mercredi 31 juillet 2013

Le chien qui avait mordu un enfant à Ramatuelle recueilli près de Nice

Le chien qui avait mordu au visage un petit garçon dans un camping de Ramatuelle dans le Var vient d'être placé dans un refuge de Saint-Laurent-du-Var, près de Nice.
"Jules", un golden retriever, devrait ainsi échapper à l'euthanasie, comme l'avait notamment réclamé Brigitte Bardot.
Le président de la Société de défense des animaux Patrick Villardry, pompier professionnel et éducateur canin reconnu, a obtenu du propriétaire de l'animal le droit de le prendre en charge. L'animal sera castré puis éduqué.

http://www.nicematin.com/cagnes-sur-mer/le-chien-qui-avait-mordu-un-enfant-a-ramatuelle-recueilli-pres-de-nice.1372976.html

lundi 29 juillet 2013

Baleines et dauphins reviennent en force dans la Méditerranée

Au large, la Méditerranée reprend lentement vie grâce notamment à la disparitiondes filets dérivants. Paré pour une immersion entre la Corse et le continent méconnu
Les amarres sont larguées. Les deux moteurs hors-bord de 300 CV propulsent le puissant semi-ridige au sommet des vagues à une vitesse de 30 nœuds. Direction l'horizon, pour une sortie whale watching. Car à l'intérieur du sanctuaire Pélagos (France, Monaco, Italie), la vie est intense et s'offre sans retenue à tous les amoureux de la mer. La Méditerranée reste fragile mais l'ensemble des données récoltées récemment laissent entrevoir une santé retrouvée. Pas moins de six espèces de mammifères marins sont régulièrement aperçues entre la Corse et le continent et parfois même très près des côtes.
>>DIAPO. Baleine et dauphins reviennent en force en Méditerranée
D'où un engouement certain actuellement pour découvrir ces animaux. En Méditerranée occidentale, les dauphins blanc-bleu seraient environ 250 000, les rorquals 3 000, les cachalots 2.500... et les globicéphales noirs un millier.
Raies manta, poissons-lunes, tortues marines, poissons volants, thons, espadons sont aussi de la partie. Sans oublier les nombreux oiseaux de mer qui « pistent » la moindre écaille d'anchois.
Certaines baleines sont reconnaissables à leurs cicatrices. Comme ce célèbre rorqual, d'une vingtaine de mètres, profondément meurtri par une hélice et connu de tous les passionnés. Ses blessures se sont lentement résorbées. Et l'animal a dorénavant retrouvé son rang au sein du groupe de géants des mers.
Durant cette matinée, guidé par Patrice Garziglia, expert en whale watching, pas moins d'une cinquantaine de dauphins blanc-bleu et deux rorquals - d'une longueur de 17 mètres - seront filmés et photographiés par les whale watchers du jour.
Une ombre et de l'écume
Une dizaine de minutes d'observation seulement sont accordées par le skipper afin de ne pas déranger ces mammifères lors de leurs évolutions en surface.
Selon leur humeur, ces animaux accepteront - ou non - de montrer leur agilité aquatique au public. Et ce jour-là, les dauphins assurent une fois encore le show. Ils viennent sans se faire prier. Le temps d'une apnée programmée, les baleines, quant à elles, sonderont les grandes profondeurs. Elles ne laissent en surface qu'une ombre dans un vaste bouillonnement d'écume sous des applaudissements nourris.
Les vagues se forment lentement au large. Les gaz sont remis. Il faut rallier sans plus tarder le port de plaisance de Beaulieu-sur-Mer avant que le vent d'ouest ne gâche cette belle matinée remplie d'émotions fortes. Une perception unique d'un monde mal connu, à découvrir sans modération.

