jeudi 27 juin 2013

Deux bébés otaries voient le jour à Marineland

A quelques jours d'intervalles, deux bébés otaries ont vu le jour à Marineland à Antibes. Un concours pour les prénoms sera prochainement ouvert sur Facebook.
À seulement quelques jours d'écart, deux nouvelles petites otaries sont venues rejoindre une trentaine de leurs comparses dans les bassins de Marineland à Antibes. Deux bébés au poil lisse déjà scotchés à leurs mamans respectives. Le premier, né le 8 juin, est le petit de la douce Ebonie. Le second, mis au monde par la jolie Coralina, a choisi de s'inviter pour la fête de la musique, le 21 juin dernier. Mâle ? Femelle ? « On pense que ce sont des mâles mais on n'en sera certain que lorsqu'on pourra les retourner, or pour l'instant, pas question de les approcher, sinon les mamans nous tuent », s'amuse Jon Kershaw, le directeur animalier du parc. Il connaît bien le processus, en moyenne un bébé otarie arrive chaque année à Marineland. « Cette année c'est le gros lot » !
Ces nouveau-nés sont de la même lignée que leurs mères, des otaries de Californie, au gabarit plutôt important.
Un concours pour le prénom sur Facebook
Ils vont se nourrir du lait maternel durant cinq à six mois, puis les soigneurs vont diversifier progressivement leur nourriture. Peu à peu, sous l'œil vigilant de leurs mamans, les petits effectueront leurs premiers mouvements dans l'eau ! « Nous démarrons le dressage vers neuf mois, quand ils commenceront à se détacher de leur mère pour s'intéresser à nous », confie Jon Kershaw.
Quant aux prénoms ? Un concours sera organisé très bientôt sur Facebook pour les choisir ! À vos méninges…

http://www.nicematin.com/antibes/deux-bebes-otaries-voient-le-jour-a-marineland.1320134.html

mercredi 26 juin 2013

L’éléphanteau du zoo de Pont-Scorff est mort

Arwen, la petite éléphante qui avait fêté le 1er juin son premier anniversaire, est morte brutalement lundi soir. Un herpès foudroyant lui a été fatal.
Le premier éléphant breton est mort brutalement, lundi vers minuit au zoo de Pont-Scorff. Arwen, une jeune femelle, avait tout juste un an. Un événement, car la naissance d’un pachyderme en captivité reste rare.
La mort d’Arwen est due à « un herpès foudroyant », selon nos informations. « 25 % des éléphanteaux » sont susceptibles d’être touchés par ce virus. « Dans 90 % des cas », les animaux atteints décèdent « dans les 2-3 jours ». Tous les petits éléphants sont porteurs sains de l’herpès-virus, une maladie infantile.
Mardi matin encore, la petite Arwen était « en pleine forme ». Ce n’est qu’au cours de l’après-midi qu’elle a montré quelques signes de fatigue.
Immédiatement, l’équipe des soigneurs du zoo lui a prodigué les soins nécessaires pour traiter le virus. Mais il était malheureusement déjà trop tard.
Sous le choc
À Pont-Scorff, les équipes sont sous le choc. Même si, précise un membre du personnel, « on sait que les deux premières années de vie d’un éléphant sont un cap à passer. Malheureusement, la vie d’un zoo est faite de naissances et de décès ».
Née le 29 mai 2012, Arwen était le bébé de Ant-Bwe-Lay et Omaline, deux éléphants d’Asie de 18 et 17 ans. Lorsqu’elle a pointé le bout de sa trompe, Arwen pesait déjà 70 kg. Un an plus tard, la balance affichait quelque 300 kg ! Le premier anniversaire de la petite femelle a été célébré le 1er juin.
Précisons que cette mort est sans aucun rapport avec la récente suspicion de tuberculose qui a touché l’éléphant Ant-Bwe-Lay, le papa de l’éléphanteau. Par ailleurs, l’herpès qui a été fatal à la petite éléphante n’est pas transmissible à l’homme.
 

lundi 24 juin 2013

Ours en cavale dans l'Aude : "ne pas s'affoler, mais ne pas approcher et appeler le 17"

Gendarmes, pompiers et vétérinaires étaient toujours à la recherche, lundi matin, d'une ourse brune du Tibet, et non deux comme craint dans un premier temps, qui s'est échappé dimanche de la réserve de Sigean, dans l'Aude, dans des conditions qui ne sont toujours pas éclaircies. Contrairement à de premières informations indiquant lundi matin que des moutons auraient été tués pendant la nuit, aucun cadavre d'animal n'a été retrouvé dans le secteur où le plantigrade est censé se trouver. L'animal est une femelle de 32 ans pesant 130 kilos, précise à MYTF1News Nicolas Martrenchard, directeur de
cabinet
du préfet de l'Aude.

