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mercredi 11 juillet 2012
Le bébé panda du zoo de Tokyo est mort
http://animauxune.blogspot.fr/2012/07/naissance-dun-bebe-panda-dans-un-zoo-de.html
C'était le premier bébé panda né dans ce zoo depuis 24 ans...
Un bébé panda géant est mort ce mercredi, a annoncé le zoo de Tokyo où il était né la semaine dernière. Le zoo de Ueno (centre de Tokyo) a expliqué que le petit était décédé d'une pneumonie. «Les gardiens ont trouvé le bébé allongé sur son dos, sur l'estomac de sa mère Shin Shin, et ont remarqué que son coeur avait cessé de battre», a expliqué le jardin zoologique sur son site internet.
«Ils lui ont administré un massage cardiaque et d'autres traitements, mais ont malheureusement confirmé sa mort à 8h30 du matin» (1h30 mercredi matin heure de Paris).
Les parents du petit, Shin Shin et son compagnon Ri Ri, sont loués depuis l'année dernière par la Chine à ce zoo géré par les autorités de Tokyo, pour un coût annuel d'environ un million de dollars. Les autorités chinoises avaient salué la naissance du petit le 5 juillet.
«C'est une bonne nouvelle. Les pandas géants sont des messagers d'amitié. Nous espérons que les sentiments de chaque peuple envers l'autre et que les relations entre la Chine et le Japon pourront s'améliorer grâce à la naissance du petit», avait déclaré à Pékin le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Liu Weimin. Les pandas géants, une espèce menacée, sont considérés comme des «trésors nationaux» en Chine. Une bonne quinzaine de pandas sont nés dans des zoos japonais depuis que l'animal est exposé dans l'archipel, d'après un décompte du journal nippon Yomiuri Shimbun.
http://www.20minutes.fr/monde/japon/969465-bebe-panda-zoo-tokyo-mort
C'était le premier bébé panda né dans ce zoo depuis 24 ans...
Un bébé panda géant est mort ce mercredi, a annoncé le zoo de Tokyo où il était né la semaine dernière. Le zoo de Ueno (centre de Tokyo) a expliqué que le petit était décédé d'une pneumonie. «Les gardiens ont trouvé le bébé allongé sur son dos, sur l'estomac de sa mère Shin Shin, et ont remarqué que son coeur avait cessé de battre», a expliqué le jardin zoologique sur son site internet.
«Ils lui ont administré un massage cardiaque et d'autres traitements, mais ont malheureusement confirmé sa mort à 8h30 du matin» (1h30 mercredi matin heure de Paris).
«Les pandas géants sont des messagers d'amitié»
Ce nouveau-né, à qui aucun nom n'avait encore été attribué, était le premier bébé panda né au zoo de Ueno depuis 24 ans. Il s'agissait même de la première naissance jamais enregistrée à Ueno après un accouplement naturel, le bébé né en 1988 étant issu d'une insémination artificielle.Les parents du petit, Shin Shin et son compagnon Ri Ri, sont loués depuis l'année dernière par la Chine à ce zoo géré par les autorités de Tokyo, pour un coût annuel d'environ un million de dollars. Les autorités chinoises avaient salué la naissance du petit le 5 juillet.
«C'est une bonne nouvelle. Les pandas géants sont des messagers d'amitié. Nous espérons que les sentiments de chaque peuple envers l'autre et que les relations entre la Chine et le Japon pourront s'améliorer grâce à la naissance du petit», avait déclaré à Pékin le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Liu Weimin. Les pandas géants, une espèce menacée, sont considérés comme des «trésors nationaux» en Chine. Une bonne quinzaine de pandas sont nés dans des zoos japonais depuis que l'animal est exposé dans l'archipel, d'après un décompte du journal nippon Yomiuri Shimbun.
http://www.20minutes.fr/monde/japon/969465-bebe-panda-zoo-tokyo-mort
mardi 10 juillet 2012
lundi 9 juillet 2012
dimanche 8 juillet 2012
samedi 7 juillet 2012
vendredi 6 juillet 2012
jeudi 5 juillet 2012
Naissance d'un bébé panda dans un zoo de Tokyo, la Chine ravie
Un bébé panda géant est né dans un zoo de Tokyo, un événement salué par la Chine d'où la mère est originaire.
Il s'agit du premier bébé panda né au zoo de Ueno depuis 24 ans, a expliqué une responsable de l'établissement animalier. Il s'agit même d'une première en ce lieu par accouplement naturel, le bébé né en 1988 étant issu d'une insémination artificielle.
Le zoo avait suspendu samedi les visites du public pour voir la mère, appelée Shin Shin, les gardiens ayant remarqué qu'elles devenait nerveuse en cas d'exposition au bruit ou à la lumière.
Shin Shin et son compagnon Ri Ri s'étaient accouplés deux fois à la fin mars et l'état de santé de la femelle, notamment son niveau d'hormone et une perte d'appétit, avait récemment fait penser qu'elle était enceinte.
Ce couple de panda est loué depuis l'année dernière par la Chine à ce zoo géré par les autorités de Tokyo, pour un coût annuel d'environ un million de dollars.
Le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Liu Weimin, a salué l'événement.
"C'est une bonne nouvelle. Les pandas géants sont des messagers d'amitié. Nous espérons que les sentiments de chaque peuple envers l'autre et que les relations entre la Chine et le Japon pourront s'améliorer grâce à la naissance du petit", a-t-il déclaré à la presse à Pékin.
Les pandas géants, une espèce menacée, sont considérés comme des "trésors nationaux" en Chine.
Une bonne quinzaine de pandas sont nés dans des zoos japonais depuis que l'animal est exposé dans l'archipel, d'après un décompte du journal nippon Yomiuri Shimbun.
http://www.20minutes.fr/article/966545/naissance-bebe-panda-zoo-tokyo-chine-ravie
Il s'agit du premier bébé panda né au zoo de Ueno depuis 24 ans, a expliqué une responsable de l'établissement animalier. Il s'agit même d'une première en ce lieu par accouplement naturel, le bébé né en 1988 étant issu d'une insémination artificielle.
Le zoo avait suspendu samedi les visites du public pour voir la mère, appelée Shin Shin, les gardiens ayant remarqué qu'elles devenait nerveuse en cas d'exposition au bruit ou à la lumière.
Shin Shin et son compagnon Ri Ri s'étaient accouplés deux fois à la fin mars et l'état de santé de la femelle, notamment son niveau d'hormone et une perte d'appétit, avait récemment fait penser qu'elle était enceinte.
Ce couple de panda est loué depuis l'année dernière par la Chine à ce zoo géré par les autorités de Tokyo, pour un coût annuel d'environ un million de dollars.
Le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Liu Weimin, a salué l'événement.
"C'est une bonne nouvelle. Les pandas géants sont des messagers d'amitié. Nous espérons que les sentiments de chaque peuple envers l'autre et que les relations entre la Chine et le Japon pourront s'améliorer grâce à la naissance du petit", a-t-il déclaré à la presse à Pékin.
Les pandas géants, une espèce menacée, sont considérés comme des "trésors nationaux" en Chine.
Une bonne quinzaine de pandas sont nés dans des zoos japonais depuis que l'animal est exposé dans l'archipel, d'après un décompte du journal nippon Yomiuri Shimbun.
http://www.20minutes.fr/article/966545/naissance-bebe-panda-zoo-tokyo-chine-ravie
mercredi 4 juillet 2012
mardi 3 juillet 2012
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mardi 1 mai 2012
Koala en Australie : la pollution est en train de le tuer
Le plus grand prédateur pour le koala c'est
l'urbanisation. L'animal a été classé lundi parmi les espèces à protéger dans
plusieurs régions d'Australie où sa
survie est menacée par le développement des villes, la circulation automobile,
les chiens domestiques et les maladies, a annoncé le gouvernement
Les populations des provinces de Nouvelle-Galles du Sud, du Queensland et de l'Australian Capital Territory (autour de la capitale fédérale Canberra), toutes situées dans l'est et le sud-est de l'île, ont été classées parmi les espèces "vulnérables". Il s'agit de la catégorie inférieure à celle d'espèce "en danger" selon la liste de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). "Le koala est l'emblème de l'Australie et il tient une place à part dans notre pays", a souligné le ministre de l'Environnement, Tony Burke.
Les populations des provinces de Nouvelle-Galles du Sud, du Queensland et de l'Australian Capital Territory (autour de la capitale fédérale Canberra), toutes situées dans l'est et le sud-est de l'île, ont été classées parmi les espèces "vulnérables". Il s'agit de la catégorie inférieure à celle d'espèce "en danger" selon la liste de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). "Le koala est l'emblème de l'Australie et il tient une place à part dans notre pays", a souligné le ministre de l'Environnement, Tony Burke.
Plusieurs millions avant
1788
Le petit marsupial, espèce endémique australienne, est d'abord victime de la réduction de son habitat dans les régions les plus densément peuplées de l'île, selon un rapport officiel datant de 2011. Alors qu'ils étaient plusieurs millions avant l'arrivée des colons britanniques en 1788, ils ont été massivement chassés pour leur épaisse fourrure dans les années 1920 et leur population a drastiquement diminué.
