samedi 25 décembre 2010

mercredi 1 décembre 2010

dimanche 28 novembre 2010

mercredi 24 novembre 2010

Une note d'espoir pour les tigres

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Les dirigeants des treize pays abritant encore des tigres ont pris des engagements historiques...
Le sommet consacré à la survie des tigres s'est achevé mercredi sur une note d'espoir pour ce félin légendaire. "C'est un évènement historique. C'est comme un rêve qui devient réalité", s'est enthousiasmé le chef de la délégation indienne Satya Prakash Yadav, responsable du ministère de la protection de l'Environnement, lors de la session de clôture. Le Premier ministre russe Vladimir Poutine, quatre de ses homologues d'Asie (Chine, Laos, Népal et Bangladesh) ainsi que Robert Zoellick, le président de la Banque mondiale qui supervise le financement des programmes de protection du fauve, ont participé à ce sommet de quatre jours à Saint-Pétersbourg (nord-ouest).


Leonardo DiCaprio donne un million de dollars
L'acteur américain Leonardo DiCaprio, qui a participé au sommet, a fait un don d'un million de dollars pour le programme de préservation du tigre. Il a été chaleureusement félicité par Vladimir Poutine pour être venu à Saint-Pétersbourg en dépit de plusieurs problèmes d'avion après son départ de New-York: d'abord un atterrissage d'urgence après un incendie sur un moteur puis une escale forcée en Finlande sur un deuxième appareil. "Vous êtes un homme, un vrai", lui a dit l'homme fort de Russie.


Protecteur affiché de la nature sauvage, Vladimir Poutine a appelé la communauté internationale à sauver le tigre de la "catastrophe" en citant une phrase de Mahatma Gandhi: "Là où le tigre se porte bien, tout le monde se porte bien". "Le forum a atteint son objectif, maintenant il est temps de transformer les décisions en actions sur le terrain", a souligné Satya Prakash Yadav. L'Inde et la Chine sont au coeur du problème, le sous-continent abritant la moitié des fauves existants et représentant 54% des cas recensés de braconnage, alors que les Chinois sont les principaux consommateurs de produits dérivés utilisés dans la médecine traditionnelle.


Doubler le nombre de tigres d'ici à 2022
Les participants au sommet ont approuvé mardi une déclaration ayant pour objectif "de doubler le nombre de félins d'ici 2022", la prochaine année du tigre selon le calendrier chinois. Leur nombre a chuté en un siècle de 100.000 à 3.200 et trois sous-espèces ont complètement disparu. Le sommet de Saint-Pétersbourg - première réunion de chefs de gouvernement et d'organisations internationales pour la sauvegarde d'une seule espèce- doit déboucher sur l'octroi de 350 millions de dollars sur cinq ans pour mettre en oeuvre un plan d'action mondial. "Le sommet servira de coup de pouce pour collecter des fonds", a déclaré à l'AFP Andreï Kouchline, coordinateur de la Banque mondiale pour le plan de la préservation du tigre.


Pour John Robinson, vice-président de la Société de préservation de la nature sauvage, le principal résultat du sommet est le "consensus" entre les pays où vivent des tigres. "La Banque mondiale et les principaux donateurs attendaient un message unique des pays. Ce message a été formulé. Je suis très optimiste", a déclaré à l'AFP John Robinson, qui a travaillé pendant deux ans avec l'initiative mondiale pour le tigre. Un consortium international pour la protection du tigre réunissant Interpol, CITES, le bureau de l'ONU de lutte contre la drogue et le crime organisé et les douanes des Etats concernés a été lancé mardi dans le cadre de ce programme. "Je n'ai jamais vu un tel enthousiasme dans la préservation du tigre", s'est félicité mercredi John Sellar, responsable de la CITES (Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction).


http://www.20minutes.fr/article/628079/planete-une-note-espoir-tigres

dimanche 21 novembre 2010

dimanche 7 novembre 2010

mercredi 3 novembre 2010

jeudi 28 octobre 2010

mardi 19 octobre 2010

dimanche 17 octobre 2010

mardi 5 octobre 2010

mercredi 29 septembre 2010

vendredi 24 septembre 2010

mardi 21 septembre 2010

lundi 20 septembre 2010

vendredi 10 septembre 2010

jeudi 9 septembre 2010

dimanche 29 août 2010

vendredi 20 août 2010

Deux ligres, croisements d'un lion et d'une tigresse, sont nés à Taïwan

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Trois ligres, félins hybrides nés du croisement d'une tigresse et d'un lion, ont vu le jour à Taïwan, dans un zoo privé. Alors que l'un d'entre eux est mort juste après sa naissance, les deux autres ont été saisis par les autorités.
Les parents, un lion africain et une tigresse du Bengale, vivaient dans la même cage depuis six ans et rien ne s'était jamais passé entre eux, assure Huang Kuo-nan, propriétaire de la World Snake King Education Farm, un zoo privé situé au sud de Taïwan qui fait depuis quelques jours l'actualité. "La grossesse de la tigresse m'a totalement pris au dépourvu" explique l'amoureux des animaux, qui risque aujourd'hui une amende de 50.000 dollars taïwanais, soit 1.600 dollars, pour avoir fait naître des animaux sauvages sans autorisation préalable. Les autorités locales du comté de Tainan ont saisi les deux bébés, afin de les placer dans un autre parc du sud du pays. Leur ancien propriétaire espère que "l'on prendra bien soin des deux bébés", dont la mère s'est totalement désintéressée. Généralement plus grands que les lions, les ligres sont extrêmement rares. Leur population ne compterait pas plus d'une dizaine d'individus.
http://www.maxisciences.com/ligre/deux-ligres-croisements-d-039-un-lion-et-d-039-une-tigresse-sont-nes-a-taiwan_art8818.html

dimanche 15 août 2010

vendredi 13 août 2010

mercredi 11 août 2010

mardi 10 août 2010

dimanche 8 août 2010

vendredi 6 août 2010

Dans le sillage des requins

Chaque année, 15 hommes sont tués par des requins, 100.000.000 de requins sont tués par des humains. Lequel a raison d'avoir peur de l'autre ? L'exposition Dans le sillage des requins entend tordre le cou à l'image des Dents de la mer en faisant découvrir l'univers de ce poisson cartilagineux et celui de ses cousins, les chimères et les raies.

