lundi 30 décembre 2013

dimanche 29 décembre 2013

Le loup n'effraie plus les enfants, il les fascine

1.475 bambins ont été consultés dans les Alpes-Maritimes. Les garçons pointent ses qualités de prédateurs: "malin, rapide et féroce". Les filles évoquent plus volontiers un louveteau "doux et mignon".
Si les enfants n'ont plus peur du loup, ils demeurent fascinés par l'animal. Tel est le principal enseignement d'une étude menée par des universitaires de Nice et de Caen auprès de mille quatre cent soixante-quinze bambins des Alpes-Maritimes, six cent soixante-sept d'entre eux résidant sur le littoral, huit cent huit dans l'arrière-pays.
Âgés de 6 à 11 ans, ces élèves de primaire ont été consultés dans le cadre scolaire et sur la base du volontariat. 
En s'aidant d'un livret en couleurs de seize pages, ils ont répondu à neuf questions relatives au prédateur. Puis ils ont été invités à rédiger leur propre fin de la fable de La Fontaine, Le Loup et l'agneau. Clin d'œil à la situation dans nos alpages, aux attaques en forte hausse de troupeaux ovins qui exaspèrent les éleveurs.
Les enfants, donc, ne craignent plus « le grand méchant loup » des contes et légendes. Rien d'étonnant à une époque où ces histoires sont supplantées par les dessins animés et autres jeux vidéo.
Pas d'angélisme
Pour autant, les bambins ne font pas preuve d'angélisme. Ils se gardent de décrire une créature inoffensive.
« Derrière la figure dominante du beau canidé sauvage, se profile celle d'un redoutable prédateur », résume Anne Lalo, responsable scientifique d'une étude subventionnée par les ministères de l'Écologie et de l'Agriculture. « Les garçons, surtout, pointent les qualités viriles de l'animal, son caractère féroce, courageux et malin. Fidèles à La Fontaine, ils privilégient, pour écrire la fin du conte, le rapport de forces et la loi du plus fort »,poursuit cette chercheuse, maître de conférences en psychologie à l'université de Nice-Sophia Antipolis. « Les filles évoquent plus volontiers un louveteau, doux et mignon. Elles aimeraient trouver un compromis, permettant au prédateur et à l'agneau de cohabiter, voir de devenir amis. »
Sans surprise, les enfants de l'arrière-pays sont beaucoup plus conscients que leurs camarades du littoral de la présence de canis lupus. Surtout dans les vallées de la Vésubie et de la Tinée, où la quasi-totalité des gosses en ont entendu parler. Vraisemblablement en famille ou entre copains, à l'occasion d'attaques de moutons. En forme de première, l'étude fera-t-elle avancer la recherche ? « Ses résultats, indique Anne Lalo, seront prochainement publiés. »
http://www.nicematin.com/derniere-minute/le-loup-neffraie-plus-les-enfants-il-les-fascine.1567578.html

dimanche 22 décembre 2013

mercredi 18 décembre 2013

mardi 10 décembre 2013

lundi 9 décembre 2013

jeudi 5 décembre 2013

mercredi 27 novembre 2013

L’okapi rejoint la liste rouge des espèces menacées

Il reste moins de 5.000 spécimens, qui vivent cachés dans les forêts...
L'okapi ou «girafe des forêts» a rejoint la liste rouge des espèces menacées par l'UICN, l'Union internationale pour la conservation de la nature, a annoncé ce jeudi cette organisation internationale dont le siège est en Suisse.
L'okapi (Okapia johnstoni), animal mystérieux à la morphologie étrange évoquant à la fois le zèbre et la girafe, vit uniquement dans les forêts tropicales de la République démocratique du Congo (RDC) dont il est le symbole national.

Un bébé né au zoo de Beauval

Selon l'UICN, il reste moins de 5.000 spécimens qui vivent cachés dans les forêts. L'espèce est «proche de la catégorie la plus élevée de risque d'extinction». Les principales raisons du déclin des populations d'okapis sont le braconnage, la perte des habitats naturels, ainsi que la présence de rebelles et de mineurs illégaux.
Un bébé okapi est né au zoo de Beauval, dans le Loir-et-Cher, le 27 juin dernier. Il s’agissait de  la première naissance en France de cet animal depuis 25 ans.

http://www.20minutes.fr/societe/1255783-20131127-lokapi-rejoint-liste-rouge-especes-menacees

vendredi 22 novembre 2013

mardi 19 novembre 2013

lundi 18 novembre 2013

jeudi 14 novembre 2013

Caïmans, hérissons, écureuils : plus de 80 animaux saisis par les douanes du Tunnel sous la Manche

L’inventaire de ces bêtes qui ont été confiées dès dimanche à la LPA de Calais est impressionnant : dix caïmans, huit caméléons, dix hérissons blancs pygmées d’Afrique, six pythons royaux, un boa arc-en-ciel, neuf grenouilles dendrobates, dix souris africaines, quatre écureuils de Corée, dix escargots, deux cochons d’Inde nus et dix phasmes feuilles...
« Il s’agit de nouveaux animaux de compagnie - les NAC - mais aussi de faune sauvage illégale, a commenté ce jeudi la LPA de Calais. Après les trafics d’armes et de drogue, le trafic illégal d’animaux est le troisième au monde ».
Le propriétaire ne détenait semble-t-il pas les autorisations pour emmener toutes ces bêtes en Grande-Bretagne. Il a fait le nécessaire en début de semaine et devait récupérer une partie des animaux ce jeudi. D’après la LPA de Calais, ils étaient destinés au ravitaillement d’animaleries Outre-Manche.
Le reste des animaux, ceux détenus illégalement, ont été remis « à des capacitaires officiellement répertoriés » pour prendre en charge ces différentes espèces.

http://www.lavoixdunord.fr/region/caimans-herissons-ecureuils-plus-de-80-animaux-ia33b48583n1695046

mercredi 13 novembre 2013

mardi 12 novembre 2013

dimanche 10 novembre 2013

jeudi 7 novembre 2013

vendredi 1 novembre 2013

jeudi 31 octobre 2013

Naissance d'un zèbre rare au zoo de Lyon

Un zèbre de Hartmann, une espèce menacée et classée, est né dans la nuit de lundi à mardi, pour la première fois au zoo du parc de la Tête d'Or à Lyon, a annoncé aujourd'hui la ville de Lyon.

"Le zébron est né dans la nuit du 28 au 29 octobre, dans le box de sa mère, qui l'a aidé à se lever et à se nettoyer avant l'arrivée des soigneurs au petit matin", précise-t-on dans le communiqué. "La naissance de ce zèbre intervient un an jour pour jour, après l'accouplement de ses deux parents: Belinda et Kaliv".

"Il s'agit une nouvelle fois d'une grande première pour le zoo de la Ville de Lyon qui accueille son premier zébron depuis la création de la "plaine africaine" qui a déjà vu la naissance d'un giraffon au printemps dernier.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/10/31/97001-20131031FILWWW00406-naissance-d-un-zebre-rare-au-zoo-de-lyon.php

mercredi 23 octobre 2013

mardi 22 octobre 2013

mercredi 9 octobre 2013

Sigean. En un an, Lima, le rhinocéros blanc, est passé de 40 à 700 kilos

Lima, c’est la star de la Réserve animalière de Sigean, le tout premier rhinocéros blanc né en captivité qui fêtait ce 8 octobre son premier anniversaire.Lima, qui pesait «à peine» 40 kilos à la naissance affiche aujourd’hui le poids respectable de 700 kilos mais vit toujours auprès de sa mère, Douala qui veille jalousement sur elle mais aussi de ses congénères Embema et Uzima. Les rhinocéros blanc occupent une grande partie de cette très vaste réserve nichée sur le littoral audois, bordée d’étangs et de collines. Ils partagent leur territoire avec les sitatungas, les gnous à queue blanche et les blesboks dans la partie africaine

http://www.ladepeche.fr/article/2013/10/09/1726620-narbonne-an-lima-rhinoceros-blanc-sigean-grossi-plus-650-kilos.html

vendredi 4 octobre 2013

vendredi 27 septembre 2013

jeudi 26 septembre 2013

mercredi 25 septembre 2013

dimanche 22 septembre 2013

jeudi 19 septembre 2013

lundi 16 septembre 2013

vendredi 13 septembre 2013

jeudi 12 septembre 2013

Animal mystère de Gourdon : ni lynx, ni lémurien, mais un coati

L’animal mystère du Gourdonnais comme on avait fini par le surnommer fit couler pas mal d’encre jusqu’à sa mort, une nuit, sous les roues d’une voiture. Les inspecteurs de l’environnement de l’ONCFS (Office national de la chasse et de la faune sauvage), qui ont été chargés d’examiner sa dépouille, ont pu formellement l’identifier. L’animal en question n’était ni un lynx, félin dont l’aire de répartition naturelle se limite à l’arc alpin, aux Vosges et au Jura, ni un lémurien, primate aux exigences biologiques particulières originaire de Madagascar, mais un coati roux (Nasua nasua). Ce petit carnivore de 5 à 6 kg, à la queue annelée, largement répandu dans le bassin de l’Amazone est bien représenté en Guyane française. Bon grimpeur, agile au sol, il est assez opportuniste : insectes, fruits, œufs et autres petites proies constituent son régime alimentaire.
En France métropolitaine, cette espèce protégée est considérée comme dangereuse et ne peut être détenue que sous certaines conditions strictes imposées par une réglementation sévère. Il ne s’agit donc pas d’un N.A.C. (Nouveaux Animaux de Compagnie) car son acquisition et sa détention sont trop réglementées. La présence dans la nature lotoise de cet animal était donc tout à fait exceptionnelle et pour ces inspecteurs de l’ONCFS ne pouvait être que le fait d’animaux échappés ou libérés intentionnellement car trop encombrants. La présence dans le département de tout autre spécimen de cette espèce mérite d’être signalée à l’Office national de la chasse et de la faune sauvage au 05 65 24 53 90.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/09/12/1707110-ni-lynx-ni-lemurien-mais-un-coati.html

mercredi 11 septembre 2013

lundi 9 septembre 2013

Un chasseur blessé par un cerf

Accident de chasse dimanche en Haute-Saône. Lors d'une battue au sanglier, un chasseur a été gravement blessé au cou... par un cerf.