L'indignation populaire a mis fin au carnage mais l'urbanisation de l'Australie est devenue un prédateur au moins aussi redoutable. Leur population est estimée aujourd'hui au maximum à quelques centaines de milliers, certaines études n'en dénombrant qu'un peu plus de 40.000. Dans les provinces de Victoria (extrême sud-est) et de South Australia (sud) en revanche, les populations sont excessives et "doivent être contrôlées", selon Tony Burke.
Le petit marsupial, espèce endémique australienne, est d'abord victime de la réduction de son habitat dans les régions les plus densément peuplées de l'île, selon un rapport officiel datant de 2011. Alors qu'ils étaient plusieurs millions avant l'arrivée des colons britanniques en 1788, ils ont été massivement chassés pour leur épaisse fourrure dans les années 1920 et leur population a drastiquement diminué.
L'indignation populaire a mis fin au carnage mais l'urbanisation de l'Australie est devenue un prédateur au moins aussi redoutable. Leur population est estimée aujourd'hui au maximum à quelques centaines de milliers, certaines études n'en dénombrant qu'un peu plus de 40.000. Dans les provinces de Victoria (extrême sud-est) et de South Australia (sud) en revanche, les populations sont excessives et "doivent être contrôlées", selon Tony Burke.
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lundi 12 mars 2012
Un chevreuil blessé sauvé par des massages... et beaucoup d'amour
Cette belle histoire a débuté il y a un mois lorsque des habitants du Mont-du-Villard ont signalé l’animal blessé gisant dans un champ proche de leurs habitations. Se rendant sur les lieux, Gilbert Frarier, président de l’Atca Rochebrune (association intercommunale de chasse agréée) et Arthur Forlin, garde-chasse privé, ont trouvé l’animal dans un triste état.
Avec une patte blessée et trois côtes cassées, il avait très peu de chance de survivre. Malgré tout, les deux hommes ont demandé à Jacques Brunet s’il voulait tenter quelque chose, lui qui avait plusieurs fois recueilli des animaux sauvages en péril. Le chevreuil fut transporté dans son garage.
Jacques Brunet avait, à vrai dire, peu d’espoir : « Par le passé j’en ai ramené cinq, et je n’ai pu en sauver aucun. À cause du manque de nourriture en hiver, ils sont souvent très affaiblis et ne résistent pas plus de 24 heures. »
L’animal est resté dans un état préoccupant pendant une quinzaine de jours. Puis, il s’est enfin levé. « J’ai fait appel à Karen, une amie ostéopathe pour animaux. Il fallait absolument remettre en état sa patte sur laquelle il avait des difficultés à prendre appui. Avec elle, j’ai appris les bons gestes et je lui fais chaque jour des massages pour soulager sa patte ankylosée. »
http://www.ledauphine.com/haute-savoie/2012/03/10/un-chevreuil-sauve-a-force-de-patience-et-d-amour
Avec une patte blessée et trois côtes cassées, il avait très peu de chance de survivre. Malgré tout, les deux hommes ont demandé à Jacques Brunet s’il voulait tenter quelque chose, lui qui avait plusieurs fois recueilli des animaux sauvages en péril. Le chevreuil fut transporté dans son garage.
Jacques Brunet avait, à vrai dire, peu d’espoir : « Par le passé j’en ai ramené cinq, et je n’ai pu en sauver aucun. À cause du manque de nourriture en hiver, ils sont souvent très affaiblis et ne résistent pas plus de 24 heures. »
L’animal est resté dans un état préoccupant pendant une quinzaine de jours. Puis, il s’est enfin levé. « J’ai fait appel à Karen, une amie ostéopathe pour animaux. Il fallait absolument remettre en état sa patte sur laquelle il avait des difficultés à prendre appui. Avec elle, j’ai appris les bons gestes et je lui fais chaque jour des massages pour soulager sa patte ankylosée. »
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mercredi 29 février 2012
mardi 28 février 2012
Un petit rhinocéros aveugle opéré avec succès de la cataracte en Afrique du Sud
Roccy, le petit rhino, a été opéré le 3 janvier dans un hôpital vétérinaire de l’université de Pretoria et est maintenant rentré dans sa réserve natale d’Elandela, dans le nord-est du pays.
«Son caractère a changé. Il est moins dépendant des humains, il agit de plus en plus comme un rhino», a décrit son propriétaire, Rocco Gioia.
Après l’attaque des braconniers en juin, les propriétaires de la réserve avaient créé une fondation pour sauver Roccy, qui avait alors trois mois. Ils ont depuis accueilli Clova, une autre petite rhinocéros devenue orpheline dans des circonstances similaires.
L’Afrique du Sud, avec environ 20.000 spécimens, abrite de 70 à 80% des rhinocéros du monde. Au moins 448 rhinos y ont été abattus par des braconniers en 2011, contre 333 en 2010, 122 en 2009, 83 en 2008 et seulement 13 en 2007.
La progression du braconnage est généralement expliquée par le succès des cornes en Asie, où elles sont particulièrement prisées, à tort, par la médecine traditionnelle.
http://www.leprogres.fr/loisirs/2012/02/20/un-petit-rhinoceros-aveugle-opere-avec-succes-de-la-cataracte-en-afrique-du-sud
«Son caractère a changé. Il est moins dépendant des humains, il agit de plus en plus comme un rhino», a décrit son propriétaire, Rocco Gioia.
Après l’attaque des braconniers en juin, les propriétaires de la réserve avaient créé une fondation pour sauver Roccy, qui avait alors trois mois. Ils ont depuis accueilli Clova, une autre petite rhinocéros devenue orpheline dans des circonstances similaires.
L’Afrique du Sud, avec environ 20.000 spécimens, abrite de 70 à 80% des rhinocéros du monde. Au moins 448 rhinos y ont été abattus par des braconniers en 2011, contre 333 en 2010, 122 en 2009, 83 en 2008 et seulement 13 en 2007.
La progression du braconnage est généralement expliquée par le succès des cornes en Asie, où elles sont particulièrement prisées, à tort, par la médecine traditionnelle.
http://www.leprogres.fr/loisirs/2012/02/20/un-petit-rhinoceros-aveugle-opere-avec-succes-de-la-cataracte-en-afrique-du-sud
lundi 27 février 2012
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mercredi 8 février 2012
Un chevreuil sur le lac gelé
Un chevreuil, agonisant au beau milieu du lac gelé de l'Ailette, a été récupéré, après beaucoup d'efforts, en barque et en cassant la glace.
L'HISTOIRE est assez exceptionnelle, à l'image des températures qui sévissent ces derniers jours.
Samedi, à Chamouille, un chevrillard femelle a tenté de trouver refuge sur le lac complètement gelé de l'Ailette. Blessé, l'animal a fini par s'écrouler, agonisant au beau milieu de l'étendue glacée.
« On m'a prévenu en fin de matinée. Je me trouvais sur un autre rendez-vous de chasse », explique Jean-Marc Lhomme, président de l'amicale des chasseurs du Bois de Neuville.
Des chiens à ses trousses
Ce matin-là, celle-ci organisait une battue et il semble bien que le chevreuil avait des chiens à ses trousses. « On ne pouvait pas laisser l'animal souffrir comme cela », poursuit Jean-Marc Lhomme. Aux premières loges, se trouvent, de plus, les cottages du Center Parcs.
Si la glace n'a pas craqué sous le poids du chevrillard et des chiens, elle ne paraît pas cependant assez solide pour soutenir des hommes. Il fallait trouver une barque et une corde. « On est parti pour trouver tout cela et quand on est revenu, il y avait déjà un 4 x 4 sur place avec une barque. »
Entre-temps, des promeneurs, émus par la scène, avaient alerté la gendarmerie de Guignicourt, qui s'était rendue sur place. Les militaires ont décidé d'organiser une récupération sécurisée de l'animal.
De même, le groupement d'intérêt cynégétique de l'Ailette avait été alerté par un chasseur. Jean-Luc Locmane, agent de ce GIC, a été prévenu vers 12 h 15. Il fait partie des trois volontaires qui sont montés dans la barque pour tenter de sauver le chevrillard : « Des gens de passage ont spontanément proposé l'embarcation. »
Il faut dire que l'événement a suscité une certaine mobilisation parmi les habitants et autres touristes. Chacun était prêt à apporter son concours pour sauver le pauvre « Bambi ».
« On a fait environ 80 mètres. Il a fallu casser la glace avec une hache et une pelle », explique Jean-Luc Locmane. L'épaisseur est de plus de trois centimètres. Au bout de vingt minutes d'efforts, les trois hommes parviennent à hisser l'animal. Il est dans un triste état.
Sur le ponton, au bord du lac, gendarmes et personnes de bonne volonté tirent sur la corde pour ramener l'embarcation sur la terre ferme. Un rapide examen du chevrillard amène malheureusement à la conclusion qu'on ne peut pas le sauver. Il doit être achevé.