http://www.nicematin.com/cote-dazur/diapo-baleines-et-dauphins-reviennent-en-force-dans-la-mediterranee.1370076.html

dimanche 28 juillet 2013

L'histoire se termine bien pour le poney Tchad

INCROYABLE histoire que celle de ce poney retrouvé errant en plein cœur de Reims (voir l'union du 23 juillet), lâchement abandonné par son propriétaire qui avait déserté son campement de fortune le long la voie ferrée. Les riverains, intrigués par l'animal esseulé, ont approché la bête pour rapidement se rendre compte de son triste état : « Il tremblait. Il tenait à peine debout, ça faisait mal au cœur », confiait une riveraine.
Sauvé par les riverains
Fortement déshydraté et non soigné depuis un bon moment, tous craignaient pour sa survie… Recueilli par le centre équestre de Reims, l'animal va mieux. Un vétérinaire a pu soigner ses différents traumatismes et malgré l'état lamentable de ses sabots, le poney se porte bien. « Il n'avait pas vu de maréchal depuis au moins deux bonnes années. Nous avons soigné ses sabots et maintenant il va très bien, il mène enfin une vie normale de poney », observe Pascal Vanscoor, responsable du centre équestre de Reims.
Lors de sa visite, le vétérinaire a pu lire la puce implantée dans le cou de l'animal, et découvrir de précieuses informations : il est âgé de 15 ans et se nomme Tchad. Avant sa mésaventure rémoise, le poney se trouvait dans une ferme pédagogique dans l'Aisne et son ancien propriétaire est décédé. Difficile d'estimer précisément le temps écoulé entre le départ de la ferme et l'abandon, toutefois les recherches avancent : « On sait qu'il était dans une ferme découverte à proximité de Pontavert, il y a quatre ou cinq ans. Il a dû être donné ensuite. »
Poney pouponné
Après avoir été soigné, l'animal s'est refait une beauté. Au programme : taille des sabots, douche, brossage et coiffage. Les palefreniers, monitrices et jeunes cavaliers sont aux petits soins, le faisant marcher une quinzaine de minutes par jour afin qu'il retrouve toute sa motricité. Bichonné, nourri et logé, Tchad mène une vie de rêve au centre équestre où il sera encore hébergé quelque temps afin qu'il reprenne du poil de la bête : « En aucun cas il sera utilisé pour être monté », précise le responsable du centre équestre. Émues par son histoire, de nombreuses personnes ont proposé d'adopter le poney. Il devrait donc prochainement rejoindre ses congénères dans une pâture gorgée d'herbe fraîche où il coulera des jours paisibles, bien loin du calvaire qu'il a connu.

http://www.lunion.presse.fr/region/l-histoire-se-termine-bien-pour-le-poney-tchad-jna3b24n164948

Muret. Sylvie élève les plus gros chats du monde

Misou restera dans mon cœur pour toujours. C’était un chat de gouttière tigré que mes parents avaient et à la mort de mon père je me suis énormément attachée à lui. Du haut de mes 15 ans, je me suis toujours dit que j’aurai plusieurs chats et que j’en ferai mon métier.» Sylvie Charron-Brunet a réalisé son rêve d’adolescente. Après une formation d’auxiliaire de santé animale, elle est maintenant agricultrice, éleveuse de chats.

Mais tout n’a pas été simple. Sylvie raconte qu’un jour de grande tristesse, elle est allée dans une expo féline. «J’ai vu un éleveur qui brandissait un Maine Coon. Là, ça a été un véritable déclic,une révélation et un peu de fatalité aussi. Ma vie a commencé à ce moment-là» raconte-t-elle, son regard bleu illuminé et plein d’éclat au souvenir de cette rencontre avec celui qui est considéré comme le plus gros chat du monde.

Philou Premier !

Malgré une vie pas très facile et une séparation familiale douloureuse Sylvie a réussi à acheter son premier Maine Coon. «C’était en 98 et il s’appelait Philou.» Pas de chance ! Le chat est mort d’une cardiomyopathie à 18 mois mais en même temps cela a été l’opportunité d’approfondir ses connaissances du félin. «J’ai ainsi commencé à me former aux soins vétérinaires. Puis grâce à une sélection faite en 3 ou 4 ans, j’ai réussi à obtenir une race saine, sans gêne de cardiomyopathie, qui est récurrente chez cette race de chat.» explique aussi l’éleveuse.
A partir de là, tout a souri à Sylvie. Son premier reproducteur «Misou 2» est au départ de la création de la chatterie. «J’ai maintenant 30 chats reproducteurs et 7 retraités.»
Une maison de chats…
Sylvie a aménagé sa vie, sa maison et son jardin de Mauressac autour des chats. Un espace extérieur et un autre intérieur, pour les mâles, un pour les femelles et un pour les femelles allaitantes. Et de préciser : «Il est important de mettre dans l’enclos des mâles, une femelle et vice-versa car il ou elle amène une sérénité et empêche les autres de se battre.»
Sylvie a maintenant 15 ans d’élevage derrière elle, des dizaines de chatons partis pour des destinations lointaines : Mayotte, Réunion, Brésil, Argentine, Canada… «Je suis un peu comme une maîtresse d’école et quand les parents viennent les chercher ça me fait toujours un pincement au cœur.»
«Mes chats m’ont permis de me reconstruire et ont atténué la souffrance de mon enfance. Ma persévérance a fait le reste et je partage maintenant cette passion du plus gros chat du monde avec les amoureux de la race».
Contact : 0 626 816 977 / sylvie.brunet@sfr.fr