Lundi matin, les effectifs ont été renforcés de manière conséquente avec plus de 40 gendarmes, de chiens des Pyrénées, une dizaine de pompiers, deux hélicoptères et deux vétérinaires. La dernière fois que l'ourse a été aperçue, dimanche après-midi, c'était près de l'étang de Bages non loin du parc de Sigean et au sud de Guissan.
Le plantigrade se nourrit de plantes et de légumes
Les autorités appellent les riverains du secteur à la vigilance : "Il ne faut pas s'affoler car il s'agit d'une race craintive et pas agressive de plantigrade", explique Nicolas Martrenchard. "Pour autant, il ne faut pas s'approcher de l'animal, ne pas pas courir, ne pas le regarder dans les yeux, ne pas lui donner à manger ni tenter de le bloquer dans un endroit", précise cet ancien patron de brigade de gendarmerie. "Si l'animal se dresse sur ses pattes arrières, c'est un signe qu'il a peur", qu'il se sent menacé", précise-t-il. "Il s'agit d'un animal qui par principe fuit l'homme, précise à MYTF1News le capitaine Danièle Goury, se nourrit de plantes, de légumes et de fruits". Les difficultés pour la retrouver relèvent du fait que cette ours "qui marche à la même allure qu'un homme" sait aussi "très bien nager et grimper aux arbres".
Le parc de Sigean, qui accueille des ours du Tibet depuis 1974, compte actuellement 20 plantigrades. Par mesure de précaution, la réserve a été fermée lundi matin au public.
 

dimanche 23 juin 2013

Dans une pâture de la Pévèle, un daim se prend pour une vache chaque été depuis trois ans

Personne, à commencer par Gégé et Madame Jeanne (1), ne sait d’où il sort, et surtout ce qui lui passe par la tête six mois par an… Toujours est-il que depuis trois ans, une daine – une femelle de daim, si l’on en croit l’absence de bois – vient passer ses vacances d’été avec leurs vaches en imitant leur comportement. Une bizarrerie de la nature qui met en joie les propriétaires bienveillants.
Au risque de décevoir les amoureux de Dame Nature qui aimeraient venir lui tirer le portrait, nous tairons le lieu de villégiature de la belle pour lui éviter de se faire tirer dessus tout court. « Y’a du braconnage aux chevreuils dans le coin, confirme Gégé, agriculteur depuis vingt ans. Ça me ferait mal qu’elle se fasse tuer… ».
C’est qu’il y tient à sa daine le Gégé. Depuis trois ans, cet exploitant de la Pévèle scrute le retour du joli daim tacheté qui vient passer l’été en compagnie d’une vingtaine de ses vaches laitières dès qu’il les remet au pré. « Une fois que mes bêtes ressortent en mars, l’animal pointe le bout de son nez, sourit celui dont l’exploitation a été baptisée La Ferme au daim par certains voisins amusés. On a d’abord cru à une biche mais vu ses tâches sur le dos, c’est bien un daim. C’est comme un mouton, ça vit en groupe. Je pense qu’il s’est sauvé d’un enclos. Au début, j’avais une hantise, qu’il tète mes bêtes. Ça aurait déformé les mamelles et là, c’était foutu pour traire la vache. »
Heureusement, l’accueil a été chaleureux et la cohabitation se passe bien. Si la daine se prend pour une vache six mois durant, elle s’est gardée de quémander sa pitance au pis des ruminants.

« On s’y est attaché »

Résultat, le troupeau l’a prise sous son aile et la jolie rouquine fait aujourd’hui partie de la famille. « C’est dingue, poursuit l’agriculteur. Elle fait tout comme mes vaches. Elles se promènent, elle suit. Elles broutent ou se couchent, elle fait pareil. Elle a vraiment été adoptée. Parfois, les vaches semblent même la protéger. Et nous, on s’y est attaché. Forcément. »
De temps en temps, histoire de changer d’air, la daine délaisse les laitières pour les bêtes à viande de Mme Jeanne, dans le pré d’à côté. Une destination qui n’est pas sans risque selon l’agricultrice qui pense que les vacances commencent là. « Je sors mes vaches avant celles de Gégé, raconte Mme Jeanne. On voit alors arriver la daine comme si elle savait… Le problème, c’est que mes bêtes, elles, ont des veaux. Du coup, elle risque le coup de corne. Mais j’ai remarqué qu’elle était vive, elle esquive facilement. » Du genre paisible, la daine passe du coup le plus clair de son temps dans les prés de Gégé, où, on l’imagine, elle cause prix du lait et cinéma. Une histoire de vache et de prisonnier apparemment… En octobre, après avoir claqué la bise aux copines, elle mettra le cap sur on-ne-sait-quel bosquet où elle attendra le retour de la belle saison. « Je l’ai déjà croisée l’hiver, elle n’est jamais très loin, ajoute Gégé. On la laisse venir manger un peu de foin en bord d’étable mais le plus souvent elle se débrouille seule. On a tellement de plaisir à la voir… Comme les gens qui s’arrêtent prendre des photos en bord de route, on trouve ça beau, tout simplement. »
1. Noms d’emprunt