« Apparemment, il n'avait pas été blessé par une balle de chasseur. En revanche, il avait une patte cassée », indique Jean-Marc Lhomme. Ce sont peut-être les chiens qui l'ont conduit jusqu'au lac. Une fois sur la glace, avec ses sabots, il a eu du mal à progresser, glissant sans cesse. Le gibier a l'habitude de traverser des points d'eau pour brouiller les pistes, mais avec le gel… « C'est la première fois que je vois une chose pareille », confirme Jean-Marc Lhomme.http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/un-chevreuil-sur-le-lac-gele
L'HISTOIRE est assez exceptionnelle, à l'image des températures qui sévissent ces derniers jours.
Samedi, à Chamouille, un chevrillard femelle a tenté de trouver refuge sur le lac complètement gelé de l'Ailette. Blessé, l'animal a fini par s'écrouler, agonisant au beau milieu de l'étendue glacée.
« On m'a prévenu en fin de matinée. Je me trouvais sur un autre rendez-vous de chasse », explique Jean-Marc Lhomme, président de l'amicale des chasseurs du Bois de Neuville.
Des chiens à ses trousses
Ce matin-là, celle-ci organisait une battue et il semble bien que le chevreuil avait des chiens à ses trousses. « On ne pouvait pas laisser l'animal souffrir comme cela », poursuit Jean-Marc Lhomme. Aux premières loges, se trouvent, de plus, les cottages du Center Parcs.
Si la glace n'a pas craqué sous le poids du chevrillard et des chiens, elle ne paraît pas cependant assez solide pour soutenir des hommes. Il fallait trouver une barque et une corde. « On est parti pour trouver tout cela et quand on est revenu, il y avait déjà un 4 x 4 sur place avec une barque. »
Entre-temps, des promeneurs, émus par la scène, avaient alerté la gendarmerie de Guignicourt, qui s'était rendue sur place. Les militaires ont décidé d'organiser une récupération sécurisée de l'animal.
De même, le groupement d'intérêt cynégétique de l'Ailette avait été alerté par un chasseur. Jean-Luc Locmane, agent de ce GIC, a été prévenu vers 12 h 15. Il fait partie des trois volontaires qui sont montés dans la barque pour tenter de sauver le chevrillard : « Des gens de passage ont spontanément proposé l'embarcation. »
Il faut dire que l'événement a suscité une certaine mobilisation parmi les habitants et autres touristes. Chacun était prêt à apporter son concours pour sauver le pauvre « Bambi ».
« On a fait environ 80 mètres. Il a fallu casser la glace avec une hache et une pelle », explique Jean-Luc Locmane. L'épaisseur est de plus de trois centimètres. Au bout de vingt minutes d'efforts, les trois hommes parviennent à hisser l'animal. Il est dans un triste état.
Sur le ponton, au bord du lac, gendarmes et personnes de bonne volonté tirent sur la corde pour ramener l'embarcation sur la terre ferme. Un rapide examen du chevrillard amène malheureusement à la conclusion qu'on ne peut pas le sauver. Il doit être achevé.
« Apparemment, il n'avait pas été blessé par une balle de chasseur. En revanche, il avait une patte cassée », indique Jean-Marc Lhomme. Ce sont peut-être les chiens qui l'ont conduit jusqu'au lac. Une fois sur la glace, avec ses sabots, il a eu du mal à progresser, glissant sans cesse. Le gibier a l'habitude de traverser des points d'eau pour brouiller les pistes, mais avec le gel… « C'est la première fois que je vois une chose pareille », confirme Jean-Marc Lhomme.http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/un-chevreuil-sur-le-lac-gele
mardi 7 février 2012
Malade, le chien du film The Artist va faire ses adieux au cinéma
Uggie, l'adorable chien complice de Jean Dujardin dans le film ''The Artist'', souffre d'une maladie qui va le contraindre à mettre fin à sa carrière.
C'est le quotidien britannique The Daily Mail qui l'affirme dans son édition internet: Uggie, le petit chien qui accompagne Jean Dujardin dans le film The Artist, souffre d'une maladie dégénérescente qui va le forcer à mettre fin à sa carrière.
« C'est très triste, mais il souffre d'un mystérieux syndrome de tremblement. C'est un dysfonctionnement neurologique et nous avons dépensé des milliers de dollars à consulter des vétérinaires pour en connaître la cause, mais les experts n'ont pas vraiment de réponse », a déclaré le dresseur du chien, Omar Von Muller.
Le petit cabot, de race jack russell, avait été l'une des vedettes de la soirée des Golden Globes le mois dernier, où The Artist a reçu trois prix. Il devrait de la même façon être une des attractions de la soirée des Oscars, aux côtés du présentateur Billy Crystal, le 26 février prochain. The Artist est nommé dans 10 catégories pour ces Oscars.
Pour sa part Uggie, qui a sa page personnelle sur Twitter, est nommé pour les « Colliers d'or », équivalent des Oscars pour les chiens, qui seront décernés le 13 février.
Les tremblements d'Uggie « ont commencé peu avant le début du tournage de The Artist en novembre 2010 », a précisé Omar Von Muller. « Il y a eu des hauts et des bas et, ironiquement, c'était pire quand il se reposait. Quand on tournait, on le remarquait à peine ».
Pour le dresseur, « c'est malheureux que cela se produise au moment où il connaît le plus gros succès de sa carrière. Mais nous pensons que la meilleure des choses à faire est qu'il prenne sa retraite après les Oscars. Sur The Artist, nous faisions des journées de travail de 15 heures, et je ne peux plus lui imposer cela maintenant ».
lundi 6 février 2012
dimanche 5 février 2012
Le bébé girafe à la patte dans le plâtre est mort
Né mercredi en Belgique, l'animal avait été blessé par sa propre mère...
Le bébé n’a pas eu le temps d’être baptisé avant de mourir. Un girafon femelle, né mercredi dernier au parc de Bellewaerde, en Belgique, et victime d’une lourde blessure dès les premières minutes de son existence, est décédé ce vendredi matin, a annoncé le zoo.
A peine née, la petite a été agressée par sa propre mère. La maman, Simone, semblait pourtant «ravie» de l’arrivée de sa progéniture, raconte le parc sur un site entièrement dédié au girafon, puisqu’elle a immédiatement manifesté sa joie en léchant son bébé. Seulement, son attitude a changé du tout au tout quand le girafon s’est mis debout: la génitrice s’est alors mise à lui donner des coups de sabots, allant jusqu’à le faire chuter.
Selon les chirurgiens, l’artère principale de la patte a sans doute été touchée dès l’agression, provoquant une thrombose et condamnant son membre. Or les prothèses n’existent pas pour les girafes et les soigneurs ont dû se résoudre à euthanasier la bête.
La petite était une girafe Rotschild, une espèce menacée. Il ne resterait plus que 650 animaux de cette sorte vivant à l’état sauvage
http://www.20minutes.fr/article/873178/organisation-mondiale-environnement-objectif-difficile-atteindre
Le bébé n’a pas eu le temps d’être baptisé avant de mourir. Un girafon femelle, né mercredi dernier au parc de Bellewaerde, en Belgique, et victime d’une lourde blessure dès les premières minutes de son existence, est décédé ce vendredi matin, a annoncé le zoo.
A peine née, la petite a été agressée par sa propre mère. La maman, Simone, semblait pourtant «ravie» de l’arrivée de sa progéniture, raconte le parc sur un site entièrement dédié au girafon, puisqu’elle a immédiatement manifesté sa joie en léchant son bébé. Seulement, son attitude a changé du tout au tout quand le girafon s’est mis debout: la génitrice s’est alors mise à lui donner des coups de sabots, allant jusqu’à le faire chuter.
Espèce menacée
Souffrant d’une fracture ouverte à la patte avant droite, la petite girafe a été plâtrée le lendemain. En vain: l’animal, qui devait être opéré ce vendredi matin, n’a pas survécu.Selon les chirurgiens, l’artère principale de la patte a sans doute été touchée dès l’agression, provoquant une thrombose et condamnant son membre. Or les prothèses n’existent pas pour les girafes et les soigneurs ont dû se résoudre à euthanasier la bête.
La petite était une girafe Rotschild, une espèce menacée. Il ne resterait plus que 650 animaux de cette sorte vivant à l’état sauvage
http://www.20minutes.fr/article/873178/organisation-mondiale-environnement-objectif-difficile-atteindre
Velleron : elle se bat pour sauver ses deux marcassins
Une dizaine de chèvres, un âne, un cochon américain, des pigeons, des chiens, des chats, pas de doute vous êtes bien chez Céline Zanetti.
Sur le chemin de la Jardine, cette propriété abrite une véritable arche de Noé. Arche qui fait le bonheur des enfants, des promeneurs, voire des personnes âgées qui se plaisent à venir en balade donner un morceau de pain à cette sympathique ménagerie.
Toujours prompte à accueillir de nouveaux pensionnaires, Céline est devenue la "maman" de deux petits marcassins. "Nous étions au mois de septembre. Un chasseur me les a apportés, leur mère ayant été abattue. Ils n'étaient pas plus gros que le poing. Avec mes enfants, nous les avons nourris au biberon".
"Je ne pouvais pas les laisser mourir"
Aujourd'hui, Titi et Titi, c'est leurs noms, sont en liberté sur les terres de Cécile. Des terres cernées de clôtures électriques habituellement réservées aux élevages de taureaux. "Mais cette liberté durera-t-elle", s'interroge Cécile qui vient d'être convoquée à la gendarmerie de Pernes-les-Fontaines car il est interdit d'adopter un animal sauvage.
