mardi 29 décembre 2015

mardi 22 décembre 2015

samedi 27 juin 2015

vendredi 19 juin 2015

Félin le plus menacé du monde, le lynx ibérique victime des voitures en Espagne

Félin le plus menacé du monde, le lynx ibérique regagne du terrain en Espagne après avoir frôlé la disparition. Mais malgré une forte mobilisation pour sa survie, il affronte un ennemi inattendu: Les voitures.
C'est aujourd'hui la «plus grande menace» pesant sur l'espèce, estime l'organisation de protection de la nature WWF.
Le nombre de lynx écrasés a explosé ces dernières années, passant de 2 en 2008 à 22 en 2014, un record. Au total depuis 2002, 73 lynx sont morts sur les routes, d'après le décompte de l'organisation qui met en cause le manque d'entretien des voies.

Plan d'action signé avec un ministère

«C'est révoltant car le problème pourrait facilement être réglé», s'indigne Ramon Perez de Ayala, de WWF: Il faudrait selon lui poser des barrières, débroussailler les bas-côtés et sécuriser des passages naturels pour permettre la traversée des routes. Des travaux dont le coût atteindrait tout de même six millions d'euros.
«Avec l'excuse de la crise, on ne fait même pas les travaux d'entretien les plus basiques», accuse-t-il. Le ministère de l'Equipement assure pourtant à l'AFP «collaborer dans la lutte» contre les accidents. Début juin, il a signé un plan d'action avec le ministère de l'Agriculture.

Espèce en «danger critique»

A eux deux, le fléau des voitures et une maladie hémorragique touchant le lapin sauvage, principale proie du lynx ibérique, pourraient bien compromettre les chances de cette espèce d'en finir vite avec l'étiquette de «félin le plus menacé du monde».
Fourrure tachetée, les oreilles surmontées d'une touffe pointue de poils noirs, le lynx ibérique est le seul félin à figurer sur la liste rouge des espèces «en danger critique de disparition» de l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) - référence en la matière -, relève Catherine Numa, une représentante de l'UICN en Espagne.

http://www.20minutes.fr/planete/1635111-20150619-felin-plus-menace-monde-lynx-iberique-victime-voitures-espagne

mercredi 17 juin 2015

Un lion s'échappe du zoo et tue un homme

Un lion échappé dimanche du zoo de Tbilissi pendant les inondations qui ont ravagé la capitale géorgienne a tué un homme dans le centre-ville ce jour, a annoncé une porte-parole du ministère géorgien de l'Intérieur.

"Un lion du zoo de Tbilissi a tué un homme près de la place des Héros. Les forces spéciales sont déployées et traquent l'animal", a déclaré Nino Giorgobiani.

De nombreux animaux sont toujours en liberté dans les rues de la ville
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/06/17/97001-20150617FILWWW00126-un-lion-s-echappe-du-zoo-et-tue-un-homme.php

vendredi 12 juin 2015

Toulouse: Coincé dans le moteur d'une voiture, le chaton est sauvé par toute une rue

Ils s’y sont mis à plusieurs pour le sortir du pétrin dans lequel il s’était fourré. Un chaton a été sauvé jeudi par plusieurs habitants de la rue du Collège de Foix, près du Capitole, alertés par ses miaulements.
Agé de seulement quelques semaines, l’animal était coincé dans le moteur d’une voiture stationnée dans la rue depuis quelques jours rapporte La Dépêche du Midi dans son édition du jour.

Pris en charge par une association

Alors que la propriétaire du véhicule comptait partir sans sauver le chaton, les riverains ont réussi à la convaincre de les laisser intervenir raconte le quotidien régional. A coup de cric et d’huile de coude, ils ont sauvé la petite boule de poils, qui a été prise en charge immédiatement par un membre d’une association toulousaine qui sauve les chats errants.
http://www.20minutes.fr/toulouse/1629891-20150612-toulouse-coince-moteur-voiture-chaton-sauve-toute-rue

vendredi 5 juin 2015

Heureux événement au zoo de Paris : trois lionceaux ont vu le jour


Les premières images des lionceaux du Parc... par leparisien
Le Parc zoologique de Paris fête une bonne nouvelle : la naissance de trois lionceaux le 23 avril. Les deux petits mâles de 6,6 kg et la femelle de 5,4 kg se portent très bien et sont chouchoutés par leur mère, Aswad. « C'est une lionne habituellement douce avec les soigneurs. Depuis les naissances, on a du mal à les approcher, elle les protège beaucoup », explique au Parisien Aurélie Landet, chargée de communication du zoo. Les lionceaux, qui n’ont pas encore été nommés, feront leur première sortie en public dans une quinzaine de jours.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/06/04/2118062-heureux-evenement-zoo-paris-trois-lionceaux-ont-vu-jour.html

jeudi 4 juin 2015

Limoges : démantèlement d'un trafic de Ouistitis

Des primates vendus illégalement en France : un trafic de Ouistitis a été par les gendarmes de la brigade de recherches de Limoges et les agents de l'Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage. 4 personnes ont été interpellées le 3 juin 2015.
L'enquête aura été longue. Fin 2013, des Ouistitis à pinceaux blancs avaient été saisis lors d'une perquisition et depuis la brigade de recherches de la gendarmerie de Limoges et  l'Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage n'ont cessé de mener des investigations. Ces primates avaient été achetés par une personne habituée de ce genre de transactions, pour des ouistitis mais également pour une autre espèce de primate, le Tamarin Pinché.

Selon les éléments des enquêteurs, il s'agit là d'une filière structurée et spécialisée dans le trafic d'animaux


Le 3 juin 2015, 4 individus ont été ont été interpellés. Il s'agit de 4 personnes qui résident à Limoges et à Saint-Hilaire-Bonnevale (Haute-Vienne). Ces suspects ont reconnu avoir participé à des ventes illégales sur le territoire français, de primates protégés par la Convention de Washington. Ils ont été remis en liberté dans l'attente de poursuites judiciaires en fonction de leur degré d'implication dans cette affaire.
Au total ce sont 9 primates au moins qui auraient été ainsi vendus. 5 d'entres eux ont été saisis. Avec ce trafic, les malfaiteurs ont réalisé un bénéfice de 17500 euros.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/limousin/2015/06/04/limoges-demantelement-d-un-trafic-de-ouistitis-739377.html

dimanche 31 mai 2015

Australie : l'Etat du Queensland va déclarer le koala espèce vulnérable

L'Etat australien du Queensland s'apprête à classer parmi les espèces vulnérables, sur l'ensemble de son territoire, l'emblématique koala, victime de l'urbanisation, de la circulation automobile et des attaques de chiens.
Le koala était déjà au nombre des espèces vulnérables dans le sud-est du Queensland mais les autorités locales ont décidé d'étendre ce statut protecteur à la totalité de l'Etat. «Tout le monde aime les koalas et nous devons faire tout ce qui est en notre pouvoir pour les protéger, aujourd'hui et demain», ustifie dimanche la Première ministre de l'Etat, Annastacia Palaszczuk.
Infections à chlamydiae


A l'arrivée des premiers colons britanniques en 1788, les koalas étaient plus de 10 millions en Australie. Comme ils vivent haut perchés dans les arbres, leur nombre est difficile à évaluer mais une étude de 2011 évaluait leur population entre 45.000 et 100.000 individus. Outre la réduction de leur habitat et les prédateurs naturels, les koalas sont décimés par les infections à chlamydiae, une maladie sexuellement transmissible susceptible de provoquer la cécité et la stérilité.

Les koalas figurent également depuis 2002 sur les listes des espèces vulnérables du
gouvernement fédéral dans certaines parties des Etats de Nouvelle-Galles du Sud, du Queensland et de la capitale Canber

http://www.leparisien.fr/

samedi 30 mai 2015

JURA. Un loup formellement identifié dans la région de Saint-Amour

On voit le prédateur emportant un chat dans une vidéo, déclarée filmée à Balanod, qui tourne depuis quelques jours sur les réseaux sociaux.
Depuis plusieurs semaines, des bruits couraient du côté de Saint-Amour et de Balanod : un loup rôderait dans le secteur.
Une vidéo, déclarée filmée à Balanod, tourne depuis quelques jours sur les réseaux sociaux.
Selon nos informations, le grand prédateur a été formellement identifié par des spécialistes.


http://www.leprogres.fr/actualite/2015/05/29/un-loup-formellement-identifie-dans-la-region-de-saint-amour

vendredi 29 mai 2015

Perpignan : un taurillon s'échappe de l'abattoir et divague sur le secteur de l'aéroport

Ce matin peu après 8 heures, un taurillon qui devait être amené à l'abattoir sur le secteur de Torremilla à Perpignan se serait échappé et aurait divagué dans les champs alentours, semant le trouble sur son passage.
L'animal a finalement été  coincé et "parqué" sur le parking de l'aéroport avant de reprendre le chemin de l'abattoir. Son ultime destination.
http://www.lindependant.fr/2015/05/29/perpignan-un-torillon-s-echappe-de-l-abattoir-et-divague-sur-le-secteur-de-l-aeroport,2037340.php

mardi 26 mai 2015

samedi 23 mai 2015

Il gardait des lions et des tigres en cage à côté de sa maison

Cela fait une dizaine d’années que ce passionné d’animaux vivait en compagnie de deux lions et deux tigres. Personne n’en aurait peut-être rien su s’il n’avait pas pris lui-même contact avec les autorités.
A l’origine, cet habitant de Coubert en Seine-et-Marne avait acquis des bébés fauves en pensant les utiliser dans un cirque. Son projet n’avait pas abouti et il avait gardé les animaux. Les deux tigres et les deux lions jouaient avec ses enfants dans le jardin familial jusqu’à ce qu’ils deviennent trop puissants pour les laisser en liberté.
L’homme avait donc installé des cages de 8m2 dans un camion stationné sur sa propriété. Les animaux ne sortaient plus de cet espace bien trop petit pour leur gabarit. « Pas plus de huit mètres carrés pour chaque félin. Beaucoup trop exiguës pour un lion de 200kg ! C’est comme être en prison », témoigne un responsable de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage chez nos confrères du Nouvel obs.
Le propriétaire les a nourris chaque jour pendant plus de dix ans, en toute discrétion. Lorsqu’un ami lui a confié que cette situation n’était sûrement pas légale, il a appelé les autorités et reconnu être en infraction.
Le procureur adjoint de la République de Melun a accepté une remise spontanée des animaux sans poursuite judiciaire. Ne pouvant être accueillis sur le sol français, les animaux ont été évacués vers l’Espagne, où ils seront pris en charge par une association hollandaise.