http://www.ladepeche.fr/article/2013/07/28/1679656-sylvie-eleve-les-plus-gros-chats-du-monde.html

samedi 27 juillet 2013

Rhinocéros en danger d'extinction: un zoo américain va faire acccoupler un frère et une soeur

Ce projet suscite des controverses vu le risque d'anomalies génétiques...
Dans un effort désespéré pour sauvegarder une espèce de rhinocéros en danger extrême d'extinction, le zoo de Cincinnati (Ohio, nord) va tenter de faire accoupler début août deux animaux frère et soeur. L'accouplement de Harapan, un rhinocéros mâle de Sumatra (Indonésie) de six ans avec sa soeur Suci, âgée de près de neuf ans, pourrait se produire dès la semaine prochaine, ont indiqué des gardiens du zoo.
Ce projet suscite des controverses vu le risque d'anomalies génétiques et la pauvreté de la qualité du sperme des progénitures, reconnaît Terri Roth, directrice du Centre Lindner pour la conservation et la recherche sur les espèces en danger, mais affirme-t-elle à l'AFP, «il n'y a pas d'autres solutions». Selon les experts en conservation, il ne resterait qu'une centaine de rhinocéros de Sumatra à l'état sauvage en Indonésie et en Malaisie, et seulement dix en captivité dans le monde.

L'insémination artificielle n'a jamais donné de résultat

Quatre sont de la même famille, dont trois se trouvent depuis ces dernières années au zoo de Cincinnati et un quatrième est né en Indonésie en 2012. Pour Suci la seule option d'accouplement est son frère Harapan, car l'insémination artificielle n'a jamais donné de résultat chez les rhinocéros de Sumatra, donc pas question d'acheminer du sperme d'un mâle génétiquement compatible vivant ailleurs, explique Terri Roth. Harapan, qui a presque atteint l'âge adulte, a été transféré plus tôt en juillet du zoo de Los Angeles.
«A moins que les Indonésiens ne capturent plus de rhinocéros de Sumatra et qu'un mâle sans lien de parenté avec Suci ne devienne disponible, nous n'avons pas la diversité génétique dont nous avons besoin», relève-t-il. Les femelles rhinocéros doivent aussi engendrer pour éviter que leurs organes de reproduction ne développent des kystes, qui risquent de les rendre infertiles, indique Susie Ellis, directrice de l'International Rhino Foundation. Celle-ci souligne que la population de rhinocéros de Sumatra a fortement diminué à cause de la destruction de leur habitat et du braconnage pour leur corne, qui en Asie est considérée à tort comme dotée de vertus médicinales.
Le rhinocéros de Sumatra «n'est pas comme le panda géant que tout le monde connaît et je pense que le public doit savoir (...) ce qui arrive avec ces rhinocéros», commente Terri Roth. «Nous sommes en passe de perdre ce rhinocéros et je ne veux pas cela arrive», ajoute--t-elle.

http://www.20minutes.fr/sciences/1193265-20130727-rhinoceros-danger-extinction-zoo-americain-va-faire-acccoupler-frere-soeur

vendredi 26 juillet 2013

Un zébrâne, mélange d'âne et de zèbre, est né à Florence

Il est le seul spécimen de toute l'Italie... Un petit zébrâne, né de l'accouplement d'un zèbre et d'une ânesse, a récemment vu le jour dans une réserve animalière de Florence en Italie.