http://www.lavoixdunord.fr/region/dans-une-pature-de-la-pevele-un-daim-se-prend-pour-une-ia16b0n1352988

vendredi 21 juin 2013

Un ourson meurt dans les Pyrénées, victime des intempéries

Une oursonne est morte dans le parc naturel des Hautes-Pyrénées, en Espagne, à la suite d'une chute dans un ravin alors qu'elle tentait de traverser un torrent dont le courant avait été décuplé par les fortes pluies, ont annoncé jeudi les autorités catalanes. 
L'oursonne, qui "avait six mois et pesait 20 kilos", a été retrouvée morte lundi, a précisé le département d'Agriculture du gouvernement de Catalogne, région du nord-est de l'Espagne. "Tout semble indiquer que l'ourson est tombé dans un ravin alors qu'il tentait de traverser un torrent avec un très fort courant dans la vallée de Cardos, près de la municipalité de Lladorre", ont indiqué les autorités catalanes dans un communiqué. 
Les chutes sont souvent la cause de la mort des oursons


Une autopsie devait être réalisée pour déterminer les causes du décès de l'animal et son origine génétique. "Il s'agit probablement de la fille de Caramelita", l'un des plantigrades vivant dans la région, selon les autorités, qui précisent que ce type d'accident est la cause la plus répandue de la mort des oursons. Les autorités citent deux précédents cas du côté français, en 2011 et 2003.
Une population viable
Stable, le nombre d'ours dans les Pyrénées était d'au minimum 22 fin 2012, dont trois nouveau-nés, selon le rapport annuel publié en mai par l'équipe ours de l'Office français de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), alors que les plantigrades sont sortis depuis peu de la tanière où ils ont passé l'hiver. Une trentaine d'associations françaises et espagnoles de défense de l'ours dans les Pyrénées ont lancé mi-mai une pétition pour demander aux autorités des deux pays de "restaurer une population viable" de plantigrades dans la zone. Plusieurs ours slovènes ont été réintroduits dans les Pyrénées après la mort de Canelle, tuée en France en novembre 2004 par un chasseur, mort qui avait provoqué une vague d'indignation.

 http://www.midilibre.fr/2013/06/20/un-ourson-meurt-dans-les-pyrenees-victime-des-intemperies,720210.php

lundi 17 juin 2013

Meuse : blaireaux traqués illégalement

Le blaireau n’est pas sur la liste des nuisibles. Il ne peut par conséquent pas être chassé à n’importe quel moment de l’année. Deux cadavres de cette espèce ont été retrouvés en avril, soit deux mois avant l’ouverture de la chasse, dans la forêt communale de Nicey-sur-Aire. Ces animaux avaient été poignardés avant d’être remis dans leurs terriers respectifs. « Le déterrement s’effectue à l’aide de chiens, souvent des fox ou des teckels. Ils s’introduisent dans les terriers des blaireaux, acculent l’animal dans une cavité. Les chasseurs repèrent le positionnement du blaireau grâce aux jappements des chiens. Ensuite, ils creusent un trou et récupèrent la bête avec de larges pinces. Souvent, il a les pattes brisées lors de l’extraction. Il est ensuite tué à l’aide d’une dague », détaille l’agent ONF, Raphaël Trunkenwald, en charge de la police de l’environnement.
Les auteurs de cette infraction risquent une annulation de leur permis de chasse et 1.500 € d’amende par animal déterré. Pour l’agent de l’ONF, cela fait aucun doute, l’infraction porte la signature du seul équipage meusien habilité à réaliser ce genre de « traque » : « Ce sont des chasseurs du secteur de Revigny qui ont commis ces actes. Ces personnes ont été agrémentées par la DDT pour mener des opérations de déterrement. L’année dernière déjà, cet équipage avait reçu un rappel à la loi du Parquet pour avoir commis le même genre de faits à Beausite ».

