jeudi 22 décembre 2016

Angoulême : les policiers s’occupent du caniche d’une femme hospitalisée

C’est la belle histoire du jour, elle s’est déroulée mercredi soir au commissariat d’Angoulême

La procédure est pourtant claire : tout animal dont le maître doit être hospitalisé est placé dans une cage et mis à l’extérieur. Mais les frimas de l’hiver ont eu raison du cœur tendre des policiers angoumoisins.
Mercredi vers 23h30, ils sont appelés par les pompiers qui interviennent chez une dame à La Couronne, tellement ivre qu’elle doit être hospitalisée. Or, cette dame à un caniche, un vieux blanc à l’œil qui coule. Bref, un de ceux qui attendriraient le plus dur des hommes.
Et c’est l’effet qui l’a eu sur les fonctionnaires qui n’ont pas respecté la procédure et l’ont ramené au commissariat, au chaud. Nourri et dorloté, il attend gentiment que sa maîtresse soit remise sur pied. A moins que par reconnaissance, il ne choisisse de s’engager dans la police !
http://www.sudouest.fr/2016/12/22/angouleme-les-policiers-s-occupent-du-caniche-d-une-femme-hospitalisee-3049156-813.php

mardi 15 novembre 2016

lundi 14 novembre 2016

Première sortie des rares bébés tigres de Sibérie au zoo de Besançon

hebergement d'image

Baïkal, Saïan et leur sœur Taïga sont sortis de leur tanière ce lundi. Ces trois bébés tigres de Sibérie, une espèce rare très menacée, ont été vus pour la première fois au zoo de Besançon, où ils sont nés le 29 septembre. Ils ont été manipulés pour la première fois par les soignants jeudi.
« Ils se portent très bien » et pèsent désormais plus de cinq kilos chacun, a indiqué à l’AFP Margaux Pizzo, responsable du Jardin zoologique de la Citadelle de Besançon.

Espèce classée en danger sur la liste rouge des espèces menacées

« Cette naissance est d’autant plus exceptionnelle que le père, Cliff, est doté d’un patrimoine génétique très intéressant, car très faiblement représenté dans la population captive des tigres de Sibérie en Europe », a-t-elle ajouté, soulignant « l’importance de préserver la diversité génétique de l’espèce ». D’autant plus que le tigre de Sibérie, qui compte environ 600 individus à l’état sauvage, est une espèce classée en danger sur la liste rouge des espèces menacées.
Le père est séparé de la portée par un grillage pour éviter qu’il ne porte atteinte aux tigreaux à l’épaisse fourrure, qui jouent gaiement avec la queue de leur mère. « Le mâle est calme et il ne semble pas agressif, mais nous préférons attendre que les petits soient plus costauds avant de les mettre en contact avec lui et ça dépendra de la manière dont la mère défend ses petits », a poursuivi Margaux Pizzo.
http://www.20minutes.fr/dossier/tigre

samedi 29 octobre 2016

Le Parc animalier en vedette dimanche soir sur TF1

Le Parc Animalier des Pyrénées ne cesse de faire parler de lui. Après son classement de 3ème plus beau Zoo/Parc de France par TripAdvisor en 2015, sa première place nationale comme meilleur site de loisirs animaux/nature par le magazine Ca m’intéresse cette saison, ce sont à présent les équipes d’Harry Roselmack, pour l’émission Sept à Huit qui ont fait une escapade dans nos Pyrénées pour le découvrir.
Un long reportage consacré à l’histoire de ce parc familial né de la passion débordante de ses créateurs, qui a su se démarquer par son authenticité, sa proximité avec l’animal sauvage, l’immersion totale des visiteurs dans le milieu naturel et la sauvegarde de la biodiversité par le biais de sa fondation.
Coup de projecteur particulier sur les deux écolodges insolites permettant de passer une nuit magique auprès des ours bruns ou des loups gris. Une attraction dont le succès ne se dément pas, mis en lumière par les caméras de TF1 dimanche soir.
http://www.ladepeche.fr/communes/argeles-gazost,65025.html