Il s'appelle Ippo. Il a des rayures comme un zébre et des oreilles d'âne. Voici le petit né des amours d'un zèbre et d'une ânesse dans une réserve animalière de Florence en Italie et il est en bonne santé, rapporte l'agence italienne Ansa. Selon la propriétaire de la réserve, Serena Aglietti, "Ippo est le seul de son éspèce en Italie." Les zébrânes sont en effet très rare : on en retrouve en Allemagne, en Chine et en Georgie seulement.

Un spécimen d'autant plus unique que le petit n'est pas né d'une manipulation génétique. Il est le fruit de la détermination d'un zèbre, qui a escaladé une barrière pour pouvoir se rapprocher de l'ânesse de son cœur. Le père d'Ippo a été récupéré par la réserve après que le zoo auquel il appartenait a fait faillite, et sa mère provient d'une espèce en danger, l'âne de l'Amiata, relate Ansa.
 

Un kangourou s'échappe dans les rues de Lamagistère

C’est une intervention peu ordinaire qu’ont effectuée les pompiers valenciens hier vers 6 h 30. Appelés pour un kangourou qui venait de s’échapper de son enclos à Lamagistère, ils ont dû courir derrière l’animal pendant une bonne heure avant de pouvoir l’intercepter. «Il était sur la RD 813, il est passé devant la gare avant de prendre la direction du centre-ville, nous étions trois à courir derrière lui, il allait vite, quand il bondissait il était à peu près à hauteur d’homme», témoigne Fabrice Latapie l’un des trois pompiers qui tentaient de le rattraper. «Cela a fait pas mal de remue-ménage nous avons croisé des automobilistes surpris, le boulanger une baguette à la main qui s’est bien amusée. Le maire également Bernard Dousson a suivi la course-poursuite.» Enfermé dans une cage, le kangourou fugueur est revenu dans son enclos.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/07/26/1678629-un-kangourou-s-echappe-dans-les-rues-de-lamagistere.html

jeudi 25 juillet 2013

Haute-Loire. Une mygale retrouvée dans une jardinerie

Une mygale toxique a été découverte dans le tronc d'un olivier d'une jardinerie Tridôme de Vals-près-le-Puy, dans la Haute-Loire, ce mercredi.
Les sapeurs pompiers ont dû intervenir après qu'une cliente ait alerté la sécurité. Cette dernière a eu la mauvaise surprise de trouver la mygale dans le tronc de l'olivier qu'elle venait d'acheter. Les pompiers ont réussi à pieger l'araignée grâce à une boite. Cette dernière, qui n'a pas survécu à l'intervention, mesurait 3 centimètres.
Cette mygale est l'une des deux mygales européennes est connue pour ses morsures très dangereuses.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/07/25/1677990-haute-loire-une-mygale-retrouvee-dans-une-jardinerie.html

mercredi 24 juillet 2013

Un loup photographié dans le Jura

Un loup a été photographié dans le Jura, où il n'est pas officiellement implanté, après l'attaque d'un troupeau d'ovins lors de laquelle trois bêtes ont été tuées et deux autres blessées, a indiqué aujourd'hui la préfecture.

L'attaque a eu lieu le 17 juillet, à Foncine-le-Haut (Jura), à quelques kilomètres de la Suisse, où le loup est présent.
"Les personnels de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage sont venus voir les carcasses et tout laisse à penser qu'on s'inscrit dans le cadre d'une attaque de loup, qui reste à confirmer mais avec une marge d'erreur minime", a dit Thierry Humbert, directeur de cabinet du préfet du Jura.

"Un cliché pris dès le lendemain à partir d'un piège photographique installé à proximité du lieu de l'attaque a permis d'identifier un animal présentant toutes les caractéristiques" du loup, a par ailleurs déclaré la préfecture dans un communiqué.
Selon Thierry Humbert, cette attaque est "un cas isolé qui ne préfigure pas pour l'instant le retour de l'animal dans le département du Jura".


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/07/24/97001-20130724FILWWW00503-un-loup-photographie-dans-le-jura.php

Zapping Best of : les animaux, des bêtes de scène à la télévision