Pour commencer, tout ce beau monde est vieux de plus de 400 millions d'années. La pièce à ne pas manquer, exposée pour la première fois : le premier cerveau fossile découvert (300 millions d'années). À ce jour, plus de 550 espèces - de petite taille principalement - ont été recensées. Le requin à pointes noires qui continue de hanter l'imaginaire des nageurs n'est donc qu'un spécimen parmi tant d'autres. Quelques exemples sont d'ailleurs visibles dans l'aquarium. Et plutôt que d'avoir peur d'eux, il faudrait envisager de les protéger. Car, situés tout en haut de la chaîne des espèces en mer, ils ont un précieux rôle de régulateurs. Si leur nombre diminue, leurs proies vont augmenter et consommer plus de poissons herbivores. Résultat : une prolifération des algues au détriment des coraux.
Si le propos est instructif, on regrette la scénographie du parcours : aucune signalisation, pas de panneau introductif à l'entrée de chaque partie et trop peu de choses à voir au final. Certes, des photos grandeur nature et des rushes du film Océans de Jacques Perrin ponctuent la visite. Mais on reste sur notre faim.
Jusqu'au 6 mars. Aquarium tropical de la Porte Dorée (12e). Tous les jours sauf le lundi, de 10 heures à 17 h 15, 18 h 45 le week-end. www.aquarium-portedoree.fr. 01.53.59.58.60. Tarif : 6,50 euros.
Débat autour de ce thème lundi 8 à 18 heures. Auditorium de la grande galerie de l'évolution (5e). Entrée libre dans la limite des places disponibles.
http://www.lepoint.fr/sortir/dans-le-sillage-des-requins-06-08-2010-1222697_18.php

dimanche 1 août 2010

vendredi 30 juillet 2010

mercredi 28 juillet 2010

mardi 27 juillet 2010

Ils sont aujourd'hui dix-neuf ours à vivre dans le massif des Pyrénées. Et si les associations écologistes réclamaient la réintroduction d'un ou deux animaux supplémentaires chaque année, le ministère chargé de l'Environnement ne satisfera pas à cette demande. "L'objectif est de conserver une population viable, c'est-à-dire qui se reproduit, sans besoin d'introduction" a souligné Chantal Jouanno devant le Comité de massif des Pyrénées. Désormais, un nouvel ours ne sera introduit qu'en cas de décès d'un autre animal. Ainsi l'ourse Franska, tuée par un automobiliste en 2007, sera-t-elle remplacée. Une introduction qui devra toutefois attendre 2011."Conserver l'ours dans les Pyrénées est une obligation. Si la France ne respecte pas cet engagement international et européen, elle sera condamnée, et les aides européennes aux Pyrénées risquent d'être suspendues", a insisté la secrétaire d'État dans un entretien accordé au Parisien.Soulignant que l'écologie doit se faire avec les populations locales, Chantal Jouanno a ainsi expliqué que d'autres animaux pourraient plus tard être réintroduits, si le suivi des experts venait à révéler un taux de natalité trop faible pour assurer la sauvegarde de l'ours brun. Un plan qui ne satisfait pas les défenseurs de l'ours, qui affirment d'ores et déjà que la vingtaine d'animaux qui peuplent les Pyrénées ne suffiront pas. Il est selon eux nécessaire d'introduire deux femelles dans le noyau occidental du Béarn, où ne vivent actuellement que trois mâles
http://fr.news.yahoo.com/68/20100727/tsc-ours-fin-des-rintroductions-dans-les-04aaa9b.html


lundi 19 juillet 2010

dimanche 18 juillet 2010

vendredi 16 juillet 2010

jeudi 15 juillet 2010

lundi 12 juillet 2010

lundi 5 juillet 2010

dimanche 4 juillet 2010

samedi 3 juillet 2010

jeudi 1 juillet 2010

mardi 22 juin 2010

dimanche 20 juin 2010

vendredi 18 juin 2010

Problèmes de soins des animaux au zoo de Calgary

CALGARY - Un examen du zoo de Calgary indique qu'une hausse du nombre de décès parmi les animaux est inquiétante et pourrait refléter un problème plus vaste.


L'étude ajoute que le nombre de morts attribuables à une erreur humaine est nettement plus élevé que dans d'autres zoos de taille comparable.


Le zoo affirme qu'il adoptera 36 mesures pour remédier à la situation.


L'établissement avait demandé un examen de ses opérations après le décès de plusieurs animaux, dont 41 pastenagues lors d'une présentation interactive.


Le président du zoo, Clement Lanthier, affirme que même quelques erreurs ne sont pas acceptables. Le zoo est déjà à mettre en place des améliorations, a-t-il dit, les tâches des gardiens ont été révisées et la charge de travail redistribuée.


