en 1984 qu'environ 7% de son aire historique. Et dans cette portion congrue, à cause du braconnage, le nombre d’éléphants s'est effondré de 60% entre 2002 et 2011.

http://www.20minutes.fr/planete/1451821-moitie-moins-animaux-sauvages-terre-40-ans-rapport-wwf

lundi 29 septembre 2014

dimanche 28 septembre 2014

Des dizaines d'animaux recueillis à La Bollène-Vésubie après l'incarcération de leur propriétaire

Près d'une centaine d'animaux, à l'abandon depuis plusieurs jours, ont été pris en charge samedi à La Bollène-Vésubie par la Fondation Assistance aux animaux.
Quatre chiens, trois chats. Des dizaines de poules. Quelques moutons, canards et chèvres, et même des cailles et une tortue. Morts pour certains, squelettiques pour beaucoup. Affamés.
C'est l'affligeant spectacle qu'a découvert Patricia Lanini samedi matin à La Bollène-Vésubie. Membre de la Fondation Assistance aux Animaux et responsable d'un refuge à Carros, elle a évacué plusieurs dizaines d'animaux "très amaigris. Nous les avons pris en charge au refuge. Ils ont grand besoin d'être nourris et soignés."
Le propriétaire interpellé à Nice
Apeurés, dépérissant au milieu des carcasses et de la pourriture, les animaux étaient seuls et sans nourriture depuis une huitaine de jours. Depuis que leur propriétaire a été incarcéré pour violences conjugales.
Le week-end dernier, après avoir roué de coups sa compagne, il l'avait conduite à l'hôpital à Nice. Inquiets des blessures de cette dernière, les équipes médicales avaient alerté la police niçoise.
L'homme avait alors été placé en garde à vue, et son domicile perquisitionné.
Depuis ? Plus rien, jusqu'à l'intervention de samedi. Ces jours de privation ont-ils pu ainsi amaigrir ces chiens ? La diète a-t-elle été fatale aux plus faibles, comme le laissent penser les cadavres en décomposition retrouvés sur place ? Aujourd'hui, personne ne peut l'affirmer - ni l'infirmer d'ailleurs.
Présent lors de l'intervention, l'un des adjoints au maire de La Bollène-Vésubie, Yves Fournet, ne sait trop qu'en penser. "Je ne veux dédouaner ou accabler personne. Même si ce monsieur n'a pas l'air très soigneux, il est difficile d'affirmer qu'il y a eu maltraitance. Privés de nourriture, les animaux se sont peut-être mangés entre eux. C'est en tout cas l'une des explications possibles…"
"Pas plus dans le Sud-Est qu'ailleurs"
Du côté de la Fondation, on interpelle plus qu'on est interpellé. "Des interventions de cette ampleur-là, c'est malheureusement assez fréquent, note Anne-Claire Chauvancy, du service juridique de la Fondation. On a l'impression qu'il y en a plus dans le Sud-Est qu'ailleurs, mais c'est sans doute parce que nous avons plus de centres et plus de bénévoles."
Samedi soir, la fondation réfléchissait aux suites judiciaires à donner à cette affaire

http://www.nicematin.com/la-bollene-vesubie/des-dizaines-danimaux-recueillis-a-la-bollene-vesubie-apres-lincarceration-de-leu.1921390.html

jeudi 25 septembre 2014

Hérault : il dépense 2 000 € en radiothérapie pour sauver sa chatte du cancer

U ne clinique vétérinaire de la région parisienne propose chimiothérapie et radiothérapie aux animaux de compagnie. Un Biterrois n'a pas hésité à dépenser 2 000 € pour un mois de radiothérapie. 
Un cathéter à la patte, la chienne Bahia reçoit sa première injection de chimio, la chatte Kouyloy, endormie, est sous rayon X : dans une clinique vétérinaire parisienne, les animaux de compagnie cancéreux bénéficient eux aussi des progrès de la médecine. Tuck Choy habite près de Béziers, son vétérinaire l'a envoyé à la clinique vétérinaire Eiffelvet pour soigner Kouyloy (petite princesse en cantonais), âgée de 17 ans, qui souffre d'un fibrosarcome, un cancer de la peau. "J'espère qu'on va la sauver grâce à la radiothérapie", confie à l'AFP ce Chinois à la retraite qui dépense "sans compter" pour son "bébé". Le protocole d'un mois de radiothérapie lui coûtera près de 2 000 euros.