Parfois, le cours des choses s'inversent. Lors de l'ouverture de la chasse, un chasseur a été sérieusement blessé au niveau du cou par un cerf, dimanche en Haute-Saône. L'homme de 43 ans participait à une battue au sanglier sur le territoire de la commune de Plancher-Bas en Haute-Saône, lorsqu'il a débusqué un cerf dans un fourré. L'animal a chargé le chasseur et lui a donné un violent coup de bois à quelques centimètres de la carotide, sans la toucher, a indiqué la gendarmerie.
Souffrant d'une plaie d'environ dix centimètres au cou, le chasseur a été transporté au centre hospitalier de Belfort-Montbéliard où il devait être opéré. Ses jours ne sont pas en danger, a-t-elle précisé. La période de rut a débuté pour les cerfs, pouvant expliquer une certaine agressivité, a ajouté la gendarmerie. La saison de chasse 2013-2014 s'est ouverte dimanche au sud de la Loire et doit ouvrir le 15 septembre au nord.
 

dimanche 8 septembre 2013

Ours. La naissance de deux bébés ravive la querelle dans les Pyrénées

La population des ours des Pyrénées s’est agrandie de deux nouveaux venus qui viennent d’être repérés côté espagnol. Ces naissances font prudemment espérer aux défenseurs du plantigrade une dynamique favorable de peuplement.
Les appareils à déclenchement automatique des équipes espagnoles de suivi de l’ours ont capturé le 27 août des images de la femelle Hvala, ourse slovène lâchée dans le massif en 2006, et de deux oursons de peut-être huit ou dix kilos, probablement nés en janvier ou février, a indiqué vendredi à François Arcangeli, président de l’association Pays de l’ours-Adet.
Carla Bruni marraine de la génitrice
Les nouveaux arrivants ont beau être très vulnérables (aux maladies, aux accidents, voire aux mâles dominants), ils donnent tous les signes d’une excellente santé et escaladent joyeusement un conifère du Val d’Aran espagnol sous la surveillance de leur mère.
Hvala (prononcez : ouala) confirme qu’elle est une génitrice et une mère « idéale », se réjouit Alain Reynes, un autre pro-ours.
C’est sans doute un hasard, mais celle qui eut pour marraine Carla Bruni a eu deux petits en 2007, 2009, 2011 et 2013, et elle leur a tous fait passer le cap de la première année décisive pour leur survie.
Ses deux derniers rejetons sont les premiers nouveau-nés détectés en vie en 2013 dans les Pyrénées. Un autre ourson de l’année a été retrouvé mort au printemps côté espagnol.
Espoirs d’autres petits
« On a de gros espoirs d’en avoir d’autres, a indiqué M. Arcangeli : on a plusieurs femelles particulièrement discrètes depuis le printemps et, habituellement, des femelles discrètes ce sont des femelles suitées (suivies de leurs petits) qui se tiennent loin des mâles ».
Le mâle peut en effet tuer des petits pour s’accoupler avec une femelle qui se refusera à lui tant qu’elle veillera sur sa progéniture.
22 ours dans les Pyrénées
L’ours ne subsiste plus en France à l’état sauvage que dans les Pyrénées. Au dernier recensement officiel, ils étaient au moins 22 côté français ou espagnol. C’est bien trop peu pour assurer la survie de l’espèce, disent les partisans du plantigrade ; c’est beaucoup trop pour ses détracteurs, au premier rang desquels les éleveurs pour lesquels la présence de l’ours est incompatible avec l’économie montagnarde.
Bataille entre pro et anti-ours
La querelle est passionnelle entre les deux camps et épineuse pour le gouvernement. Huit ours slovènes ont été introduits dans le massif depuis 1996. En 2006, les derniers lâchers ont mobilisé des milliers d’opposants, parfois violemment.
Les pro-ours se sont vivement émus quand l’ancien gouvernement a renoncé en 2011 à l’engagement de lâcher une femelle, avec l’apparente intention de ne pas exciter les passions. En janvier, l’actuel exécutif, et sa ministre de l’Écologie de l’époque Delphine Batho, ont prolongé le moratoire de fait. La population grandit à un rythme satisfaisant.
Un ministre au nom prédestiné
Les pro-ours n’en sont pas à partager cet avis. Les deux nouvelles naissances donnent cependant à M. Arcangeli des raisons d’employer un ton moins alarmiste qu’à l’habitude.
Certes, l’ours est dangereusement menacé d’extinction dans l’ouest du massif. Mais les femelles en âge théorique de se reproduire étaient au moins cinq cette année. La population est maintenant rassemblée dans les Pyrénées centrales, à deux individus près, ce qui est favorable aux rencontres.
Ainsi M. Arcangeli imagine que la population pourrait atteindre une trentaine d’individus. Une dynamique « intéressante », mais vraiment insuffisante, nuance-t-il. Des lâchers, homéopathiques, restent nécessaires, dit-il, et il ne faut surtout pas entretenir chez les opposants à l’ours l’idée que l’on pourrait revenir en arrière, comme l’a fait selon lui le président du conseil général de l’Ariège Augustin Bonrepaux (PS) récemment en en appelant au président François Hollande. Quant au nouveau ministre de l’Écologie, « je ne peux pas imaginer qu’un homme qui s’appelle Martin soit défavorable à l’ours : c’est le nom que donnaient les Pyrénéens à l’ours autrefois ».
 

dimanche 1 septembre 2013

samedi 31 août 2013

Des louveteaux dans le massif

Décidément, le loup fait énormément parler de lui ces derniers jours. Surtout dans le massif vosgien.
Pas plus tard qu’en milieu de semaine, le préfet des Vosges Gilbert Payet annonçait que les comptages « par hurlements » menés dans le massif n’avaient pas permis de relever la présence de louveteaux. Si l’ONCFS (office national de la chasse et de la faune sauvage) n’a rien détecté jusqu’à cette annonce du préfet, les événements se sont ensuite accélérés. En effet, dans la nuit du 29 au 30 août, « des hurlements caractéristiques de louveteaux ont été entendus dans la zone de présence permanente des hautes Vosges, dans le département du Haut-Rhin » d’après un communiqué de la préfecture des Vosges. Mais à l’heure actuelle, le nombre précis de louveteaux ne peut pas être clairement précisé.
Autant dire que l’information inquiète de nombreux éleveurs de moutons du secteur. « C’est la plus mauvaise nouvelle de l’été », lâche le Bressaud Jean-Yves Poirot. Cette année, 14 de ces brebis ont été victimes de prédations. Et à l’annonce de cette portée, l’homme anticipe sur des prochaines années bien plus meurtrières, et pas que dans le milieu ovin. « Désormais, les moutons ne seront pas les seuls concernés. Car toutes les bêtes pourront être victimes du loup », déclare Jean-Yves Poirot qui, dès le mois de novembre dernier, annonçait des reproductions à partir de 2013. « Cela veut dire que les éleveurs ne sont pas si idiots que cela », ironise-t-il amèrement.
Appel à une mobilisation massive
Durant toute la journée d’hier, l’éleveur bressaud a été assailli par de nombreux coups de fil de collègues qui en appellent dorénavant à une mobilisation massive afin de faire évoluer la situation, notamment au niveau préfectoral.
Du côté des associations environnementales, l’information confirme que « le loup est désormais installé de façon durable sur le massif », avoue Anthony Kohler, animateur au sein du FERUS (association militant pour la sauvegarde du lynx, de l’ours et du loup).
Pour ce dernier, le renforcement des moyens de protection est encore plus d’actualité. L’accessibilité à certains systèmes encore trop peu présents dans les Vosges, comme le chien Patou, est devenue cruciale, même si pour l’heure il est encore difficile de connaître l’évolution à court terme du canidé dans les Vosges.
« Ces louveteaux seraient nés aux alentours du mois de mai. Une portée donne en moyenne trois à quatre louveteaux, sachant que le taux de mortalité est de 60 % au cours des six premiers mois (maladies, faiblesses physiques de certains jeunes…). En général, un ou deux loups arrivent à l’âge adulte », affirme Anthony Kohler qui s’interroge également sur une autre problématique impossible à anticiper : ces louveteaux resteront-ils plus tard aux côtés de leurs parents ou vont-ils se disperser ? Seul l’avenir le dira…