M. Lanthier a ensuite rappelé par voie de communiqué que son personnel effectue environ 3,6 millions d'interventions par année, et que l'an dernier ce sont cinq erreurs qui ont été commises.


L'étude a été menée par l'Association of Zoos and Aquariums des États-Unis et l'Association des zoos et aquariums du Canada, dont le siège social se trouve à Ottawa.


Elle a été demandée en décembre quand un capybara — un grand rongeur originaire d'Amérique centrale — a été écrasé à mort lorsqu'un employé a fermé une porte hydraulique.


Un hippopotame, un cerf-mulet et un markhor du Turkménistan ont aussi perdu la vie au cours des dernières années.

http://rds.yahoo.com/_ylt=A0wNdL8aKRtMBeMA_7RoAQx.;_ylu=X3oDMTByNHVlOTJuBHBvcwMxBHNlYwNzcgRjb2xvA2FjNAR2dGlkAw--/SIG=12mer4jd1/EXP=1276934810/**http%3a//cf.news.yahoo.com/s/capress/100617/nationales/zoo_calgary_1

mercredi 16 juin 2010

mardi 15 juin 2010

dimanche 13 juin 2010

Un chat s’enfuit d’une clinique vétérinaire pour éviter la castration

Un chat s'est échappé d'une clinique vétérinaire juste avant de se faire opérer pour une castration.
Lexi, 2 ans, s'apprêtait à subir une castration lorsqu'il a décidé de s'enfuir par la fenêtre laissée ouverte par le vétérinaire. Sa propriétaire, Maria Brown, avait emmené ses deux chats, Angel et Lexi à la clinique afin de les faire castrer. Cependant, quelle ne fût pas sa surprise lorsqu'en allant récupérer se deux félins, on lui remit Angel et un lapin. C'est lorsqu'elle a fait remarquer l'erreur que Mlle Brown a appris que Lexi avait disparu. Le vétérinaire a alors expliqué que le lapin était le suivant sur la table d'opération après Angel et ainsi, il pensait qu'il s'agissait de l'animal de Mme Brown. "J'espère que cette dame aura un jour le courage de nous pardonner. Je suis vraiment, vraiment désolé", a déclaré le directeur de la clinique.
http://www.zigonet.com/chat/un-chat-s-enfuit-d-une-clinique-veterinaire-pour-eviter-la-castration_art12494.html

mardi 8 juin 2010

Marée noire: la faucheuse englue oiseaux et animaux marins

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Par Dominique Raizon
Selon un dernier bilan officiel publié le 5 juin 2010, près de 530 oiseaux ont déjà péri, victimes de la marée noire qui souille depuis quelque 45 jours le littoral du golfe de Mexique,. Le nombre d'oiseaux et d'animaux marins, comme les tortues de mer et les dauphins, morts ou blessés est en augmentation.

La communauté scientifique se désole : « Quel que soit le nombre de bénévoles déployés sur le terrain, nous ne pourrons jamais scruter le littoral pour pouvoir sauver tous les animaux en danger », affirme Sharin Taylor, une vétérinaire spécialiste de la faune sauvage qui travaille pour le Service fédéral de protection de la faune et des poissons (USFWS).
Après avoir abîmé des zones humides protégées en Louisiane et des chapelets d'îlots au large du Mississipi et de l'Alabama, les boulettes de brut qui s'échappent depuis le 20 avril du puits sous-marin accidenté de BP ont atteint désormais une partie des célèbres plages de sable blanc de Floride -surnommée the Sunshine State (« l'Etat du soleil »). Le centre de commandement chargé de la lutte contre la marée noire du golfe du Mexique a annoncé que l'îlot de Queen Bess Island, situé dans la baie de Barataria, a été atteint par la nappe « poussée par des vents forts ».

50% à 70% de chances de survie une fois débarrassés du pétrole

Tom Bancroft, un autre scientifique, estime que les statistiques publiées par les pouvoirs publics ne traduisent pas l'entière réalité. Selon lui, « certains (oiseaux) coulent à pic en mer et ne pourront jamais être comptabilisés parmi les victimes de la marée noire ». Parmi les espèces animales les plus menacées figurent des oiseaux du littoral qui se reproduisent sur les côtes du golfe du Mexique, comme le pluvier de Wilson.
Les autorités américaines ont recensé 60 oiseaux (dont 41 pélicans) englués par la marée noire. Le pélican brun, emblématique de la Louisiane, retiré depuis seulement 2009 de la liste des espèces en voie de disparition est menacé. L'Agence américaine des océans et de l'atmosphère (NOAA) signale également de nombreuses tortues marines souillées de pétrole dans la zone de la nappe.
Les oiseaux ont été emmenés dans un centre de secours situé dans la localité de Fort Jackson (au sud de la Caroline), où ils devaient être nettoyés. Les tortues sont capturées, nettoyées puis transférées dans un aquarium des environs de La Nouvelle-Orléans pour y être soignées. Mais l'expérience prouve que beaucoup d'animaux meurent pendant le transport et n'ont que 50% à 70% de chances de survie une fois débarrassés du pétrole qui les recouvre
lire la suite sur....

http://rds.yahoo.com/_ylt=A0wNdL.sMg5MIPoAgixoAQx.;_ylu=X3oDMTByOHZpMmZxBHBvcwMyBHNlYwNzcgRjb2xvA2FjNAR2dGlkAw--/SIG=13aqtb7re/EXP=1276085292/**http%3a//www.rfi.fr/science/20100607-maree-noire-faucheuse-englue-oiseaux-animaux-marins

La cigogne bleue fait des bébés blancs

Son arrivée début avril à Biegen, village niché non loin de Berlin, avait été très remarquée. Que l'on en juge : une cigogne bleue, voilà qui sort de l'ordinaire. Les espèces les plus connues sont la cigogne blanche et la cigogne noire... mais ce genre de cigogne au corps azur finissant sur une queue noire était jusqu'alors inconnu des naturalistes. La couleur insolite de l'oiseau, attirant divers ornithologues et autres touristes, a en tout cas rapidement relancé l'activité locale, plus particulièrement l'activité de l'auberge-restaurant et des différentes boutiques souvenirs, par la vente de cartes postales et autres souvenirs, à l'effigie de la "Cigogne Schtroumpf". Et un site internet lui a rapidement été consacré.