La clinique vétérinaire spécialisée a ouvert en juin

L'établissement, ouvert en juin dernier, compte trois vétérinaires spécialisés en oncologie, un chirurgien itinérant et quatre infirmiers. Pour tuer les cellules cancéreuses des bêtes, Aurélia Klajer a suivi une formation en médecine humaine en cancérologie à l'Institut Gustave Roussy de Villejuif car il n'existe pas de diplôme en France pour les vétérinaires. L'Ordre des vétérinaires lui a donné l'autorisation d'exercer. "Nos clients sont issus de toutes les classes sociales. Ils consacrent une grande part de leur budget pour leur bête car en ces temps difficiles, l'animal est un bon antidépresseur", estime-t-elle.

Les mêmes produits que pour les humains

Les vétérinaires utilisent les mêmes produits qu'en médecine humaine, dont le prix est très élevé. Pour traiter le cancer de Médor, il faut prévoir 300 euros pour un examen au scanner - qui décèlera la présence ou pas d'une tumeur - et la facture peut monter jusqu'à plus de 3 000 €, selon le protocole de soins. Au sous-sol, depuis la salle de contrôle, Aurélia Klajer surveille sur un écran le rythme cardiaque et la respiration de la chatte anesthésiée, sous rayon X pendant quatre minutes, "pour attaquer son cancer très agressif".
A l'étage, dans la salle de chimiothérapie, une infirmière installe Bahia, un braque de Weimar de 8 ans, qui tremble comme une feuille. "Tout va bien se passer", lui dit Aurélia Klajer en lui caressant la tête. Elle enfile une blouse, met une charlotte sur la tête, un masque, des lunettes et une double paire de gants "pour éviter toute contamination par les produits chimiques". Bahia n'a pas bougé une oreille. "Le produit injecté n'est pas douloureux", affirme la vétérinaire.
"Les humains, cobayes pour les chiens"
Dans la salle d'attente, le boxer Angie, souffre du dos et doit passer un scanner. L'équipe médicale l'endort puis le sangle sur la table d'examen suivant les consignes du vétérinaire, Olivier Kéravel. "Angie, n'a pas de tumeur cancéreuse mais un problème de hanche", diagnostique-t-il. "Pour une fois, ce sont les humains qui servent de cobayes aux chiens et aux chats !", ironise le responsable du scanner, formé en cancérologie et imagerie aux Etats-Unis où les cancérologues travaillent de concert avec les vétérinaires. A Eiffelvet, on soigne toutes sortes de tumeurs. "Le lymphome, cancer des ganglions est très fréquent chez le chien.
Chez le chat, ce sont les tumeurs cérébrales, comme des méningiomes des tumeurs bénignes, que l'on opère dans certains cas ou que l'on irradie, et des fibrosarcomes qui peuvent +métastaser+ aux poumons", note Olivier Kéravel. Selon lui, les chiens sont aujourd'hui plus nombreux à développer des cancers que les hommes. "On estime que 30 % des chiens développeront un cancer dans leur vie", note-t-il, ajoutant que "les cancers du poumon, sont rares chez les chiens, excepté ceux exposés à la cigarette ou à l'amiante qui peuvent développer un mésothéliome, cancer de la plèvre". "Comme on a plus de connaissances en médecine vétérinaire, les animaux vivent plus vieux et on voit plus de cancers qu'avant", constate M. Kéravel. "Grâce à la chimio et la radiothérapie, certains chiens peuvent vivre deux ans avec leur cancer. Pour un chien qui vit en moyenne 12 ans, c'est énorme !", souligne-t-il. Depuis son ouverture en juin, la clinique parisienne a soigné une cinquantaine d'animaux atteints de cancers. Trois autres cliniques du même type existent déjà, à Lille, Créteil et Brive-La-Gaillarde. 

http://www.midilibre.fr//2014/09/25/herault-il-depense-2000-eur-en-radiotherapie-pour-sauver-sa-chatte-du-cancer,1056260.php

samedi 20 septembre 2014

120 personnes se sont mobilisées pour sauver «Doli», la chienne blessée par une voiture

Le 17 août, «Doli», la petite chienne de Marthe Delfau, était accrochée par une voiture sur la route qui relie Saint-Maurice à Montastruc, tout proche de son domicile. La petite-fille de Marthe Delfau, Mélanie, a vu sa «mamie» désespérée : elle n'avait pas les moyens de faire soigner sa petite chienne. Grâce à «La Dépêche du Midi», elle lançait un appel de solidarité.
L'animal était d'abord dirigé vers le vétérinaire de Lafrançaise, puis dans une clinique spécialisée à Castres où elle a passé quinze jours en soins intensifs.
«Doli» est aujourd'hui en vie et devra refaire un bilan le 28 octobre, à Castres.