jeudi 27 octobre 2016

Effondrement de 58% des populations de vertébrés en 42 ans

Les populations de mammifères, poissons, oiseaux, amphibiens et reptiles dans le monde se sont effondrées de 58% en quarante deux ans (entre 1970 et 2012) et ce déclin va se poursuivre si nous ne faisons rien, alerte le WWF dans son rapport Planète vivante 2016.
"Que la biodiversité poursuive sa chute, et le monde naturel que nous connaissons aujourd'hui s'effondrera d'un seul tenant", avertit le directeur général du WWF International, Marco Lambertini, dans cet état des lieux de la planète.
"Le déclin subi par les populations d'espèces sauvages est de plus en plus préoccupant", souligne-t-il: "Il devrait atteindre en moyenne 67%" d'ici à 2020, si rien n'est fait pour enrayer la tendance.
"On est en train d'assister à une régression de la vie sur la planète dont nous sommes en partie responsables (...) c'est un facteur de risque majeur pour nous", relève Pascal Canfin, directeur général du WWF France.
Car "quand le vivant disparaît, c'est le capital naturel qui disparaît. Et si on détruit ce capital naturel, on détruit notre capacité à vivre sur la planète dans la durée".
"L'humanité se met (...) elle-même en danger", résume le WWF.
Le précédent rapport, paru en 2014, faisait état d'une chute de 52% des populations de vertébrés dans le monde entre 1970 et 2010.
Pour mesurer leur évolution, le WWF, en collaboration notamment avec la Société zoologique de Londres, a étudié 14.152 populations appartenant à 3.706 espèces vertébrées.
Particulièrement touchés, les animaux d'eau douce, dont les effectifs sont en chute libre: moins 81% en moyenne entre 1970 et 2012. Ils sont victimes de la surexploitation, parfois involontaire (quand ils sont pris accidentellement dans des filets) comme les dauphins de rivière, ainsi que de la perte et de la dégradation de leur habitat.
Les effectifs des espèces terrestres ont dégringolé de 38%. A cause du braconnage, le nombre d'éléphants d'Afrique, par exemple, a diminué de 111.000 individus depuis 2006, pour plafonner à 415.000, selon les dernières données.
Les populations des milieux marins ont chuté de 36%. Un tiers des espèces de requins et de raies sont désormais menacées d'extinction, essentiellement en raison de la surpêche.
Impact marginal du réchauffement
De manière générale, la menace la plus fréquemment subie par les populations en déclin est la perte ou la dégradation de leur habitat par les activités agricoles, l'exploitation forestière, l'extraction minière, les transports, la production d'énergie...
Autres causes: la surexploitation (chasse, pêche, braconnage...), la pollution (industries, urbanisation..), les espèces invasives, les maladies.
Le changement climatique n'a pour l'instant qu'un impact "relativement marginal (...) parce qu'on n'en est qu'à un degré de réchauffement" planétaire par rapport à l'ère préindustrielle, précise Pascal Canfin.
Mais si les températures s'emballent du fait des émissions de gaz à effet de serre, liées aux activités humaines, les scientifiques promettent des impacts dévastateurs pour l'homme et les écosystèmes, en raison d'inondations, sécheresses, tempêtes...
Dans quelques jours, la communauté internationale réunie pour une nouvelle conférence climat à Marrakech tentera de commencer à concrétiser l'engagement pris à la COP21, en décembre à Paris, de contenir le réchauffement "bien en deçà de 2 degrés".
Agir est d'autant plus urgent que depuis le début des années 1970, l'action de l'homme détériore le capital naturel à un rythme supérieur à celui de sa reconstitution.
"On puise dans notre capital naturel de plus en plus tôt", note M. Canfin.
Cette année, l'humanité vit "à crédit" depuis le 8 août, c'est-à-dire qu'elle avait déjà consommé à cette date la totalité des ressources que la planète peut renouveler en un an, selon l'ONG Global Footprint Network. En 2015, ce jour était survenu le 13 août, et en 1970, le 23 décembre.
Actuellement, l'humanité a besoin de l'équivalent de 1,6 planète.
Mais la population mondiale, de 7,4 milliards de personnes aujourd'hui, devrait atteindre 9,7 milliards en 2050. A cette date, à scénario constant, elle aura besoin de deux planètes.
"Les conséquences de la pression humaine sur l'environnement sont de mieux en mieux connues et observées", pourtant "il n'y a eu aucune réaction économique rationnelle", déplore le WWF, appelant à "un développement économique soutenable".
http://www.ladepeche.fr/actu/france/energie-environnement/