Mais de quelle couleur seraient donc les petits ? La question taraudait visiteurs et voisins du digne animal. Et depuis avril, les badauds se succédaient pour guetter la cigogne et son nid. La réponse est venue en ce lundi 7 Juin, avec l'éclosion tant attendue par les villageois et les touristes, dont certains venus des Pays-Bas.

Les explications possibles : polluants ou peinture bleue

Déception : les trois petits cigogneaux sont très classiquement et banalement d'un plumage noir et blanc. Bien loin du bleu azur de leur déjà illustre géniteur. Malgré leur frustration, les habitants de Biegen n'en sont guère surpris : de nombreux spécialistes, amenés à témoigner sur la question, avaient déclaré que cette couleur inusitée n'était certainement pas due à une mutation génétique. Et que par conséquent, elle avait peu de chances de se transmettre à sa descendance.

Parmi les raisons possibles de ce plumage coloré, les experts avancent celle d'un contact avec des produits polluants en provenance, par exemple, de décharges africaines (la cigogne passant les mois d'hiver en Afrique). Ou, plus simplement, situés au niveau de l'ancien emplacement du nid de la cigogne, au sommet d'une cheminée d'exploitation horticole. La théorie de la peinture laquée, bien que moins probable, n'est toutefois pas exclue. Un mystère qui ne devrait pas être élucidé avant plusieurs mois, lors de la repousse des plumes. Les habitants de Biegen et admirateurs de la cigogne bleue devront faire encore preuve de patience.
http://lci.tf1.fr/insolite/2010-06/la-cigogne-bleue-fait-des-bebes-blancs-5871248.html

lundi 7 juin 2010

samedi 5 juin 2010

Etats-Unis : le Turtle Hospital vient en aide aux tortues victimes de la marée noire

Floride, États-Unis - Le Turtle Hospital est la seule clinique vétérinaire certifiée par l'État pour soigner les tortues blessées ou malades. Il aide actuellement au nettoyage de ces animaux, durement touchés par la marée noire qui sévit depuis 40 jours dans le golfe du Mexique.
En général, soixante-dix tortues blessées sont soignées au Turtle Hospital chaque année. Cependant, les chiffres de l'année 2010 sont largement supérieurs. En effet, cet hiver a été particulièrement rude, et ce ne sont pas moins de 188 tortues qui ont dû être hospitalisées. S'ajoute à cela les conséquences de la marée noire, qui aurait déjà tué au moins 186 de ces reptiles menacés.

De nombreuses autres tortues sont en danger. A l'hôpital, elles sont nettoyées grâce à du liquide vaisselle ou de la mayonnaise, qui enlèvent très bien le pétrole brut fixé sur les animaux. Dès que possible les tortues sont relâchées dans leur milieu naturel. Celles pour qui cela est impossible restent dans le bâtiment, dans de grands bassins d'eau salée ou s'en vont dans divers aquariums du pays, où leur triste sort sert à faire prendre conscience des dangers qui les guettent.

Le Turtle Hospital a ouvert ses portes en 1936 et est financé en grande partie par des donations. Cet hôpital est équipé d'une ambulance spécialement conçue pour les tortues, ainsi que d'une salle d'opération. Certains membres du personnel vont jusqu'à dormir sur place afin de pouvoir prodiguer aux animaux des soins à n'importe quelle heure du jour et de la nuit.

http://www.maxisciences.com/turtle-hospital/etats-unis-le-turtle-hospital-vient-en-aide-aux-tortues-victimes-de-la-maree-noire_art7604.html

vendredi 4 juin 2010

Pamela Anderson écrit à Poutine pour sauver les phoques

L'actrice et ancien mannequin vedette canadienne Pamela Anderson a écrit une lettre au Premier ministre russe, Vladimir Poutine, pour lui demander d'interdire l'importation de peaux et de fourrures de phoques canadiens en Russie, a rapporté vendredi la presse russe.

«Vous avez interdit de tuer les bébés phoques en Russie et je vous écris pour vous demander d'interdire les importations de la peau des phoques de mon Canada natal où presque tous les phoques tués ont moins de trois mois», selon un extrait de sa lettre citée vendredi par plusieurs quotidiens russes.

La Russie est l'un des principaux consommateurs des fourrures de phoques canadiens. Selon le porte-parole du Premier ministre russe, Dmitri Peskov, Vladimir Poutine «est très sensible» au sujet évoqué.

Ce n'est pas la première fois qu'une célébrité en appelle à l'homme fort de Russie au sujet des animaux. L'actrice française Brigitte Bardot l'avait alerté en 1999 au sujet des bébés phoques et a remercié 10 ans plus tard son «Président de coeur» pour son initiative.