"Je sais que c'est interdit, mais je n'ai pu les laisser mourir. Sans être une illuminée des bêtes, j'aime les animaux je leur parle et ils me rendent leur affection. Mes deux Titi sont totalement apprivoisés. Ils reconnaissent les visiteurs, sont sensibles au bruit des voitures qu'ils connaissent. Ils jouent avec mon âne, ils ont essayé de téter ma chienne, regardez, je les appelle, ils viennent". Effectivement dès leur nom prononcé, les deux marcassins au pelage encore rayé, s'approchent en grommelant.
Effrayée à l'idée qu'on puisse lui enlever ses "bébés", Cécile précise qu'elle a tout tenté pour essayer de les placer : "J'ai appelé les parcs animaliers, ils n'en ont pas voulu car ils avaient été au contact de l'homme. J'ai appelé des fermes pédagogiques, impossible car ils n'ont pas subi de contrôle vétérinaire. J'ai même joint la fondation Brigitte Bardot, rien n'y a fait".
"Que va-t-il advenir de leur sort ?", s'interroge l'amie des bêtes, inquiète. " Généralement, les marcassins sont euthanasiés. Dans ce cas, mes trois enfants vivraient un drame. Je ne suis pas contre le fait qu'ils soient replacés, mais je ne veux pas qu'ils soient abattus."poursuit-elle espérant une éventuelle autorisation préfectorale qui lui permettrait de conserver les deux marcassins.
Une pétition destinée à soutenir le combat de Cécile pour sauver les deux adoptés a été déposée auprès des commerçants de Velleron et un compte facebook "Zanetti sanglier" créé.
http://www.laprovence.com/article/a-la-une/velleron-elle-se-bat-pour-sauver-ses-deux-marcassins
Sur le chemin de la Jardine, cette propriété abrite une véritable arche de Noé. Arche qui fait le bonheur des enfants, des promeneurs, voire des personnes âgées qui se plaisent à venir en balade donner un morceau de pain à cette sympathique ménagerie.
Toujours prompte à accueillir de nouveaux pensionnaires, Céline est devenue la "maman" de deux petits marcassins. "Nous étions au mois de septembre. Un chasseur me les a apportés, leur mère ayant été abattue. Ils n'étaient pas plus gros que le poing. Avec mes enfants, nous les avons nourris au biberon".
"Je ne pouvais pas les laisser mourir"
Aujourd'hui, Titi et Titi, c'est leurs noms, sont en liberté sur les terres de Cécile. Des terres cernées de clôtures électriques habituellement réservées aux élevages de taureaux. "Mais cette liberté durera-t-elle", s'interroge Cécile qui vient d'être convoquée à la gendarmerie de Pernes-les-Fontaines car il est interdit d'adopter un animal sauvage.
"Je sais que c'est interdit, mais je n'ai pu les laisser mourir. Sans être une illuminée des bêtes, j'aime les animaux je leur parle et ils me rendent leur affection. Mes deux Titi sont totalement apprivoisés. Ils reconnaissent les visiteurs, sont sensibles au bruit des voitures qu'ils connaissent. Ils jouent avec mon âne, ils ont essayé de téter ma chienne, regardez, je les appelle, ils viennent". Effectivement dès leur nom prononcé, les deux marcassins au pelage encore rayé, s'approchent en grommelant.
Effrayée à l'idée qu'on puisse lui enlever ses "bébés", Cécile précise qu'elle a tout tenté pour essayer de les placer : "J'ai appelé les parcs animaliers, ils n'en ont pas voulu car ils avaient été au contact de l'homme. J'ai appelé des fermes pédagogiques, impossible car ils n'ont pas subi de contrôle vétérinaire. J'ai même joint la fondation Brigitte Bardot, rien n'y a fait".
"Que va-t-il advenir de leur sort ?", s'interroge l'amie des bêtes, inquiète. " Généralement, les marcassins sont euthanasiés. Dans ce cas, mes trois enfants vivraient un drame. Je ne suis pas contre le fait qu'ils soient replacés, mais je ne veux pas qu'ils soient abattus."poursuit-elle espérant une éventuelle autorisation préfectorale qui lui permettrait de conserver les deux marcassins.
Une pétition destinée à soutenir le combat de Cécile pour sauver les deux adoptés a été déposée auprès des commerçants de Velleron et un compte facebook "Zanetti sanglier" créé.
http://www.laprovence.com/article/a-la-une/velleron-elle-se-bat-pour-sauver-ses-deux-marcassins
samedi 4 février 2012
Une crèche des Pays-Bas accueille des bébés phoques échoués
Ils sont de plus en plus nombreux à arriver dans ce centre où ils sont soignés et nourris...
Marco, 8 mois, reprend des forces à grand renfort de «porridge de poisson»: il est l'un des 351 bébés phoques recueillis, affamés et transis, par les bénévoles de la «crèche» de Pieterburen, aux Pays-Bas, qui se disent inquiets de l'afflux de ces mammifères marins. «Il y a eu une énorme augmentation, à la suite des récentes tempêtes», raconte à l'AFP Karst van der Meulen qui dirige avec son épouse Lenie t'Hart le plus grand et le plus ancien centre d'accueil pour bébés phoques des Pays-Bas, près de Groningue, tout au nord du pays.
Les bébés phoques sont ramenés au centre, ouvert depuis 1971, par des promeneurs qui les ont découverts échoués sur des plages où ils ne peuvent survivre seuls. A leur arrivée à la crèche, ils sont placés plusieurs jours en quarantaine avant d'être installés dans des cages et des bassins. Les bébés phoques les plus costauds séjournent en plein air et paressent sous le soleil d'hiver au bord des bassins. Monique Versloot, 41 ans, une soigneuse d'un zoo d'Amsterdam, fait partie de la soixantaine de bénévoles venus donner un coup de main aux quarante employés, débordés. «Un jour, on a eu dix-sept nouveaux arrivants, on était très occupés», raconte Manon Chauveau, une étudiante française en biologie marine, en montrant la cicatrice sur son doigt, trace laissée par un bébé phoque en colère.
Marco, qui partage une cage avec Chencho, un autre mâle, et Martijn, une femelle, va bien désormais. Il a été tatoué et retournera à la mer dans deux à trois mois. «Quand il est arrivé, il ne voulait rien manger, il était complètement à plat», se souvient Lise Lotte, 26 ans, une salariée de la crèche, en enfournant un hareng dans le gosier d'un bébé phoque. «Regardez-le maintenant. Il mange tout seul et devient plutôt bagarreur, ça montre qu'il va mieux».
http://www.20minutes.fr/article/864882/creche-pays-bas-accueille-bebes-phoques-echoues
Marco, 8 mois, reprend des forces à grand renfort de «porridge de poisson»: il est l'un des 351 bébés phoques recueillis, affamés et transis, par les bénévoles de la «crèche» de Pieterburen, aux Pays-Bas, qui se disent inquiets de l'afflux de ces mammifères marins. «Il y a eu une énorme augmentation, à la suite des récentes tempêtes», raconte à l'AFP Karst van der Meulen qui dirige avec son épouse Lenie t'Hart le plus grand et le plus ancien centre d'accueil pour bébés phoques des Pays-Bas, près de Groningue, tout au nord du pays.
La crèche affiche complet
Au cours des deux premières semaines de l'année, plus d'une centaine de bébés phoques, âgés de moins d'un an, ont été recueillis sur les plages du nord des Pays-Bas. Avec désormais 351 pensionnaires, contre 150 par an en moyenne, le centre est au bord de l'asphyxie, une tente a dû être montée pour accueillir les nouveaux arrivants. «Lorsque Marco est arrivé ici, il ne pesait que 19,3 kilos», soit la moitié à peine de son poids normal, explique Karst van der Meulen. «Il était frigorifié, affamé, déshydraté et ses poumons étaient infestés de parasites». Le petit phoque marron a été lavé et nourri. Il prend ses comprimés d'antibiotiques sans s'en apercevoir: au début, ils étaient écrasés dans son «porridge de poisson», du hareng mixé avec de l'eau. Ils sont désormais cachés dans les entrailles des harengs qu'il avale tout rond lors de ses trois ou quatre repas quotidiens.Les bébés phoques sont ramenés au centre, ouvert depuis 1971, par des promeneurs qui les ont découverts échoués sur des plages où ils ne peuvent survivre seuls. A leur arrivée à la crèche, ils sont placés plusieurs jours en quarantaine avant d'être installés dans des cages et des bassins. Les bébés phoques les plus costauds séjournent en plein air et paressent sous le soleil d'hiver au bord des bassins. Monique Versloot, 41 ans, une soigneuse d'un zoo d'Amsterdam, fait partie de la soixantaine de bénévoles venus donner un coup de main aux quarante employés, débordés. «Un jour, on a eu dix-sept nouveaux arrivants, on était très occupés», raconte Manon Chauveau, une étudiante française en biologie marine, en montrant la cicatrice sur son doigt, trace laissée par un bébé phoque en colère.