mercredi 21 septembre 2016

Ardennes: deux animaux euthanasiés après la chute d'un camion de cirque

Mardi 21 septembre, vers 23h30, un camion à double remorque du cirque s’est couché à hauteur du giratoire d’Aubrives. Deux animaux ont dû être euthanasiés.
Mardi 21 septembre, vers 23h30, un camion à double remorque du cirque s’est couché à hauteur du giratoire d’Aubrives, sur la départementale 8051. Le poids lourd transportait plusieurs animaux dont des chameaux, des dromadaires, des lamas et des zébus. Deux d’entre eux ont dû être euthanasiés par les services vétérinaires.
http://www.lunion.fr/node/806540

dimanche 28 août 2016

mercredi 24 août 2016

À Sedan, deux associations tentent de gérer les abandons de chats

L’association Canicat remarque un « été particulièrement catastrophique », pour les abandons de chatons. Pour SOS chats du Sedanais, « rien ne s’est amélioré depuis quinze ans ».
Dans la maison de Suzel Morelle, au Fond des buses, une dizaine de chatons sont soignés avec attention. « D’ici quinze jours si tout va bien, ils pourront être adoptés, précise la présidente de l’association SOS Chats du Sedanais. Durant les mois de l’été, on voit toujours arriver les chatons du printemps. » Une habitude pour Suzel Morelle, qui ne voit pas la situation s’améliorer depuis « quinze ans ».
Les bénévoles de l’association Canicat remarquent, quant à eux, une année « particulièrement catastrophique » pour les abandons de chats. Tout comme SOS chats du Sedanais, ils se retrouvent avec « des chatons récupérés dans les communes du secteur » et qu’il faut « biberonner ».
« Nous en avons biberonné huit, poursuit la vice-présidente de Canicat Sophie Moreau. Tous ont été replacés. Les gens nous appellent et nous disent que c’est notre boulot de récupérer toutes ces portées… Parfois, ce sont des menaces. On nous dit : Si vous ne venez pas les chercher, je les mets dehors !  »
http://www.lunion.fr/node/789377

La SPA ouvre l'un des plus grands refuges pour chevaux (Orne)

dimanche 14 août 2016

La guerre au sanglier est déclarée !

«C'était un énorme sanglier ! J'ai juste eu le temps de freiner pour l'éviter, s'emporte Jean-François, je l'ai échappé belle, si j'y tapais dedans, s'en était fini de ma voiture.» Jean-François a eu la peur de sa vie en rentrant chez lui dernièrement sur les coteaux de Lacroix-Falgarde. Or ce type de rencontre n'est pas rare en Haute-Garonne, au petit matin ou à la nuit tombée, sur les routes de nos campagnes et, désormais, d'entrées de villes. Avec hélas, des accidents plus ou moins graves à la clef, des conducteurs blessés, des sangliers fauchés. Un constat qui tend à se répéter en raison de la constante augmentation de la population de ces mammifères sauvages dans notre département depuis les années 70. De 1 500 sangliers tués en Haute-Garonne en moyenne ces années-là, les chasseurs en ont abattu plus de 5 000 l'an dernier...
Sébastien Déjean, responsable des services de la fédération de chasse de la Haute-Garonne explique cette prolifération : «Il y a deux facteurs qui expliquent cette augmentation. Tout d'abord un biotope qui s'y prête, en quelque sorte le sanglier a le gîte et le couvert. Ensuite, l'extension des zones urbaines qui sont non chassables. Il y trouve refuge. C'est notamment le cas le long de la Garonne, dans le secteur de Vieille Toulouse-Lacroix-Falgarde. Globalement la population est plutôt équitablement répartie en Haute-Garonne sauf dans le Lauragais où le sanglier est moins présent à cause des grandes zones agricoles où il peut difficilement se cacher. C'est tout de même moins significatif que dans l'Aude ou dans les Pyrénées-Orientales où la population de sangliers à plus que doublé.»