Vladimir Poutine affiche son penchant pour les animaux sauvages. Il a systématiquement pris la défense devant les caméras des bébés phoques, ours polaires ou encore des léopards.

http://www.leparisien.fr/actualite-people-medias/pamela-anderson-ecrit-a-poutine-pour-sauver-les-phoques-04-06-2010-950477.php

jeudi 3 juin 2010

Pour sauver les baleines, l'Australie attaque le Japon

Entre l'Australie, partisane déclarée de l'interdiction de la chasse à la baleine, et le Japon, chasseur sans état d'âme, le dialogue est souvent difficile quand on aborde la question des cétacés. Notamment au sein de la Commission baleinière internationale, où ils s'opposent régulièrement. Cette fois, les autorités australiennes ont décidé de porter le différend à un niveau supérieur en portant plainte devant la Cour Internationale de Justice pour mettre un terme à la pêche à la baleine pratiquée par le Japon dans l'Antarctique. La nouvelle a été annoncée par des responsables japonais, qui l'ont jugée "extrêmement regrettable". Et pendant que l'Agence japonaise des Pêcheries fourbit ses armes après cette offensive et réfléchit "de la façon d'y répondre", le gouvernement fait savoir, avec un sens développé de la litote, qu'il "va traiter cette affaire de façon appropriée".

Le Japon pêche chaque année plusieurs centaines de baleines au nom de la "recherche scientifique", approuvée par la Commission baleinière internationale qui interdit en revanche la chasse commerciale depuis 1986. Un compromis bancal qui irrite les défenseurs des baleines; aussi, la semaine dernière, le ministre australien chargé de la Protection de l'Environnement avait-il menacé de porter l'affaire devant la Cour de Justice de La Haye. "Nous voulons faire cesser la chasse aux baleines tuées au nom de la science dans l'Antarctique", avait-il promis. Le ministre australien des Affaires étrangères estime pour sa part que l'action judiciaire n'affectera pas les relations avec le Japon, premier marché à l'export de l'Australie.

"Tradition" contre protection des baleines

Les autorités japonaises affirment que la chasse à la baleine est une tradition culturelle ancestrale, un argument rejeté notamment par les militants de l'association de défense de l'environnement Sea Shepherd et son fondateur canadien Paul Watson, qui harcèlent chaque année les activités de la flotte japonaise dans l'Antarctique.

Face à cette guérilla des protecteurs des baleines, le Japon lui-même a réagi par la voie judiciaire : le procès d'un militant néo-zélandais de Sea Shepherd se déroule actuellement à Tokyo. Peter Bethune est accusé d'avoir blessé au visage un jeune marin japonais en jetant une flasque d'acide butyrique (beurre rance) en février contre le baleinier Shonan Maru 2 dans les eaux de l'Antarctique. Il a reconnu s'être introduit illégalement à bord de ce baleinier, mais rejette l'accusation de "coups et blessures". Le militant risque jusqu'à 15 ans de prison. Les campagnes de harcèlement des écologistes obtiennent toutefois des résultats: cette année, les pêcheurs japonais, qui avaient l'intention de tuer 850 baleines de Minke, ne sont revenus qu'avec 507 cétacés.
http://lci.tf1.fr/

lundi 31 mai 2010

Les 20 ans d'Océanopolis

Océanopolis fêtera ses vingt ans d'existence le 7 juin prochain !

Avant que la fête ne démarre, avec ses caméras, l'équipe de Littoral est partie sonder les entrailles de ce magnifique aquarium brestois.


Depuis 1990, plus de 8 millions de visiteurs se sont succédé ici pour admirer tous les poissons et les mammifères des pavillons polaires, tropicaux ou tempérés, mais très peu ont eu la chance de découvrir les coulisses de ces lieux.


Grâce à Littoral, et aux reportages de Philippe Abalan, vous vous rendrez d'abord dans les cuisines où se mitonne le meilleur du plancton et des algues en tous genres. Océanopolis dispose d'une cinquantaine d'aquariums, qui hébergent en tout près de 10 000 animaux qu'il faut nourrir !

Vous vous rendrez ensuite dans l'antichambre des aquariums où l'on ausculte les animaux blessés, et où l'on gère les effectifs au quotidien... Ainsi par exemple, comme les manchots se sentent particulièrement bien à Brest, ils font trop de bébés, à tel point qu'il faut régulièrement en donner à des aquariums étrangers pour éviter surpopulation et consanguinité. A l'inverse, au début de chaque hiver, les soigneurs finistériens recueillent et soignent des dizaines de jeunes phoques sauvages sur les plages, épuisés par les premiers coups de vent.


Enfin, vous pourrez vous plonger dans les traces des plus beaux fonds sous-marins filmés en caméra HD. En cette année 2010 où l'on célèbre la biodiversité, Littoral peut vous assurer que ce n'est pas un vain mot à Océanopolis… Des requins aux coraux tropicaux, des manchots aux phoques de l'Arctique, il y a ici toute une diversité marine à découvrir ou redécouvrir, jusqu'au Napoléon… le coup de cœur de l'émission !


Sont invités dans l'émission Eric Hussenot, directeur et cofondateur d'Océanopolis, ainsi que Sami Hassani, responsable du laboratoire de recherche sur les mammifères marins et oiseaux de mer.

http://rds.yahoo.com/_ylt=A0wNdJwipgNMjLoAGWZoAQx.;_ylu=X3oDMTBybjZoZHVsBHBvcwM0BHNlYwNzcgRjb2xvA2FjNAR2dGlkAw--/SIG=128a3dt1m/EXP=1275393954/**http%3a//ouest.france3.fr/emissions/quizz-2367230.html

dimanche 30 mai 2010

Que faire face à un oisillon tombé du nid ?