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/08/31/des-louveteaux-dans-le-massif

vendredi 30 août 2013

vendredi 23 août 2013

Une moto percute un ours, la police diffuse la vidéo pour sensibiliser

La police montée du Canada a diffusé sur internet la vidéo d’un motocycliste, caméra fixée sur le casque, percutant un ours, pour attirer l’attention des conducteurs sur les risques engendrés par la vitesse et le manque d’attention.
Sur la courte vidéo, le motard se lance à vive allure sur une route bordée d’arbres de Colombie-Britannique, dans l’ouest du Canada, lorsque surgit un jeune ours qui traverse la voie en courant. Le motard, qui va à140 kmh selon la police, est visiblement trop absorbé à regarder son compteur de vitesse, et ne peut éviter la collision avec l’ours.
La police précise que le conducteur a été légèrement blessé et que le jeune ours s’en est allé.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/08/23/une-moto-percute-un-ours-la-police-diffuse-la-video-pour-sensibiliser

lundi 19 août 2013

Montredon-Labessonnié. Bienvenue au zoo des 3 vallées

Depuis son ouverture le 1er juillet, le zoo des 3 vallées dans le Tarn a déjà accueilli près de 50 000 visiteurs. Près de 1300 animaux se partagent les 58 hectares de ce parc naturel hors du commun.
Nonchalants, les trois chameaux errent sur le plateau des hardes sauvages, passage obligatoire qui marque l’entrée du parc. La descente, en voiture ou en minibus jusqu’au parking aménagé au fond de la vallée, permet de croiser ici une chèvre naine, là un zébu repu ruminant à l’ombre d’un arbre, un poney shetland, un lama ou un émeu.
De la piste terreuse monte un nuage de poussière. On se croirait en plein safari dans la savane africaine. On est pourtant au cœur du Tarn, à Montredon-Labessonnié.
Le 1er juillet, Sauveur Ferrara a ouvert le zoo des 3 vallées. Un espace naturel de 58 hectares (10 autres sont encore à aménager) ou vivent près de 1 300 animaux représentant une centaine d’espèces.
Cinq ans de travaux pour un investissement de 10 millions d’euros «c’est beaucoup plus», relève Sauveur Ferrara, sans préciser le chiffre réel.
En arrivant au parking, la visite se poursuit à pied. Un petit détour par la volière géante est déjà une aventure originale puisqu’on pénètre dans la cage. On se retrouve alors au milieu des perruches multicolores. «Nous avons trouvé la semaine dernière le système du triple rideau de lames en plastique, c’est quand même mieux que de voir les oiseaux à travers les grilles», explique le boss du zoo.

Allée de Darwin et vallée des lacs

En sortant de la volière le regard se tourne vers la vallée où paissent tranquillement des watusi, des gnous, des zèbres, cerfs et autres élans. L’année prochaine la plaine africaine sera occupée par des éléphants, girafes, rhinocéros, phacochères, hippopotames.
En remontant l’allée de Darwin, le visiteur se familiarise avec les gibbons, les ratons laveurs, les renards polaires, les loutres cendrées, etc. La serre polaire juste à côté est l’univers des aras, cacatoès, perroquets et autres ouistiti. En poursuivant la montée on arrive sur le plateau des fauves où se prélassent tigres et tigres blancs, lions, guépards, hyènes et panthères. Dans la vallée des lacs, flamants roses, cygnes, grues, pélicans côtoient antilopes et kangourous. Pour voir les yacks blancs ou noirs et les mouflons à manchettes, il faut rejoindre la vallée tibétaine, alors qu’à l’espace rapaces, les chouettes, urubus, grands ducs, aigles surprennent toujours le visiteur.
Depuis le 1er juillet, jour de l’ouverture, le zoo des 3 vallées a accueilli près de 50 000 visiteurs, 4 200 pour la seule journée du 15 août. Cet afflux de visiteurs n’était pas vraiment prévu. Sauveur Ferrara d’augmenter la plage horaire d’ouverture. Une solution transitoire a d’ores et déjà été trouvée : les visiteurs se garent à l’extérieur et sont acheminés par quatre minibus dans le parc.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/08/19/1691869-montredon-labessonnie-bienvenue-au-zoo-des-3-vallees.html

dimanche 18 août 2013

Brigitte Bardot: «Parce que ce sont des cons...»

Y a-t-il un véritable pic d’abandon l’été ?
Il y a un pic d’abandon à longueur d’année avec une accélération au moment des vacances.
Pourquoi les gens abandonnent ?
Parce que ce sont des cons, des inconscients, des égoïstes, des bornés qui ne pensent qu’à eux, qu’à leur confort, leurs vacances et pour eux l’animal est un produit jetable, on en reprendra un tout neuf à la rentrée… Et pourtant ils savent le sort réservé à l’animal abandonné, cela équivaut à une complicité de meurtre !!!
Comment procèdent-ils ? La majorité du temps est-ce sur la voie publique ? Avez-vous noté des abandons plus cruels ?
Ils abandonnent un peu partout. Le principal est de ne pas être attrapé car ils encourent une lourde sanction. Il y a des cas atroces d’abandons : attachés à des arbres loin de tout ou enfermés dans des appartements vides et isolés, des cabanes de forestiers visitées une fois par mois et encore. Dans ces cas-là les animaux sont retrouvés morts, squelettiques ou dans des états tellement détériorés qu’il est difficile de les sauver.
Les gens achètent-ils autant d’animaux qu’avant ?
Les refuges sont saturés d’animaux, souvent de race, de tous âges, de toutes tailles, tous abandonnés attendant, le désespoir au ventre, celui qui viendra le délivrer de cette incarcération à laquelle il ne comprend rien. Certains se laissent mourir de chagrin. Eh bien croyez-moi si vous voulez, il y a encore des imbéciles qui vont dans des animaleries ou dans des élevages payer la peau du cul le chien ou la chienne qu’ils trouveraient pour une bouchée de pain dans un refuge. Mais comme l’a dit Einstein : «Il y a deux infinis, l’univers et la connerie humaine».
Quand et pourquoi vous êtes vous engagée pour la cause animale, quel a été le déclic ?
Vous êtes rigolote vous ! Ça remonte au déluge, c’était en 1973 (ndlr : lorsqu’elle a arrêté sa carrière cinématographique) et depuis je ne suis jamais revenue sur ma décision. J’ai donné ma vie à la protection des animaux et elle ne sera pas encore assez longue, hélas, pour voir un réel résultat.
Faut-il accorder des droits aux animaux pour cesser de les traiter comme des objets ?
Il faut accorder des droits aux animaux. C'est révoltant qu’au XXIe siècle l’animal soit toujours considéré dans le code civil qui date de Napoléon comme un «objet pouvant se mouvoir par lui-même». Il faudrait faire évoluer ces vieux principes et remettre la juridiction de l’animal à la place qu’il mérite afin qu’il ne soit plus comparé à un objet dans les tribunaux ou lors des saisies à problèmes. Comment accorder le moindre respect et le moindre droit à un objet ?
Les questionnements concernant le traitement des animaux, leur exploitation par les humains, la problématique des droits des animaux- ne sont-ils pas en train de gagner du terrain, notamment avec la progression des militants végétariens ?
Il est très difficile de changer des habitudes millénaires, ancrées dans des traditions établies depuis la nuit des temps, mais le public semble se sensibiliser petit à petit à force de voir des images d’épouvante comme celles des abattoirs ou de l’expérimentation animale qui sont les pires que l’homme fasse subir à l’animal en accord parfait avec la législation. Les politiques eux n’en n’ont rien à cirer du moment que l’animal rapporte. Tout est industrialisé, l’élevage, les transports, la mort à la chaîne comme chez Renault. Vespasien disait «l’argent n’a pas d’odeur» aujourd’hui non seulement l’argent n’a pas d’odeur, mais le sang non plus !!! J’embrasse tous les végétariens et pas les bons à rien.