Appelé pour des renards

Au cours de son enquête concernant l’affaire de Nicey, Raphaël Trunkenwald a entendu le président de l’ACCA de village. Ce dernier avait fait appel à cet équipage pour s’occuper de quelques terriers. Il risque aussi une sanction pénale. Le responsable de la société de chasse de Nicey clame sa bonne foi : « J’ai contacté cet équipage non pas pour déterrer des blaireaux mais des renards* ! Je suis d’ailleurs convaincu que l’équipage que j’ai sollicité n’est pas responsable de la mort des deux blaireaux ». Par ailleurs, le président de l’ACCA de Nicey considère que les investigations de Raphaël Trunkenwald ont été menées avec une certaine « partialité ». « Lorsqu’il m’a interrogé, je l’ai trouvé relativement agressif et qu’il partait avec pas mal de parti pris sur la chasse. »
Au courant de cette procédure, Michel Thomas le président de la Fédération de chasse, se refuse à donner son point de vue sur cette affaire : « Je suis légaliste, j’attends que la chose soit jugée. Je n’ai donc aucun commentaire à faire sur ce dossier. »
Même prudence au sein des services de la DDT. « S’il y a sanction administrative, elle ne pourra intervenir qu’après une décision de justice », explique l’un de ses cadres, en charge de la réglementation cynégétique. L’équipage de Revigny risque en théorie de perdre son agrément en plus de la sanction pénale.
*Le renard est considéré comme nuisible, il est « chassable » toute l’année.
*
http://www.estrepublicain.fr/meuse/2013/06/17/blaireaux-traques-illegalement

Les attaques les plus spectaculaires des animaux sauvages 20 minutes

samedi 15 juin 2013

Cassation pour Zouzou le renard ...que va-t-il devenir ?

La saga animalo-judiciaire du renard apprivoisé Zouzou va se poursuivre en cassation, le couple de Dordogne qui l’avait recueilli en 2011 ayant décidé de contester la confiscation de l’animal.
Mardi, la cour d’appel avait confirmé les 300 euros d’amende et la confiscation du renard prononcée le 5 juillet par le tribunal correctionnel de Bergerac (Dordogne), une nouvelle déconvenue pour Anna-Paule et Didier Delanes qui tentent depuis 2011 de garder l’animal, recueilli auprès du cadavre de sa mère alors qu’il n’était qu’un renardeau.

http://www.leprogres.fr/actualite/2013/06/13/cassation-pour-zouzou-le-renard

vendredi 14 juin 2013

Un refuge, une nouvelle chance pour les animaux abandonnés

Chaque jour en France, plus de 270 animaux sont abandonnés. Sur une année, plus de 100 000 chiens, chats et autres NAC sont délaissés –dont plus de la moitié en été - par des maîtres irresponsables A quelques jours des vacances estivales la Fondation 30 Millions d'Amis prend les devants. . »
Aires d'autoroutes, forêt ou bord des chemins...  A l'approche de l'été ils sont particulièrement nombreux, ces maîtres indélicats à tourner le dos à leurs belles promesses de rendre un animal heureux. Livrés à eux-mêmes, amenés en fourrière, ils risquent l'euthanasie sous 8 jours si personne (particulier, SPA...),  ne peut les accueillir.
Voilà pourquoi la Fondation 30 millions d'amis soutient les refuges, « seul espoir de survie de ces laissés-pour-compte. » Malheureusement, durant la période estivale, ces établissements sont en état d'urgence. « Chacun dispose de 50 places... Pourtant en moyenne  l'été, 79 animaux qui y sont accueillis. » D'autant que si l'animal est en mauvaise santé, il faudra en moyenne 1 an pour le remettre sur pieds et lui trouver une nouvelle famille. « Au-delà, il a peu de chances d'être adopté. »
A partir du 18 juin, la Fondation déploiera dans toute la France sa nouvelle campagne d'affichage. Le visuel, un chien derrière une barrière, le regard plongé dans celui du spectateur et un slogan : Certains les abandonnent,  d'autres les recueillent. Soyez du bon côté !
« D'un côté il y a les irresponsables qui, en abandonnant leurs animaux, leur infligent un destin cruel. De l'autre, ceux qui recueillent ces chiens et ces chats traumatisés et que nous devons soutenir » conclut Reha Hutin, Présidente de la Fondation 30 Millions d'Amis.
Rappelons enfin que l'adoption n'est pas un choix à faire à la légère. C'est un engagement. Un animal de compagnie n'est ni un jouet ni un objet dont on se débarrasse une fois la lassitude venue...Pour en savoir plus et trouver la liste des refuges en région, rendez-vous sur le site de la Fondation 30 millions (...) Lire la suite sur destinationsante.com

jeudi 13 juin 2013

Le guépard n'est pas seulement le champion de la vitesse

Le guépard, cet animal fascinant qui vit dans la savane africaine, est surtout connu pour sa vitesse incroyable. Mais une étude a démontré qu'il est en fait surtout remarquable pour sa tourner et freiner très vite.