Pour de nombreuses espèces d'oiseaux, le printemps est synonyme de période de reproduction. Rien d'étonnant donc à ce que, cette année encore, la Ligue de protection des oiseaux (LPO) reçoive de nombreux appels de personnes démunies devant un oisillon tombé au sol. Dans un communiqué, elle rappelle les conseils à suivre face à ce genre de situation.
Tomber du nid fait partie des aléas de la vie d'oiseau et certains oisillons téméraires de plusieurs espèces (chouettes, grives, merles) quittent leur nid avant de savoir voler. La plupart du temps, leurs parents ne sont pas loin et attendent que nous nous soyons éloignés pour revenir s'en occuper. Avant d'agir, il faut donc s'assurer que l'oisillon est réellement en détresse. Dans un premier temps, conservez vos distances avant d'aller vers lui et regardez s'il est seul, blessé ou en danger.

S'il s'agit d'un oisillon en duvet ou peu emplumé, replacez-le dans son nid si ce dernier est intact et sinon, essayez d'en fabriquer un sommaire au même endroit.Si l'oisillon est bien emplumé, presque prêt à voler, qu'il sautille au sol sans réussir à décoller, il peut avoir quitté son nid trop tôt ou être à quelques jours de son envol. Laissez faire ses parents. Si vous l'avez déjà recueilli, remettez-le vite où vous l'avez trouvé. S'il se trouve en un lieu particulièrement exposé (chat, route...), essayez de le mettre en sûreté sur une branche, un muret, dans une haie ou un buisson et à proximité du lieu où vous l'avez recueilli. Les oiseaux, contrairement aux mammifères ont un odorat très peu développé. Le fait de les toucher n'entraînera donc aucun rejet de la part des parents.

Si, toutefois, l'oiseau vous paraît trop jeune ou faible, et dans l'éventualité où des dangers naturels (piscine, route, etc) ou des prédateurs domestiques (chat, chien) le menacent, vous pouvez tenter un sauvetage, surtout s'il s'agit d'une espèce menacée. Cependant, après l'avoir recueilli, vous devrez l'acheminer vers... lire la suite de l'article sur Maxisciences
http://www.maxisciences.com/oisillon/nature-que-faire-face-a-un-oisillon-tombe-du-nid_art7494.html

jeudi 27 mai 2010

Pyrénées: un ours descend vers la mer

Sans doute enhardi par la recherche d'une femelle, Balou, ours des Pyrénées, est descendu de sa montagne pour s'aventurer comme rarement aussi bas, des Corbières à une trentaine de km de Narbonne et de ses plages, selon l'équipe de suivi du plantigrade. Balou, 7 ans, a laissé des traces de son passage dans la nuit de samedi à dimanche près de Saint-Laurent-de-la-Cabrerisse (Aude), où on parle beaucoup de lui après avoir cru à une blague quand la nouvelle a été rapportée.

C'est un promeneur, retraité et chasseur, qui a découvert de bon matin les empreintes de pattes sur un chemin poussiéreux parcourant les magnifiques paysages de vignobles, de pinèdes et de garrigue autour de Saint-Laurent. Robert Rico a raconté dans la presse locale avoir immédiatement pensé à un ours, un jugement confirmé par les agents de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS). "Il n'y a pas de doute: il s'agit bien d'un ours, et vraisemblablement de Balou, le seul susceptible de se promener jusque dans ce secteur", a indiqué mercredi Christophe Tavin, chargé de mission ours à l'administration régionale de l'environnement et de l'aménagement.

Les agents de l'ONCFS et de son "équipe technique ours" ont essayé de localiser Balou, en voitures et en avion, mais ne l'ont pas retrouvé. D'autres traces, repérées lundi plus au sud, près de Villerouge-Termenès, font penser que Balou a rebroussé chemin pour remonter dans son massif, dit Tavin. S'il est "exceptionnel" que l'ours s'éloigne autant de chez lui, il a déjà pris le large en 2006 et en 2007 en Ariège, "en 2008 déjà il s'était rapproché des Corbières sans y pénétrer trop et, là, il est allé un petit peu plus loin", dit Tavin. "Ce n'est pas anormal, c'est sa façon de faire lui. Les autres sont moins vagabonds, mais il faut comprendre que c'est la période du rut et qu'il cherche désespérément une femelle", dit-il. "Il n'y a pas de danger car l'ours est naturellement craintif de l'homme, et celui-là encore plus. Il n'a quasiment jamais été observé directement, sauf un épisode de chasse malheureux où on lui avait tiré dessus", dit-il.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/05/26/97001-20100526FILWWW00516-pyrenees-un-ours-descend-vers-la-mer.php

mercredi 26 mai 2010

Des buffles en pâture à Berlin

Des buffles sont de retour à Berlin après 170 ans d'absence sur "l'île aux paons", une réserve naturelle inscrite au patrimoine naturel de l'Unesco et située sur la rivière Havel qui traverse la capitale allemande, a annoncé mercredi la fondation chargée du dossier. "Deux buffles d'eau femelles et leurs deux veaux" ont été mis en pâture mardi sur trois hectares dans cette île, où des buffles avaient élu domicile de 1803 à 1842, date de la disparition de la ménagerie insulaire royale, selon un communiqué de la fondation des châteaux et jardins de Prusse.

"Ils servent de tondeuse à cornes", a déclaré leur propriétaire, Sonja Moor, citée dans la presse allemande, faisant valoir que les vaches n'aiment pas l'herbe qui pousse sur ce milieu humide et que les moutons s'enfonceraient dans la boue avec leurs longues pattes fragiles. La ménagerie royale de l'île, chère à Louise de Prusse (1776-1810), constitua avec ses centaines d'animaux de diverses espèces dont pour certaines exotiques, le fonds initial du jardin zoologique de Berlin.