L'événement

Animaux : la saison des abandons

En dépit des campagnes de prévention et d’un important travail de sensibilisation réalisé par les associations de protection animale, l’été concentre chaque année de très nombreux abandons d’animaux domestiques.
En ce qui concerne les statistiques, il est très difficile de trouver des chiffres officiels et fiables, les animaux recueillis par les différentes structures indépendantes ne faisant pas l’objet d’un recensement national. Néanmoins, la Fondation 30 millions d’Amis estime qu’environ 274 animaux de compagnie sont abandonnés chaque jour en France. À l’échelle d’une année, la Fondation évalue à environ 100 000 le nombre d’animaux abandonnés dans l’hexagone, dont 60 000 l’été.
Ces chiffres édifiants et inquiétants font de la France la détentrice de ce triste record : celui du pays européen où l’on abandonne le plus d’animaux de compagnie. Pour Christophe Marie, directeur du B.P.A et porte-parole de la Fondation Brigitte Bardot, «s’il y a un pic l’été, les abandons d’animaux sont constants.»
Plusieurs causes sont mises en avant pour expliquer ce fléau. Certaines d’entre elles sont liées à des problèmes de société devenus courants : difficultés financières, précarité de l’emploi. D’autres relèvent de motifs privés : les divorces, l’arrivée d’un enfant, des ennuis de santé, un déménagement… Mais nombre de refuges sont également confrontés à des arguments qui n’en sont pas : «il est trop âgé, il est malade, il aboie tout le temps, il démolit tout, je n’ai plus envie de le sortir l’hiver…»

«Un objet de mode vite encombrant»

Pour Christophe Marie, les abandons sont surtout dus à la multiplication des réseaux de vente, y compris sur Internet. «Alors le chien, le chat mais aussi de nombreux animaux exotiques deviennent l’accessoire de mode qui, comme tout phénomène de mode, deviendra vite obsolète et encombrant» explique-t-il.
Dans bien des cas, la question du «Pourquoi ?» reste sans réponse. L’animal est retrouvé en divagation, abandonné en bord de route ou encore attaché à un arbre… On parle alors d’abandons sauvages.
En 2013, on estime qu’entre 50 000 et 80 000 animaux de compagnie sont déjà dans des refuges en attente d’une adoption.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/08/18/1691490-brigitte-bardot-parce-que-ce-sont-des-cons.html

vendredi 16 août 2013

Gourdon. Animal mystère : lynx ou lémurien ?

Mercredi 13 août, La Dépêche du Midi relatait le témoignage d’un Gourdonnais ayant aperçu un lynx devant chez lui. Depuis, d’autres personnes se sont manifestées, et leurs affirmations concordent. Ces différentes personnes, dignes de confiance, mais qui souhaitent conserver l’anonymat sont unanimes : l’étrange animal est plus gros qu’un chat, il a un museau pointu, sa fourrure est de couleur grise, ou marron foncé, et il a une longue queue arrondie, avec des cercles de couleur orange. Deux témoins l’ont vu mercredi et jeudi, 7 et 8 août, place Sainte-Claire ; il aurait passé la nuit sous un appentis. Un couple l’a croisé, mardi 13 août vers 20 heures au lieu-dit Coupiac près de Gourdon. Pour ces témoins, l’animal serait un maki catta, un lémurien originaire de Madagascar. D’autres évoquent la présence possible dans le secteur d’un chat «grand format» de race Maine Coon sans être affirmatif. Le mystère s’épaissit.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/08/16/1690048-gourdon-animal-mystere-lynx-ou-lemurien.html

mardi 13 août 2013

Vogna prend goût à la liberté

Le Centre Athénas a préparé le jeune lynx au relâcher pendant plusieurs mois. Il a retrouvé la liberté il y a un mois. L’équipe de Gilles Moyne continue de suivre ses déplacements et d’étudier le milieu dans lequel il évolue. Le Centre Athénas a préparé le jeune lynx au relâcher pendant plusieurs mois. Il a retrouvé la liberté il y a un mois. L’équipe de Gilles Moyne continue de suivre ses déplacements et d’étudier le milieu dans lequel il évolue.

Le Centre Athénas, l’association de soins des animaux sauvages basée à l’Étoile, dans le Jura, avait commencé à traquer Vogna le 16 octobre 2012. Ce jeune lynx, orphelin, avait été signalé à la structure ce jour-là car il venait de tuer un chat domestique dans un jardin. D’après des photographies de témoins, le félin semblait souffrir de dénutrition. Cinq jours après, le Centre Athénas avait obtenu une dérogation pour le capturer… et le sauver.
Gilles Moyne, le directeur du Centre Athénas, et son équipe, ont fini par mettre la main sur le lynx de cinq mois et demi le 12 novembre, à Vogna (d’où le nom qui lui a été attribué), près d’Arinthod. Préparé pendant sept mois à être relâché, Vogna a finalement recouvré la liberté le 29 juin dernier, sur la commune de Châtelblanc, dans le Doubs, à proximité de Foncine-le-Haut.
Le félidé n’est pas pour autant livré à lui-même. Un collier GPS permet au Centre Athénas de le localiser à intervalle régulier. « Les localisations sont plus rares en ce moment à cause de la couverture satellite du massif qui est mauvaise et en raison des conditions météorologiques », indique Gilles Moyne. Mais Vogna va bien. « On a une séquence de six jours où l’on constate qu’il est resté dans une zone restreinte donc cela est significatif de la consommation d’une proie. » Vogna se maintient en zone boisée et très à l’écart des activités humaines, observe également Gilles Moyne. Pour l’instant, le lynx évolue toujours en Franche-Comté car il s’est installé sur un territoire vacant. « Mais on n’est pas à l’abri d’un décantonnement s’il croise la route d’un mâle adulte. »
Une équipe du Centre Athénas se rend au moins une fois par semaine sur le terrain pour mieux appréhender le milieu dans lequel Vogna se trouve et aussi ses déplacements. Le Centre doit rester vigilant sur son évolution pendant plus d’un an. Le collier GPS se décrochera alors du cou de l’animal. « Vogna a aujourd’hui quatorze mois, il n’est pas tout à fait adulte , précise Gilles Moyne. Il aura sa taille définitive cet hiver et sa maturité sexuelle. »
Le Centre Athénas aura vécu deux ans de tension. « Le relâcher de Vogna a été un moment fort » , confirme le directeur.

http://www.republicain-lorrain.fr/actualite/2013/08/13/vogna-prend-gout-a-la-liberte

lundi 12 août 2013

Sacrée surprise

Sacrée surprise pour un agent de maîtrise d’Airbus, samedi matin. «J’allais à l’usine Jean-Luc Lagardère à Blagnac quand j’aperçois un animal qui court sur le pont de Blagnac, entre le Stade Ernest Wallon et l’aéroport. En me rapprochant, je découvre que c’est un chevreuil. Il galope, effrayé, devant ma voiture pendant environ 500mètres puis saute le parapet et se retrouve sur la voie en sens inverse !» raconte Romain Coletti, habitant à Bouloc.
Il a pu suivre l’animal un moment, «j’ai même ralenti afin de le protéger des autres véhicules en mettant les feux de détresse» poursuit Romain. Avait-il longé les berges de la Garonne avant de se perdre sur la rocade ? S’agit-il du chevreuil qui avait élu domicile dans des jardins privés, il y a deux ou trois ans, en bord de Garonne, à Blagnac ? Si les sangliers ne sont pas rares dans l’agglomération, les chevreuils le sont un peu plus.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/08/12/1688298-un-chevreuil-sur-la-rocade.html

dimanche 11 août 2013

Insolite. Un grand cachalot tout près de la côte en Norvège

vendredi 9 août 2013

Un site pour géolocaliser les animaux perdus, malades, à adopter

Lancer un appel pour retrouver son chien, adopter un chat dans son quartier, savoir où sévit une épidémie dangereuse pour son petit compagnon... Un nouveau site lancé à Toulouse permet pour la première fois de géolocaliser toutes les annonces concernant les animaux de compagnie en .
Ce site -
http://animalerte.org/ - permet aux particuliers, vétérinaires, associations intéressés par la condition animale en général ou un animal en particulier de transmettre une information, qui est immédiatement localisée concrètement sur une carte de .
 
"De nombreux sites sur la condition animale existent en France, mais c'est le premier où l'on peut localiser l'événement", a déclaré à l'AFP son concepteur, le vétérinaire toulousain Jean-Yves Gauchet.
La personne qui souhaite mettre une "alerte" choisit parmi les rubriques - perdu, adoption, trouvé, maladies... - celle qui le concerne, et place son annonce qui s'inscrit sur la carte là où elle se trouve. D'autres internautes peuvent alors entrer en contact avec elle.
Parmi les rubriques figurent aussi les "coups de coeur" (bonnes adresses, promotions...) et les "coups de gueule" (mauvaises adresses, arnaques...).
"Le but est qu'à terme, de plus en plus de gens, d'associations, de professionnels, connaissent le site et qu'il serve de relais pour tous ceux qui travaillent à la protection de l'animal", précise Jean-Yves Gauchet.
Outre la situation des animaux de compagnie perdus ou adoptés, il serait ainsi possible de savoir si une épidémie dangereuse pour tel ou tel animal de compagnie se répand, ou si une pollution de rivière met en danger les animaux sauvages dans une région donnée.
Le site, mis en ligne il y a moins de deux mois, reçoit déjà une moyenne de 200 visites par jour, selon son concepteur.