Une chaîne de solidarité incroyable

Quand nous avons rencontré Marthe Delfau, jeudi matin, toute tremblante, elle a sorti son petit cahier pour nous montrer la liste des personnes ayant répondu à l'appel de solidarité. L'appel lancé dans nos colonnes a dépassé ses espérances. Ils sont exactement 120 à y avoir répondu et à avoir envoyé un petit chèque et un petit message de soutien. Cela méritait bien d'être signalé.
Marthe Delfau, émue, ne trouvait pas les mots pour remercier chaleureusement toutes les personnes qui se sont manifestées pour sauver «Doli».
C'est chose faite à travers ces lignes.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/20/1955112-120-personnes-se-sont-mobilisees-pour-sauver-doli.html

mardi 16 septembre 2014

lundi 8 septembre 2014

Des animaux mal soignés au zoo de Fréjus?

Cible de violentes critiques sur les réseaux sociaux et accusé de maltraitance, le parc animalier n’entend pas se laisser abattre sans combattre. Propriétaire et chef soigneur montent au créneau
Le parc zoologique de Fréjus est-il un mouroir pour animaux, mal entretenu, et doté d'un personnel incompétent et négligent ? C'est ce que tout au long de l'été des défenseurs de la cause animalière ont laissé entendre à travers blogs et pages Facebook, photos à l'appui... La puissance des réseaux sociaux amplifiant un phénomène qui aujourd'hui prend la forme d'une pétition sur le Net intitulée « Non au zoo de Fréjus » et qui a déjà recueilli 26.000 signatures.
De quoi agiter la cité romaine et jeter l'opprobre sur ce parc animalier de 16 hectares ouvert en 1971 et qui accueille entre 500 et 600 animaux représentant 110 espèces. De quoi aussi désespérer le personnel du zoo, objet de toutes les vindictes depuis le début de l'été.
Une explication à chaque accusation
« Ce n'est plus supportable, ni même tolérable »,soupire la chef soigneuse*. Révoltée par les lettres d'insultes ou autres menaces de mort qu'elle reçoit régulièrement, elle n'accepte pas d'être jugée « par des gens qui n'ont pour certains jamais mis les pieds dans le parc ou d'autres qui, intentionnellement, travestissent la réalité pour nous enfoncer. »
Elle dit « faire ce métier par passion et avec passion », passer « plus de temps avec [ses] animaux qu'avec [sa] famille » et tient coûte que coûte à apporter des éclaircissements sur les accusations dont ses sept soigneurs et l'ensemble du zoo font l'objet dans un blog édité par une certaine Lisa.
Et la chef soigneuse d'expliquer en préambule « que le zoo a perdu 4 hectares repris par la ville de Fréjus. Du coup, nous sommes en complète restructuration. Et nous réaménageons petit à petit les espaces d'accueil des animaux, en respectant évidemment leurs rythmes.»Quant au prétendu manque de soins ou d'attention apportés aux animaux, elle a une explication pour tout.
« Cette dame prétend que notre hippopotame Milka nage dans ses excréments. Sait-elle qu'un hippo fait 20 kilos de crottes par jour et que même en nettoyant régulièrement le bassin il ne peut être parfaitement limpide ?»
Et les tortues qui n'ont soi-disant pas d'eau dans leur bassin ?« C'est de la manipulation. La photo a été prise lorsque j'étais en train de nettoyer en personne ce bassin après l'avoir provisoirement vidé. Mais bien entendu, on m'a volontairement occultée sur la photo pour faire croire qu'on laissait nos tortues sans eaux... »
Et quid de ces éléphants qui tournent en rond dans de minuscules enclos ?« Là encore, c'est de la désinformation. Le mâle Kim, devenant trop agressif avec notre femelle, nous avons décidé de les séparer. En attendant de placer Kim dans un autre parc et de récupérer un mâle plus doux, nous avons isolé Gina, 50 ans, dans un plus petit enclos, certes, mais aux normes. Elle y dispose d'un abreuvoir et reçoit la visite de Mahmoud, son soigneur qui la douche, lui fait les pieds et s'occupe d'elle jusqu'à cinq fois par jour. Bien évidemment, les deux enclos seront à nouveau reliés lorsque le nouveau mâle sera arrivé et le danger écarté pour Gina.»
« Faut-il cacher le perroquet ? »
Quant au loup du zoo « qui a les oreilles en piteux état et une plaie suintante sur le dos » si l'on en croit la blogueuse, Valérie Mandier explique que l'animal fait de l'eczéma depuis plusieurs années tous les étés et serait stressé par le regard des hommes et la mort de sa femelle. « Nous allons bientôt récupérer un couple de loups qui lui permettra de retrouver ses habitudes de meutes ».
Enfin, à la visiteuse qui se disait choquée d'avoir trouvé un ara à qui il manque trois doigts, Valérie Mandier répond « que le perroquet est arrivé comme ça au zoo. Faut-il le soustraire du regard des hommes pour cause de malformation ? »
Croisé devant la mare à l'hippopotame (dont l'eau était propre !), un groupe de jeunes vacanciers originaires d'Arras ne semblait pas partager le « dégoût » exprimé par Lisa la blogueuse. Ignorant la polémique estivale, les Chti's semblaient ravis de leur visite : « C'est un chouette zoo, les animaux sont propres et n'ont pas l'air ni stressés, ni malheureux.» Valérie Mandier a esquissé un léger sourire en entendant le compliment...
*Ethologue de formation, Valérie Mandier est détentrice de la capacité délivrée par le ministère de l'Agriculture, obligatoire dans chaque parc animalier.
 