Souvenez-vous de l’affaire du tigre de Seine-et-Marne…

Le propriétaire des animaux a affirmé que ses félins ne sortaient pas de leurs cages. Ses dires ne semblent pas mis en doute. On se souvient toutefois qu’une vaste chasse au tigre avait mobilisé les autorités et inquiété la France entière en novembre 2014.
Un « tigre » avait à l’époque été signalé du côté de Ferrières-en-Brie, à 19 km de Coubert… Au final, aucun félin de grande taille n’avait pu être trouvé et l’affaire avait conclu à l’existence d’un gros chat rôdant dans le secteur…
http://www.lunion.com/469870/article/2015-05-23/il-gardait-des-lions-et-des-tigres-en-cage-a-cote-de-sa-maison

vendredi 22 mai 2015

Un hameau envahi par les fourmis

Les habitants du hameau de «La Couaille» à Crégols ont décidé de réagir pour lutter contre une invasion récurrente de fourmis qui perturbent considérablement leur quotidien. Les dégâts sont réels et préoccupants. Une association a été créée pour mener la guerre aux fourmis et la gagner.
Des colonnes de fourmis progressant comme des bataillons organisés et indestructibles, un peuple d'insectes inarrêtables : ces images ont nourri nombre de films d'horreur. Dans un scénario moins catastrophe, depuis une quinzaine d'années, les habitants du hameau «La Couaille» à Crégols sont victimes d'invasion de fourmis dans leur maison.
Celles-ci pénètrent, envahissent les circuits électriques, provoquent des courts-circuits en s'agglutinant par milliers.
La crainte de risques d'incendie d'origine électrique qu'induit la présence de fourmis en masse dans différents appareils, y compris dans les véhicules (cartes électroniques), est bien réelle. Les habitants ont dépensé chaque année des sommes énormes en produits ou en s'acquittant du paiement des interventions de professionnels. Interventions plus ou moins efficaces, car malgré tout la colonie a continué de s'étendre. Des professeurs du CNRS à l'Université Paul Sabatier de Toulouse ont conclu sans équivoque qu'il s'agirait de la fourmi dite Lasius neglectus.
Dans l'Ardèche, la commune de Saint-Désirat connaît les mêmes péripéties.
En dépit de l'aide des services de la préfecture, du conseil général et du Sdis, l'invasion persiste et progresse d'année en année.

Une association de défense

Les habitants ont décidé de créer l'association «Autour des fourmis» dont l'action s'articulera autour de quatre grands axes : agir auprès des collectivités (préfecture du Lot, conseil régional Midi-Pyrénées, conseil départemental du Lot, communauté de communes de Lalbenque, communes du Lot) afin de les sensibiliser sur l'ampleur de l'invasion des fourmis dans les habitations et les cultures. Le but de l'association est aussi de communiquer à l'ensemble des adhérents le résultat des évolutions et surtout des recherches entreprises par les diverses collectivités ci-dessus mentionnées.
Les deux autres axes de travail sont la mise en commun des informations avec les autres villages et communes concernées, puis la volonté de se donner le maximum de moyens en saisissant toutes les collectivités territoriales et préfectorales, ainsi que les médias. Lucienne Fermy, maire de Crégols, assure de son soutien l'association et présentera celle-ci lors d'un prochain conseil municipal ainsi qu'au conseil de l'intercommunalité. Jean-Louis Arbouys, le président, vient d'envoyer le dossier à la préfecture.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/05/22/2109828-un-hameau-envahi-par-les-fourmis.html

mercredi 20 mai 2015

Baby-boom au parc animalier de Sainte-Croix

La saison des naissances est lancée au parc animalier de Sainte-Croix. A Rhodes, au cœur du pays de Sarrebourg, les mises bas ont débuté fin avril et se poursuivront jusqu’en juin.
Si certaines naissances sont courantes, comme dans la plaine des cerfs ou comme à la ferme où chèvres, lapins, moutons, poussins et canetons découvrent petit à petit la vie, d’autres arrivées sont plus rares. Comme celle d’un petit pélican frisé, près de « Terre des ours », né dans le cadre d’un programme européen de conservation. Mais c’est surtout le petit hydropote, aussi appelé cerf d’eau ou chevreuil des marais, qui retient l’attention actuelle des soigneurs. « Cela fait deux ans que nous n’avions pas eu de naissance, signale Jennifer Lahoreau, vétérinaire du parc animalier. Ce petit cervidé venu d’Asie est classé en statut vulnérable sur la liste rouge des espèces menacées par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). »
L’hydropote est en danger dans son environnement naturel, mais aussi en captivité. Peureux et peu spectaculaires, malgré les grandes canines des mâles, ces animaux ne sont pas très prisés des zoos. Dans le monde, seuls dix parcs les présentent.
D’autres bébés animaux vont arriver d’ici quelques semaines. Une louve noire est partie hier se cacher dans un terrier, signe probable d’une naissance prochaine. Cerfs, daims, aurochs, chouettes Harfang, marmottes, cigognes, loups gris, etc. compléteront une liste loin d’être exhaustive.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2015/05/20/la-saison-des-naissances-est-lancee-au-parc-animalier-de-sainte-croix

mardi 19 mai 2015

Des vols d'animaux à répétition dans le quartier de Gasseras

«Nous sommes plusieurs habitants du quartier de Gasseras à nous faire voler nos animaux de ferme depuis une quinzaine de jours (poules, moutons, chèvres…) De plus ces vols s'accompagnent de dégradations sur nos installations et d'actes de cruauté envers certains de ces animaux. On a retrouvé ainsi une poule égorgée mais vivante» s'indigne Florence Tosarelli.
Ce week-end, les «voleurs de poules» ont encore frappé chez Nicolas Barot, domicilié dans la même avenue. «Ils m'ont volé trois chevreaux samedi, dont deux le matin vers 10 heures 30 et le troisième vers 20 heures. Dix poules ont aussi disparu. Après avoir alerté la police, on a retrouvé les chevreaux sains et saufs dans la nuit de samedi et dimanche. Ils étaient parqués avec des palettes sur un terrain vague proche des rues Saint-Lys et Lani. Mais des volailles ont été massacrées.» Les propriétaires des animaux ont déposé plainte au commissariat de police de Montauban. Les enquêteurs disposent de précieux témoignages pour interpeller les auteurs de ces vols qui seraient des jeunes. Dans cette affaire, les victimes entendent également saisir la société protectrice des animaux.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/05/19/2107595-vols-animaux-repetition-quartier-gasseras.html