L'ouverture du sanglier avancée

Outre les accidents de la route, le sanglier provoque surtout des dégâts dans les cultures agricoles, voire les jardins, qu'il «laboure» allègrement. «Il cherche sa nourriture dans les cultures et occasionne des dégâts, poursuit Sébastien Déjean. Sans un bon prélèvement des chasseurs, la population peut se développer rapidement. Si cela ne suffit pas, on peut décider d'une battue administrative. On a en effectué une soixantaine l'année dernière.» Ces battues administratives peuvent avoir lieu à tout moment, suites à des dégâts. Cet été, la préfecture vient d'autoriser l'ouverture de la chasse au sanglier dès le 1er août au lieu de ce lundi 15 août avec pour objectif «d'augmenter la pression de chasse sur cette espèce».
Une décision qui ne déplaît pas au monde agricole. «J'ai eu environ 80 ares de dégâts dans mes cultures l'année dernière à cause des sangliers qui s'étaient installés dans mes cultures, surtout dans mes champs de maïs», se souvient Laurent Olivier, céréalier installé à Mauzac dans le Volvestre. «J'avais demandé une battue administrative qui est arrivée trop tard.» Lui aussi a remarqué l'augmentation des sangliers. «On en voit beaucoup plus depuis trois ou quatre ans. Mais ici les chasseurs sont vigilants et réactifs.» Un constat que fait également la fédération de chasse. «Nous avons encore des populations raisonnables ici dans le département», observe Sébastien Déjean, nous ne sommes pas encore dépassés par les événements.» Soyez tout de même prudent au volant : en Haute-Garonne vous êtes désormais sur le territoire des sangliers
http://www.ladepeche.fr/grand-sud/haute-garonne/

jeudi 2 juin 2016

Carnet rose: Un bébé panda est né en Belgique

Evénement au royaume de Belgique : un bébé panda est né dans la nuit de mercredi à jeudi dans le parc Pairi Daiza, au nord de Mons. Le parc animalier a annoncé cette naissance sur sa page Facebook et posté les premières photos du bébé minuscule d’une centaine de grammes, encore tout rose. La maman, Hao Hao, avait été inséminée en février dernier et sa grossesse avait pu être confirmée courant mai. De quoi rendre jaloux le parc français de Beauval, qui croise les doigts encore cette année pour que sa femelle panda donne naissance au premier bébé panda français
http://www.20minutes.fr/planete/panda/

samedi 21 mai 2016

samedi 14 mai 2016

Pays-Bas: Deux tigres s'échappent d'un refuge

Deux tigres se sont échappés ce samedi matin d'un refuge pour félins à Oldeberkoop, un village du nord des Pays-Bas, a indiqué la police locale sur son compte Twitter.
Des vétérinaires munis de fusils anesthésiants et des agents ainsi qu'un hélicoptère de la police sont intervenus sur place vers 10h45 pour capturer les deux félins. «Les riverains ont été mis au courant de la fuite des deux tigres», a précisé la police dans un autre tweet.
«Nous allons tenter de ramener les animaux sains et saufs vers le refuge», ont déclaré les forces de l'ordre, qui ont aperçu les deux tigres vers 11h.
Les deux tigres se sont échappés d'un refuge pour grands félins, où sont recueillis les animaux autrefois détenus par des zoos, des cirques ou des particuliers. Selon la police, il est possible que les animaux se soient échappés via une barrière ouverte, a indiqué l'agence de presse néerlandaise ANP.
http://www.20minutes.fr/dossier/tigres