vendredi 5 septembre 2014

mercredi 3 septembre 2014

Besançon : des lionceaux très secrets

Besançon. Motus et bouche cousue… Seule une indiscrétion a permis de connaître une nouvelle que le zoo de la Citadelle ne voulait pas diffuser.
Il y a un mois, trois lionceaux d’Asie sont nés en toute discrétion. Cette espèce rarissime (350 individus en liberté), considérée « en danger », fait l’objet d’un programme d’élevage en captivité mené à l’échelle européenne. Shiva, la mère qui a donné naissance aux trois lionceaux, est depuis totalement invisible. Elle reste enfermée dans une salle chauffée avec les trois petits qu’elle allaite.

Complètement isolés

« Même le personnel ne l’approche pas, précisait hier Mélanie Berthet, vétérinaire à la Citadelle. Ils ne sont observés que par le biais d’une caméra de surveillance. Aujourd’hui, tout se passe bien pour la lionne et les lionceaux. »
Leur première sortie face au public n’est pas imaginable, pour la direction du site, avant un bon mois.
Malgré la distance imposée pour le bien-être de la petite famille, le personnel de la Citadelle reste très attentif au destin des lionceaux, jusqu’à entretenir le secret autour de leur naissance.
Il est vrai qu’un drame avait marqué les esprits, surtout parmi les soigneurs il y a seulement quelques mois. Une portée précédente avait en partie été dévorée par le couple, Shiva, la femelle, et Téjas, le mâle.

Les lionceaux dévorés par leurs parents

Le 17 mars dernier, c’est lui qui avait tué d’un coup de mâchoire l’un des trois petits, âgé de deux mois et demi, alors que des rencontres précédentes s’étaient passées sans incident.
Quelques jours plus tard, la femelle, très stressée par le comportement agressif du mâle, tuait à son tour l’un des petits. Seule une femelle pouvait être sauvée in extremis. « J’ai assisté à cet événement, rappelait, hier, Mélanie Berthet. Le personnel a été très affecté par cet événement. Nous ne savons même pas si les nouveaux-nés sont des mâles ou des femelles. Nous ne voulons pas non plus leur donner de nom pour l’instant. »
La Citadelle attend désormais les consignes précises de la direction du programme de reproduction. Il n’est pas prévu pour l’instant que le mâle approche les trois lionceaux dont il est le père.
Au-delà de ses précautions particulières, la naissance de ces trois petits lions d’Asie représente un succès exceptionnel pour le zoo de Besançon.

http://www.estrepublicain.fr/insolite/2014/09/02/besancon-des-lionceaux-tres-secrets

mardi 26 août 2014

Haut-Doubs : le petit chamois blanc est-il condamné ?

Il n’a pas encore de nom, mais il est déjà connu comme… le loup blanc. Le petit chamois qui gambade au Pissoux, près de Villers-le-Lac (Doubs), a été repéré il y a quelques semaines par des promeneurs et des amoureux de la nature. Il est devenu une attraction particulière pour les photographes animaliers. Il est vrai qu’apercevoir un jeune chamois (il est né au printemps) immaculé est un spectacle rare. Pourtant, dès la prochaine ouverture de la chasse (le 14 septembre), le chamois blanc pourra être abattu. Des bracelets sont encore disponibles sur ce secteur et le côté très exceptionnel du trophée pourrait attirer des fusils...
.la suite sur ce lien .......... http://www.estrepublicain.fr/insolite/2014/08/25/le-petit-chamois-blanc-condamne