vendredi 15 mai 2015

Corinne doit retrouver ses biches en fuite avant ce soir

Suite à un glissement de terrain, la clôture de l'élevage de cervidés de Corinne Robin a cédé, entraînant l'échappée des animaux. Six manquent encore. L'élevage fait l'objet d'une mise en demeure par la préfecture.
Un véritable drame du cerf. Sans mauvais jeu de mots, la mésaventure essuyée par Corinne Robin ne prête guère à sourire. Il y a un peu plus d'un mois, suite à un glissement de terrain sur les pentes abruptes des hauteurs d'Arrayou, la chute d'un arbre entraînait la rupture du grillage qui cercle son élevage de cervidés, sur une centaine de mètres (sur les 15 km d'enclos qui sécurisent les 42 ha de parc). Une brèche par laquelle la trentaine d'animaux s'échappait.
Du jamais vu jusqu'alors, en quinze ans d'existence, pour cet élevage unique en son genre. «Avec mon mari, nous aimions observer biches et cerfs dans la nature, raconte Corinne Robin. C'était une passion commune et nous avons décidé de créer cet élevage avec 15 biches et un cerf, ainsi que pléthore d'autorisations administratives.»
Un parcours semé d'embûches d'autant qu'il n'était pas porté par une volonté pécuniaire. «Pour réguler la population, qui a atteint jusqu'à 90 animaux, on fait un peu de viande…» Mais déjà, l'an dernier, la météo avait perturbé ce havre de paix. Les crues de la Géline ainsi que des glissements de terrain avaient fait voler piquets et grillages. Sans conséquence puisque tout l'équipement avait été redressé. Puis rebelote cet hiver. «Il y a eu plus d'arbres tombés cette année que sur les vingt dernières», peste Corinne Robin.
Lorsque le grillage cède à nouveau, le parc se vide et les cervidés retournent à leur nature, sauvage. Rapidement, 29 d'entre eux sont récupérés et rentrés dans une partie fermée de l'élevage. Mais six biches manquent à l'appel. Des habitués des bois qui, à Arrayou, semblent gêner. Sollicités par plusieurs voisins qui évoquent des nuisances et des dégâts sur leurs cultures, les services préfectoraux sont saisis. L'inspecteur de l'environnement visite l'élevage le 29 avril. Un arrêté est pris le 4 mai dans lequel Corinne Robin est mise en demeure de récupérer les animaux errants avant ce soir et de resécuriser l'enceinte d'ici fin mai. «C'est un combat pour les récupérer, concède Corinne qui, avec ses amis, multiplie les battues et les recherches, vaines jusqu'ici. Elles s'échappent au moindre bruit, Sans compter les chiens qu'elles fuient. Si seulement les gens, au lieu de se plaindre à l'administration, m'avaient contactée, cela aurait permis de les localiser et de les rentrer.» Car depuis, ni les caméras, ni le relevé des traces, ni les rares signalements, n'ont permis de situer les animaux qui semblent s'être séparés. «Ça fait un mois qu'on leur court derrière, à travers les bois, qu'on crapahute tous les soirs, dans la pampa. Là, je suis un peu désemparée car on arrive à la date butoir et elles sont toujours dehors.» Corinne a écrit à l'administration(DDCSPP) pour réclamer un délai supplémentaire. «Quand une vache s'échappe, on n'en fait pas toute une histoire. Je suis triste de les savoir dehors. D'autant plus que si je ne les rentre pas, elles pourraient être abattues, alors qu'elles sont sur le point de mettre bas.» Hier matin, Corinne est donc repartie sur ces pentes escarpées. «Un soir, on les tenait toutes regroupées. Elles s'étaient rapprochées de l'enclos mais ont fui au dernier moment. J'espère qu'on pourra les récupérer. Par respect de la nature et des animaux, nous n'avons jamais procédé à un abattage. J'aimerais qu'elles finissent leur vie tranquillement.»
http://www.ladepeche.fr/article/2015/05/15/2104683-corinne-doit-retrouver-ses-biches-en-fuite-avant-ce-soir.html

jeudi 14 mai 2015

Pyrénées: Première naissance d'un bouquetin depuis 100 ans

Lorsqu’il a aperçu le petit cabri avec sa mère, dans une forêt à 1.800 m d’altitude, dans la vallée d’Ustou, Jordi Estèbe n’a pas cherché à s’en approcher, bien au contraire. Chargé de l’étude du bouquetin au Parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises, ce spécialiste sait qu’il ne faut pas les déranger.
Et pourtant, ce n’est pas l’envie qui a dû lui manquer de voir le premier spécimen naître dans le massif français depuis la disparition de cette espèce il y a cent ans. Le cabri est le nom donné au bouquetin de moins d’un an.

Bonne acclimation

« Cette femelle est l’une des dix bouquetins lâchés le 20 avril dernier, elle s’est isolée pour mettre bas. Nous espérons avoir d’autres naissances dans les prochains jours, nous avons constaté qu’il y avait d’autres femelles gestantes », explique Jordi Estébe.
Depuis le premier lâcher l’été dernier, l’Ariège a accueilli 32 spécimens, dont trois sont morts depuis. D’autres ont été relâchés dans les Hautes-Pyrénées par le Parc national des Pyrénées (PNP). Tous semblent bien s’acclimater, ce qui laisse présager des reproductions à venir.
Ariège : Les bouquetins sont bien dans leurs sabots
Un nouveau lâcher est prévu dans les jours à venir en Ariège et un autre devrait avoir lieu d’ici à la fin de l’année.
http://www.20minutes.fr/toulouse/1607951-20150514-pyrenees-premiere-naissance-bouquetin-depuis-100-ans

mercredi 13 mai 2015

Un python de 4 mètres inquiète un petit village de l'Ardèche

Depuis qu'une mue de serpent de 4 mètres a été découverte en bordure de garrigue, la petite commune ardéchoise de Labastide-de-Virac est en alerte. Le serpent rôde-t-il ? Ou est-ce une mauvaise blague ? "On n'a toujours pas trouvé l'animal, ni mort, ni vivant", explique le maire, Jacques Marron confirmant une information de la presse locale.
Ce que l'on sait: c'est une mue appartenant à un python, "forcément un animal qui était en captivité car on ne trouve pas de serpent de ce type dans la région". Il n'est pas venimeux mais "il peut s'attaquer à une chèvre, un chien et l'étouffer", détaille le maire.
Est-ce un canular ? Est-ce un propriétaire qui a relâché son animal car il n'en voulait plus ? Un serpent qui s'est échappé ? Le maire n'écarte aucune piste. Un herpétologue, spécialiste des reptiles et des amphibiens, a été dépêché sur place et fait des rondes régulièrement. Car "le seul moyen de le repérer, c'est de le voir. Avec les animaux à sang-froid, les caméras thermiques ne marchent pas, les chiens policiers non plus".
A priori, l'animal a peu de chance de survivre longtemps dans la nature car il n'a pas l'habitude de se nourrir tout seul. Mais les températures estivales pourraient donner un peu de répit à l'animal qui a besoin de chaleur. "Je ne veux pas qu'il y ait une psychose", assure le maire qui a toutefois pris un arrêté placardé sur tous les panneaux du village de 215 habitants: "surtout, surtout, si quelqu'un aperçoit le python, qu'il n'essaie pas de l'arrêter tout seul et qu'il prévienne immédiatement les autorités".
http://www.lindependant.fr/2015/05/13/un-python-de-4-metres-inquiete-un-petit-village-de-l-ardeche,2030175.php

lundi 11 mai 2015

Lyon: Le chien fugue en prenant le bus

Un chien qui fugue... Jusque-là, rien d'étonnant. Sauf que l'animal en question s'est enfui en bus. Ce qui lui a valu d'avoir les honneurs de la presse locale ce lundi matin. Selon le Progrès qui relate cette aventure, le canidé, une femelle Jack Russel Terrier de 8 ans, a disparu sans que ses maîtres, résidant à Craponne ne s'en aperçoivent.
Ces derniers ont été tout surpris lorsqu'ils ont reçu un appel d'un vétérinaire situé dans le 9ème arrondissement de Lyon, leur indiquant que la petite boule de poil était chez lui. Selon toute vraisemblance, la chienne baptisée Chips, a sauté dans un bus, dont l'arrêt est situé en face de la maison, profitant ainsi de l'ouverture du portail.
Elle se serait ainsi laissé transporter une dizaine de kilomètres, jusqu'au terminus de la ligne dans le quartier de Gorge de Loup à Lyon. Un peu perdue, elle aurait été recueillie par une dame âgée, ayant eu l'idée de l'emmener chez un vétérinaire afin de retrouver son foyer
http://www.20minutes.fr/lyon/1605467-20150511-lyon-chien-fugue-prenant-bus

samedi 9 mai 2015

Un loup abattu dans les Préalpes de Grasse samedi matin

Un loup a été abattu samedi matin peu après 6h à Saint-Vallier-de-Thiey, dans les Préalpes grassoises.
La préfecture avait annoncé jeudi dans un communiqué autoriser les tirs de loups à l'affût et à l'approche au-delà des battues, à la suite d'une nouvelle attaque de loup ce jeudi à Saint-Etienne-de-Tinée.  
Le matin même en effet, un loup avait suivi et attaqué une biche jusque dans le jardin d'une habitation située en plein centre du village.
Les attaques du loup dans les Alpes-Maritimes représentent 35% des pertes connues au niveau national en 2014.
Au 30 avril, on dénombrait 156 attaques et 510 victimes attribuées au loup dans les Alpes-Maritimes depuis le début de l'année.
http://www.nicematin.com/grasse/un-loup-abattu-dans-les-prealpes-de-grasse-samedi-matin.2207347.html

vendredi 8 mai 2015

Japon: Le zoo du Mont Takasaki va garder le nom de «Charlotte» pour un bébé singe, malgré la polémique

Le zoo du Mont Takasaki au Japon persiste et signe: il va garder le nom de «Charlotte» donné par la vox populi à un bébé singe en hommage à la petite princesse de Cambridge, malgré les cris d'orfraie de ceux qui jugent ce choix inconvenant.
Après 48 heures de controverse, le maire d'Oita, la commune du sud-ouest du Japon où est situé le parc animalier, a tranché. «Le public a choisi le très joli nom de "Charlotte", et je ne pense pas que ce soit un problème, nous allons donc garder "Charlotte"», a expliqué Kiichiro Sato qui a convoqué une conférence de presse pour en faire l'annonce.

