dimanche 28 décembre 2014

samedi 27 décembre 2014

Bibiche, la biche du chateau de Villersexel est morte

La mobilisation des deux associations de défense des animaux pour sauver Bibiche, qui avait été recueillie au chateau de Villersexel, en Haute-Saone, a connu un épisode malheureux.
On croyait la biche sauvée après sa capture et sa mise à l’abri mi-novembre. Quelques jours auparavant, elle était encore sous le coup d’un ordre préfectoral d’abattage : régulièrement nourrie par les promeneurs dans le Haut-Rhin, elle était devenue si peu farouche qu’elle flânait régulièrement en plein milieu de la route au risque de provoquer des accidents.
Grâce à l’intervention de l’association alsacienne Sauvegarde Faune Sauvage et de la Fondation Brigitte Bardot, la biche s’était trouvé un nouveau refuge au parc Cat’Pat du château de Villersexel. Hélas, le parc vient d’annoncer la mort de Bibiche sur sa page Facebook : « Ne sachant pas régler sa gourmandise, nous pensons que Bibiche se gavait trop de nourriture, ce qui a provoqué une acidose. Nous avons veillé sur elle, notre vétérinaire n’a eu de cesse de venir la trouver. Malgré les perfusions et tous les soins, elle s’en est allée».
Bibiche victime d’excès alimentaire… Une bien triste histoire, à méditer peut-être au moment des agapes de fin d’année.
http://www.estrepublicain.fr/insolite/2014/12/26/bibiche-n-est-plus

mardi 23 décembre 2014

Maltraitance sur animaux: 80 bêtes retirées à leurs propriétaires à Sospel

Chiens, équidés, caprins, volailles... Plus de 80 animaux ont été retirés lundi matin de l'endroit sordide où ils vivaient, dans le quartier Gypas à Sospel, sur ordonnance du tribunal de grande instance de Nice.
L'opération a été menée conjointement par la compagnie de gendarmerie de Menton et l'antenne 06 de la SPA assistée d'une quinzaine de bénévoles.
Au mois de mai dernier, deux frères, des agriculteurs sospellois à la retraite, comparaissaient devant le tribunal correctionnel de Nice pour actes de cruauté envers des animaux.
Seize chiens dans un état très critique leur avaient déjà été retirés avant l'été pour être placés en refuge. Cette fois, c'est l'ensemble de leurs animaux qui ont été enlevés et seront amenés dans des refuges de Nice, Perpignan et en Normandie.
http://www.nicematin.com/menton/maltraitance-sur-animaux-80-betes-retirees-a-leurs-proprietaires-a-sospel.2035361.html

jeudi 18 décembre 2014

11 maires se mobilisent pour sauver la réserve Africaine

Après les récentes inondations, la direction de la Réserve de Sigean a brandi la menace de déménager si rien n'était fait dans l'avenir. Les élus vont se battre pour maintenir le site.
Le torchon brûle entre les représentants des riverains de la Berre et la Syndicat de la Berre et du Rieu, depuis 1999, à chaque crue, notamment celle de 2006, les riverains ont manifesté leur colère devant leurs parcelles ou domaines riverains détruits par les crues, parmi ces riverains en colère, un homme dont la voix pèse et non des moindres, Jean-Jacques Boisard de la Réserve Africaine, lors des dernières inondations de fin novembre, ce dernier a poussé un coup de gueule et a annoncé qu'il allait quitter Sigean, devant l'incapacité de trouver une solution viable aux phénomènes des crues dont l'ampleur et la récurrence en font des événements préoccupants. Au mois de septembre, nous avions réalisé un article sur la rénovation de la digue de l'Espinat, prés du château de Villefalse au nord ouest de Sigean, le directeur du Syndicat de la Berre et du Rieu Jean-Claude Montlaur nous avait expliqué à propos de la réserve Africaine : «Tous les organismes concernés (syndicats et État) ont planché sur la situation de la Réserve africaine, il est apparu que le rapport coût/bénéfice est surdimensionné, M. Boisard doit organiser son espace commercial différemment, la solution d'araser la rive droite de la Berre est hors de prix». La menace du départ du plus important parc animalier de la région, pour ne pas dire de France n'a pas laissé indifférents, onze maires, Michel Py (Leucate), Roger Brunel (Portel), Michel Jammes (Sigean), Henri Martin (Port-la-Nouvelle), Jean-Paul Fauran (La Palme), Marie-Christine Théron-Chet (Roquefort), Armand Pradallier (Feuilla), Alexis Armangau (Fitou), Alain Bouton (Treilles), Bernard Devic (Caves), Catherine Gouiry (Peyriac-de-Mer), au motif que la Réserve Africaine emploi 100 personnes à l'année, le double pendant les six mois de la saison estivale, un parc qui génère 10 millions d'euros de chiffre d'affaires et qui attire plus de 350 000 visiteurs par ans, dans un département sinistré, qui n'a déjà pas beaucoup d'industrie et qui ne mise que sur le tourisme parce que pour l'instant on n'a pas trouvé mieux, il est clair que le départ de la réserve Africaine serait un sacré coup dur, même si on n'en est pas encore là.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/18/2013589-11-maires-se-mobilisent-pour-sauver-la-reserve-africaine.html