http://www.leparisien.fr/high-tech/

jeudi 8 août 2013

Une chauve-souris porteuse de la rage découverte en Savoie

Une chauve-souris qui avait contacté la rage a été découverte dans un jardin en Savoie, il y a plus d'une semaine. Les deux enfants qui l'ont découverte et qui l'ont manipulée sont en bonne santé.
Une chauve-souris porteuse de la rage a été découverte par deux enfants dans un jardin en Savoie, il y a plus d'une semaine, un cas rare, a annoncé jeudi la préfecture de Savoie dans un communiqué.  L'animal trouvé sur la commune de La Bridoire a été envoyé pour analyse à l'Institut Pasteur de Paris qui a confirmé lundi que la chauve-souris était porteuse de la rage, précise la préfecture.
Les deux enfants ayant découvert et manipulé le cadavre de la chauve-souris il y a une dizaine de jours ont été aussitôt orientés vers le centre antirabique de l'hôpital de Chambéry pour être traités de manière préventive, informe la préfecture. "Leur état est normal et n'inspire pas d'inquiétude particulière", poursuit la même source. Les transmissions à d'autres espèces dont l'homme sont possibles mais elles n'ont été que très rarement observées en Europe, selon Didier Mamis, directeur départemental de la cohésion sociale et de la protection des populations (DDCSPP) et vétérinaire.
"Dans ce cas, aucun contact avec d'autres animaux a été avéré", a-t-il ajouté. Le réseau national de surveillance a permis de détecter 58 cas de rage sur des chauves-souris depuis 1989 sur plus de 2000 spécimens analysés. Il s'agit du premier cas détecté en Savoie. La préfecture de la Savoie rappelle qu'il est important de ne pas toucher, ni manipuler les chauves-souris, ni de chercher à les attraper, mais de prévenir en cas de découverte d'un spécimen blessé ou mort la DDCSPP.
 

L'exceptionnelle naissance d'un requin zèbre filmée par l'Océanopolis de Brest

Après 20 nuits de veille continue, les soigneurs de l'équipe d'aquariologie de l'Océanopolis, à Brest, ont pu pour la première fois au monde filmer la naissance d'un requin zèbre. Un événement exceptionnel qui n'avait jamais pu être observé auparavant.

Les requins zèbres sont des poissons qui peuvent atteindre plus de trois mètres de long. Les femelles pondent des oeufs d'environ 20 cm de long et l'embryon se développe à l'intérieur de l'enveloppe pendant 5 mois avant de la déchirer pour en sortir. Bien que les requins zèbres ne fassent pas partie des espèces en voie de disparition, il reste menacé par la surpêche et par le commerce des ailerons à destination du marché asiatique.
Sans danger pour les humains, le requin zèbre est toutefois un animal fragile en bassin. Aussi, c'est un évènement exceptionnel qui a eu lieu le 10 juin dernier au parc découverte des océans Océanopolis de Brest. Pour la toute première fois en Europe, trois requins zèbres ont vu le jour, le premier le 10 juin, les autres quelques semaines plus tard. Chose plus exceptionnelle encore, l'équipe d'aquariologie du parc est parvenue à filmer la scène, un moment inédit, après quelque vingt nuits de veille attentive. Une vidéo inédite que l'Océanopolis a publié sur son site internet.
Trois bébés nés, deux oeufs encore à éclore
"Il aura fallu plus de 20 nuits de veille pour finalement capter cet instant exceptionnel jamais filmé auparavant chez cette espèce de requin", indique le parc dans un communiqué. Le premier bébé requin peut être observé par le public dans le pavillon tropical du parc. Le deuxième requin né le 30 juillet et le troisième le 3 août sont en revanche encore un peu trop jeunes. Mais l'aventure ne s'arrête pas là puisque deux oeufs doivent encore éclore.
Les cinq oeufs ont été pondus par une femelle arrivée en 2002 à l'Océanopolis. Depuis cette date, elle pondait une quarantaine d'oeufs par an mais en (...)

Lire la suite sur maxisciences.com

Australie : un kangourou sauve un petit garçon perdu

mercredi 7 août 2013

Le bandit masqué repéré en Alsace-Lorraine

Il doit sa notoriété à un certain Davy Crockett, ce trappeur intrépide tombé en 1836 au côté d’une poignée de résistants sous les balles mexicaines lors du siège de Fort Alamo, au Texas. Le patriote américain, mort au combat, ne quittait jamais son bonnet de fourrure orné de la tête au regard masqué d’un raton laveur. La précieuse relique trône toujours au musée de ce haut fait d’armes à San Antonio. Un siècle plus tard, beaucoup de GI’s engagés dans la campagne de libération de la France avaient choisi l’animal comme mascotte de régiment. Après 1945, le déploiement de bases de l’O tan dans l’Hexagone accéléra l’implantation de l’espèce à proximité des installations yankee. Ces « racoons » ont survécu au départ du contingent américain dans les années soixante. L’exemple le plus connu est celui de l’ex- plate-forme aéroportée de l’US Air Force à Couvron, dans l’Aisne. Plutôt que de ramener leur animal fétiche au pays, les militaires ont préféré s’en débarrasser dans une forêt voisine devenue le principal repaire français du bandit masqué. Chaque année, le piégeage ou la chasse prélèvent une moyenne de 400 individus, un chiffre qui traduit une réelle expansion. Dans d’autres départements plus à l’Est, les mascottes de l’US Army n’ont pas eu le temps, ni la chance de faire souche une fois livrées à elles-mêmes. Mais quand ce client issu de la famille des plantigrades, — celle des ours ! — pointe son museau en Alsace-Lorraine, c’est cette fois en provenance d’Allemagne.

« Celui qui gratte avec les mains »

Car là-bas, les ratons laveurs avaient été importés en masse dans des fermes d’élevage qui se sont multipliées dans l’ex-RFA dans la seconde moitié du XXe siècle. Dopée par les besoins de la pelleterie, cette activité florissante a fini par sombrer sous la pression d’un marché trop concurrentiel. Les rescapés ont su parfaitement exploiter leur nouvelle terre d’accueil. Actuellement, la population germanique est estimée à plus de 100 000 sujets ! Et l’obstacle du Rhin n’en est pas un, pour cet animal aux intentions conquérantes. À Gerstheim, dans le Bas-Rhin, la cellule de recherche sur les animaux prédateurs et déprédateurs de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage suit de très près les velléités d’expansion du raton laveur. Attention particulière que ce colon partage avec le chien viverrin, autre petit carnivore opportuniste venu de la lointaine Russie, mais de plus en plus observé en Alsace, Lorraine et Franche-Comté. « La présence de cette espèce dans l’Est de la France est encore marginale et on ne peut pas parler d’installation durable pour l’instant, mais ce canidé est bien là », confie François Léger, de l’ONCFS. Ce suivi est lié aux conditions d’existence de ces deux espèces dites invasives. Digne des Rapetous de Walt Disney, le raton laveur est classé « nuisible » en raison de l’éclectisme de ses repas. Tout est bon à sa table où il a l’habitude de laver systématiquement le mets qu’il va croquer, qu’il soit propre ou souillé. D’où le sobriquet de « laveur ». Une étrange attitude qui, au passage, n’a jamais été éclaircie par les scientifiques. En France, la vie de « l’arakum », ou « celui qui gratte avec les mains », comme l’avaient autrefois baptisé les Indiens d’Amérique du Nord, n’a donc rien d’un long fleuve tranquille. Mais le brigand masqué a prouvé sa capacité à s’y maintenir…

http://www.republicain-lorrain.fr/actualite/2013/08/07/le-bandit-masque-repere-en-alsace-lorraine

mardi 6 août 2013

LIBRE!- Au Costa Rica, deux zoos relâchent les animaux

La République du Costa Rica, pays d'Amérique centrale, veut en finir avec les cages. D'ici à mai 2014, deux zoos seront transformés en jardin botanique et parc urbain. Singes, volatiles, jaguars, crocodiles, mais aussi lions et reptiles pourront donc gambader, voler ou rugir en toute liberté. Et ce, grâce à un "changement dans la conscience environnementale des Costariciens" , a déclaré le ministre de l'environnement et de l'énergie, Rene Castro.
"Nous ne voulons plus voir d’animaux en captivité ou enfermés d'une quelconque manière, sauf s’il s’agit de les sauver", a-t-il ajouté.
La vice-ministre de l'environnement, Ana Lorena Guevara, a expliqué qu'elle travaillait avec des associations de défense des animaux pour réimplanter certaines espèces dans les zoos. Celles à qui il conviendrait davantage d'être remises en liberté seront relâchées, a-t-elle dit. Au total, quelque quatre cents animaux de soixante espèces y sont regroupés.
Dans le zoo Simon Bolivar, prochainement transformé en jardin botanique, la ministre espère voir arriver naturellement certaines espèces de mammifères, de reptiles et d'oiseaux.
Le Costa Rica, très impliqué dans la protection de l'environnement, s'est fixé pour objectif d'avoir un bilan carbone neutre en 2021. Pour l'atteindre, le pays a lancé une importante campagne de reforestation : les surfaces boisées représentent désormais plus de 52 % de son territoire. Un quart du Costa Rica a été placé sous statut protégé.
http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2013/08/06/libre-au-costa-rica-deux-zoos-relachent-les-animaux/

lundi 5 août 2013

Deux loups à abattre dans les Alpes-Maritimes

A la suite de de nombreuses attaques de troupeaux, la Préfecture a autorisé le prélèvement...
C'était une demande récurrente des éleveurs: la préfecture des Alpes-Maritimes a autorisé ce lundi le prélèvement de deux loups sur les communes de Roquebillière et Belvédère. Le département est particulièrement touché par les attaques de troupeaux, qui ont occasionné près de 2.500 décès en 2012 et 1.300 depuis le début de l'année, rapporte Nice Matin. Sur les deux communes de Roquebillière et Belvédère, 60 attaques ont été recensées, et 200 animaux tués selon les services de la préfecture.