dimanche 24 août 2014

samedi 23 août 2014

Un été sous le signe des naissances au Marineland d'Antibes

C'est un véritable baby-boom qu'a vécu le parc Marineland d'Antibes au cours de ces derniers mois. En effet, dans les bassins, les naissances se sont multipliées.
Entre les mois de mai et de juillet, cinq otaries sont venues au monde. Quatre font partie de l'espèce dite de Californie et la cinquième de Patagonie. Des arrivées qui tombent bien puisque, cette année, le parc aquatique avait consenti un investissement d'un million d'euros pour réaménager l'habitat de ces animaux. Résidants actuels ou à venir...
Les bébés otaries peuvent donc profiter de ce nouvel espace pour grandir dans les meilleures conditions.
À leur naissance, chaque otarie pesait environ six kilos et mesurait quelque soixante-quinze centimètres. Les nouveau-nés ont besoin d'environ trois mois pour apprendre parfaitement à nager.
Avant le grand saut en bassin prévu en octobre ou novembre, les petites otaries resteront auprès de leurs mères, très protectrices. Il faut dire que chacune des mamans ne met au monde qu'un bébé par portée.
Autres naissances, cette fois dans la grande famille des requins gris. Le 27 juillet dernier un bébé squale a ainsi vu le jour. Une fierté pour la direction de Marineland: « Nous sommes un des rares parcs en Europe à permettre la reproduction de ce genre d'espèce. »
Kid's Island pas en reste
Mais les nouveau-nés ne l'ont pas seulement été dans l'eau. La ferme Kid's Island aussi a accueilli des nouveaux locataires puisque trois bébés chèvres, deux agneaux et cinq lapins ont vu le jour.
« Cela témoigne du bien-être des animaux. Si l'environnement est néfaste ou menaçant, les bêtes ne se reproduisent pas. Or, chez nous, les naissances sont très régulières. »
À Marineland, près de cinquante soigneurs veillent à la bonne santé des animaux.
Et quand de nouveaux arrivants se manifestent, ils sont d'autant plus attentifs...

http://www.nicematin.com/antibes/un-ete-sous-le-signe-des-naissances-au-marineland-dantibes.1874844.html

mercredi 20 août 2014

lundi 18 août 2014

dimanche 17 août 2014

Charnier canin près de Perpignan : des propriétaires de chiens inquiets

S uite à la découverte du charnier canin du Soler, les propriétaires de chiens dont les animaux ont disparu récemment se rongent les sangs. 
Nombre d'entre eux craignent en effet que leurs fidèles compagnons à quatre pattes fassent partie des huit cadavres calcinés retrouvés en état de putréfaction le jeudi 7 août dans un sous-bois.
C'est notamment le cas de l'Amélien Joël Liégeois, dont le caniche reste introuvable depuis le 8 juin dernier. "On pense qu'il a été enlevé, confie l'homme, qui a déposé plainte pour maltraitance sur animaux ce mardi. Les dates de la disparition concordent avec l'âge du charnier, qui semble être là depuis deux mois. De plus, selon mes informations, il y aurait bien des caniches dans le lot".
"On ne perd pas espoir"
Les circonstances dans lesquelles le caniche de Joël Liégeois, Nina, 17 ans, s'est volatilisé ? "Ce jour-là, elle est sortie comme elle le fait souvent le matin, se souvient le Lorrain d'origine. Le temps qu'on descende, elle n'était plus là. Elle revient toujours d'habitude. Nous n'avions jamais eu ce genre de problème".
Inquiet, le propriétaire de Nina se met alors à parcourir le département en quête de l'animal. "J'ai distribué des photos et collé des affiches un peu partout, relate-t-il. J'ai notamment rencontré du côté de Banyuls-dels-Aspres, d'Ortaffa et de Brouilla d'autres personnes dont les chiens semblent avoir été enlevés et qui pensent eux aussi qu'il y a un lien avec le charnier".
Quoi qu'il en soit, dans l'attente des résultats de l'enquête, diligentée par les gendarmes du Soler, l'inquiétude est de mise chez les Liégeois : "Nous les animaux, on les soigne. Ce sont des membres de la famille. Sans compter que Nina suit un traitement pour le cœur. Sans ses médicaments, elle ne pourra pas résister longtemps. Mais on n'a jamais perdu espoir de la retrouver vivante".
(SOURCE : L'INDEPENDANT)
 

samedi 16 août 2014

La pie n'a rien d'une voleuse selon une étude

La pie voleuse, qui vient chaparder bijoux et objets brillants pour les emmener dans son nid, est connue de tous. Il ne s'agirait pourtant que d'un mythe. Une étude publiée hier dans le journal Animal Cognition révèle que l'animal ne serait pas plus intéressé par un objet scintillant que par n'importe quel autre.

Des psychologues du Centre de recherche en comportement animal (CRAB) de l'université d'Exeter ont mené une série d'expériences avec une moitié de pies issues de centre de soins et une autre moitié de pies sauvages. Dans des conditions bien précises, elles ont été exposées à des objets brillants et non-brillants.