L'île aux paons, déclarée réserve naturelle en 1923 et inscrite au patrimoine mondial de l'Unesco en 1990, doit son nom aux nombreux paons qui l'habitent depuis la fin du XVIIIe siècle. A l'occasion du bi-centenaire de la mort de la reine Louise de Prusse, les quatre bovidés vont pouvoir brouter jusqu'au 31 octobre sur cette île située dans le sud-ouest de Berlin.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/05/26/97001-20100526FILWWW00518-des-buffles-en-pature-a-berlin.php

Des lynx dans la nature suisse

Des lynx dans la nature suisse
Dans le cadre d'un programme de réintroduction du lynx en Suisse orientale, un couple de lynx provenant de régions de Suisse différentes a été relâché le 7 mai dans la nature. Grâce au suivi réalisé par une balise GPS, ce lâcher doit permettre de répartir plus harmonieusement les individus dans cette région. Longue vie à Noia et Wero !

Les lions de l'Akagera

la vie privée des animaux

mardi 25 mai 2010

Deux tigres blancs naissent au zoo de Maubeuge

Deux bébés tigres blancs, un animal rare qui n’existe plus qu’en captivité, sont nés le 9 mai au zoo de Maubeuge (Nord), a annoncé jeudi la direction du parc animalier. Les naissances de cet animal sont peu fréquentes.

Il existe une cinquantaine de tigres blancs répartis dans une dizaine d’institutions en France, selon Jimmy Ebel, directeur adjoint et biologiste du parc zoologique. Les deux petits, dont le poids est estimé à environ 1,7 kilo, se portent bien, tout comme leur mèree, Radjah, 7 ans, qui se montre «très maternelle», a indiqué M. Ebel.

On ignore pour l’heure le sexe des deux petits, car ils n’ont pas encore été manipulés par l’homme. Le zoo devrait organiser un concours auprès du public pour leur choisir leurs noms. Le père des deux bébés, Schilling, 6 ans, a été cantonné dans une autre cage, car il risquerait de les tuer.

Les deux petits doivent être visibles du public très prochainement grâce à une caméra, mais ils ne sortiront dans leur enclos qu’à l’âge de 2 mois.

Contrairement aux tigres albinos, les tigres blancs ont des rayures noires. Ils ont aussi des yeux bleus et non rouges. Selon la légende, tous les tigres blancs descendent d’un animal capturé en 1951 par le maharadjah de Rewa dans la forêt de Bandhavgarh, en Inde. Leur couleur est due à une anomalie génétique appelée leucisme, qui est un défaut du pigment de coloration du pelage, la mélanine.

Cette couleur blanche atypique le rend plus facilement repérable par ses proies, ce qui explique ses difficultés à survivre dans la nature. Les deux bébés devaient être présentés vendredi au zoo lors d’une conférence de presse à 9 heures.

(Source AFP)
Libération.fr


lundi 24 mai 2010

Découvrez les nouveaux petits pensionnaires du zoo

Le carnet rose 2010 du zoo de Thoiry ferait rougir d’envie n’importe quelle maternité réputée. Depuis plusieurs semaines, le zoo le plus célèbre de France ouvert aujourd’hui est confronté à un boom des naissances qui ravit ses responsables. Difficilement chiffrable d’ailleurs… « C’est un bon départ.
Les naissances sont arrivées plus tard cette année que l’an passé, et sur une période plus courte, mais c’est bien parti », se félicite Paul de La Panouse, fondateur du zoo de Thoiry. Le livret de famille animalier s’est ainsi enrichi d’un ourson baribal, que les soigneurs essaient de protéger des mâles, de loutres, de macaques, de bisons ou d’élans du Cap… Ce regain de naissances n’était pourtant pas évident, lorsqu’au coeur de l’hiver, alors que le thermomètre frôlait les - 15 o C, les soigneurs surveillaient de près la santé de leur millier de pensionnaires. Mais le froid et la neige ont paradoxalement entraîné des effets positifs sur le bien-être des résidants. « Un hiver froid et sec n’est pas du tout mauvais. Cela élimine les bactéries et les virus. C’est beaucoup moins néfaste qu’une longue période humide et froide », explique ce spécialiste de la faune. L’autre effet inattendu concerne la neige. « L’eau de neige est excellente pour la nature. Chimiquement, elle est de meilleure qualité. Cela rend les plantes plus riches, donc plus nutritives pour les animaux », ajoute Paul de La Panouse.
Malgré ces excellentes nouvelles, le patron du zoo se désespère toujours d’enregistrer la naissance d’un éléphanteau. Car son unique mâle est stérile. Et contre ce handicap, la neige et le froid n’y pourront jamais rien…

La réserve et le parc sont ouverts aujourd’hui de 10 heures à 18 heures, le château de 11 heures à 12 h 45 et de 13 h 30 à 19 h 15. Tarifs : 26 à 12 €. Tél. 01.34.87.53.76 ou Internet, www.thoiry.net.
Le Parisien

La main au collet !