Deux loups pourront donc être tués. L'arrêté préfectural ne précise pas l'âge ni le sexe des animaux, et étend l’autorisation sur un mois, à partir du lundi 5 août. Les tirs peuvent être effectués de jour comme de nuit, par les agents du service départemental de l'ONCFS, les lieutenants de louveterie des Alpes-Maritimes nommés par arrêté préfectoral et les chasseurs habilités par le préfet à participer aux opérations de prélèvement de loups.
 

dimanche 4 août 2013

Web et garde d'animaux : je prends ton labrador si tu héberges Médor

Blandine Damour a lancé son portail spécialisé dans l'échange de garde d'animaux entre particuliers il y a un an. Elle compte à présent 3 000 adhérents dont une bonne centaine en Languedoc-Roussillon.
Elle a tout essayé. Sans trouver la solution pour partir sereine en laissant Bella, son labrador noir, en bonne compagnie. Claude Sabrié, basée sur Générac dans le Gard, n’a pu se résigner à amener sa chienne dans un chenil. "Je l’ai fait une fois mais je n’étais pas tranquille." Pas convaincue non plus par le service des pet-sitters qui pullulent sur la toile. "C’est cher et rien ne dit que celui qui officie sait appréhender les animaux."
3 000 adhérents dont une bonne centaine en Languedoc-Roussillon


Alors la Gardoise cherche, bien déterminée à prendre des vacances. Finit par trouver animal-futé, un site qui met en relation les propriétaires d’animaux domestiques dans le même cas qu’elle. Le principe de ce service pensé par Blandine Damour, à Aix-en-Provence, est simple. C’est un échange de bons procédés. De l’entraide. On confie durant son absence son animal domestique à un particulier, et à charge de revanche, on lui garde son chien ou son chat dès qu’il y a nécessité. Blandine Damour a lancé son portail il y a un an et compte à présent 3 000 adhérents dont une bonne centaine en Languedoc-Roussillon.
"Sans que cela les ruine et en toute confiance"
Tous les animaux ont droit au gardiennage entre particuliers sur le site : les chevaux, les lapins, les rongeurs, les visons, et même les poissons rouges. "Il n’y avait aucun site de ce style en France alors que c’est répandu chez les Anflo- saxons." 69 % des propriétaires d’animaux ont besoin d’une solution de garde pendant les vacances, les week-ends, lors de déplacements professionnels ou d’hospitalisation. "Sans que cela les ruine et en toute confiance."
"On le sent tout de suite si ça va faire l’affaire"
L’adhésion au site est de 30 € à l’année et les adhérents d’animal-futé et leurs compagnons domestiques se rencontrent dans un premier temps pour voir si tout le monde se correspond. "On le sent tout de suite si ça va faire l’affaire", observe Claude Sabrié, qui vient de prendre une dizaine de jours Ishka, le petit chien d’une Nîmoise, et garde à présent Scott le beauceron de deux Héraultais en congés. Son labrador Bella a de la compagnie pour jouer et en septembre, quand sa propriétaire partira en vacances, elle aura un foyer pour l’accueillir.

http://www.midilibre.fr/2013/08/03/je-garde-ton-labrador-si-tu-heberges-medor,742008.php

vendredi 2 août 2013

jeudi 1 août 2013

Une raie à points bleus vient de naître à Océanopolis

Depuis quelques mois, le nouvel aquarium du pavillon tropical, le Lagon, héberge un couple de raies à points bleus, Taeniura lymna. Originaire des récifs tropicaux, l'espèce est délicate à acclimater et fait l’objet depuis quelques années d’un programme d’étude européen (European Studbook), explique-t-on à Océanopolis. Objectif ? Favoriser la reproduction en captivité de cette espèce au sein des aquariums publics membres de l’Union Européenne des conservateurs d’aquariums (EUAC), afin d’éviter les prélèvements dans le milieu naturel.
 

Et voilà que le couple de raies s’est agrandi ce jeudi avec la naissance d’un petit mâle la nuit dernière. Il ne mesure pour l'heure "que" 31 centimètres, pour un poids de 185 grammes.
La reproduction en captivité de cette espèce est encore un évènement peu courant, souligne le parc brestois. "Seuls trois aquariums en Europe l’ont menée à bien avant Océanopolis".
Le nouveau pensionnaire devrait être très vite dans les bassins pour que le public le découvre.

http://www.letelegramme.fr/local/finistere-nord/brest/ville/brest-une-raie-a-points-bleus-vient-de-naitre-a-oceanopolis-01-08-2013-2190484.php

Bordeaux. Le boa de 2 mètres s’échappe et se glisse dans une voiture

Grosse surprise pour un habitant du quartier de Caudéran à Bordeaux, mercredi matin : les pompiers sont venus sonner à sa porte car un boa de plus de 2 mètres venait de se glisser dans sa voiture en stationnement, comme le rapporte ce jeudi Sud-Ouest.
L’un de ses voisins avait en effet alerté les secours après avoir aperçu un long reptile se baladant dans la rue. Le temps que les pompiers arrivent, le serpent s’était glissé dans le moteur d’un véhicule, en passant par la boîte à gants.
Après avoir mis la voiture sur cric, les pompiers sont parvenus à déloger l’intrus, au bout d’une heure trente d’efforts. Il s’agissait d’un boa constrictor de 2,10 mètres, appartenant à un autre voisin qui avait oublié de fermer la porte de son vivarium. Même si l’animal n’est pas venimeux, il reste tout de même dangereux.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/08/01/1682256-bordeaux-boa-2-metres-echappe-glisse-voiture.html

mercredi 31 juillet 2013

Le chien qui avait mordu un enfant à Ramatuelle recueilli près de Nice

Le chien qui avait mordu au visage un petit garçon dans un camping de Ramatuelle dans le Var vient d'être placé dans un refuge de Saint-Laurent-du-Var, près de Nice.
"Jules", un golden retriever, devrait ainsi échapper à l'euthanasie, comme l'avait notamment réclamé Brigitte Bardot.
Le président de la Société de défense des animaux Patrick Villardry, pompier professionnel et éducateur canin reconnu, a obtenu du propriétaire de l'animal le droit de le prendre en charge. L'animal sera castré puis éduqué.

http://www.nicematin.com/cagnes-sur-mer/le-chien-qui-avait-mordu-un-enfant-a-ramatuelle-recueilli-pres-de-nice.1372976.html

lundi 29 juillet 2013

Baleines et dauphins reviennent en force dans la Méditerranée

Au large, la Méditerranée reprend lentement vie grâce notamment à la disparitiondes filets dérivants. Paré pour une immersion entre la Corse et le continent méconnu
Les amarres sont larguées. Les deux moteurs hors-bord de 300 CV propulsent le puissant semi-ridige au sommet des vagues à une vitesse de 30 nœuds. Direction l'horizon, pour une sortie whale watching. Car à l'intérieur du sanctuaire Pélagos (France, Monaco, Italie), la vie est intense et s'offre sans retenue à tous les amoureux de la mer. La Méditerranée reste fragile mais l'ensemble des données récoltées récemment laissent entrevoir une santé retrouvée. Pas moins de six espèces de mammifères marins sont régulièrement aperçues entre la Corse et le continent et parfois même très près des côtes.
>>DIAPO. Baleine et dauphins reviennent en force en Méditerranée
D'où un engouement certain actuellement pour découvrir ces animaux. En Méditerranée occidentale, les dauphins blanc-bleu seraient environ 250 000, les rorquals 3 000, les cachalots 2.500... et les globicéphales noirs un millier.
Raies manta, poissons-lunes, tortues marines, poissons volants, thons, espadons sont aussi de la partie. Sans oublier les nombreux oiseaux de mer qui « pistent » la moindre écaille d'anchois.
Certaines baleines sont reconnaissables à leurs cicatrices. Comme ce célèbre rorqual, d'une vingtaine de mètres, profondément meurtri par une hélice et connu de tous les passionnés. Ses blessures se sont lentement résorbées. Et l'animal a dorénavant retrouvé son rang au sein du groupe de géants des mers.
Durant cette matinée, guidé par Patrice Garziglia, expert en whale watching, pas moins d'une cinquantaine de dauphins blanc-bleu et deux rorquals - d'une longueur de 17 mètres - seront filmés et photographiés par les whale watchers du jour.
Une ombre et de l'écume
Une dizaine de minutes d'observation seulement sont accordées par le skipper afin de ne pas déranger ces mammifères lors de leurs évolutions en surface.
Selon leur humeur, ces animaux accepteront - ou non - de montrer leur agilité aquatique au public. Et ce jour-là, les dauphins assurent une fois encore le show. Ils viennent sans se faire prier. Le temps d'une apnée programmée, les baleines, quant à elles, sonderont les grandes profondeurs. Elles ne laissent en surface qu'une ombre dans un vaste bouillonnement d'écume sous des applaudissements nourris.
Les vagues se forment lentement au large. Les gaz sont remis. Il faut rallier sans plus tarder le port de plaisance de Beaulieu-sur-Mer avant que le vent d'ouest ne gâche cette belle matinée remplie d'émotions fortes. Une perception unique d'un monde mal connu, à découvrir sans modération.