Pollution de l’eau et surpêche de leurs proies menaces les phoques
La hausse récente du nombre de bébés phoques poussés sur les plages par les dernières tempêtes est symptomatique des dangers croissants qui menacent les 5.000 mammifères marins vivant dans la mer des Wadden, classée au patrimoine mondial de l'Unesco, selon Karst van der Meulen. «Ces bébés viennent s'échouer sur les côtes parce qu'ils sont affaiblis, parce qu'ils sont moins résistants à cause du manque de nourriture et de la pollution croissante de l'eau», explique-t-il. La population de petits poissons dont ils se nourrissent exclusivement est décimée par la surpêche, tandis que les affluents de la mer du Nord, le Rhin et le Meuse, déversent toujours plus de produits toxiques, des pesticides notamment.Marco, qui partage une cage avec Chencho, un autre mâle, et Martijn, une femelle, va bien désormais. Il a été tatoué et retournera à la mer dans deux à trois mois. «Quand il est arrivé, il ne voulait rien manger, il était complètement à plat», se souvient Lise Lotte, 26 ans, une salariée de la crèche, en enfournant un hareng dans le gosier d'un bébé phoque. «Regardez-le maintenant. Il mange tout seul et devient plutôt bagarreur, ça montre qu'il va mieux».
http://www.20minutes.fr/article/864882/creche-pays-bas-accueille-bebes-phoques-echoues
vendredi 3 février 2012
Froid : les oiseaux vulnérables
Les hommes souffrent du froid, les oiseaux aussi. "Le gel et la neige, qui se sont abattus soudainement et durablement sur la France, menacent la survie des oiseaux", dit la Ligue de protection des oiseaux (LPO) dans un communiqué. L'association invite les particuliers à installer des mangeoires et à y placer des aliments riches en lipides qui leur permettront de reconstituer leurs réserves pour résister aux longues et froides nuits d'hiver. "Ce soutien ne doit durer que pendant l'hiver (de fin novembre à mi-mars) et plus particulièrement durant la vague de froid. Il ne devra pas se prolonger au-delà, sous peine de rendre les oiseaux dépendants", précise la ligue.
L'association demande également aux autorités "le déclenchement immédiat des protocoles national et départementaux gel prolongé", une activation qui facilite la prise de décisions rapides en matière de suspension de la chasse. "Même si la chasse aux oiseaux d'eau est fermée depuis le 31 janvier pour la majorité des espèces, le froid violent actuel affecte sensiblement les oiseaux terrestres (grives, pigeons et bécasse des bois) qui restent chassables jusqu'au 10 ou 20 février, selon les départements", ajoute la LPO.
Un temps menacée d'extinction, la loutre reconquiert la Bretagne
Sa bonne bouille et son caractère facétieux lui valent un grand capital sympathie du public: la loutre d'Europe, hier en voie d'extinction, reconquiert lentement les cours d'eau de Bretagne, bastion de cette espèce en France avec le Massif central.
Depuis une vingtaine d'années, la loutre recolonise petit à petit les berges des rivières, les zones humides et marais du littoral des quatre départements breton auxquels s'ajoutent la Loire-Atlantique, mais aussi les villes côtières où elle trouve nourriture et protection.
La loutre, solitaire et souvent nocturne, est si discrète qu'il est difficile d'estimer le nombre d'individus dans la péninsule bretonne. "Peut-être entre 600 et 1.000", annonce prudemment le Groupe mammalogique breton (GMB), association de protection de la nature au service des mammifères sauvages.
"Le domaine vital de l'animal est très vaste. Il varie en fonction de la ressource alimentaire et de la capacité énergétique de la loutre (à chasser). En eau douce, il faut compter entre 7 et 15 km de rive pour une femelle et 35 km pour un mâle", explique le naturaliste et président du GMB Xavier Grémillet.
La chasse et le piégeage (interdits en 1972), le drainage des zones humides, puis l'urbanisation, l'aménagement du littoral et la densification du réseau routier ont failli faire disparaître le gracieux lutriné - famille des petits carnivores mustélidés comme la belette, l'hermine, la fouine, ou le furet - protégé depuis 1976.
La loutre d'Europe, dont la répartition géographique s'étend à toute l'Eurasie (d'où son nom de loutre eurasienne) des côtes de l'Atlantique jusqu'aux îles indo-malaises, était déjà au bord de l'extinction à la fin des années 1940 en France.
"Elle était considérée comme nuisible et elle représentait une source d'enrichissement facile. A l'époque, la peau d'une loutre, équivalait au prix d'un vélo. C'était une ressource pour le rural qui savait piéger", explique Xavier Grémillet.
A la fin des années 1980, "la population de +lutra lutra+ (nom scientifique), n'était à peine plus d'un millier en France, principalement dans le Massif Central et en Bretagne", explique Franck Simmonet, chargé de mission mammifères semi-aquatiques au GMB.
Le petit carnivore au corps fuselé et aplati a survécu principalement dans des "isolats", des noyaux durs d'une centaine d'individus dans les Montagnes noires et les Monts d'Arrée (centre-Bretagne) et quelques uns sur la presqu'île de Crozon (Finistère), selon Franck Simmonet.
doté de pattes courtes et palmées, d'un pelage imperméable et isolant, et d'une queue puissante qui lui sert de gouvernail et de propulseur, le "kidour" en Breton (chien d'eau) est un animal parfaitement adapté à la vie aquatique et peu sensible à la pollution des eaux, souligne Xavier Grémillet.
"La loutre eurasienne" qui se nourrit également en mer "a été observée dans les îles de Molène et de Ouessant (au large du Finistère). Ce sont des jeunes qui ont traversé à la nage après avoir quitté leur mère", signale-t-il.
A Brest, le parc de découverte des océans Océanopolis investit 1,9 million d'euros dans la création de plus de 400 m2 d'espace pour présenter des lutrinés au public à partir de 2013, annonce son responsable du service mammifères marins et oiseux.
Il y aura "deux ou trois loutres du Pacifique qui sont des mammifères marins" d'Amérique du nord et "un couple de loutres eurasiennes dont on espère qu'il nous donnera des loutrons. Ce serait sympa!", conclut Sami Assani.
http://www.lepoint.fr/societe/un-temps-menacee-d-extinction-la-loutre-reconquiert-la-bretagne-28-01-2012-1424821_23.php
Depuis une vingtaine d'années, la loutre recolonise petit à petit les berges des rivières, les zones humides et marais du littoral des quatre départements breton auxquels s'ajoutent la Loire-Atlantique, mais aussi les villes côtières où elle trouve nourriture et protection.
La loutre, solitaire et souvent nocturne, est si discrète qu'il est difficile d'estimer le nombre d'individus dans la péninsule bretonne. "Peut-être entre 600 et 1.000", annonce prudemment le Groupe mammalogique breton (GMB), association de protection de la nature au service des mammifères sauvages.
"Le domaine vital de l'animal est très vaste. Il varie en fonction de la ressource alimentaire et de la capacité énergétique de la loutre (à chasser). En eau douce, il faut compter entre 7 et 15 km de rive pour une femelle et 35 km pour un mâle", explique le naturaliste et président du GMB Xavier Grémillet.
La loutre d'Europe, dont la répartition géographique s'étend à toute l'Eurasie (d'où son nom de loutre eurasienne) des côtes de l'Atlantique jusqu'aux îles indo-malaises, était déjà au bord de l'extinction à la fin des années 1940 en France.
"Elle était considérée comme nuisible et elle représentait une source d'enrichissement facile. A l'époque, la peau d'une loutre, équivalait au prix d'un vélo. C'était une ressource pour le rural qui savait piéger", explique Xavier Grémillet.
A la fin des années 1980, "la population de +lutra lutra+ (nom scientifique), n'était à peine plus d'un millier en France, principalement dans le Massif Central et en Bretagne", explique Franck Simmonet, chargé de mission mammifères semi-aquatiques au GMB.
Le petit carnivore au corps fuselé et aplati a survécu principalement dans des "isolats", des noyaux durs d'une centaine d'individus dans les Montagnes noires et les Monts d'Arrée (centre-Bretagne) et quelques uns sur la presqu'île de Crozon (Finistère), selon Franck Simmonet.
doté de pattes courtes et palmées, d'un pelage imperméable et isolant, et d'une queue puissante qui lui sert de gouvernail et de propulseur, le "kidour" en Breton (chien d'eau) est un animal parfaitement adapté à la vie aquatique et peu sensible à la pollution des eaux, souligne Xavier Grémillet.
"La loutre eurasienne" qui se nourrit également en mer "a été observée dans les îles de Molène et de Ouessant (au large du Finistère). Ce sont des jeunes qui ont traversé à la nage après avoir quitté leur mère", signale-t-il.
A Brest, le parc de découverte des océans Océanopolis investit 1,9 million d'euros dans la création de plus de 400 m2 d'espace pour présenter des lutrinés au public à partir de 2013, annonce son responsable du service mammifères marins et oiseux.