dimanche 1 mai 2016

jeudi 28 avril 2016

Jura : qui veut la peau du lynx

L’alerte est venue d’Athenas, un centre de soins pour la faune sauvage situé non loin de Lons-le-Saunier, dans le Jura. Selon ce refuge, « entre le 10 septembre et le 31 décembre dernier, 25 % des femelles de lynx du Doubs et du Jura ont disparu ainsi que 80 % de leurs jeunes. Cette perte s’élève à 10 adultes et 16 jeunes au minimum, un nombre deux fois supérieur à la mortalité habituellement constatée pour cette espèce. » Depuis plusieurs mois, les naturalistes du Grand Est s’interrogent sur la ou les causes qui semblent altérer les effectifs du félin sur les reliefs du vieux karst jurassien, seul secteur où il est en situation viable en France avec environ une centaine d’individus répartis dans le massif. Les amis du prédateur s’inquiètent, car ils ont tous en tête le précédent vosgien et la campagne de réintroduction d’une vingtaine d’individus entre 1983 et 1993 sur les hauteurs de la Ligne Bleue. D’abord prometteuse, la démarche s’est avérée par la suite un échec : depuis 2015, l’animal n’a plus été repéré dans les Vosges, malgré un important suivi sur le terrain. Pour les militants locaux de l’animal, l’origine de la déconfiture se résume en un mot : braconnage. Il est vrai que dès les premiers lâchers en 1983, la Fédération des chasseurs du Haut-Rhin avait parlé « de coup de force antidémocratique ». Dans le Jura, le fauve était revenu par lui-même depuis la Suisse voisine où il avait été réintroduit dans les années 1970. Il y a fait souche. « Dans le massif vosgien, l’espèce est quasi éteinte. Elle a du mal à s’implanter dans les Alpes. Si la situation se dégrade dans le Jura, l’avenir du félin est compromis dans notre pays », commente Patrice Raydelet, président du Pôle Grands prédateurs à Lons-le-Saunier. Cette année pourtant, la reproduction a été bonne, comme a pu l’observer Didier Pépin, photographe naturaliste à La Planée, près de Malbuisson. Les chasseurs « pas hostiles » Alors quid du cri d’alarme d’Athenas ? « Tout laisse à penser qu’il y a eu des actes de braconnage. Une femelle n’abandonne pas ses petits et quand on les recueille, on ne constate jamais le cadavre de la mère à proximité. C’est une preuve à charge », soupire Patrice Raydelet. L’accusation fait bondir Christian Lagalice, patron de la Fédération de chasse du Jura : « Nous n’avons jamais été hostiles à la présence du lynx sur la haute chaîne jurassienne ! », affirme-t-il en évacuant d’emblée toute forme de braconnage et de polémique avec les écolos. « Le vrai problème est de savoir jusqu’à quelle limite il peut tenir sa place. » Pour le préciser, la Fédération de chasse du Jura va lancer sur plusieurs années une étude scientifique « qui doit permettre de déboucher sur une gestion objective de la population de lynx, ce que font d’ailleurs les Suisses. Il n’est pas question d’éradiquer l’espèce, mais d’aboutir à une gestion qui peut amener à réguler si un déséquilibre surgit dans les relations proies/prédateurs ». Christian Lagalice attribue les cas plus fréquents de mortalité de 2015, « aux conditions météo du printemps qui ont favorisé la reproduction de toutes les espèces de mammifères ». Bref, un phénomène naturel. Mais du lynx au loup, le sujet vire très vite à la foire d’empoigne. À l’inverse de l’Allemagne où un programme de réintroduction d’une vingtaine de spécimens dans le land de Rhénanie-Palatinat est engagé. « Une femelle a été capturée en Slovaquie, il faut encore lui trouver un mâle », souligne le naturaliste Lorrain Claude Kurtz, qui suit la démarche germanique côté français. En Allemagne, où le projet a mis plus de cinq ans pour aboutir à un consensus général, le premier lâcher devrait être effectué avant l’été.

http://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-ville/2016/04/28/jura-qui-veut-la-peau-du-lynx

dimanche 17 avril 2016

mercredi 30 mars 2016

Choc, le "chien-stup" de la police marseillaise, récompensé d'une médaille

A la brigade des stupéfiants de Marseille, c'est un véritable héros. Ce berger malinois de 9 ans vient d'être récompensé par la médaille d'honneur de la police nationale. Choc a débusqué pour 7,5 millions d'euros de drogue au cours de sa carrière.
N'importe quel fonctionaire de police rêverait d'avoir son palmarès. Le chien Choc a réalisé les plus belles saisies de drogue de la brigade des stupéfiants de Marseille. Son dernier exploit : 61 kilos de résine de cannabis découverts vendredi dernier dans le canapé d'un appartement du 3ème arrondissement de Marseille. Au cours de sa carrière, il a mis "la patte" sur 7,5 millions d'euros de drogue (dont 850 kilos de cannabis et 22 kgs de cocaïne) et sur 1,5 million d'euros d'argent liquide.