http://www.nicematin.com/cote-dazur/diapo-baleines-et-dauphins-reviennent-en-force-dans-la-mediterranee.1370076.html

dimanche 28 juillet 2013

L'histoire se termine bien pour le poney Tchad

INCROYABLE histoire que celle de ce poney retrouvé errant en plein cœur de Reims (voir l'union du 23 juillet), lâchement abandonné par son propriétaire qui avait déserté son campement de fortune le long la voie ferrée. Les riverains, intrigués par l'animal esseulé, ont approché la bête pour rapidement se rendre compte de son triste état : « Il tremblait. Il tenait à peine debout, ça faisait mal au cœur », confiait une riveraine.
Sauvé par les riverains
Fortement déshydraté et non soigné depuis un bon moment, tous craignaient pour sa survie… Recueilli par le centre équestre de Reims, l'animal va mieux. Un vétérinaire a pu soigner ses différents traumatismes et malgré l'état lamentable de ses sabots, le poney se porte bien. « Il n'avait pas vu de maréchal depuis au moins deux bonnes années. Nous avons soigné ses sabots et maintenant il va très bien, il mène enfin une vie normale de poney », observe Pascal Vanscoor, responsable du centre équestre de Reims.
Lors de sa visite, le vétérinaire a pu lire la puce implantée dans le cou de l'animal, et découvrir de précieuses informations : il est âgé de 15 ans et se nomme Tchad. Avant sa mésaventure rémoise, le poney se trouvait dans une ferme pédagogique dans l'Aisne et son ancien propriétaire est décédé. Difficile d'estimer précisément le temps écoulé entre le départ de la ferme et l'abandon, toutefois les recherches avancent : « On sait qu'il était dans une ferme découverte à proximité de Pontavert, il y a quatre ou cinq ans. Il a dû être donné ensuite. »
Poney pouponné
Après avoir été soigné, l'animal s'est refait une beauté. Au programme : taille des sabots, douche, brossage et coiffage. Les palefreniers, monitrices et jeunes cavaliers sont aux petits soins, le faisant marcher une quinzaine de minutes par jour afin qu'il retrouve toute sa motricité. Bichonné, nourri et logé, Tchad mène une vie de rêve au centre équestre où il sera encore hébergé quelque temps afin qu'il reprenne du poil de la bête : « En aucun cas il sera utilisé pour être monté », précise le responsable du centre équestre. Émues par son histoire, de nombreuses personnes ont proposé d'adopter le poney. Il devrait donc prochainement rejoindre ses congénères dans une pâture gorgée d'herbe fraîche où il coulera des jours paisibles, bien loin du calvaire qu'il a connu.

http://www.lunion.presse.fr/region/l-histoire-se-termine-bien-pour-le-poney-tchad-jna3b24n164948

Muret. Sylvie élève les plus gros chats du monde

Misou restera dans mon cœur pour toujours. C’était un chat de gouttière tigré que mes parents avaient et à la mort de mon père je me suis énormément attachée à lui. Du haut de mes 15 ans, je me suis toujours dit que j’aurai plusieurs chats et que j’en ferai mon métier.» Sylvie Charron-Brunet a réalisé son rêve d’adolescente. Après une formation d’auxiliaire de santé animale, elle est maintenant agricultrice, éleveuse de chats.

Mais tout n’a pas été simple. Sylvie raconte qu’un jour de grande tristesse, elle est allée dans une expo féline. «J’ai vu un éleveur qui brandissait un Maine Coon. Là, ça a été un véritable déclic,une révélation et un peu de fatalité aussi. Ma vie a commencé à ce moment-là» raconte-t-elle, son regard bleu illuminé et plein d’éclat au souvenir de cette rencontre avec celui qui est considéré comme le plus gros chat du monde.

Philou Premier !

Malgré une vie pas très facile et une séparation familiale douloureuse Sylvie a réussi à acheter son premier Maine Coon. «C’était en 98 et il s’appelait Philou.» Pas de chance ! Le chat est mort d’une cardiomyopathie à 18 mois mais en même temps cela a été l’opportunité d’approfondir ses connaissances du félin. «J’ai ainsi commencé à me former aux soins vétérinaires. Puis grâce à une sélection faite en 3 ou 4 ans, j’ai réussi à obtenir une race saine, sans gêne de cardiomyopathie, qui est récurrente chez cette race de chat.» explique aussi l’éleveuse.
A partir de là, tout a souri à Sylvie. Son premier reproducteur «Misou 2» est au départ de la création de la chatterie. «J’ai maintenant 30 chats reproducteurs et 7 retraités.»
Une maison de chats…
Sylvie a aménagé sa vie, sa maison et son jardin de Mauressac autour des chats. Un espace extérieur et un autre intérieur, pour les mâles, un pour les femelles et un pour les femelles allaitantes. Et de préciser : «Il est important de mettre dans l’enclos des mâles, une femelle et vice-versa car il ou elle amène une sérénité et empêche les autres de se battre.»
Sylvie a maintenant 15 ans d’élevage derrière elle, des dizaines de chatons partis pour des destinations lointaines : Mayotte, Réunion, Brésil, Argentine, Canada… «Je suis un peu comme une maîtresse d’école et quand les parents viennent les chercher ça me fait toujours un pincement au cœur.»
«Mes chats m’ont permis de me reconstruire et ont atténué la souffrance de mon enfance. Ma persévérance a fait le reste et je partage maintenant cette passion du plus gros chat du monde avec les amoureux de la race».
Contact : 0 626 816 977 / sylvie.brunet@sfr.fr

http://www.ladepeche.fr/article/2013/07/28/1679656-sylvie-eleve-les-plus-gros-chats-du-monde.html

samedi 27 juillet 2013

Rhinocéros en danger d'extinction: un zoo américain va faire acccoupler un frère et une soeur

Ce projet suscite des controverses vu le risque d'anomalies génétiques...
Dans un effort désespéré pour sauvegarder une espèce de rhinocéros en danger extrême d'extinction, le zoo de Cincinnati (Ohio, nord) va tenter de faire accoupler début août deux animaux frère et soeur. L'accouplement de Harapan, un rhinocéros mâle de Sumatra (Indonésie) de six ans avec sa soeur Suci, âgée de près de neuf ans, pourrait se produire dès la semaine prochaine, ont indiqué des gardiens du zoo.
Ce projet suscite des controverses vu le risque d'anomalies génétiques et la pauvreté de la qualité du sperme des progénitures, reconnaît Terri Roth, directrice du Centre Lindner pour la conservation et la recherche sur les espèces en danger, mais affirme-t-elle à l'AFP, «il n'y a pas d'autres solutions». Selon les experts en conservation, il ne resterait qu'une centaine de rhinocéros de Sumatra à l'état sauvage en Indonésie et en Malaisie, et seulement dix en captivité dans le monde.

L'insémination artificielle n'a jamais donné de résultat

Quatre sont de la même famille, dont trois se trouvent depuis ces dernières années au zoo de Cincinnati et un quatrième est né en Indonésie en 2012. Pour Suci la seule option d'accouplement est son frère Harapan, car l'insémination artificielle n'a jamais donné de résultat chez les rhinocéros de Sumatra, donc pas question d'acheminer du sperme d'un mâle génétiquement compatible vivant ailleurs, explique Terri Roth. Harapan, qui a presque atteint l'âge adulte, a été transféré plus tôt en juillet du zoo de Los Angeles.
«A moins que les Indonésiens ne capturent plus de rhinocéros de Sumatra et qu'un mâle sans lien de parenté avec Suci ne devienne disponible, nous n'avons pas la diversité génétique dont nous avons besoin», relève-t-il. Les femelles rhinocéros doivent aussi engendrer pour éviter que leurs organes de reproduction ne développent des kystes, qui risquent de les rendre infertiles, indique Susie Ellis, directrice de l'International Rhino Foundation. Celle-ci souligne que la population de rhinocéros de Sumatra a fortement diminué à cause de la destruction de leur habitat et du braconnage pour leur corne, qui en Asie est considérée à tort comme dotée de vertus médicinales.
Le rhinocéros de Sumatra «n'est pas comme le panda géant que tout le monde connaît et je pense que le public doit savoir (...) ce qui arrive avec ces rhinocéros», commente Terri Roth. «Nous sommes en passe de perdre ce rhinocéros et je ne veux pas cela arrive», ajoute--t-elle.

http://www.20minutes.fr/sciences/1193265-20130727-rhinoceros-danger-extinction-zoo-americain-va-faire-acccoupler-frere-soeur

vendredi 26 juillet 2013

Un zébrâne, mélange d'âne et de zèbre, est né à Florence

Il est le seul spécimen de toute l'Italie... Un petit zébrâne, né de l'accouplement d'un zèbre et d'une ânesse, a récemment vu le jour dans une réserve animalière de Florence en Italie.