Protestations

Appelés à trouver un nom pour un bébé macaque femelle, les visiteurs du parc animalier du Mont Takasaki avaient plébiscité à une écrasante majorité le patronyme de «Charlotte», d'après le nouveau bébé royal britannique. Il est de tradition, dans ce zoo, de demander aux visiteurs de baptiser le premier macaque né dans l'année.
Toutefois, dans un premier temps, la direction du parc a été inondée de protestations de Japonais choqués que l'on donne à un singe le même nom qu'un membre de la famille royale britannique. « D'abord nous avons surtout reçu des plaintes de gens déplorant un manque de respect à l'égard du peuple britannique. Mais ensuite des voix se sont élévées en faveur du nom (Charlotte), le trouvant acceptable parce que le bébé singe est mignon », a expliqué à l'AFP un responsable du Mt. Takasaki Wild Monkey Park.
Le parc animalier, qui a été contacté par plus de 500 personnes, a assuré qu'il n'avait pas voulu offenser la jeune princesse britannique. Interrogée, l'ambassade de Grande-Bretagne au Japon s'est refusée à tout commentaire. L'an dernier, un marsupial du zoo de Sydney avait été surnommé «George» en l'honneur du frère aîné de Charlotte, le prince George, lors d'une tournée du duc et de la duchesse de Cambridge en Australie. La famille royale britannique est très populaire au Japon -où elle contraste avec l'image sévère de la cour impériale du pays- comme en a témoigné la récente visite du prince William suivie pas à pas par les médias nippons

http://www.20minutes.fr/insolite/1604015-20150508-japon-zoo-mont-takasaki-va-garder-nom-charlotte-bebe-singe-malgre-polemique

samedi 2 mai 2015

Une alouette monticole observée à Hyères, une première en France

Le petit oiseau a été vu ce mois-ci sur les salins d'Hyères, dans le Var. C'est la première fois qu'un spécimen est observé en France. 
L'Alouette monticole est originaire des plaines de la Turquie à l'Iran et du Kazakhstan à l'Afghanistan. 
Selon un article publié par la Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO), ce petit être migrateur aurait fait une halte dans le Var au cours de son voyage avant d'en repartir dès le lendemain. 
Au printemps, les salins d'Hyères accueillent de nombreux oiseaux migrateurs souvent fatigués par leur traversée de la Méditerranée. 
http://www.nicematin.com/hyeres/une-alouette-monticole-observee-a-hyeres-une-premiere-en-france.2197523.html

vendredi 1 mai 2015

Réchauffement climatique : une espèce animale sur six menacée

Selon le croisement de 131 études du monde entier, un chercheur américain a constaté que plus la température grimpait au fil des années, plus les animaux disparaissaient. Une espèce sur six est désormais menacée. Une inquiétante proportion que doivent avoir en tête les participants de la conférence sur le climat que Paris reçoit en décembre.
Il reste «très peu de temps pour éviter de graves conséquences pour la planète», a estimé cette semaine le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, dans la perspective de la conférence internationale sur le climat (Cop21) que Paris recevra en décembre.
Parmi les inquiétudes des dirigeants qui préparent l'événement, la survie de la faune et la flore. Or selon une étude publié jeudi dans la revue Science, une espèce animale sur six risque de disparaître sous les effets du réchauffement climatique si les émissions de dioxyde de carbone (CO2) se poursuivent au rythme actuel.

«Les résultats de cette étude suggèrent que les risques d'extinction vont s'accélérer avec la hausse des températures du globe, pour menacer jusqu'à 16% des espèces animales s'il n'y a pas de changement des
politiques actuelles», écrit Mark Urban, principal auteur des travaux publiés et chercheur du département d'écologie et de biologie de l'Université du Connecticut (Etats-Unis). Ce scientifique a analysé 131 études du monde entier portant sur l'impact du changement climatique sur la faune et la flore, menées dans plusieurs régions du monde et selon différentes méthodes.
Des morts à chaque degré Celsius


Le scientifique a d'abord constaté que la perte de biodiversité s'accélérait pour chaque degrés Celsius d'accroissement de la température. En considérant l'hypothèse d'une augmentation de 2°C des températures mondiales d'ici la fin du siècle, l'étude permet de calculer que 5,2% des espèces seraient menacées extinction, contre 2,8% actuellement. Or cette hypothèse de réchauffement est jugée sous-estimée par la plupart des climatologues.

Avec une hausse de 3°C sur la même période, ce sont 8,5% des espèces qui pourraient disparaître. Et si le mercure grimpe de 4,3°C d'ici 2100, ce serait alors 16% des espèces animales qui seraient menacées!

Sans surprise, Mark Urban a également constaté que le danger d'extinction variait selon les régions du monde, selon qu'elles sont plus ou moins affectées par le réchauffement. Dans certains pays de l'hémisphère austral, où des habitats se réduisent sans possibilité pour des animaux, comme des reptiles et des amphibiens, de se déplacer suffisamment vite, les risques de disparition sont les plus élevés : jusqu'à 23% des espèces en Amérique du Sud et 14% en Australie et en Nouvelle-Zélande seraient menacés. L'Amérique du Nord et l'Europe sont les régions où le risque est le plus faible, avec 5 et 6% respectivement des espèces en danger.

Adapter les solutions

Selon le scientifique, 7,9% des espèces vont de toute manière disparaître à cause du réchauffement de la planète. Mais un travail de fond doit être fait pour éviter qu'il y en ait plus. «Nous avons un besoin urgent d'adopter des stratégies qui limitent le changement climatique si nous voulons éviter une accélération des extinctions animales sur la planète.»

Et de développer : «Nous devons aussi mieux comprendre les effets du réchauffement sur l'extinction des espèces pour permettre d'éclairer les décisions en matière de politique à suivre au international sur les coûts biologiques d'un échec à lutter contre le changement climatique et de mettre en oeuvre des stratégies de conservation pour protéger les espèces animales les plus menacées.»

Mercredi, le président français François Hollande a annoncé qu'il s'entretiendrait désormais tous les mois avec le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon pour préparer la Cop21 de décembre.


http://www.leparisien.fr/environnement/nature/rechauffement-climatique-un-espece-animale-sur-six-menacee-01-05-2015-4737685.php

mercredi 29 avril 2015

Un chevreuil en centre-ville

Improbable mais vrai : un chevreuil s'est égaré à hauteur du rond-point de la Patte-d'Oie vers 18 h 30 hier soir. Alertés policiers et pompiers ont donc entamé une traque pour capturer l'animal. D'autant plus que la bête slalomait également sur la chaussée. Au final, le chevreuil a été intercepté à hauteur du bar du Mundial, très légèrement blessé après cette cocasse escapade. Les pompiers ont relâché l'animal dans la nature.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/04/29/2096080-un-chevreuil-en-centre-ville.html

dimanche 26 avril 2015

Quatre cents animaux vous attendent

Ils sont 400 en tout, chiens et chats, de toutes races et âges, à n'attendre que vous. Il y a même des poneys et des boucs...! Jusqu'à demain soir, la SPA de Toulouse ouvre ses portes au grand public. «A l'approche de la belle saison, explique Nathalier Ithier - directrice bénévole du refuge - nous essayons de sensibiliser le public afin, par exemple, d'éviter les abandons d'animaux, il y a tant d'autres solutions...».
Ouvert toute l'année sur son immense site de Sesquières, le refuge est plein de janvier à décembre. Sur place, une vingtaine de personnes prennent grand soin de nos compagnons canins et félins, en attendant qu'ils trouvent une famille pour les accueillir, ce qui se produit tout de même dans la majorité des cas. En 2014, 2000 chiens et 1800 chats ont franchi le portail du refuge, amenés là par des maîtres démissionnaires, récupérés par la fourrière municipale ou lâchement attachés devant l'entrée durant la nuit.
Elodie, dix ans, ne peut s'empêcher de verser une larme devant celui qui sera peut-être son futur compagnon de jeu, qui lui jette un regarde implorant, du fond de son box. Un peu plus loin, un couple de retraités cherche un animal de caractère pour garder leur propriété, «mais qui s'entende bien avec nos petits-enfants».
«Nous sommes uniquement financés par les adoptions, les dons et les legs», continue Nathalie Ithier. Sachez que si vous envisagez d'adopter un animal, ils vous en coûtera entre 100 et 200 euros, puce électronique et primo-vaccination compris...
De 14h à 18h aujourd'hui. Impasse Marie Laurencin, 31200 Toulouse, tél. 05 61 47 60 00, www.spa-toulouse-refuge.com
 
 

vendredi 24 avril 2015

Douaumont : un renard sur l’aire de pique-nique

Jolie histoire que raconte cette internaute sur la page Facebook « Tu sais que tu as habité Verdun si ». Cette semaine, elle s’est rendue sur une aire de pique-nique, dans les bois de Douaumont, quand elle est tombée nez à nez avec ce qui avait tout l’air d’être un renard.
Pour la Verdunoise, pas de doute, c’était une femelle renard. « Elle cherchait à manger et est d’ailleurs tombée sur un quignon de pain. » Elle a photographié l’animal « sans zoom », c’est dire s’il était tout près d’elle !
« En tendant la main, j’aurais pu la toucher mais bon, c’est un animal sauvage, alors je me suis abstenue… » Sauvage le renard ? Pas vraiment puisque quand notre Verdunoise a tapé dans les mains pour le faire partir, il est resté sur place sans broncher.
Peut-être était-il à l’affût d’un fromage se rapportant au plumage d’un corbeau dans les parages ?