Il y aura "deux ou trois loutres du Pacifique qui sont des mammifères marins" d'Amérique du nord et "un couple de loutres eurasiennes dont on espère qu'il nous donnera des loutrons. Ce serait sympa!", conclut Sami Assani.
http://www.lepoint.fr/societe/un-temps-menacee-d-extinction-la-loutre-reconquiert-la-bretagne-28-01-2012-1424821_23.php
jeudi 2 février 2012
mercredi 1 février 2012
mardi 31 janvier 2012
Trois rhinocéros blancs attendus jeudi au zoo d’Amnéville (57)
Trois rhinocéros blancs, un mâle et deux femelles, doivent arriver jeudi au zoo d’Amnéville (Moselle) en provenance d’une ferme d’élevage d’Afrique du Sud, a annoncé mardi le parc animalier lorrain.
Deux autres rhinocéros devant être accueillis au zoo de La Boissière du Doré, près de Nantes, feront partie du voyage qui s’inscrit dans le cadre des programmes européens pour espèces en danger (EEP), a précisé le parc dans un communiqué.
Les cinq rhinocéros devaient quitter aujourd'hui l’Afrique du Sud pour rallier par avion Francfort (Allemagne) où ils seront examinés par une équipe de vétérinaires.
Ils seront ensuite transportés par camions en Moselle et en Loire-Atlantique.
Créés en 1985, les programmes européens EEP d’élevage et de conservation ont pour objectif de favoriser l’élevage d’espèces animales menacées avec, pour finalité, la réintroduction dans la nature de spécimens élevés en parcs zoologiques.
Ces programmes sont gérés par une association européenne qui regroupe 297 zoos et aquariums répartis dans 34 pays européens.
lundi 30 janvier 2012
dimanche 29 janvier 2012
Les manteaux pour animaux
Mettre un manteau à son chien, l'idée peut en déranger plus d'un. Mais que dire lorsque Rufo boude à mettre la truffe dehors les jours de pluie ? Selon ce site, six propriétaires de chiens sur dix (soit plus de la moitié !) ont déjà mis un manteau à leur chien. En tête des motivations : protéger son chien du froid, puis le garder au sec. La cause esthétique n'arrive qu'en dernière position des motivations. Parmi ceux qui s'y refusent, beaucoup d'entre eux trouvent cela ridicule... Alors, nécessité ou superflu ?
Différents modèles. Il en existe pour tous les goûts et pour toutes les humeurs, à tel point que le manteau pour animal est en passe de devenir un marché à part entière du secteur animalier ! Et de fait depuis quelques années, l'offre s'est diversifiée. Tout est fait pour le confort de nos fidèles animaux de compagnie : manteaux, imperméables, mais aussi pulls-over... On dépasse de loin, le modèle unique qui ressemble à une petite cape de pluie, ou encore le tapis matelassé que l'on voyait fréquemment sur le dos des caniches.
Mieux encore, si elle fait fureur chez les humains, la doudouneest également très tendance pour les chiens. Son prix dépend de la taille de votre chien. Comptez entre 20 et 45 euros pour cette doudoune dernier cri... Autre modèle original, le sweat à capuche, doté d'un petit col roulé. Idéal pour emmener votre toutou faire du sport par mauvais temps. L'avantage c'est qu'il est lavable en machine à 30°. En voici d'autres modèles ici.
Choisir la bonne taille. Vous trouverez ici,tous les renseignements pour choisir le bon modèle. Inutile de vous préciser qu'entre un basset nain et un rottweiler, il risque d'avoir une grande différence dans la taille du pull ou de l'imperméable.
Et les chats alors ? Les vêtements pour chats existent mais déclenchent nettement moins d'émulations que les manteaux pour chiens. Il faut savoir que cette idée est beaucoup moins répandue dans la mesure où les chats ne sont pas baladés en laisse, contrairement à leurs copains toutous. Difficile de trouver dans ces cas-là de vrais chats portant une doudoune ou un petit pull-over.
http://www.ma-news.com/Animaux_695/index.html
Différents modèles. Il en existe pour tous les goûts et pour toutes les humeurs, à tel point que le manteau pour animal est en passe de devenir un marché à part entière du secteur animalier ! Et de fait depuis quelques années, l'offre s'est diversifiée. Tout est fait pour le confort de nos fidèles animaux de compagnie : manteaux, imperméables, mais aussi pulls-over... On dépasse de loin, le modèle unique qui ressemble à une petite cape de pluie, ou encore le tapis matelassé que l'on voyait fréquemment sur le dos des caniches.
Mieux encore, si elle fait fureur chez les humains, la doudouneest également très tendance pour les chiens. Son prix dépend de la taille de votre chien. Comptez entre 20 et 45 euros pour cette doudoune dernier cri... Autre modèle original, le sweat à capuche, doté d'un petit col roulé. Idéal pour emmener votre toutou faire du sport par mauvais temps. L'avantage c'est qu'il est lavable en machine à 30°. En voici d'autres modèles ici.
Choisir la bonne taille. Vous trouverez ici,tous les renseignements pour choisir le bon modèle. Inutile de vous préciser qu'entre un basset nain et un rottweiler, il risque d'avoir une grande différence dans la taille du pull ou de l'imperméable.
Et les chats alors ? Les vêtements pour chats existent mais déclenchent nettement moins d'émulations que les manteaux pour chiens. Il faut savoir que cette idée est beaucoup moins répandue dans la mesure où les chats ne sont pas baladés en laisse, contrairement à leurs copains toutous. Difficile de trouver dans ces cas-là de vrais chats portant une doudoune ou un petit pull-over.
http://www.ma-news.com/Animaux_695/index.html
Le koala : La mascotte de l'Australie en danger
Ces deux dernières années, elle est partie à la rencontre des guépards en Namibie, des éléphants au Kenya, des ours bruns en Russie ou encore des gorilles en République du Congo. L'approche est la même : la réhabilitation des animaux, dont les territoires sont menacés par l'homme, dans leur milieu naturel.
Ce dimanche, Olivia Mokiejewski termine un cycle de sept émissions avec les koalas, animaux qu'on ne trouve qu'en Australie et qui font la fierté de ce pays, même s'ils sont en voie de disparition. « Leur population est passée de plusieurs millions il y a un siècle à moins de 100 000 aujourd'hui. Et le phénomène continue de s'aggraver dans certaines régions depuis quinze ans. D'ici une vingtaine d'années, ils pourraient disparaître totalement. »
Face à cette problématique, la position des autorités est ambivalente. « D'un côté, ils défendent les koalas qui sont la mascotte du pays en même temps qu'une importante source de revenus (800 millions de dollars générés par le tourisme), de l'autre, ils favorisent la spéculation immobilière sous la pression des lobbies. »
Les koalas ne sont pas seulement inquiétés par l'homme, ils sont aussi victimes du réchauffement climatique, des inondations, des feux de forêts et autres catastrophes naturelles ou encore la chlamydiose, maladie développée à cause du stress.
Ils peuvent heureusement compter sur le soutien de la population. « En Australie, ce ne sont pas des ONG ou de grandes organisations, mais les particuliers, le plus souvent bénévoles, qui se mobilisent. Il y a un système d'ambulances dédiées aux animaux en détresse et même des hôpitaux spécialisés pour koalas. » Preuve que les Australiens ont pleinement conscience de leur exceptionnelle biodiversité.
Reste qu'Olivia a eu droit à son lot de frayeurs. « Pour greffer une puce électronique sur un croco afin de suivre ses déplacements, il faut le harponner et l'épuiser. Mais il peut aussi retourner le bateau et là, il y a tous ses copains dans l'eau qui t'attendent…»
Si elle a toujours dans l’idée de vivre un jour dans une réserve, Olivia Mokiejewski sera de retour dans les prochains mois sur France 2 pour trois documentaires animaliers, ainsi qu’un magazine d’investigation en deuxième partie de soirée. http://www.francesoir.fr/people-tv/television-media/le-koala-la-mascotte-de-l-australie-en-danger-178780.html
SOS koalas, les orphelins du paradis, dimanche 29 janvier, 16 h 25
Ce dimanche, Olivia Mokiejewski termine un cycle de sept émissions avec les koalas, animaux qu'on ne trouve qu'en Australie et qui font la fierté de ce pays, même s'ils sont en voie de disparition. « Leur population est passée de plusieurs millions il y a un siècle à moins de 100 000 aujourd'hui. Et le phénomène continue de s'aggraver dans certaines régions depuis quinze ans. D'ici une vingtaine d'années, ils pourraient disparaître totalement. »
Les villes remplacent les forêts
Cette ardente militante de la cause environnementale s'est rendue dans la banlieue de Brisbane où vivent les koalas de plus en plus présents dans les champs et dans les villes. « Avant, la côte est était couverte de forêts d'eucalyptus, explique Olivia. Aujourd'hui, tout le monde veut y vivre. Il y a un conflit de territoire et les koalas se retrouvent coincés. »Face à cette problématique, la position des autorités est ambivalente. « D'un côté, ils défendent les koalas qui sont la mascotte du pays en même temps qu'une importante source de revenus (800 millions de dollars générés par le tourisme), de l'autre, ils favorisent la spéculation immobilière sous la pression des lobbies. »
Le soutien des bénévoles
Les koalas ne sont pas seulement inquiétés par l'homme, ils sont aussi victimes du réchauffement climatique, des inondations, des feux de forêts et autres catastrophes naturelles ou encore la chlamydiose, maladie développée à cause du stress.