Le guépard est connu pour être l'animal terrestre le plus rapide au monde. Pourtant, selon une étude publiée ce mercredi, c'est surtout sa faculté impressionnante à accélérer, freiner et changer de direction en un éclair qui fait de lui un chasseur très redouté des autres animaux de la savane.
D'après les observations réalisées sur des animaux en captivité, le guépard peut dépasser les 100 km/h en pleine course. Ce qui est plus que le record de vitesse des lévriers (65 km/h),  chevaux (68 km/h) ou même des humains (43,2 km/h pour le record d'Usain Bolt sur 100 mètres). Pour la première fois des chercheurs ont étudié ce félin dans son habitat.
Pour réaliser leurs études ils sont allés au Botswana équiper 5 guépards de colliers de hautes technologies comprenant un GPS ultra-précis à une batterie d'accéléromètres,  des gyroscopes et des magnétomètres. Ils ont enregistré leurs déplacements dans la brousse pendant 17 mois, analysant au total 367 courses... et se sont aperçus que la grande majorité de leurs sprints restaient en-deçà de 72 km/h, avec une vitesse moyenne de 50 km/h, tenue en général durant seulement une à deux secondes. Rien de si exceptionnel. 
En revanche, une étude menée par Alan Wilson du Royal Veterinary College (Londres) montre que les félins accomplissent quotidiennement des prouesses en matière d'accélération et de freinage. D'après les mesures, un guépard peut, en une seule foulée, accélérer de 3 mètres par seconde ou freiner de 4 m/s. Une manœuvrabilité qui surpasse de loin celle des chevaux de polo ou des lévriers. C'est cette capacité à changer de vitesse et de direction quasi instantanément qui permet à l'animal de suivre tous les mouvements de sa proie et pour mieux la capturer. Malgré tous ces atouts pour la chasse, les guépards sont loin de réussir à capturer leurs proies systématiquement.
 

Requins : exposition à Monaco et fécondation in vitro à Lisbonne - science

mardi 11 juin 2013

La cour d’appel de Bordeaux ordonne la confiscation de Zouzou le renard

Les juges ont également condamné les propriétaires à une amende de 300 euros pour détention non autorisée d’un animal sauvage...
Lundi encore, il gambadait joyeusement dans son enclos. Mais les heures paisibles coulées par Zouzou sont désormais comptées. La cour d’appel de Bordeaux a en effet ordonné ce mardi après-midi la confiscation de l’animal. L’information a été confirmée à 20 Minutes par le parquet général de Bordeaux (Gironde). Ana-Paula et Didier Delanes, les propriétaires qui avait recueilli Zouzou en 2011 à côté du cadavre de sa mère et alors qu’il n’était encore qu’un renardeau, ont également été condamnés à 300 euros d’amende. Par cette décision, la cour d’appel confirme le jugement rendu en première instance par le tribunal de Bergerac (Dordogne).

Transpondeur et passeport européen

Les magistrats ont demandé l’exécution provisoire de la décision. C'est-à-dire que l’animal peut-être confisqué immédiatement par les autorités. «Si jamais cette décision était prise, on ne laissera pas Zouzou. Il est à nous. C’est notre animal», avait confié à 20 Minutes Ana-Paula Delanes, avant l’audience. On peut la croire. Après la décision de première instance, les Delanes n’avaient pas hésité à «exfiltrer» l’animal dans un endroit tenu secret afin qu’il ne soit pas confisqué.
Entre temps, ils avaient tenté en vain d’obtenir tous les documents afin de garder auprès d’eux leur précieux compagnon à quatre pattes. «On a tout fait, confiait alors Ana-Paula Delanes. Il a été vacciné, stérilisé. Il a un passeport européen. On lui a même installé un transpondeur...» Malheureusement pour le renard, il manque toujours une autorisation préfectorale. «On a envoyé une dizaine de courriers au préfet en recommandé, avec accusé de réception. Mais il ne nous a jamais répondu», se désole la propriétaire.
>> Bamby le sanglier, Attila le python, Pulla le singe magot: Ces nouveaux animaux de compagnie pas très domestiques

Un nouvel animal de compagnie

Contacté par 20 Minutes, le parquet général de Bordeaux indique pourtant avoir fait preuve de patience et d’humanité dans cette affaire. «On leur a laissé le temps de se mettre en règle. Il fallait que les propriétaires effectuent un stage en Préfecture prouvant qu’ils étaient capables d’héberger un animal sauvage. Or ils ne l’ont jamais fait...»
En revanche, les Delanes s’étaient vanté d’avoir obtenu auprès du ministère de l’Ecologie une autorisation établissant que Zouzou était un Nouvel animal domestique (NAC). «Mais ce n’était pas ce qu’on leur demandait», insiste le parquet général.

http://www.20minutes.fr/societe/1171739-20130611-cour-dappel-bordeaux-ordonne-confiscation-zouzou-renard

Mireval-Lauragais. Un kangourou dans le jardin !