mardi 21 avril 2015

Cinq lionceaux blancs sont nés au zoo d’Amnéville

Sur la portée de cinq, que des gars ! Cinq lions blancs ont vu le jour voici une semaine au zoo d’Amnéville. Bouba et Malindi, les parents sont ravis. D’autant qu’il y a 18 mois ils avaient déjà eu deux beaux bébés… filles.
Les nouveaux nés ont déjà été pucés, pesés et vaccinés. Ils n’ont pas encore de noms, mais ça ne saurait tarder. Jusqu’à leurs trois mois, ces petites boules de poils blancs resteront dans les pattes de maman. Puis ils seront sevrés et commenceront alors à manger comme les grands.
Dans le monde, les lions blancs vivant en milieu naturel ne sont plus que neuf. Les spécimens sont rares car ce pelage caractéristique – « c’est une mutation génétique naturelle du lion sud africain » – attire les chasseurs.
http://www.vosgesmatin.fr/insolite/2015/04/21/cinq-lionceaux-blancs-sont-nes-au-zoo-d-amneville

dimanche 19 avril 2015

Madine : au secours des bêtes à poils

hebergement d'image
Le bouche- à-bouche peut sauver des vies, le bouche à truffe aussi. Encore faut-il savoir s’y prendre et effectuer les bons gestes. C’est pour apprendre aux maîtres de chiens et de chats comment réagir face à cette situation que l’École du chien de travail à l’eau Terre-Neuve 55, de Longeville-en-Barrois, a organisé, cette semaine, un stage de cinq jours à Madine, conjointement à un module de formation au massage canins et félins.
Venus de Longwy, du Bas-Rhin et même de Lyon, six participants accompagnés de Byron le rottweiller, Dolly le bichon, Ganesh le flat-coat et bien sûr Gibbs le terre-neuve ont participé aux stages.
Reconnaître la gravité du problème de l’animal, réagir face à un malaise cardiaque, un étouffement ou effectuer la fameuse position latérale de sécurité dans sa version canine figurait au programme. Une formation qui intéresse notamment les personnes dont le métier est d’être en contact avec ses animaux. « Nous avons déjà eu l’occasion de travailler avec la protection civile de Dieuze, en Moselle », note Patrice Boudot, président de l’association. « Notre formation se calque sur celle effectuée pour les premiers secours humains ».

Massage canin

Normalement proposé sur une journée intensive et dans de nombreuses villes en France et jusqu’en Belgique, ce stage s’est fait sur cinq jours afin d’accueillir en même temps, celui de Pauline Arnt, formatrice dans le milieu du massage canin et pionnière française depuis huit ans dans le domaine. Descendue de Paris où elle enseigne au sein du centre Chien zen, cette fille de vétérinaire formée aux États-Unis a développé ce module devenu obligatoire à la formation de masseur professionnel pour ces animaux, formation qu’elle souhaite faire reconnaître par l’État.
Cette fois, ce sont les cours d’anatomie, le bon positionnement des doigts, les gestes à éviter qui composent les cours quotidiens. Après la technique, place à la pratique et au vu de la zen attitude qui se lit sur le visage de leurs compagnons poilus, on se dit que ce doit être drôlement agréable.
Le 20 juin, la ECTE TN 55 se rendra au club canin de Saint-Dizier pour un nouveau stage. Renseignements au 06.78.69.41.12 ou sur terreneuve55@orange.fr.

dimanche 12 avril 2015

Zoo : le parc a rénové les espaces de vie des animaux

Dans le parc à pied du zoo «African Safari», la saison hivernale fut propice à différents aménagements, à l'arrivée de nouveaux pensionnaires et à quelques naissances. Au parc, le bien être des animaux est primordial ainsi pour leur procurer les meilleures conditions de vie, les espaces réservés aux tigres et aux primates ont fait l'objet d'un enrichissement naturel. Dans l'enclos des tigres, désormais, le visiteur les observera allongés lascivement sur des troncs, sur leur passerelle, ou se rafraîchissant dans le bassin agrémenté de végétation. Du côté des singes, capucin, mandrill, maki vari, maki de Mayotte (espèce menacée faisant partie du plan d'élevage) c'est aussi le réaménagement des espaces. Les arbres et plantes, les réservoirs à nourriture suspendus et les copeaux de bois au sol, dans lesquels ils adorent chercher de la nourriture, leur sont déjà familiers. Avec l'ouverture de l'aire des géants d'Afrique, le bassin asséché des hippopotames est maintenant l'espace du porc-épic, avec abris en pierre et point d'eau, son observation en sera facilitée du pont, rénové, le surplombant. Plus de barrières devant le vivarium, en s'approchant, ainsi, tout près des vitres se révélera l'univers étrange de ces créatures à sang froid, boas constricteurs, jeunes anacondas et bientôt les geckos de Madagascar. Le parc zoologique a accueilli cet hiver Rocco le loup, les jeunes anacondas et le porc-épic qui n'a pas encore de prénom et est fier d'annoncer les premières naissances de l'année, dans la famille Ouistiti et dans celle de l'Oryx algazelle (espèce éteinte dans son milieu d'origine). Enfin pour la satisfaction des visiteurs la salle d'accueil de la petite ferme est dotée de larges baies permettant la vue sur le spectacle toujours renouvelé des singes trublions. Le parc zoologique et la réserve africaine regroupent plus de cinq cents animaux et trente-deux employés à temps complet, œuvrent au quotidien pour le bien-être des animaux et des visiteurs.
http ://www.zoo-africansafari.com
 
 

vendredi 10 avril 2015

Moins de chevreuils sur le territoire de chasse

Ils étaient une quarantaine, réunis sur la commune d'Ordan-Larroque, pour participer à un comptage de chevreuils à l'initiative de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage, en partenariat avec la fédération départementale des chasseurs. L'objectif est de suivre l'évolution de la population de chevreuils dans le département, ce que fait chaque année la fédération départementale des chasseurs en organisant plusieurs comptages dans différentes communes du département.
La méthode utilisée est celle dite des «approches et affûts combinés sur secteurs».

Une densité de six chevreuils aux 100 ha

Pour la réalisation de ce comptage, une zone échantillon de 800 ha a été choisie sur une partie représentative du territoire de chasse de la commune d'Ordan-Larroque. Dans chacun des quinze secteurs de comptage intégrés dans la zone échantillon, des équipes mixtes d'agents de l'ONCFS, de techniciens de la FDC 32, d'étudiants du lycée agricole de Mirande et de chasseurs avaient pour mission de recenser tous les chevreuils présents.
Dès le lever du jour, les équipes ont rejoint les secteurs de comptage qui leur avaient été attribués et, après un peu plus d'une heure passée à fouiller les recoins de la zone à recenser, tous se sont retrouvés à «la cabane des chasseurs» pour faire le bilan des différentes observations. Le travail accompli, elles ont également pu partager un solide petit-déjeuner préparé par les chasseurs.
Le matin du 3 avril, 48 chevreuils ont été dénombrés, ce qui correspond à une densité de 6 chevreuils aux 100 ha.
Une densité un peu plus faible que celle qui avait été estimée auparavant, confirmant (logiquement) l'impression de baisse des effectifs ressentie par les chasseurs d'Ordan-Larroque.
Les résultats de ce comptage serviront de base de discussion à la prochaine réunion de la commission départementale du plan de chasse ; ils permettront de réajuster le prélèvement de chevreuils pour les années à venir afin de préserver au mieux l'équilibre agro-sylvo-cynégétique.
Ils devraient, pour la prochaine saison de chasse, entraîner une diminution des attributions dans les secteurs de Jégun, Vic-Fezensac et Auch.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/04/10/2084329-moins-de-chevreuils-sur-le-territoire-de-chasse.html

jeudi 9 avril 2015

Evacuation des animaux d'un zoo en liquidation

Plus de 160 animaux du zoo du Bouy à Champétières (Puy-de-Dôme), qui est en liquidation judiciaire et dont le propriétaire a été écroué pour trafic international d'animaux protégés en bande organisée, sont aujourd'hui en cours d'évacuation.

Depuis le début de la matinée et sous le contrôle notamment de l'association 30 millions d'Amis et la direction de la protection des populations (DDPP), l'opération a mobilisé une soixantaine de personnes (vétérinaires, gendarmes, membres d'associations...), assistées d'une quinzaine de véhicules pour réceptionner les animaux.

"Les animaux vont être transportés vers une dizaine de parcs zoologiques de France et de Belgique qu'on a sollicités et qui ont répondu à l'appel", a déclaré Arnaud Lhomme, en charge des enquêtes à 30 millions d'Amis.