Grièvement blessé en protégeant son maître

Lors d'une intervention, Choc est grièvement blessé alors qu'il protège son maître qui se faisait attaquer par un Rottweiller. Ce mardi, lors d'une cérémonie officielle, il vient d'être décoré ce mardi à Marseille de la médaille d'honneur de la police nationale pour acte de courage et de dévouement, une médaille d'argent de premier échelon. Ce berger malinois de 9 ans devait prendre sa retraite cette année, mais vu ses exploits et sa grande forme sa carrière est prolongée d'une année.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes/bouches-du-rhone/marseille

lundi 28 mars 2016

Le Marineland d'Antibes assigné pour maltraitance animale

L'assignation de l'association écologiste Sea Shepherd vise les conditions dans lesquelles les orques et autres mammifères marins vivent ainsi que la façon dont le parc a géré les dommages consécutifs aux inondations d'octobre qui ont ravagé la Côte d'Azur.
L'association écologiste Sea Shepherd a dénoncé dimanche la réouverture du Marineland d'Antibes, et annoncé avoir assigné le plus grand parc d'attractions marin d'Europe pour "maltraitance animale" et "pollution volontaire". "Nous sommes contre le maintien d'orques en captivité car ce n'est tout simplement pas leur place", a déclaré à l'AFP Paul Watson, fondateur de l'ONG, spécialisée dans la défense des océans, parfois par des actions coup de poing controversées. L'association explique avoir assigné le parc devant le tribunal correctionnel et précise qu'une audience aurait lieu en septembre prochain.
Le parc était déjà visé par une enquête préliminaire ouverte après la plainte de trois associations françaises pour "actes de cruauté envers les animaux". L'assignation de Sea Shepherd vise les conditions dans lesquelles les animaux vivent ainsi que la façon dont le parc a géré les dommages consécutifs aux inondations d'octobre qui ont ravagé la Côte d'Azur, a précisé l'association. L'annonce de Sea Shepherd précédait un rassemblement dimanche après-midi devant le Marineland de quelque 250 manifestants, selon le décompte de la police.  Dénonçant "les conditions de vie en captivité des animaux sauvages dans les parcs zoologiques marins", ils ont déployé devant l'entrée une banderole invitant la direction à débattre de ces sujets, a constaté l'AFP.
La réponse du Marineland
Le Marineland est rouvert depuis lundi, après six mois de travaux en raison des dégâts provoqués par ces inondations meurtrières. De nombreux animaux sont morts après ces intempéries. Une semaine après les inondations, une orque, Valentin, 19 ans, a succombé selon la direction à une "torsion de l'intestin". Un nouveau directeur a été nommé et Marineland a annoncé une approche plus didactique, sans renoncer pour autant aux spectacles d'orques, toutes nées dans le parc.
Le Marineland a souligné dimanche dans un communiqué que "les conditions de bien-être des mammifères marins sont soigneusement et strictement contrôlées par plusieurs organisations et réglementations européennes et internationales". Le parc conteste les accusations de maltraitance, souligne que sa mission "première (est) le bien-être et la santé de (ses) animaux". Il explique ne pas avoir connaissance d'une enquête ouverte contre lui, ni de l'assignation en justice de Sea Shepherd mais se dit, le cas échéant, à "l'entière disposition de la justice". "Défendre la cause animale ne doit pas se limiter à l'attaque facile contre les delphinariums et ne peut se faire sans une approche attentive et documentée de la situation", souligne le parc.
 

lundi 21 mars 2016

Il exhibe un boa en pleine rue dans le centre de Toulouse

Les policiers ont interpellé dimanche vers 18 heures à Toulouse un homme de 28 ans qui se promenait avec un boa bébé dans une sacoche et qu'il venait d'exhiber place Wilson, a indiqué une source policière, confirmant une information de nos confrères de Côté Toulouse.

L'alerte avait été donné par des passants qui avaient constaté que l'homme montrait ce serpent à un groupe de personnes, place Wilson. A l'arrivée de la police, il a pris la fuite mais il a été vite rattrapé.