Il s'appelle Ippo. Il a des rayures comme un zébre et des oreilles d'âne. Voici le petit né des amours d'un zèbre et d'une ânesse dans une réserve animalière de Florence en Italie et il est en bonne santé, rapporte l'agence italienne Ansa. Selon la propriétaire de la réserve, Serena Aglietti, "Ippo est le seul de son éspèce en Italie." Les zébrânes sont en effet très rare : on en retrouve en Allemagne, en Chine et en Georgie seulement.

Un spécimen d'autant plus unique que le petit n'est pas né d'une manipulation génétique. Il est le fruit de la détermination d'un zèbre, qui a escaladé une barrière pour pouvoir se rapprocher de l'ânesse de son cœur. Le père d'Ippo a été récupéré par la réserve après que le zoo auquel il appartenait a fait faillite, et sa mère provient d'une espèce en danger, l'âne de l'Amiata, relate Ansa.
 

Un kangourou s'échappe dans les rues de Lamagistère

C’est une intervention peu ordinaire qu’ont effectuée les pompiers valenciens hier vers 6 h 30. Appelés pour un kangourou qui venait de s’échapper de son enclos à Lamagistère, ils ont dû courir derrière l’animal pendant une bonne heure avant de pouvoir l’intercepter. «Il était sur la RD 813, il est passé devant la gare avant de prendre la direction du centre-ville, nous étions trois à courir derrière lui, il allait vite, quand il bondissait il était à peu près à hauteur d’homme», témoigne Fabrice Latapie l’un des trois pompiers qui tentaient de le rattraper. «Cela a fait pas mal de remue-ménage nous avons croisé des automobilistes surpris, le boulanger une baguette à la main qui s’est bien amusée. Le maire également Bernard Dousson a suivi la course-poursuite.» Enfermé dans une cage, le kangourou fugueur est revenu dans son enclos.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/07/26/1678629-un-kangourou-s-echappe-dans-les-rues-de-lamagistere.html

jeudi 25 juillet 2013

Haute-Loire. Une mygale retrouvée dans une jardinerie

Une mygale toxique a été découverte dans le tronc d'un olivier d'une jardinerie Tridôme de Vals-près-le-Puy, dans la Haute-Loire, ce mercredi.
Les sapeurs pompiers ont dû intervenir après qu'une cliente ait alerté la sécurité. Cette dernière a eu la mauvaise surprise de trouver la mygale dans le tronc de l'olivier qu'elle venait d'acheter. Les pompiers ont réussi à pieger l'araignée grâce à une boite. Cette dernière, qui n'a pas survécu à l'intervention, mesurait 3 centimètres.
Cette mygale est l'une des deux mygales européennes est connue pour ses morsures très dangereuses.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/07/25/1677990-haute-loire-une-mygale-retrouvee-dans-une-jardinerie.html

mercredi 24 juillet 2013

Un loup photographié dans le Jura

Un loup a été photographié dans le Jura, où il n'est pas officiellement implanté, après l'attaque d'un troupeau d'ovins lors de laquelle trois bêtes ont été tuées et deux autres blessées, a indiqué aujourd'hui la préfecture.

L'attaque a eu lieu le 17 juillet, à Foncine-le-Haut (Jura), à quelques kilomètres de la Suisse, où le loup est présent.
"Les personnels de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage sont venus voir les carcasses et tout laisse à penser qu'on s'inscrit dans le cadre d'une attaque de loup, qui reste à confirmer mais avec une marge d'erreur minime", a dit Thierry Humbert, directeur de cabinet du préfet du Jura.

"Un cliché pris dès le lendemain à partir d'un piège photographique installé à proximité du lieu de l'attaque a permis d'identifier un animal présentant toutes les caractéristiques" du loup, a par ailleurs déclaré la préfecture dans un communiqué.
Selon Thierry Humbert, cette attaque est "un cas isolé qui ne préfigure pas pour l'instant le retour de l'animal dans le département du Jura".


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/07/24/97001-20130724FILWWW00503-un-loup-photographie-dans-le-jura.php

Zapping Best of : les animaux, des bêtes de scène à la télévision

mardi 23 juillet 2013

Les deux cigogneaux noirs nés dans le Jura ont pris leur envol

Le 26 septembre dernier c'était la découverte d’un nid de cigognes noires dans le Jura, une découverte exceptionnelle pour une espèce rare puisque moins de 50 couples sont connus chaque année en France.
Durant l’hiver, le couple avait quitté le département pour des pays plus chauds mais il y était revenu pour donner naissance à deux bébés. A la suite de cet heureux événement, les deux petits avaient été bagués le 5 juin dernier par un scientifique délégué par le Museum de Paris afin d’être suivi à distance. Sage précaution puisqu’ils ont aujourd’hui pris leur envol.
Rappelons que la découverte du nid était une première dans la région depuis trente-cinq ans.

http://www.leprogres.fr/jura/2013/07/22/les-deux-petits-cigogneaux-noirs-nes-dans-le-jura-ont-pris-leur-envol

lundi 22 juillet 2013

Un inventaire des animaux braconnés

Tortues, pangolins, hippocampes, rhinocéros... En seulement trois mois, 206 événements liés au braconnage et contrebande de milliers d'animaux menacés d'extinction ont été rapportés dans le monde, alerte l'ONG Robin des Bois, qui lance un inventaire trimestriel "A la trace".
En trois mois, 206 évènements liés à des braconnages, saisies, arrestations et condamnation en Afrique, Australie, Amérique, Europe et Asie ont été recensés. Et l'équivalent en ivoire de 707 éléphants a été saisi, ainsi que 3.600 pangolins, des mammifères ressemblant à des reptiles utilisés en Afrique et en Asie dans la médecine traditionnelle, ou encore près de 6.000 tortues terrestres et marines, notamment appréciées en soupe en Asie.
 

Bébés lion blancs 2013 au Zoo de Pont-Scorff

dimanche 21 juillet 2013

samedi 20 juillet 2013

Ferme pédagogique du Zoo d'Amnéville

Le lynx suspecté d’une nouvelle attaque sur des brebis aux portes de Lons

A Saint-Laurent-la-Roche, la famille Bozon élève des moutons depuis de très nombreuses années. Et s’il y a dix ans, elle a eu des soupçons sur une attaque de lynx, cette fois, le doute ne serait plus permis, selon elle. Un lynx aurait attaqué son troupeau en début de semaine : dans la nuit de lundi à mardi, l’animal aurait égorgé un agneau pour manger un gigot. Les représentants de l’Office de la chasse sont venus constater les faits et ont mis en place un piège photographique. Un lynx aurait pu être photographié et identifié en revenant finir son repas.
Mercredi matin c’est une brebis qui était retrouvée morte dénuquée, puis une autre vendredi matin, sans doute victime d’une crise cardiaque. « Un lourd bilan » pour les éleveurs, qui ne peuvent être indemnisés que sur les dégâts physiques apparents. « La brebis morte de crise cardiaque ne sera pas comptée comme dégât du lynx et c’est sans compter sur les agneaux qui se trouvent orphelins ». Dans le village et alentours la bête est « connue » : elle aurait déjà sévi en février, à une semaine d’intervalle, chez un autre éleveur, tuant une brebis puis une chèvre.
Les habitants parlent d’un lynx adulte « qui rôde entre Saint-Laurent-la-Roche, Gevingey et la banlieue de Lons » et aurait été également aperçu à Macornay et Courbouzon, à proximité des lotissements. Les chasseurs ne sont pas en reste : « Depuis quelque temps, il y a beaucoup moins de gibiers, chevreuils et chamois, preuve que l’animal fait des dégâts. »
Mais le plus étonnant pour tous vient du fait que « ces attaques se produisent en plein mois de juillet alors que d’habitude, elles ont plutôt lieu en hiver quand le lynx n’a rien d’autre à manger. »

http://www.leprogres.fr/jura/2013/07/19/le-lynx-suspecte-d-une-nouvelle-attaque-sur-des-brebis-aux-portes-de-lons

lundi 15 juillet 2013

Une quarantaine de brebis tuées dans la Bévéra: le loup en accusation

C'est un véritable ras-le-bol qu'exprime une famille de bergers de La Bévéra. Depuis le 25 mai, date à laquelle ils ont monté leur troupeau en altitude, ce ne sont pas moins de 62 bêtes sur 250 qui sont mortes. 
Si une vingtaine a disparu, plus de quarante ont été dévorées par les loups.
C'est en tous cas la thérie défendue par ces éleveurs qui avaient déjà été gravement touchés en 2002.
En juillet , ils avaient perdu 400 de leurs moutons qui, effrayés par le prédateurs, s'étaient jetés dans le vide.

http://www.nicematin.com/menton/une-quarantaine-de-brebis-tuees-dans-la-bevera-le-loup-en-accusation.1349281.html