Deux objets brillants attrapés sur 64 tests

Résultat: aucun comportement particulier à l'égard des objets brillants n'a été noté. Au cours des 64 tests, les pies ont attrapé un objet brillant à seulement deux reprises, avant de le relâcher immédiatement. En ce qui concerne les oiseaux captifs, aucun n'a attrapé d'objet, qu'il soit brillant ou non. "Nous n'avons pas trouvé de preuve d'une attirance inconditionnelle envers les objets brillants chez les pies", confirme le docteur Toni Shephard, l'un des auteurs de l'étude. "Il apparaît donc probable que le folklore autour des pies soit le résultat d'une généralité culturelle et d'anecdotes plutôt que d'un fait."

Le Dr Natalie Hempel, co-auteur de l'article, explique que "peu de recherches ont été menées sur les mécanismes cognitifs du comportement de la pie". Cette étude montre pourtant, "une fois de plus, qu'elles sont intelligentes", et que bien loin d'être "attirées de manière compulsive vers les objets brillants, les pies décident de conserver une distance de sécurité à l'égard des objets nouveaux et inattendus".


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/08/16/97001-20140816FILWWW00040-la-pie-n-a-rien-d-une-voleuse-selon-une-etude.php

mercredi 13 août 2014

Des sangliers atteints de tuberculose en Corse

À deux jours de l'ouverture de la chasse en Haute-Corse, on s'inquiète des risques de transmission à l'homme de la tuberculose bovine, maladie de l'élevage passée à la faune sauvage, notamment aux sangliers.
En l'absence d'une réglementation officielle sur les déchets de chasse, des conseils d'hygiène stricte et d'enfouissement ou d'incinération des viscères et peaux de sangliers sont donnés par la fédération départementale de chasse.
Tout comme une cuisson comprise entre 70 et 100 °C ou une congélation d'au moins quarante-huit heures à -8 °C minimum, supprimant ainsi tout risque de contamination.
« La contagion est possible au moment d'ouvrir l'animal, car la tuberculose peut être contractée par simple inhalation. C'est pourquoi l'utilisation des gants est conseillée, de même qu'un couteau consacré quand on éviscère un sanglier », explique un technicien fédéral de chasse, qui préconise également un lavage soigné des mains.
« L'année dernière, un tiers des sangliers abattus a été suspecté de contamination », explique un représentant de la fédération de chasse.
À noter que les personnes vaccinées par le BCG (à condition qu'elles effectuent leur rappel) sont protégées de tout risque infectieux

http://www.nicematin.com/derniere-minute/des-sangliers-atteints-de-tuberculose-en-corse.1861892.html

mardi 12 août 2014

Les premiers triplés pandas du monde voient le jour en Chine

Des triplés pandas sont nés fin juillet dans un zoo chinois. Un événement rarissime, considéré comme un "miracle" compte tenu de l'extrême difficulté de l'ursidé à se reproduire.

Un zoo chinois a présenté mardi des triplés pandas, vraisemblablement la seule portée de trois ayant survécu, un "miracle" compte tenu de l'extrême difficulté de l'ursidé à se reproduire.
Les trois bébés panda sont nés aux petites heures le 29 juillet au Safari Park Chimelong de Guangzhou, ou Canton (sud). D'abord placés en couveuse, ils ont été rendus à leur mère, Juxiao, pour l'allaitement. "Ils seraient les seuls triplés pandas (en captivité) à avoir survécu", a indiqué le parc animalier dans un communiqué. Juxiao, dont le nom signifie littéralement "sourire de chrysanthème", provient du Centre chinois de protection et de recherche sur le panda géant.
"Il est trop tôt pour considérer les bébés hors de danger"
"Ces triplés sont une nouvelle merveille du monde", s'est réjoui le parc, en rappelant que le taux de mortalité du panda à la naissance était "extrêmement élevé". Des photos transmises à l'AFP au début du mois montrent les bébés panda au pelage rosâtre, les yeux fermés dans leur couveuse sous une épaisse couverture blanche. Le sexe des petits pandas n'a pas été précisé et leur nom sera rendu public ultérieurement.
Une responsable de la réserve naturelle de Wolong, dans le Sichuan, autorité en matière de pandas, estime qu'il est trop tôt pour crier victoire et considérer les bébés hors de danger. "On pourra dire qu'ils sont sortis d'affaire quand ils auront atteint l'âge de six mois", a indiqué Mme Zhao. Les pandas vivent à l'état naturel essentiellement dans les montagnes du sud-ouest de la Chine. Environ 1.600 individus en liberté ont été recensés
 