Hier, un kangourou a été aperçu du côté de Mireval-Lauragais. Ce gentil petit animal, de la famille des marsupiaux, est apprivoisé et très affectueux
Après la panthère noire qui, au début des années «90» a longtemps hanté le Lauragais… Après les piranhas du lac de la Ganguise, un feuilleton qui avait abondamment alimenté la chronique de l’été 96… Voici Skippy le kangourou qui, hier, a suscité la curiosité du côté de Mireval-Lauragais, à quelques kilomètres à peine de Castelnaudary. Sauf que ce magnifique spécimen de la famille des marsupiaux ne s’inscrit pas dans le fantasme collectif. Il s’agit bien d’un wallaby, âgé de 2 ans à peine , apprivoisé et très affectueux, nouvellement arrivé dans la région.

Un petit tour et puis revient

Au vu de sa conduite irréprochable puisqu’il ne s’éloigne pas de la maison, ses propriétaires qui possèdent une propriété de 37 hectares, en pleine campagne, avaient donc décidé de le laisser gambader en liberté. Sa ration quotidienne de grains, le matin, fait que Skippy, en principe, ne s’éloigne guère de l’écurie. «C’est un herbivore qui est plus gourmand de feuilles que de fruits», rapporte Beryl, sa propriétaire, qui adore les animaux et à qui sa famille a offert Skippy, alors qu’elle était malade. «Aujourd’hui, je ne suis plus malade mais j’ai toujours mon kangourou», sourit-elle.
Un petit kangourou auquel elle est manifestement très attachée.
Ce qui a créé la surprise, c’est qu’hier, Skippy avait envie de jouer l’écurie buissonnière et s’est offert une cavale dans le petit village de Mireval, à la grande surprise des riverains. Il était simplement parti chez des voisins voir si l’herbe était plus verte et les roses plus roses. Beryl sait qu’il ne s’y attardera pas puisque chez elle, se trouvent tous ses amis, chèvres, poneys, chiens… et le chat de la maison avec lequel il adore jouer. Juste une toute petite escapade qui aura fait couler beaucoup d’encre

http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/11/1646730-un-kangourou-dans-le-jardin.html

dimanche 9 juin 2013

Les Rousses : un sanglier sème la panique en ville

Samedi vers 15h30, la patrouille de gendarmerie des Rousses a localisé un sanglier dans un quartier de la ville, situé du côté du lac. L’animal ne semblait pas vouloir quitter les lieux. A bout de patience, les gendarmes ont alors décidé de l’abattre afin de sécuriser le secteur, mais finalement, ils ont réussi à le chasser dans les bois, où il a retrouvé refuge. Aucun incident n’était à déplorer, si ce n’est un moment de panique pour les riverains. Heureusement que ce mammifère omnivore n’a pas eu l’idée de visiter le centre-ville !

http://www.leprogres.fr/jura/2013/06/09/les-rousses-un-sanglier-seme-la-panique-en-ville

samedi 8 juin 2013

« Rendez-nous nos chiens »