Le propriétaire du zoo du Bouy, Alain Albrecht, a été mis en examen le 27 mars puis écroué. Il est soupçonné d'avoir acheté puis revendu plusieurs animaux dans le but de faire des bénéfices et, selon le quotidien régional La Montagne et d'avoir tué et maltraités certains d'entre eux.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/04/09/97001-20150409FILWWW00185-evacuation-des-animaux-d-un-zoo-en-liquidation.php

mercredi 8 avril 2015

DogTV, chaîne pour toutous désoeuvrés, arrive en France

Avis aux maîtres de chiens désoeuvrés: les programmes de la chaîne américaine DogTV, spécialement conçus pour distraire le meilleur ami de l’homme, sont désormais accessibles sur le canal 110 du réseau Orange.
La chaîne, la première (et la seule) à cibler une audience canine, a pour objectif «d’atténuer l’ennui et le stress» ressentis par les chiens lorsqu’ils sont laissés seuls à la maison, explique-t-elle mercredi dans son communiqué.
La programmation a été «élaborée par des vétérinaires en fonction des sensibilités auditive, visuelle et émotionnelle», assure DogTV.
Chaque émission dure de 3 à 6 minutes et la grille de programmes est se divise en trois catégories: stimulation (images et objets en mouvement), sensibilisation (sons et visuels spéciaux stimulant les sens), relaxation (contenus de détente, musique, sons et visuels apaisants).
A l’origine de la création de la chaîne, la culpabilité d’un Américain, Ron Levi, obligé de laisser son chat seul en journée. Ayant remarqué que son animal réagissait aux images et aux sons émis par la télévision, il entreprend de créer une chaîne consacrée aux chiens.
DogTV a été lancée après trois ans de recherches aux Etats-Unis et en 2012, «un contrat stratégique» est signé avec Discovery Communications.
Depuis, la chaîne est installée aux Etats-Unis sur le réseau DIRECTV, en France depuis le 1er avril sur le réseau Orange, au Japon sur Hiraki TV, en Allemagne sur celui de Deutsch Telekom. Elle est également active en Corée du Sud, en Grande-Bretagne, en Irlande et au Portugal.

http://www.leprogres.fr/france-monde

Naissance d'un petit âne à Cannes: donnez-lui un prénom!

Carnet rose à Cannes! Riri et Fifi, le couple d'ânes chargé de mission par la Ville pour débroussailler le massif forestier de la Croix des Gardes, a donné naissance à un ânon, vendredi 3 avril.
Depuis, le petit âne gris d'une dizaine de kilos ne quitte pas sa mère Fifi alors que Riri, le père, est prié de se tenir à l'écart.
Après deux mois d'allaitement, il partagera le repas quotidien de ses parents, loués par la Ville jusqu'à la fin de l'année auprès de l'association Ânestérel pour brouter chardons, herbe, pampa, ronces et surtout pousses de mimosas qui prolifèrent sur le massif.
Mais il faut vite lui trouver un prénom! Et c'est à vous, lecteurs et internautes, de faire des propositions. Deux conditions à respecter: trouver un prénom débutant par la lettre F et pas trop humanisé. Pour cela, il vous suffit de nous envoyer vos propositions sur cannes@nicematin.fr
A vous de jouer !
http://www.nicematin.com/derniere-minute/naissance-dun-petit-ane-a-cannes-donnez-lui-un-prenom.2168586.html

mardi 7 avril 2015

Moselle : Rémy, dresseur de tigres au zoo d’Amnéville

Il a failli être menuisier-charpentier. Le voici entouré de neuf tigres du Bengale avec lesquels il a noué une grande complicité. Au point de se promener quasiment main dans la patte avec l’un d’entre eux. Plusieurs fois par jour, Rémy Flachaire va présenter le spectacle que crée cette année le zoo d’Amnéville (Moselle) dans son nouvel espace Tigerworld. Un show spectaculaire, bourré d’effets spéciaux, destiné aussi à sensibiliser le public au devenir d’une espèce en danger.
D’abord les rapaces
Rémy Flachaire est pourtant devenu dresseur de fauves par hasard. Aujourd’hui en totale communion avec les tigres, il l’a d’abord été avec les rapaces et les chevaux. « J’ai toujours été fasciné par la faune sauvage. Qui abonde dans le Haut-Jura où j’ai grandi. Mais comme j’y avais des liens, je me rendais régulièrement au zoo de La Flèche, dans la Sarthe, où je donnais un coup de main au maître fauconnier Bernard Bailly. Sans jamais imaginer pouvoir un jour vivre de cette passion. C’est pour ça que j’ai commencé un CAP en menuiserie. Pour rassurer ma mère… »
Il n’ira pas au bout. Car entre-temps, Bernard Bailly arrive au zoo d’Amnéville pour monter le spectacle de fauconnerie à cheval qu’on découvre toujours dans l’arène médiévale. Pour constituer son équipe, il souhaite faire appel à des jeunes dont il a décelé le potentiel. Rémy saisit l’occasion… au vol. Se perfectionne en équitation, en affaitage d’oiseaux (aigles, buses, faucons…), prend goût au spectacle et tombe en admiration devant… les fauves, « plus démonstratifs que les rapaces dans leur affection, fascinants par leur regard, la manière dont ils sont armés. Leur patte fait la taille de ma tête ! ». Il s’en ouvre plusieurs fois à Michel Louis, le directeur du zoo d’Amnéville, passionné de fauves lui aussi. Au point que lors d’un déplacement au Kenya, et alors que Rémy lui demande une nouvelle fois pourquoi il ne créerait pas au zoo un spectacle avec des félins, celui-ci le prend au mot. « Sur un cahier, c’est là-bas qu’on a jeté les premières idées pour Tigerworld ! »
Ne pas montrer sa peur
Les connaissances de Rémy en menuiserie sont précieuses à l’heure d’esquisser les plans, sauf que le jeune homme, qui se rêve dresseur, n’a encore jamais mis les pieds dans une cage. Ce sera vite chose faite, dans un cirque, accompagné d’un dompteur, face à trois tigres blancs de 6-7 ans. « Je n’étais pas hyper-rassuré ! Il m’avait dit : si tu as peur, ne le montre pas. Les animaux le sentent… ».
D’autres stages vont suivre, en particulier auprès de Yann Gruss, dresseur à Vierzon. Rémy apprend vite. Très vite. Tandis que les tigres du Bengale arrivent au zoo d’Amnéville. Certains bébés, que le jeune homme va élever au biberon, ou avec qui il va partager ses siestes. Pour faire connaissance, repérer les caractères de chacun, apprivoiser la confiance. Pas à pas et à force de patience, le spectacle a pris forme. « Dans la cage, il faut être attentif à tout. Capter l’attention des animaux, anticiper leurs réactions, comprendre ce qui va leur poser problème, ne pas les bloquer dans leurs déplacements… » Les ordres sont donnés en allemand, en anglais et en français. Et l’obéissance récompensée de petits morceaux de viande.
« En entrant, je n’ai plus aujourd’hui la moindre appréhension ! » Ce qui n’exclut pas la vigilance. Salutaire prudence. Pour celui à qui Michel Louis prédit un brillant avenir de dresseur, « dans la lignée d’un Gilbert Houcke ou d’un Votjek Trubka ». Et pourtant Rémy n’a que 26 ans.
Le public pourra découvrir Tigerworld au zoo d’Amnéville (Moselle) à compter du samedi 11 avril. Chantier colossal, deux ans de travaux, 17-18 millions d’euros d’investissements pour construire une salle de spectacle de 2.000 places ouvrant sur les ruines d’un temple khmer perdu dans la jungle, le tout dissimulé dans le décor d’une falaise d’où coulent des cascades ! Avec espace de réception et de restauration et un Tiger Conservation Center pour tout apprendre et découvrir de la biologie du tigre, des dangers qui pèsent sur cette espèce et de la manière dont les animaux ont été dressés pour le spectacle.
www.zoo-amneville.com

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2015/04/07/moselle-remy-dresseur-de-tigres-au-zoo-d-amneville

dimanche 5 avril 2015

vendredi 3 avril 2015

Les petits animaux ont une meilleure vue

Publiée dans le journal Behavior Animal, une étude prouve que plus les animaux les plus petits perçoivent beaucoup plus rapidement les images que les plus gros. Jusqu'à quatre fois plus vite que les humains pour certains.

"Plus la taille de l'animal est réduite, plus il réagit vite aux mouvements. Les mouches passent leur temps à échapper à leur prédateur, elles ont appris à réagir très vite", explique Kevin Healy du Trinity College de Dublin, à
l'Express.