Ils peuvent heureusement compter sur le soutien de la population. « En Australie, ce ne sont pas des ONG ou de grandes organisations, mais les particuliers, le plus souvent bénévoles, qui se mobilisent. Il y a un système d'ambulances dédiées aux animaux en détresse et même des hôpitaux spécialisés pour koalas. » Preuve que les Australiens ont pleinement conscience de leur exceptionnelle biodiversité.
Crocos préservés
La journaliste consacrera aussi une partie de l'émission aux crocodiles marins qui peuvent atteindre jusqu'à sept mètres de long. « Dans les années 1950, ils étaient en voie d'extinction. Les gens ont eu une prise de conscience. Aujourd'hui, la chasse est interdite. Apparus avant même les dinosaures, ils jouent un rôle important dans l'écosystème. »Reste qu'Olivia a eu droit à son lot de frayeurs. « Pour greffer une puce électronique sur un croco afin de suivre ses déplacements, il faut le harponner et l'épuiser. Mais il peut aussi retourner le bateau et là, il y a tous ses copains dans l'eau qui t'attendent…»
Si elle a toujours dans l’idée de vivre un jour dans une réserve, Olivia Mokiejewski sera de retour dans les prochains mois sur France 2 pour trois documentaires animaliers, ainsi qu’un magazine d’investigation en deuxième partie de soirée. http://www.francesoir.fr/people-tv/television-media/le-koala-la-mascotte-de-l-australie-en-danger-178780.html
SOS koalas, les orphelins du paradis, dimanche 29 janvier, 16 h 25
samedi 28 janvier 2012
vendredi 27 janvier 2012
jeudi 26 janvier 2012
mercredi 25 janvier 2012
mardi 24 janvier 2012
lundi 23 janvier 2012
dimanche 22 janvier 2012
samedi 21 janvier 2012
vendredi 20 janvier 2012
jeudi 19 janvier 2012
mercredi 18 janvier 2012
mardi 17 janvier 2012
Six pandas géants retrouvent leur liberté
Le centre des pandas de Chengdu, en Chine, va relâcher mercredi dans la nature six de ses pensionnaires...
Ce n’est pas encore totalement la vie sauvage, mais un environnement «demi-sauvage» qui attend six pandas géants chinois. Mercredi, ils vont être réintroduits dans leur milieu naturel après avoir passé plusieurs années en captivité dans le centre de Chengdu. De nombreuses célébrités chinoises et des politiques sont attendus pour cet événement, emblématique des efforts faits par la Chine pour réintroduire l’espèce dans la nature.
Tous âgés de deux à quatre ans, les pandas adolescents devraient être assez âgés pour se défendre et s’alimenter, mais pas encore trop vieux pour pouvoir s’adapter à leur nouveau mode de vie. Ceux qui passeront avec succès le test de survie dans la nature seront ensuite relâchés dans une vraie forêt, loin de leurs anciens soigneurs. «La réussite de ces relâches ne pourra se voir que dans plusieurs générations, explique Qi Dunwu, scientifique du centre des pandas de Chengdu, car elle suppose que les pandas se reproduisent.»
http://www.20minutes.fr/article/857246/six-pandas-geants-retrouvent-liberte
Ce n’est pas encore totalement la vie sauvage, mais un environnement «demi-sauvage» qui attend six pandas géants chinois. Mercredi, ils vont être réintroduits dans leur milieu naturel après avoir passé plusieurs années en captivité dans le centre de Chengdu. De nombreuses célébrités chinoises et des politiques sont attendus pour cet événement, emblématique des efforts faits par la Chine pour réintroduire l’espèce dans la nature.
Une phase d’entraînement avant la vraie vie sauvage
Toutefois, de nombreux spécialistes sont sceptiques sur l’efficacité du projet: comment des pandas élevés par des humains peuvent-ils survivre seuls? En 2007, un mâle âgé de cinq ans, Xiang-Xiang, mourait moins d’un an après avoir été lâché dans la nature, lors d’un combat avec des mâles rivaux. Pour éviter cette fin fâcheuse, les vétérinaires vont cette fois soumettre les six animaux à une phase d’entraînement dans une zone de vingt hectares qu’ils ont surnommé la «Vallée des pandas». Ils pourront y garder un œil sur Yingying, Zhizhi, Qiqi, les jumeaux Xingrong et Xingya, et Gongzai, les six pandas sélectionnés pour l’aventure.Tous âgés de deux à quatre ans, les pandas adolescents devraient être assez âgés pour se défendre et s’alimenter, mais pas encore trop vieux pour pouvoir s’adapter à leur nouveau mode de vie. Ceux qui passeront avec succès le test de survie dans la nature seront ensuite relâchés dans une vraie forêt, loin de leurs anciens soigneurs. «La réussite de ces relâches ne pourra se voir que dans plusieurs générations, explique Qi Dunwu, scientifique du centre des pandas de Chengdu, car elle suppose que les pandas se reproduisent.»
http://www.20minutes.fr/article/857246/six-pandas-geants-retrouvent-liberte
lundi 16 janvier 2012
dimanche 15 janvier 2012
samedi 14 janvier 2012
vendredi 13 janvier 2012
Un aigle royal sauvé par un employé municipal
Un employé du service technique de la commune des Houches a fait une découverte inattendue en fin de journée, ce vendredi.
Au cours du déneigement sur la route de Montvaut, il croit apercevoir une buse blessée sur une moraine en bordure de route. Il décide alors de prévenir les pompiers de Servoz, lesquels assistés d’un collègue volontaire des Houches, ont l’extraordinaire surprise de découvrir, non pas un simple rapace meurtri, mais un aigle royal.
Le rapace découvert dans un état inquiétant semble à bout de force et ne se tient plus debout, ce qui permet d’ailleurs, aux pompiers de le transférer sans problème dans une cage qu’ils apporteront à la caserne de Servoz. Alerté, le lieutenant de louveterie de Passy, Jacques Tony, découvre finalement un aigle royal revigoré par le chaud.
Plusieurs hypothèses sont envisagées, le rapace a pu être blessé au cours de la tempête de jeudi soir ou par une ligne électrique présente à cet endroit.
L’Office national de la chasse à Annecy est venu le récupérer pour le transférer à Lons-le-Saunier (Jura), où il sera examiné et soigné si besoin est.
Pensant qu’il s’agit de l’un des deux aigles royaux du secteur de Pormenaz, espérons que l’oiseau pourra être très prochainement relâché pour rejoindre son ou sa compagne.
http://www.ledauphine.com/haute-savoie/2012/01/07/un-aigle-royal-sauve-a-servoz
Au cours du déneigement sur la route de Montvaut, il croit apercevoir une buse blessée sur une moraine en bordure de route. Il décide alors de prévenir les pompiers de Servoz, lesquels assistés d’un collègue volontaire des Houches, ont l’extraordinaire surprise de découvrir, non pas un simple rapace meurtri, mais un aigle royal.
Le rapace découvert dans un état inquiétant semble à bout de force et ne se tient plus debout, ce qui permet d’ailleurs, aux pompiers de le transférer sans problème dans une cage qu’ils apporteront à la caserne de Servoz. Alerté, le lieutenant de louveterie de Passy, Jacques Tony, découvre finalement un aigle royal revigoré par le chaud.
Plusieurs hypothèses sont envisagées, le rapace a pu être blessé au cours de la tempête de jeudi soir ou par une ligne électrique présente à cet endroit.
L’Office national de la chasse à Annecy est venu le récupérer pour le transférer à Lons-le-Saunier (Jura), où il sera examiné et soigné si besoin est.
Pensant qu’il s’agit de l’un des deux aigles royaux du secteur de Pormenaz, espérons que l’oiseau pourra être très prochainement relâché pour rejoindre son ou sa compagne.
http://www.ledauphine.com/haute-savoie/2012/01/07/un-aigle-royal-sauve-a-servoz
jeudi 12 janvier 2012
mercredi 11 janvier 2012
mardi 10 janvier 2012
lundi 9 janvier 2012
dimanche 8 janvier 2012
samedi 7 janvier 2012
vendredi 6 janvier 2012
jeudi 5 janvier 2012
mercredi 4 janvier 2012
mardi 3 janvier 2012
Des vétérinaires au chevet des chiens de chasse grièvement blessés
« C’est vrai, il y a des dimanches soir, ici c’est quelque chose… » Du sang, des cris, des gens inquiets. Mais aujourd’hui, nous sommes jeudi et Laurent Brisbois, vétérinaire spécialisé chiens et chats à la clinique vétérinaire du Clairmatin, à Bourg-en-Bresse, n’a pas un emploi du temps trop chargé.
Ces dimanches dont il parle, ce sont les jours de chasse, de battues. La clinique a alors l’apparence d’un hôpital militaire en temps de guerre, et il doit parfois faire appel à un collègue pour faire face à l’arrivée de chiens blessés par les sangliers.