Le message est affiché en gros sur leur façade, à Stenay : « On veut récupérer notre chienne Zoé, volée par la SPA de Thierville. » Christine et Fabien Loiseau n’arrivent toujours pas à comprendre ce qu’il s’est passé, le 24 mai dernier, à 16 h, un moment disent-ils où « leur vie a basculé ». Selon eux, des personnes de la SPA de Thierville sont entrées chez eux et leur ont pris leur chienne. « Devant mes enfants », raconte Christine. Qui assure que la société protectrice des animaux est entrée chez elle, sans le soutien des gendarmes, qui sont arrivés après. Mais surtout, le couple ne comprend pas qu’on les accuse de maltraitance sur leur animal. Car la SPA est intervenue après un signalement : « On nous dit qu’elle était pleine de puces ! Mais on lui donnait tous les médicaments. Et comme il ne fallait pas qu’elle se gratte, on lui mettait la muselière. » Quand ses maîtres ne sont pas là, l’animal est dans la maison, porte fermée. « Pour ne pas qu’elle aille sur la route… La nuit, elle va dans le garage pour y faire ses besoins » Pour le couple, Zoé n’est pas leur chienne, mais bien plus : « C’est notre fille, c’est vraiment un membre de la famille. » Alors ils sont bien décidés à aller jusqu’au bout. Ils ont réalisé une vidéo, ont fait part de leur cas à la gendarmerie, appellent la SPA de Thierville plusieurs fois par jour, envoient des mails… Et surtout, ils ont trouvé des compagnons dans leur combat. Laura Waty était propriétaire de trois labradors : « Il y avait deux mâles fugueurs Gavroche et Hooker. Et une femelle, Elphy. J’avais contacté la SPA car je ne voulais pas avoir des problèmes avec les voisins s’ils s’enfuyaient. Mais la SPA est venue chez moi, sans autorisation. Et ils me les ont tous pris, plus mon furet. Ils disent que je les enfermais dans des cages de transport, ce n’est pas vrai. » Et de soupirer : « Je voudrais au moins retrouver ma femelle, pour ma petite fille. Tous les jours, elle me demande où elle est, je ne sais pas quoi lui dire. »
Ses bêtes sont adoptées pendant son incarcération
Autre combat : celui de René Dumonceau. Celui-ci est un peu différent car on ne lui reproche aucune maltraitance sur sa chienne, Milka et son chat Tommy. « Je ne peux même plus les regarder en photo », sanglote-t-il. L’homme a été incarcéré il y a quelques mois. Ses animaux avaient donc été confiés à la SPA de Thierville. « On me dit qu’il y avait un délai légal à respecter. Qu’il fallait que j’écrive à la SPA pour leur dire que je n’abandonnais pas mes bêtes. Mais en prison, je n’avais pas d’argent. Pour envoyer un timbre, il en fallait. Je n’ai pas pu écrire avant deux semaines de taule ! » Placés en famille d’accueil au départ, Tommy et Milka ont finalement été adoptés définitivement. Et René ne le supporte pas : « Ce sont mes bêtes, je peux le prouver. Je n’ai jamais signé de certificat de cession. Mais je ferai tout pour les retrouver… »

http://www.estrepublicain.fr/justice/2013/06/07/rendez-nous-nos-chiens

jeudi 6 juin 2013

Des animaux empoisonnés dans les bois

Les premiers cadavres ont été découverts le 15 février, à quelques mètres du château d'eau qui trône au sommet de la colline du bois de Caumont. Au cours d'une chasse, Jean-Pierre Maigret tombe sur les dépouilles d'un labrador et d'un beauceron. Aucune blessure apparente, les animaux semblent morts depuis quelques jours. Les chasseurs préviennent les gendarmes. Rapidement identifiés par deux vétérinaires beauvaisiens grâce à une puce, leur propriétaire est informé. L'affaire aurait pu en rester là.

Quinze jours après, une autre battue est organisée. À la fin de la traque, un chasseur s'étonne de ne pas voir revenir Twist, son setter. Appels, sifflets, rien n'y fait. Il revient sur ses pas. Et découvre le chien étendu sur le sol, à 100 mètres du château d'eau. « Il n'y avait plus rien à faire. Raide mort », se souvient Jean-Pierre Maigret. L'écume autour de la gueule de Twist l'intrigue. Les quelques cadavres de renards croisés par d'autres chasseurs dans le secteur confirment sa crainte d'un empoisonnement.
 

Une surveillance accrue dans les environs
 

Le chasseur se présente à la gendarmerie. L'estomac du chien est prélevé et envoyé pour examen au laboratoire vétérinaire départemental de Dury-les-Amiens. Analyse négative. « Mais ils n'ont contrôlé que les poisons les plus courants, mort-aux-rats et strychnine. » En revanche, du poisson est découvert qui ne figurait pas au menu de la dernière gamelle.

Jean-Pierre Maigret s'entête, réclame de nouvelles analyses à un laboratoire spécialisé dans le Rhône. Vendredi dernier, les résultats tombent. « Ces analyses sont chères et prennent du temps », note-t-il. Chères, mais fructueuses: la présence d'aldicarbe est attestée. Plus connu sous son nom commercial de Temik 10 G, cet insecticide des laboratoires Bayer est prohibé depuis le 31 décembre 2007. Et confirme pour Jean-Pierre Maigret la piste de l'empoisonnement délibéré.