mercredi 17 décembre 2014

Marseille : un singe errant sème la panique dans une école

Il terrorisait les habitants du quartier et même les élèves d'une école et d'un collège. Un petit singe magot a été neutralisé par la police de Marseille dans le quartier de la Castellane. Un taser a été utilisé pour l'immobiliser.
Il menaçait les habitants et a même semé la panique dans une école primaire et dans le collège Henri Barnier. Un petit singe Magot qui errait depuis plusieurs jours dans le quartier de la Castellane à Marseille a été neutralisé par la police. Mardi, "une patrouille de la division nord" a enfin pu arrêter l'animal qui, jusqu'alors, avait toujours réussi à s'enfuir, rapporte La Provence. Les policiers ont utilisé un pistolet à impulsion électrique de type Taser pour le neutraliser. Au cours de l'intervention, l'un a été mordu par l'animal.
Dans le collège Barnier, où il avait pénétré la semaine dernière, le petit singe a fait fuir "des élèves qui démarraient leurs examens" , rapporte encore
La Provence.

Nourri à base de Kinder
Le Magot semble avoir été abandonné par son propriétaire. Il errait, depuis, sans être pris en charge. "Il trainait avec des jeunes de la cité dont certains l'auraient mal nourri notamment à base de Kinder", indique encore La Provence. C'est peut être ce manque de nourriture qui expliquait cette agressivité.
Une enquête est désormais ouverte pour identifier le propriétaire de l'animal détenu illégalement.

dimanche 14 décembre 2014

vendredi 12 décembre 2014

jeudi 11 décembre 2014

L’ours complice de l’évasion du lynx à Juraparc

Felix, le deuxième lynx en pension à Juraparc, à Vallorbe (CH), non loin de Pontarlier, s’est évadé du parc animalier grâce à la complicité de l’ours Kupa. A l'occasion d'un reportage, L'Est Républicain avait constaté l'amitié qui unissait les animaux. En partant en toute discrétion, le félin s’est montré plus «mallynx» que Aisha qui s’est évadée du Mont-d’Orzeires sous les objectifs des photographes en 2009.
La direction de Juraparc confirme l’information parue
dans la presse suisse.
" La dernière fois que Félix a été vu, c’est le 10 janvier de cette année. Le lendemain, il avait disparu. Après des recherches minutieuses dans les enclos, nous pensions que le lynx avait été mangé par les loups bien que nous n’en ayons pas la preuve matérielle. Au début de l’été, c’est un téléphone du service cantonal de la faune qui nous a appris que Félix était vivant. L’animal a été identifié sur une photo prise du côté de Saint-Georges et transmise au Kora service qui gère la faune sauvage dans notre pays.
Si l’évasion d’Aisha s’est déroulée devant des journalistes. Celle de Félix garde un aspect mystérieux. En effet suite à la mésaventure vécue avec le premier lynx, Nous avons pris toute les mesures nécessaires pour créer un nouvel enclos d’où les spécialistes affirmaient qu’il serait impossible à un lynx de prendre la poudre d’escampette. Pourtant l’ours kupa a réussi à mettre en évidence une faille dans le système de sécurité. Une brèche a été découverte après la disparition de Félix. Elle s’est trouvée au bout d’un tunnel reliant l’enclos sécurisé à l’enclos d’où Aisha s’est enfuie. Et où aujourd’hui cohabitent l’ours Georg et les loups. A l’extrémité de ce tunnel qui servait de caverne à l’ours Kupa était une palissade en bois. Fermeture boisée qui a été rongée par le plantigrade. Ce dernier a ainsi créé un trou suffisant pour permettre le passage du lynx. Félix en a profité. Il s’est retrouvé nez à nez avec les loups. Dans la neige, nous avons vu des traces de lutte entre le félin et les canidés, mais pas de sang, ni de carcasse. Nous pensons que le lynx a fuit face au danger, car seul face à la meute, il ne faisait pas le poids.
Juraparc a tout de suite informé de la disparition du lynx, la division biodiversité et du paysage du Département du territoire et de l’environnement (DTE) canton de Vaud. Ce dernier a entrepris des recherches, posés des pièges et réalisés des analyses d’ADN, qui n’ont pas permis de confirmer la mort ou la fuite du lynx. En effet le DTE a reçu la confirmation que Félix était vivant par le biais du Kora. Et depuis, l’animal n’a plus été revu. Jacqueline De Quatro, conseillère d’Etat en charge du dossier a décidé qu’il fallait tenter de capturer Félix pour le remettre en captivité dans un lieu sûr. Mais, cela n’est pas simple. La recherche du lynx de Juraparc se fera lors de la campagne de pièges photographiques et de captures organisée cet hiver par le Kora avec le DTE.
Notre erreur a été de na pas fermé les deux extrémités du tunnel qui relie les deux enclos. Nous somme contents de savoir Félix vivant, mais regrettons les conséquences engendrées par sa fuite. Et nous pouvons que nous excuser auprès des chasseurs pour les pertes que le comportement de Félix pourrait faire subir au gibier."

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/12/11/l-ours-complice-de-l-evasion-du-lynx-a-juraparc

mercredi 10 décembre 2014

lundi 8 décembre 2014

vendredi 5 décembre 2014