Ce n'est donc pas tant la taille du cerveau qui importe que sa capacité à traiter rapidement l'information. Comme chez l'homme, l'âge et l'entraînement sont également des facteurs d'accélération de la perception visuelle

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/04/03/97001-20150403FILWWW00055-les-petits-animaux-ont-une-meilleure-vue.php

samedi 28 mars 2015

Le Parc des oiseaux rouvre aujourd’hui pour une saison riche en nouveautés

Villars-les-Dombes. Retardée en raison de la pandémie aviaire, l’ouverture du Parc des oiseaux s’effectuera ce samedi. Avec, en ligne de mire, des nouveautés et de nouvelles espèces qui témoigneront de la richesse des « terres de France, terres d’oiseaux », thématique 2015. Gratuit jusqu’au 3 mai.
Du plus grand au plus petit. On pourrait décliner ainsi la saison 2015 du Parc des oiseaux qui accueillera le plus grand faucon d’Europe, le gypaète, dans une volière spécialement construite où il voisinera avec un autre géant des airs, l’aigle royal, ainsi que deux espèces de colibris, les plus petits des oiseaux du monde.
Intitulée, « Terres de France, terres d’oiseaux », la saison 2015 sera l’occasion de mettre en exergue la richesse de la faune aviaire de l’Hexagone, qu’elle soit métropolitaine ou d’outre-mer. La marraine de la saison 2015, la navigatrice Maud Fontenoy, s’inscrit comme le meilleur porte-parole de cette diversité de la faune, avec son engagement pour la défense des océans.
Au-delà de la qualité de la distribution, on soulignera aussi la perpétuelle évolution du site de Villars-les-Dombes qui, année après année, se renouvelle pour séduire un public de plus en plus nombreux, mais aussi de plus en plus exigeant.
Les nouveautés visibles en avril et mai
Le Parc renoue avec des investissements conséquents, puisque la réalisation des espaces voués à accueillir les rapaces dans un superbe chalet alpin et les colibris dans un espace dédié qui s’annonce aussi comme de superbe facture est estimée à un peu plus de 300 000 euros d’investissement.
Le gypaète et l’aigle royal seront visibles dès le 11 avril, tandis que l’espace des « mythiques colibris », comme les appelle la plaquette de présentation, devrait ouvrir le 1er mai prochain. D’ici là, les visiteurs devront se contenter des oiseaux dans les volières et bâtiments, la non-vaccination des espèces extérieures comme les flamants roses, les canards et autres autruches entraînant la poursuite de leur confinement en raison des préconisations anti-pandémie aviaire qui ont d’ailleurs retardé l’ouverture du site d’un mois. Le spectacle d’oiseau en vol reprendra également le 11 avril.
Si les cieux sont plus cléments qu’en 2014, le déficit de visiteurs et de recette devrait être rapidement comblé pour faire de cette saison 2015 un succès à la hauteur de la qualité d’un site qui n’est plus à démontrer mais ne se repose pas, loin s’en faut, sur ses multiples lauriers

http://www.leprogres.fr/sortir/2015/03/28/le-parc-des-oiseaux-rouvre-aujourd-hui-pour-une-saison-riche-en-nouveautes

mercredi 25 mars 2015

Deux lionceaux abandonnés devant un parc animalier de Seine-et-Marne

Les deux félins, dont l'âge est estimé entre cinq et sept mois, ont été retrouvés par des salariés du parc à leur arrivée sur leur lieu de travail mardi matin, 24 mars. Les lionceaux, sans doute déposés au cours de la nuit, se trouvaient dans une cage déposée devant l'entrée du parking du parc animalier.

En accord avec les services vétérinaires, ces deux jeunes mâles ont aussitôt été placés dans les locaux de quarantaine du parc en attendant d'en savoir plus sur leurs origines. Le Parc des Félins indique ne disposer à ce stade d'aucune information sur leur provenance mais juge probable qu'ils aient été déposés par des personnes les ayant détenus en toute illégalité.

Les deux lionceaux "paraissent fortement imprégnés par l'Homme et sont bien trop jeunes pour pouvoir être acceptés par un clan de lions déjà existant", indique le parc qui dit se préparer pour un accueil à long terme.
Situé à Lumigny-Nesles-Ormeaux, entre Meaux et Melun, le Parc des Félins accueille environ 140 animaux, issus de 30 espèces de félins.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/2015/03/24/deux-lionceaux-abandonnes-devant-un-parc-animalier-de-seine-et-marne-686101.html

mardi 24 mars 2015

Portugal: Une espèce inconnue de salamandre géante vieille de plus de 200 millions d’années découvertes

Des ossements fossilisés découverts sur le site d'un ancien lac au Portugal appartenaient à une espèce jusqu'alors inconnue d'une sorte de salamandre géante ressemblant à un crocodile qui était parmi les plus grands prédateurs de la planète il y a plus de 200 millions d'années.
Cette espèce appelée «Metoposaurus algarvensis» était contemporaine des premiers dinosaures et du début de la dominance de ces derniers qui a duré plus de 150 millions d'années, ont expliqué ces scientifiques dont la découverte est publiée mardi dans la revue scientifique américaine, Journal of Vertebrate Paleontology.

Jusqu’à 2 mètres de long

Le Metoposaurus algarvensis faisait partie d'un groupe plus étendu d'amphibiens primitifs qui étaient répandus dans les basses latitudes il y a 220 à 230 millions d'années, précisent ces chercheurs. Ces amphibiens formaient aussi une partie des ancêtres dont descendent les amphibiens modernes comme les grenouilles et les tritons. Ces créatures, qui avaient une parenté éloignée avec les salamandres d'aujourd'hui, pouvaient atteindre deux mètres de long et vivaient dans des lacs et rivières à la fin du Triasique comme les crocodiles d'aujourd'hui, se nourrissant surtout de poissons.
«Ce nouvel amphibien ressemble à un monstre sorti tout droit d'un mauvais film d'horreur», note Steve Brusatte, un scientifique de l'école de géoscience de l'Université d'Edinbourg au Royaume-Uni, le principal auteur de ces travaux. «Il était aussi long qu'une petite voiture et avait des centaines de dents effilées dans sa grande tête plate...», précise-t-il. «C'était le type de prédateur redoutable dont les tous premiers dinosaures devaient éviter de se tenir trop près dans l'eau et ce longtemps avant les jours de gloire des T-Rex et des brachiosaures», ajoute le paléontologue.
Cette découverte révèle que ce groupe d'amphibiens était plus diversifié géographiquement que ce qu'on pensait précédemment. Cette espèce est le premier membre de ce groupe d'amphibiens préhistoriques a être mis au jour dans la péninsule ibérique, relèvent ces scientifiques. Des fossiles d'ossement d'espèces appartenant à ce même groupe ont été trouvés en Afrique, en Europe, en Inde et en Amérique du Nord. Des différences dans le crâne et la mâchoire des fossiles mis au jour au Portugal révèlent qu'ils appartenaient à une espèce séparée, précisent les scientifiques.

D’autres ossements fossilisés à découvrir

Cette nouvelle espèce a été découverte dans un site qui pourrait contenir de nombreux ossements fossilisés de plusieurs centaines de créatures mortes quand le lac s'est asséché, supputent ces chercheurs. Seule une petite partie a fait l'objet à ce jour d'une excavation, soit environ quatre mètres carrés. L'équipe continue à excaver les lieux dans l'espoir de mettre au jour de nombreux autres fossiles.
La plupart des membres de ce groupe de salamandres géantes ont disparu lors de l'extinction de masse qui remonte à 201 millions d'années et qui marque la fin de la période triasique quand le super-continent de Pangée, qui comprenait tous les continents actuels, avant qu'ils commencent à se séparer.
L'extinction a fait disparaître de nombreux groupes de vertébrés comme les grands amphibiens ouvrant la voie à la domination des dinosaures eux-mêmes emportés par une autre grande extinction il y a 65 millions d'années.

http://www.20minutes.fr/insolite/1569983-20150324-portugal-espece-inconnue-salamandre-geante-vieille-plus-200-millions-annees-découvertes

jeudi 19 mars 2015

Svalbard : un ours polaire blesse un touriste venu voir l'éclipse

Un touriste a été blessé jeudi par un ours polaire au Svalbard (Spitzberg), a indiqué la police locale. Un incident qui illustre les dangers potentiels guettant les férus d'astronomie accourus sur l'archipel norvégien pour y observer l'éclipse solaire totale.
Une personne a été légèrement blessée dans une attaque d'ours polaire. Elle faisait partie, semble-t-il, d'une expédition de touristes tchèques», a déclaré Sidsel Svarstad, une inspectrice de la police de ce groupe d'îles situé en plein coeur de l'Arctique. L'ours a été abattu, a-t-elle précisé.

Selon Sidsel Svarstad, les touristes tchèques participaient à une randonnée à pied et à ski à environ 50 km de Longyearbyen, le chef lieu de l'archipel.

L'attaque survient à la veille d'une éclipse solaire totale qui ne devrait être observée sur Terre que depuis le Svalbard et les îles Féroé, territoire danois autonome de l'Atlantique Nord. Elle illustre les dangers encourus par les «chasseurs d'éclipse» accourus des quatre coins du monde pour observer
la Lune passer devant le Soleil et plonger brièvement les lieux dans une obscurité totale. Entre 1.500 et 2.000 visiteurs étaient attendus à cette occasion.

Pour toute sortie en dehors des zones habitées, la réglementation locale impose d'être accompagné d'un guide local ou de s'équiper soi-même d'un
fusil. Cinq attaques mortelles d'ours polaires ont été dénombrées au Svalbard en l'espace d'une quarantaine d'années. La dernière a eu lieu en 2011 et entraîné la mort d'un adolescent britannique de 17 ans.

A la sortie de Longyearbyen, un panneau de signalisation très particulier, représentant un ours blanc sur fond triangulaire noir, met en garde contre le danger. Environ 3.000 ours vivent dans la région, soit un peu plus que la population locale qui tourne autour de 2.500 habitants.
L'attaque s'est produite en bordure de fjord à une cinquantaine de kilomètres au nord-est de Longyearbyen.

http://www.leparisien.fr/insolite/svalbard-un-ours-polaire-blesse-un-touriste-venu-voir-l-eclipse-19-03-2015-4617541.php

jeudi 12 mars 2015

Un taureau à deux têtes vendu aux enchères en Australie

Après le veau à deux têtes, le dauphin à deux têtes, le chat à deux têtes, voici le taureau à deux têtes ! L'étrange spécimen a attiré la curiosité des internautes après que sa photo a été publiée sur la page Facebook de Mareeba Salesyard, un négociant en bétail de la région de Cairns, au nord-est de l'Australie.
Proposée aux enchères mercredi, la bête a été vendue 537 dollars australiens (environ 388 euros)... à un abattoir, rapporte le «Daily Mail».