Mettre la main sur le coupable ne sera cependant pas une mince affaire. « Il faut que la personne soit prise en flagrant délit, en train de poser les appâts. Sinon, c'est du parole contre parole et cela ne mène à rien », note un agent de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS). « C'est peut-être un anti-chasse. Ou un fermier qui, après quelques descentes de renards dans le poulailler, a décidé de régler le problème par lui-même. Sans recourir aux services d'un piégeur, qui agit dans la légalité », continue-t-il, pas particulièrement aidé par l'aménagement du territoire. « Contrairement au Plateau picard, où les exploitations sont de grande taille, il y a beaucoup de petites fermes ici. »

La surveillance des environs sera accrue dans les prochains temps. En attendant, la laisse est de rigueur pour toute balade dans le bois de Caumont.


http://www.courrier-picard.fr/region/des-animaux-empoisonnes-dans-les-bois-ia186b0n101694

mercredi 5 juin 2013

Tara-Jixiang, un couple de pandas roux au parc de la Tête d'or


Le zoo de Lyon accueille un panda roux par leprogres

Sainte-Livrade-sur-Lot. Un tigre au centre de loisirs

Non, ce n’est pas un chat que les enfants du centre de loisirs sont en train d’admirer, c’est un petit tigre et le monsieur qui l’accompagne et le tient en laisse n’est autre que son propriétaire, le dompteur Fréderic Rosel qui a eu l’amabilité de venir leur présenter son «petit dernier». Les yeux interrogateurs, ils n’arrivaient pas à détacher le regard de cet étrange animal, qu’ils voyaient pour la première fois.
Au groupe des grands, Frédéric Rosel leur a parlé de sa profession de dompteur de fauves. Merci d’avoir, pendant quelques instants, transmis votre passion pour ces animaux, c’est un privilège pour les petits Livradais de vous avoir dans la commune !

http://www.ladepeche.fr/grand-sud/lot-et-garonne/

mardi 4 juin 2013

Un raton laveur capturé par les sapeurs-pompiers

Hier après-midi, les sapeurs-pompiers sont intervenus à l'école du Tivoli, à Crouy. Un raton laveur était juché en haut d'une gouttière.
L'AVENUE du Général-Patton, à Crouy, a connu une agitation inhabituelle hier après-midi. Et pour cause ! Les sapeurs-pompiers de Soissons ont en effet été sollicités, peu avant 16 heures, pour une intervention qui sortait fortement de l'ordinaire.
Un animal était juché en haut d'une gouttière sur la façade avant de l'école du Tivoli. Pas n'importe quel animal puisqu'il s'agissait d'un… raton laveur !
« C'est un instituteur qui nous a prévenus », indique le maire, Daniel Moitié. Alors que l'heure de sortie de l'école était proche, la présence du raton laveur a très vite fait venir de nombreux curieux, d'autant que l'animal jetait régulièrement des regards vers le bas, comme s'il se demandait comment tout cela allait se terminer.

Pour les secours, avec à leur tête l'adjudant-chef Laurent Rentz, il n'y avait pas trente-six façons d'atteindre le raton laveur, espèce réputée pour ses qualités tout à la fois de nageur et, cela s'est vérifié hier, de grimpeur.
Avec la grande échelle
Une échelle a été déployée le long de la façade, mais c'est finalement avec la nacelle de leur échelle pivotante automatique que les sapeurs-pompiers ont pu approcher, sans risque, le mammifère aux yeux auréolés de noir, avec l'appui technique du capitaine Audrey Ryckelynck, vétérinaire attachée au centre de secours de Braine.
« Le raton laveur est un animal considéré dans la catégorie des nuisibles en France », explique t-elle.
Impossible évidemment de dire d'où est venu ce raton laveur. « C'est une espèce qu'on ne trouve évidemment pas ici normalement », note le capitaine Ryckelynck, présent dans la nacelle avec ses collègues pour anesthésier l'animal.

Vers 17 heures, l'animal était capturé et pris en charge par les sapeurs-pompiers.
Pour le plus grand soulagement du premier magistrat crouyssien qui ne tenait guère à se retrouver avec un raton laveur dans la nature, près d'une école.

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/un-raton-laveur-capture-par-les-sapeurs-pompiers?xtcr=1&xtmc=raton laveur

dimanche 2 juin 2013

Zoo de Pont-Scorff. Arwen l’éléphanteau fête ses un an

Le zoo de Pont-Scorff a fêté l’anniversaire d’Arwen, l’éléphanteau d’Asie né un an plus tôt au parc, une première en Bretagne. Pour fêter l’événement, la demoiselle a eut le droit à une pesée et un gâteau.
Au fil des mois, toujours aussi vive et curieuse, la jeune éléphant a bien profité : elle est en effet passée de 70 kilos, le jour de sa naissance, à 300 kilos désormais.
Pour atteindre le poids de sa maman, il faudra encore patienter quelques années. Homaline, née en 1995, bien qu’elle soit comme sa fille d’un petit gabarit, affiche elle le très honorable poids de 3,5 tonnes !


http://www.letelegramme.fr/local/morbihan/lorient/couronne/pontscorff/zoo-de-pont-scorff-arwen-l-elephanteau-fete-ses-un-an-01-06-2013-2122262.php