vendredi 8 août 2014

jeudi 7 août 2014

mercredi 30 juillet 2014

Un berceau pour l'oursonne orpheline

L'oursonne Auberta a fait l'objet de trois tentatives de réintroduction. En vain. Aujourd'hui, le Parc animalier des Pyrénées se mobilise, finançant un enclos d'un hectare, où elle pourra grandir à l'abri de l'homme et des prédateurs… mais sous l'œil des caméras !
Le 17 avril dernier, une oursonne de trois mois frappait aux portes du village aranais d'Aubert, recueillie par des habitants alors qu'elle errait, seule. Baptisée Auberta par ses bons samaritains, la jeune plantigrade a depuis fait l'objet de bien des attentions. Equipée d'un émetteur par l'équipe technique ours, on a tenté à trois reprises de lui faire regagner la vie sauvage pyrénéenne, sans parvenir à identifier et encore moins à localiser sa mère. «On ne sait d'ailleurs pas pourquoi on l'a retrouvée seule ainsi», constate Deborah Francou, la responsable communication et pédagogie du Parc animalier des Pyrénées à Argelès-Gazost.
Mais à chacune des tentatives, Auberta est redescendue trop bas et surtout trop près des habitations. Suite à ces échecs, les autorités aranaises, en collaboration avec le Parc animalier des Pyrénées, ont décidé de lui dresser un enclos de semi-liberté, au cœur de son milieu naturel. «On préférait la prendre en charge plutôt qu'elle ne finisse dans un zoo. C'est un super-projet, s'enthousiasme Deborah Francou, du Parc animalier d'Argelès dont la fondation Pyrénées conservation a financé cet enclos pour un coût de 5 000 €. L'idée, c'est de la maintenir dans son état sauvage, sur un espace d'un hectare, tout en lui aménageant un espace sécurisé à l'abri de la présence des prédateurs et des hommes.» L'oursonne est en effet nourrie du haut d'une falaise, limitant les contacts avec l'homme.
Toute cette opération a été menée dans la plus grande discrétion. Un premier enclos avait en effet été découvert une dizaine de jours seulement après la réintroduction de l'oursonne, mettant en danger sa tranquillité. Ce nouvel espace, situé dans les Pyrénées espagnoles, n'est donc connu que d'une dizaine de privilégiés… Mais les pérégrinations de ce bébé ours n'échapperont pas aux observateurs de tous poils. Une caméra, financée par Aran Park, l'autre espace du groupe bigourdan, permet de suivre les mouvements d'Auberta à 360 degrés, en direct et en libre accès sur le site du Parc animalier des Pyrénées. «Cela va permettre d'en faire un cas d'école, d'étudier son comportement, son évolution, poursuit Deborah Francou. Après le «Non» catégorique de la ministre à la réintroduction de l'ours dans les Pyrénées, ce projet Auberta prend tout son sens.»
Cette téléréalité sauvage ne devrait pas connaître qu'une unique saison. «L'objectif, c'est que l'oursonne retrouve sa liberté le plus tôt possible, dès qu'elle sera autonome.» Envisagé à la fin de l'été, son retour à la vie sauvage pourrait prendre un peu plus de temps…
www.parc-animalier-pyrenees.fr

http://www.ladepeche.fr/article/2014/07/30/1926622-un-berceau-pour-l-oursonne-orpheline.html

dimanche 20 juillet 2014

Naissance exceptionnelle dans l'Indre de quatre petits Lémurs, espèce en danger

Quatre petites boules de poils agrippées à leurs mères font le bonheur de la réserve de la Haute-Touche dans l'Indre: ces lémurs couronnés représentent un quart de la reproduction annuelle mondiale en captivité de cette espèce en danger d'extinction.
«C'est un événement exceptionnel!», s'enthousiasme Régis Rabier, chef-soigneur du parc. Cette espèce, rare en parc zoologique mais aussi dans le monde, n'a donné naissance qu'à 17 petits en captivité cette année et majoritairement à un seul petit par portée, souligne le parc.
Pour l'heure, loin de se douter de l'évènement que constitue leur naissance début mai, les quatre petits restent solidement et placidement accrochés à leurs mères respectives, Tina et Irena, qui ont toutes deux mis au monde des jumeaux.
Dans les arbres de cette réserve de 150 hectares située au coeur de la Brenne et de ses étangs, les élégantes femelles ballotent au gré de leurs déplacements les petites boules de poil au pelage d'un gris plus pâle que le leur, enroulés autour de leur ventre.
Réalisée dans le cadre du programme européen d'élevage et de reproduction (EEP), cette reproduction a été entourée de beaucoup de précautions.
«Le mâle a tout d'abord été mis en contact avec les femelles à travers les grillages, avant de vivre avec elles», précise M. Rabier. Mais la présentation a été payante puisque des jumeaux ont été mis au monde par les deux femelles à cinq jours d’intervalle, les 1er et 5 mai dernier.
Tina et Irena ont en outre dû être isolées l'une de l'autre dans des cages distinctes car l'une d'elles se montrait agressive, mais elles restent en contact visuel permanent.