Fin février, des infractions sont constatées sur la commune d'Agen d'Aveyron pour une utilisation non conforme de pièges. Ces derniers étaient destinés à capturer les espèces classées nuisibles, susceptibles de porter préjudice à un élevage de gibier. Le piégeur a utilisé une espèce protégée en guise d'appât pour faciliter la capture d'animaux lui étant indésirables.
En avril, sur la commune de Saint-Affrique, les agents de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage sont amenés à contrôler un collet sur une propriété. Accompagnés du propriétaire, ils en découvrent plusieurs, dont la pose est non conforme aux textes en vigueur. Au cours de la visite, d'autres engins, non homologués par le ministère chargé de l'Environnement, sont trouvés tendus. Leur détention

et leur utilisation sont totalement prohibées. Un lapin de garenne pris dans l'un d'eux, est relâché. Ce dispositif avait également pour objectif de capturer des rapaces, espèces protégées ; un piège à mâchoires était posé sur un poteau, poste d'observation de ces oiseaux pour un repérage plus facile des micro-mammifères.
En mai, la commune de Saint-Hippolyte fut le cadre de nouvelles infractions à la réglementation sur le piégeage constatées par les agents de l'ONCFS. Deux pièges interdits d'utilisation étaient tendus dans un bois, non loin d'une route. Appâtés à l'aide d'oeufs, d'un lapin domestique mort et d'une panse de chevreau, tout animal carnivore était visé. Après quelques jours de surveillance, le tendeur découvert a avoué vouloir protéger ses volailles d'éventuels prédateurs.
Le piégeage a toujours été pratiqué par l'homme. Dans un premier temps pour se nourrir puis pour capturer des espèces animales pouvant lui porter dommage. Des pièges de toutes sortes étaient employés, capturant tout animal, sauvage ou domestique, qui subissait parfois des mutilations irréversibles. Vis-à-vis des nombreux abus relevés et pour limiter la souffrance animale, un premier arrêté ministériel apparaît en 1984 mentionnant les pièges autorisés et les conditions d'utilisation. En 2007, une nouvelle réglementation, abrogeant la précédente entre en vigueur et durcit les conditions de piégeage des animaux nuisibles. Elle cadre de façon beaucoup plus stricte l'utilisation des engins, et surtout oblige l'emploi de pièges de plus en plus sélectifs avec des consignes draconiennes quant aux lieux, distances de pose vis-à-vis des routes, , chemins, habitations, heures de visites... Elle confirme également que l'utilisation de pièges n'est autorisée qu'après avoir bénéficié d'une formation et être titulaire d'un numéro d'agrément délivré par la préfecture (excepté pour les cages-pièges tendues en bordure de cours d'eau, pour la capture du ragondin et du rat musqué. La déclaration de piégeage et la visite quotidienne dans la matinée restent obligatoires). En Aveyron, cette formation est organisée et dispensée par la Fédération départementale des chasseurs en partenariat avec le service départemental de l'ONCFS. Elle permet à chaque candidat d'acquérir des connaissances sur la législation sur le piégeage (différentes catégories de pièges, les conditions d'utilisation...) mais également sur la biologie des espèces concernées (habitat, régime alimentaire...), et sur les techniques utilisées pour éviter la souffrance des animaux capturés. Malgré la législation, la formation donnée, des piégeurs agréés ou non bravent les interdits aux mépris des lourdes conséquences que peuvent avoir leurs actes. Pour les trois dossiers cités plus haut, chaque infraction constatée est passible d'une amende pouvant aller jusqu'à 1 500 €. Certaines relèveront du tribunal correctionnel.
Midi Libre

Ours Brun du Quebec ( NATURELS, PAS DANS UN ZOO )

dimanche 23 mai 2010

Ours : ses défenseurs réclament de nouveaux lâchers dans les Pyrénées

Les défenseurs de l'ours brun ont fait campagne à Toulouse mercredi afin de sensibiliser la population à la nécessité de procéder à de nouvelles réintroductions. Les militants réclament de nouveaux et réguliers lâchers d'ours dans les Pyrénées.
Plusieurs militants des associations Férus et Adet-Pays de l'ours ont plaidé la cause des plantigrades à Toulouse, proposant de la documentation et appelant les passants à signer une pétition en faveur de nouvelles réintroductions, prioritairement en Béarn, mais aussi en Pyrénées centrales.

Déplorant que le milieu agricole "refuse d'en discuter", Alain Reynes, le directeur de l'association Adet-Pays de l'ours estime qu'il "faut lâcher un ou deux ours par an jusqu'à ce que la population soit effectivement viable". Et d'expliquer : "On préconise un rythme lent mais régulier pour que chacun ait le temps de s'adapter".

Alors que les défenseurs de l'ours disent attendre une prise de position de la part du gouvernement, la secrétaire d'État à l'Écologie Chantal Jouanno devrait, d'après son cabinet, profiter d'un déplacement dans le Sud-Ouest en juin prochain pour s'exprimer sur la question de la réintroduction de l'ours.

Les associations pro-ours assurent avoir déjà recueilli 10.000 signatures en faveur de nouveaux lâchers. Après deux naissances en 2009, la population pyrénéenne d'ours compte une vingtaine d'individus. Alain Reynes estime que la population d'ours doit passer à une cinquantaine d'individus, aussi bien pour des raisons démographiques que génétiques. "L'urgence, c'est d'avoir deux femelles à l'ouest mais il faudra aussi lâcher de nouveaux mâles pour diversifier la population génétiquement, et limiter la consanguinité" explique-t-il.

Pour rassurer les éleveurs, Alain Reynes évoque le développement des mesures de protection des troupeaux, et se dit prêt à "de nouvelles mesures d'accompagnement", insistant sur le fait que "l'ours n'est pas un prédateur mais un opportuniste, mangeant ce qui est à sa... lire la suite de l'article sur Maxisciences
http://www.maxisciences.com/ours/ours-ses-defenseurs-reclament-de-nouveaux-lachers-dans-les-pyrenees_art7433.html