« On fait de la chirurgie de guerre. On détermine d’abord un ordre de priorité pour soigner les plus gravement touchés. On anesthésie et on fait de la couture. »
Les blessures causées par les défenses des sangliers ou par les morsures des femelles peuvent être très graves. Des muscles percés surtout. « La semaine dernière, j’en ai soigné un où la blessure était si profonde qu’on voyait le cœur battre. »
Et les chasseurs doivent avoir le leur bien accroché quand Laurent Brisbois leur demande un coup de main pour maintenir le chien. « Heureusement, les chiens courants, comme les beagles ou les anglo-français, sont plutôt d’un naturel sociable, les teckels c’est tout ou rien. » Ensuite, la soirée peut être longue, le vétérinaire peut passer facilement deux heures sur une victime.
« Il y a le nombre de chiens, mais il faut aussi plusieurs trousses de soins. » Après la couture, c’est souvent, pour les chiens, une bonne nuit à la clinique pour se remettre de l’anesthésie dans l’une des 17 cages qui leur sont réservées.
Ce jeudi, René Tarrare, un chasseur de Villereversure, revient avec Clovis, un anglo-français affublé d’une belle collerette pour l’empêcher de lécher sa plaie. Il y a une quinzaine de jours, il a été sérieusement touché à l’intérieur de la cuisse par un sanglier. Depuis, la blessure s’est rouverte quand Clovis a sauté une clôture.
Aujourd’hui, les soins seront légers. « Il est un peu âgé et une anesthésie, ça fatigue, on va se contenter de continuer à soigner sa plaie avec de la poudre… » La blessure semble impressionnante, mais Clovis est solide. « C’est la troisième fois que je l’amène cette année après des blessures d’un sanglier.
J’ai déjà déboursé 2 200 euros, un chien comme lui, ça vaut 3 000 euros », explique René. Son épouse en profite pour glisser une petite question au véto. « Le chocolat c’est dangereux pour les chiens ? Il a attaqué une plaquette. » Laurent Brisbois est rassurant. « En dessous de 100 grammes pour un chien de 10 kilos, pas de troubles. De toute façon, des symptômes nerveux seraient apparus avec des convulsions impressionnantes. »
Clovis va à peu près bien, il va continuer à se remettre avec un petit traitement à base d’anti-inflammatoires. Sa saison de chasse est terminée. Mais en quittant la clinique, il frétille devant le vétérinaire. Comme s’il savait que s’il retourne un jour au sanglier, ce sera grâce à lui.
http://www.leprogres.fr/ain/2011/12/26/des-veterinaires-au-chevet-des-chiens-de-chasse-grievement-blesses
Ces dimanches dont il parle, ce sont les jours de chasse, de battues. La clinique a alors l’apparence d’un hôpital militaire en temps de guerre, et il doit parfois faire appel à un collègue pour faire face à l’arrivée de chiens blessés par les sangliers.
« On fait de la chirurgie de guerre. On détermine d’abord un ordre de priorité pour soigner les plus gravement touchés. On anesthésie et on fait de la couture. »
Les blessures causées par les défenses des sangliers ou par les morsures des femelles peuvent être très graves. Des muscles percés surtout. « La semaine dernière, j’en ai soigné un où la blessure était si profonde qu’on voyait le cœur battre. »
Et les chasseurs doivent avoir le leur bien accroché quand Laurent Brisbois leur demande un coup de main pour maintenir le chien. « Heureusement, les chiens courants, comme les beagles ou les anglo-français, sont plutôt d’un naturel sociable, les teckels c’est tout ou rien. » Ensuite, la soirée peut être longue, le vétérinaire peut passer facilement deux heures sur une victime.
« Il y a le nombre de chiens, mais il faut aussi plusieurs trousses de soins. » Après la couture, c’est souvent, pour les chiens, une bonne nuit à la clinique pour se remettre de l’anesthésie dans l’une des 17 cages qui leur sont réservées.
Ce jeudi, René Tarrare, un chasseur de Villereversure, revient avec Clovis, un anglo-français affublé d’une belle collerette pour l’empêcher de lécher sa plaie. Il y a une quinzaine de jours, il a été sérieusement touché à l’intérieur de la cuisse par un sanglier. Depuis, la blessure s’est rouverte quand Clovis a sauté une clôture.
Aujourd’hui, les soins seront légers. « Il est un peu âgé et une anesthésie, ça fatigue, on va se contenter de continuer à soigner sa plaie avec de la poudre… » La blessure semble impressionnante, mais Clovis est solide. « C’est la troisième fois que je l’amène cette année après des blessures d’un sanglier.
J’ai déjà déboursé 2 200 euros, un chien comme lui, ça vaut 3 000 euros », explique René. Son épouse en profite pour glisser une petite question au véto. « Le chocolat c’est dangereux pour les chiens ? Il a attaqué une plaquette. » Laurent Brisbois est rassurant. « En dessous de 100 grammes pour un chien de 10 kilos, pas de troubles. De toute façon, des symptômes nerveux seraient apparus avec des convulsions impressionnantes. »
Clovis va à peu près bien, il va continuer à se remettre avec un petit traitement à base d’anti-inflammatoires. Sa saison de chasse est terminée. Mais en quittant la clinique, il frétille devant le vétérinaire. Comme s’il savait que s’il retourne un jour au sanglier, ce sera grâce à lui.
http://www.leprogres.fr/ain/2011/12/26/des-veterinaires-au-chevet-des-chiens-de-chasse-grievement-blesses
lundi 2 janvier 2012
dimanche 1 janvier 2012
L'histoire a tenu en haleine la Dordogne pendant plusieurs semaines, et aujourd'hui encore, on ignore l'épilogue. Mais où est passé Zouzou le renardeau ? Depuis le 8 juillet, l'animal a mystérieusement disparu.
Ce jour-là, les gardes de l'office national de la chasse devaient venir chercher Zouzou au domicile de la famille Delanes à Gardonne (Dordogne). Ainsi en avait décidé trois jours plus tôt le tribunal de Bergerac, qui avait ordonné la confiscation de l'animal le temps que les propriétaires du bébé renard se mettent en règle et obtiennent un certificat pour le détenir.
Depuis un an, Didier Delanes et sa femme Anna-Paul s'occupaient à temps plein du renardeau. Didier Delanes avait trouvé ce bébé renard en avril 2010, au bord de la route, sur le cadavre de sa mère ; et l'avait emporté pour l'élever. Début mars, l'office national de la chasse avait découvert l'animal, et engagé les poursuites classiques dans ce cas : élever un tel animal sauvage est interdit.
Une décision que les Delanes ne comprenait pas. Il est doux "comme un chien", expliquait la famille en avril. "Je ne comprends pas qu'on m'empêche de garder un renard, alors que des gens ont le droit d'avoir des pythons chez eux", pestait aussi Didier. Un comité de soutien s'était alors créé, une pétition circulait dans le village. Un groupe Facebook réunit aujourd'hui plus de 10.000 membres.
Alors, où est passé le renardeau ? Le jour où les gardes de l'office national de la chasse étaient attendus pour le ramener, "quelqu'un l'avait pris dans la nuit", selon Didier Delanes. Fin août, les maîtres de Zouzou ont engagé un nouvel avocat, Me Patrice Guillon. L'homme n'est pas un inconnu. C'est lui qui, début juillet, avait réussi à faire relaxer Jean-Claude Martin, le propriétaire de Juliette, une laie de la Drôme, dans une histoire qui ressemble étrangement à celle vécue par la famille de Gardonne.
http://www.sudouest.fr/2011/12/14/le-plus-recherche-de-l-annee-wanted-zouzou-un-bebe-renard-581054-4776.php
Ce jour-là, les gardes de l'office national de la chasse devaient venir chercher Zouzou au domicile de la famille Delanes à Gardonne (Dordogne). Ainsi en avait décidé trois jours plus tôt le tribunal de Bergerac, qui avait ordonné la confiscation de l'animal le temps que les propriétaires du bébé renard se mettent en règle et obtiennent un certificat pour le détenir.
Depuis un an, Didier Delanes et sa femme Anna-Paul s'occupaient à temps plein du renardeau. Didier Delanes avait trouvé ce bébé renard en avril 2010, au bord de la route, sur le cadavre de sa mère ; et l'avait emporté pour l'élever. Début mars, l'office national de la chasse avait découvert l'animal, et engagé les poursuites classiques dans ce cas : élever un tel animal sauvage est interdit.
Une décision que les Delanes ne comprenait pas. Il est doux "comme un chien", expliquait la famille en avril. "Je ne comprends pas qu'on m'empêche de garder un renard, alors que des gens ont le droit d'avoir des pythons chez eux", pestait aussi Didier. Un comité de soutien s'était alors créé, une pétition circulait dans le village. Un groupe Facebook réunit aujourd'hui plus de 10.000 membres.
Alors, où est passé le renardeau ? Le jour où les gardes de l'office national de la chasse étaient attendus pour le ramener, "quelqu'un l'avait pris dans la nuit", selon Didier Delanes. Fin août, les maîtres de Zouzou ont engagé un nouvel avocat, Me Patrice Guillon. L'homme n'est pas un inconnu. C'est lui qui, début juillet, avait réussi à faire relaxer Jean-Claude Martin, le propriétaire de Juliette, une laie de la Drôme, dans une histoire qui ressemble étrangement à celle vécue par la famille de Gardonne.
http://www.sudouest.fr/2011/12/14/le-plus-recherche-de-l-annee-wanted-zouzou-un-bebe-renard-581054-4776.php
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