- Une espèce fragile -

Il est essentiel qu'elles ne se perdent pas de vue car, dès que les petits auront grandi, le mâle, les deux femelles et leurs quatre petits seront destinés à vivre ensemble, si possible en harmonie. Dès la fin du mois d’août, ils auront accès à une île arborée de 700m2, sur laquelle ils pourront évoluer librement.
Tina et Irena ont un pelage gris clair, ponctué de marron sur le dos et portent sur le dessus de leur tête les fameuses «couronnes»: un triangle noir sur fond roux.
Les visiteurs de la réserve admirent les primates, aux yeux ronds et aux pattes semblables à des mains humaines, qui se blottissent dans le creux des arbres avec leurs bébés. Les femelles poussent des petits cris sourds et se précipitent sur un repas alléchant: carottes crues et cuites, céleris branches, fenouil, bananes, pommes, kiwis et croquettes à base de feuilles.
Fragiles, les lémurs couronnés (Eulemur coronatus) qui adorent la chaleur et l'humidité, vivent dans des loges chauffées l'hiver. Leur présence ici rappelle au public qu'ils sont classés par l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) comme animaux en danger d’extinction.
«C'est une espèce endémique de Madagascar. Ils vivent sur un tout petit territoire. Avec la présence humaine, leur milieu de vie se rétrécit constamment. Ils sont aussi victimes du braconnage», rappelle Barbara Blanc, vétérinaire du parc.
Les lémurs couronnés ont vu leur population régresser de 90% en 10 ans. Estimés entre 10.000 et 100.000 individus en 1994 dans leur milieu naturel, ces lémuriens n'étaient plus qu’entre 1.000 et 10.000 en 2004, assure la réserve de la Haute-Touche. Aujourd’hui, en captivité, on ne dénombre que 94 individus dans 30 établissements zoologiques à travers le monde.

http://www.20minutes.fr/planete/1420321-20140720-naissance-exceptionnelle-indre-quatre-petits-lemurs-espece-danger

dimanche 13 juillet 2014

Un vieux cheval se noie après s'être jeté à l'eau

En Saône et Loire, un cheval de 30 ans, appartenant à un riverain du canal, s'est noyé ce vendredi après s'être jeté dans les eaux à Blanzy. Un témoin de la scène a plongé afin de le secourir mais l'équidé a trouvé la mort en une dizaine de minutes après avoir tenté de rejoindre la berge, relatent nos confrères du Journal de Saône et Loire. La dépouille du cheval a été extirpée de l'eau à l'aide d'un tracteur. L'animal, malade, était sous-traitement et aurait pu agir sous le coup de la douleurLire l'article sur le site du JSL

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/07/12/un-vieux-cheval-se-noie-apres-s-etre-jete-a-l-eau

jeudi 10 juillet 2014

mardi 8 juillet 2014

Un spécimen rare de tortue dérobé au zoo des 3 vallées

Qui a bien pu vouloir voler une tortue qui était en captivité au zoo des 3 vallées à Montredon-Labessonnié ? L'auteur fait-il partie d'un réseau de trafiquants d'animaux rares ? Ou est-il simplement tombé sous le charme de cette tortue «radiata», ou tortue étoilée, originaire de Madagascar, en visitant le parc animalier dimanche après-midi ? En tout cas, les autorités et le propriétaire du zoo prennent au sérieux la disparition de cette tortue qui fait partie d'une espèce en danger critique d'extinction qui mesure une trentaine de centimètres de long et une quinzaine de kilos. C'est pour cette raison que les tortues du zoo des 3 vallées de Montredon-Labessonnié disposaient pourtant d'un enclos électrifié et sécurisé afin d'assurer leur protection. Malgré ces précautions, une d'entre elles, âgée de 16 ans, a été dérobée dimanche après-midi vers 15h30. Aussitôt le vol constaté, les coordonnées de l'animal, doté d'une puce électronique, ont été transmises à toutes les autorités concernées : les douanes, le CITES (organisme de veille sur le commerce international d'espèces en voie d'extinction), la gendarmerie et la DREAL (Direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du Logement) qui ont immédiatement mobilisé le réseau de contrôle européen afin de localiser au plus vite la tortue volée. Pour l'instant en vain. Sans plus attendre, le propriétaire du parc zoologique montredonnais, le docteur Ferrara, a pris des mesures supplémentaires de sécurité : «Tout d'abord, je tiens à dire que le voleur a pris de sérieux risques pour lui-même, indique-t-il. Ensuite, nous en sommes désolés, mais nous allons être contraints de renforcer la protection des tortues, même si, pour se faire, elles doivent être moins visibles pour le public.» Cette tortue avait été placée au zoo avec neuf autres congénères, par décision du service des douanes, suite à une saisie. Une enquête est en cours pour déterminer les circonstances de la disparition de l'animal.

http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=29084&WS=291720_2501986&WA=5592