Sur les photos prises par l'élevage -et depuis retirées-, «la double tête» est composée d'un deuxième museau recouvrant le premier. «Il a juste un œil en plus, une seule dent et des narines qui fonctionnent», a déclaré l'exploitant, soulignant que l'animal, de 440 kg, était en «très bonne santé».

Selon le chef de l'exploitation, Gerry Collins, cité par «The Canberra Times», une variation génétique est à l'origine de la difformité. Mais, indique-t-il, le taureau «est capable de vivre une vie normale et de mâcher sa nourriture facilement». Et l'éleveur de préciser qu'il n'avait pas été surpris de découvrir le spécimen, ayant déjà eu affaire à d'autres animaux à deux têtes ou pattes supplémentaires, en trente ans de carrière.http://www.leparisien.fr/insolite/un-taureau-a-deux-tetes-vendu-aux-encheres-en-australie-12-03-2015-4598075.php

mercredi 11 mars 2015

Spectaculaire «livraison» de deux rhinocéros blancs au zoo de Thoiry

Une opération délicate et plutôt inédite s’est déroulée ce mardi matin au zoo de Thoiry (Yvelines). Deux jeunes rhinocéros mâles sont arrivés par camion, depuis les Pays-Bas, en provenance de deux autres parcs zoologiques dans le cadre d’un programme de sauvegarde de cette espèce menacée
Leur caisse a dû être hissée par une grue à proximité de leur enclos avant que les animaux ne soient invités à rejoindre leur nouvelle demeure. Si le premier des deux mâles, Vince, a joué le jeu, le second, baptisé Bruno, s’est montré plus agressif. Il a même foncé dans l’une des barrières de protection. Heureusement, l’équipe du zoo, emmenée par le chef soigneur Eric Deleusse, est parfaitement formée.
http://www.leparisien.fr/yvelines-78/en-images-spectaculaire-livraison-de-deux-rhinoceros-blancs-au-zoo-de-thoiry-10-03-2015-4592075.php

dimanche 8 mars 2015

À Levier, pénétrez dans le royaume secret du lynx

JUSQU'AU 21 MARS, le lynx prend ses quartiers au musée-relais du cheval comtois et de la forêt sous forme d’exposition photos. Des photos sensibles, givrées de poésie à découvrir en grand format tirées en partie du livre d'images « La forêt du lynx », de Didier Pépin.
Naturaliste et photographe animalier de talent, ce biologiste s'est pris de passion pour la nature et la forêt habitées de leurs hôtes. Une passion dévorante qu'il a couchée dans un ouvrage et qui emporte son lecteur à la découverte d'horizons inconnus peuplés par la gelinotte, le grand tétras, la chevêchette et bien sûr le lynx qu'il nomme « le prince des bois ». Pendant dix ans, de jour comme de nuit, Didier Pépin a arpenté la forêt sauvage du Jura pour observer les traces du légendaire félin pour en avoir une parfaite connaissance et même tenter de s'identifier à lui afin de vivre un jour l'instant magique d'un face-à-face avec le seigneur du massif jurassien.
« La récompense suprême a eu lieu un 8 mars. Il me regarde fixement avec curiosité mais sans crainte. Adossé à un épicéa, je n'ose pas bouger. L'animal que je traque depuis des mois est enfin là devant moi ! Des frissons me parcourent le dos et une larme perle au coin de mes yeux », écrit Didier Pépin dans son livre. Pour partager de tels moments de complicité mais aussi ses chassés-croisés avec le puissant félin et ses rencontres répétées, Didier animera une conférence illustrée d'images et d’anecdotes, vendredi 13 mars à 20 h 30 à la salle du musée.
Conférence : vendredi 13 mars à 20h30. Entrée : 2 € adulte. Gratuit pour les enfants.
Ouverture du musée pour l'exposition : mardi et jeudi de 14h à 18h. Mercredi et samedi de 10h à 12h et de 14h à 18h.
http://www.estrepublicain.fr/loisirs/2015/03/07/a-levier-penetrez-dans-le-royaume-secret-du-lynx

jeudi 5 mars 2015

Du venin d'araignée pour soulager les douleurs chroniques?

Elles sont à l'origine de l'une des peurs les plus répandues au monde: l'arachnophobie, dont souffriraient la moitié des femmes et 10% des hommes de la planète. Une vieille résurgence de notre instinct de survie primitif, qui nous pousse à fuir devant ses petits crocs au venin parfois mortel. Pourtant, l'araignée pourrait être la clé du salut de millions de personnes souffrant de douleurs chroniques, comme le révèle une étude parue ce mercredi dans le British Journal of Pharmacology.

Bloquer la douleur

Les douleurs chroniques, c'est lorsque les nerfs d'une partie du corps envoient des signaux continus au cerveau par les canaux de la douleur. Une personne sur cinq dans le monde en souffrirait. C'est pourtant un mal que les médicaments actuellement disponibles sur le marché ne parviennent pas à soulager efficacement.
Dans ce circuit de la douleur, les canaux Nav1.7 ont un rôle majeur. «Des recherches antérieures ont démontré qu'une mutation génétique touchant les canaux Nav1.7 rend insensible à la douleur», explique le Pr Glenn King, auteur de l’étude. «Bloquer ces canaux pourrait potentiellement éteindre la douleur chez les personnes dont les circuits de la douleur sont normaux». Et permettre ainsi de traiter un large éventail de douleurs.

Avec du venin de tarentule

Pour y parvenir, des chercheurs de l’université du Queensland (Australie) se sont penchés sur le venin de 205 espèces d'arachnides. Parmi les échantillons analysés, 82 d'entre eux contiennent des molécules capables d'agir sur ces fameux canaux Nav1.7.
Au cours de son étude, l'équipe a isolé sept composés dont un très prometteur, décelé dans le venin d'une espèce d'araignées membre de la famille des tarentules. Plus puissant que les autres, il a aussi l'atout d'être très stable sur les plans thermique, biologique et chimique. Parfait pour s'imposer comme le médicament antidouleur de demain.
«Explorer cette source naturelle de nouveaux traitements apporte un grand espoir d'accélérer le développement d'une nouvelle classe d'antalgiques qui peuvent aider les gens qui souffrent de douleur chronique qui ne peut être traitée avec des options de traitement actuelles», se réjouit le Dr Julie Klaae Klint, membre de l'équipe de recherches. A ce jour, seul 0,01% de ce nouveau paysage pharmacologique a été exploré, alors que le venin d'animaux pourrait traiter de nombreuses pathologies
http://www.20minutes.fr/sante/1555599-20150305-venin-araignee-soulager-douleurs-chroniques

mercredi 4 mars 2015

Vidéo Au Japon, «l’île aux chats» se nomme Aoshima


Au Japon, «l’île aux chats» se nomme Aoshima par 20Minutes C’est une petite île du sud Japon, où rien, ou presque, ne perturbe le cours tranquille de la vie des résidents, pour la plupart retraités
A part les touristes, attirés par les dizaines et des dizaines de chats de l’île d’Aoshima, surnommée «l’île aux chats» raconte le site theatlantic.com. Il y a environ 120 chats, soit six chats par personne, sur cette île longue d’1,6 kilomètre.

Pas de prédateurs

Les touristes n’hésitent pas venir en ferry sur l’îlot pour donner à manger, caresser et câliner les animaux qui se baladent entre le port et les bâtiments abandonnés
Les chats ont été introduits sur cette île pour la dératiser et se sont depuis lors multipliés, n’ayant pas de prédateurs.
http://www.20minutes.fr/insolite/1554519-20150304-video-japon-ile-chats-nomme-aoshima

mardi 3 mars 2015

Maine-et-Loire : un soigneur du zoo blessé par une panthère

Le fauve, une panthère de Ceylan, a surpris l'employé du Bioparc de Doué-la-Fontaine qui était entré dans sa cage qu'il pensait vide. Le soigneur souffre de griffures à la main et au cuir chevelu.
L'intervention d'un autre soigneur lui a peut-être sauvé la vie comme le rapporte le Courrier de l'Ouest. Un professionnel animalier de 27 ans du Bioparc, le zoo de Doué-la-Fontaine (Maine-et-Loire), a eu la vie sauve après avoir été attaqué dans son enclos par une panthère de Ceylan, une variété de léopard venue du Sri Lanka.

 Convaincu que les deux fauves étaient à l'extérieur, le soigneur est entré dans l'abri et a été attaqué par l'animal. Joint ce mardi matin par LeParisien.fr, le zoo de Doué-la-Fontaine évoque un «simple accident du travail qui a pris de l'ampleur médiatique».

Griffé au cuir chevelu et à la main, le jeune soigneur s'est fait poser des points de suture. Il est sorti de l'hôpital de Saumur ce matin après une nuit d'observation.