L'homme a été placé en garde à vue dimanche soir puis relâché lundi matin et son serpent, saisi, a été remis aux services vétérinaires. Il n'est pas interdit de posséder ce type d'animal mais en revanche on ne peut pas le montrer sur la voie publique. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/il-exhibe-un-boa-en-pleine-rue-dans-le-centre-de-toulouse-956597.html

jeudi 10 mars 2016

Marineland d'Antibes : trois associations portent plainte pour maltraitance animale

Une enquête va être ouverte concernant des cas de maltraitance animale au parc Marineland, à Antibes (Alpes-Maritimes). Selon Le Parisien, les associations Réseau Cétacés, C’est assez ! et l’Aspas (Association pour la protection des animaux sauvages) ont déposé une plainte commune contre le parc aquatique.

Des intempéries meurtrières

Le Marineland a été rudement touché par les intempéries en octobre dernier et le parc a dû fermer pendant plusieurs mois, le temps de réparer les installations ravagées. Il était censé rouvrir le 21 mars mais les associations de protection animale ne l’entendent pas de cette oreille. Selon elles, en plus des cas de maltraitances,  le milieu de vie des orques a été bouleversé par une vague de boue qui a bloqué les systèmes de filtration d’eau des bassins pendant plusieurs jours. De plus, des poissons, des requins, des tortues et une orque âgée de 19 ans sont morts quelques jours après le terrible déluge. Les responsables et les soigneurs du Marineland vont être entendus par la justice et devront se justifier à propos des pertes animales du mois d’octobre ainsi que des accusations de maltraitance.
http://www.ladepeche.fr/article/2016/03/10/2301243-marineland-d-antibes-trois-associations-portent-plainte-pour-maltraitance-animale.html

mardi 23 février 2016

Athéna, la chienne enterrée vivante et sauvée l'été dernier, est morte

Athéna, la chienne des Yvelines dont l’histoire avait beaucoup ému l’été dernier, est morte des suites de deux cancers dans la famille qui l’avait recueillie après son calvaire, rapporte Closer.
Cette femelle dogue de Bordeaux d’une dizaine d’années, lestée de cailloux et enterrée vivante, avait été retrouvée entre la vie et la mort par un promeneur le 1er août dernier. Le sauveur de l’animal, Pedro Dinis, avait ensuite été inondé sur les réseaux sociaux de messages de remerciement et de soutien.

Son maître sera jugé en mars

Quant au maître d’Athéna, il sera jugé en mars prochain pour acte de cruauté sur un animal et outrage sur une personne dépositaire de l’autorité publique. L’homme de 21 ans a toujours nié être responsable de ce qui était arrivé à sa chienne, expliquant qu’elle s’était enfuie.
Athéna, avait été soignée à la clinique vétérinaire de Levallois-Perret (Hauts-de-Seine) avant d’être confiée l’association SOS Dogues de Bordeaux. C’est finalement chez Jean-Pierre et Raymonde Delfosse, responsables de cette organisation, que l’animal a terminé sa vie.
http://www.20minutes.fr/dossier/faits_divers

Anacondas & Caïmans - duel au coeur du marais - animal fights

vendredi 19 février 2016

Elle se fait mordre par un renard en voulant le nourrir

"Maître Renard, par l’odeur alléché"… a manqué de lui arracher un œil. La fable de La Fontaine a bien failli tourner au cauchemar cette nuit pour deux campeurs niçois qui ne se sont pas assez méfiés des intentions du vil goupil.
Il était deux heures du matin dans l’abri-sous-roche qui se trouve tout près du refuge de la Cougourde, perché au-dessus du val du Haut-Boréon, quand l’animal s’est approché du bivouac. Sans doute attiré par les odeurs du reste de repas que s’étaient concocté les deux campeurs.
Mais, après avoir fait connaissance avec l’animal, à qui la jeune femme de 26 ans donnait un bout de pain, celui-ci s’est alors brusquement mis à la mordre au visage. Provoquant une large plaie sous l’œil droit de sa nourricière…
http://www.nicematin.com/sujet/faits-divers