mardi 30 septembre 2014

Moitié moins d'animaux sauvages sur Terre qu'il y a 40 ans, selon le rapport WWF

L'action de l'homme a entraîné la disparition, en 40 ans, de plus de la moitié des animaux sauvages de la planète: ce constat brutal est au coeur du rapport Planète Vivante 2014 de l'ONG WWF, dernier état des lieux d'une Terre surexploitée.
«Les différentes formes du vivant sont à la fois la matrice des écosystèmes permettant la vie sur terre, et le baromètre de ce que nous faisons vivre à notre planète», écrit le directeur général du Fonds mondial pour la nature (WWF International), Marco Lambertini.«Et en nous désintéressant de leur sort, nous courons à notre perte», alerte-t-il.

Pas de ralentissement

Entre 1970 et 2010, l'Indice Planète Vivante - qui mesure l'évolution de 10.380 populations de 3.038 espèces de mammifères, oiseaux, reptiles, amphibiens et poissons - a chuté de 52 %. Et «cette tendance lourde ne donne aucun signe de ralentissement», selon la 10e édition du rapport, pour qui il est encore possible d'agir pour renverser ce déclin et combiner développement et sauvegarde de l'environnement.
Les zones les plus touchées sont l'Amérique Latine (-83%), suivie de près par la région Asie-Pacifique, et ce sont les espèces d'eau douce qui ont payé le prix fort (-76%) quand les espèces terrestres et marines ont diminué de 39%.

Nouvelle méthode de calcul

La baisse annoncée de 52% est beaucoup plus marquée que dans les rapports précédents, en raison de changements dans le mode de calcul qui proposent une représentation plus fidèle de la répartition mondiale des espèces de vertébrés, précise l'ONG spécialisée dans la protection des espèces en danger. Dans son dernier rapport bisannuel, datant de 2012, le WWF faisait état d'une baisse de 28% des espèces sauvages entre 1970 et 2008. L'indice ne couvrait alors que 2.699 espèces.
Les causes de ce déclin: la perte et dégradation des habitats (en raison de l'agriculture, l'urbanisation, déforestation, l'irrigation, les barrages hydroélectriques...), la chasse et la surpêche (y compris les prises accidentelles comme pour les tortues marines), et le changement climatique.
Ainsi, de nombreux poissons et animaux de rivage ont disparu du Coorong, zone du sud de l'Australie où le prélèvement d'eau pour l'irrigation a augmenté la salinité. Ou encore, en Afrique, l'aire de répartition de l’éléphant ne représentait plus en 1984 qu'environ 7% de son aire historique. Et dans cette portion congrue, à cause du braconnage, le nombre d’éléphants s'est effondré de 60% entre 2002 et 2011.

http://www.20minutes.fr/planete/1451821-moitie-moins-animaux-sauvages-terre-40-ans-rapport-wwf

lundi 29 septembre 2014

dimanche 28 septembre 2014

Des dizaines d'animaux recueillis à La Bollène-Vésubie après l'incarcération de leur propriétaire

Près d'une centaine d'animaux, à l'abandon depuis plusieurs jours, ont été pris en charge samedi à La Bollène-Vésubie par la Fondation Assistance aux animaux.
Quatre chiens, trois chats. Des dizaines de poules. Quelques moutons, canards et chèvres, et même des cailles et une tortue. Morts pour certains, squelettiques pour beaucoup. Affamés.
C'est l'affligeant spectacle qu'a découvert Patricia Lanini samedi matin à La Bollène-Vésubie. Membre de la Fondation Assistance aux Animaux et responsable d'un refuge à Carros, elle a évacué plusieurs dizaines d'animaux "très amaigris. Nous les avons pris en charge au refuge. Ils ont grand besoin d'être nourris et soignés."
Le propriétaire interpellé à Nice
Apeurés, dépérissant au milieu des carcasses et de la pourriture, les animaux étaient seuls et sans nourriture depuis une huitaine de jours. Depuis que leur propriétaire a été incarcéré pour violences conjugales.
Le week-end dernier, après avoir roué de coups sa compagne, il l'avait conduite à l'hôpital à Nice. Inquiets des blessures de cette dernière, les équipes médicales avaient alerté la police niçoise.
L'homme avait alors été placé en garde à vue, et son domicile perquisitionné.
Depuis ? Plus rien, jusqu'à l'intervention de samedi. Ces jours de privation ont-ils pu ainsi amaigrir ces chiens ? La diète a-t-elle été fatale aux plus faibles, comme le laissent penser les cadavres en décomposition retrouvés sur place ? Aujourd'hui, personne ne peut l'affirmer - ni l'infirmer d'ailleurs.
Présent lors de l'intervention, l'un des adjoints au maire de La Bollène-Vésubie, Yves Fournet, ne sait trop qu'en penser. "Je ne veux dédouaner ou accabler personne. Même si ce monsieur n'a pas l'air très soigneux, il est difficile d'affirmer qu'il y a eu maltraitance. Privés de nourriture, les animaux se sont peut-être mangés entre eux. C'est en tout cas l'une des explications possibles…"
"Pas plus dans le Sud-Est qu'ailleurs"
Du côté de la Fondation, on interpelle plus qu'on est interpellé. "Des interventions de cette ampleur-là, c'est malheureusement assez fréquent, note Anne-Claire Chauvancy, du service juridique de la Fondation. On a l'impression qu'il y en a plus dans le Sud-Est qu'ailleurs, mais c'est sans doute parce que nous avons plus de centres et plus de bénévoles."
Samedi soir, la fondation réfléchissait aux suites judiciaires à donner à cette affaire

http://www.nicematin.com/la-bollene-vesubie/des-dizaines-danimaux-recueillis-a-la-bollene-vesubie-apres-lincarceration-de-leu.1921390.html

jeudi 25 septembre 2014

Hérault : il dépense 2 000 € en radiothérapie pour sauver sa chatte du cancer

U ne clinique vétérinaire de la région parisienne propose chimiothérapie et radiothérapie aux animaux de compagnie. Un Biterrois n'a pas hésité à dépenser 2 000 € pour un mois de radiothérapie. 
Un cathéter à la patte, la chienne Bahia reçoit sa première injection de chimio, la chatte Kouyloy, endormie, est sous rayon X : dans une clinique vétérinaire parisienne, les animaux de compagnie cancéreux bénéficient eux aussi des progrès de la médecine. Tuck Choy habite près de Béziers, son vétérinaire l'a envoyé à la clinique vétérinaire Eiffelvet pour soigner Kouyloy (petite princesse en cantonais), âgée de 17 ans, qui souffre d'un fibrosarcome, un cancer de la peau. "J'espère qu'on va la sauver grâce à la radiothérapie", confie à l'AFP ce Chinois à la retraite qui dépense "sans compter" pour son "bébé". Le protocole d'un mois de radiothérapie lui coûtera près de 2 000 euros.

La clinique vétérinaire spécialisée a ouvert en juin

L'établissement, ouvert en juin dernier, compte trois vétérinaires spécialisés en oncologie, un chirurgien itinérant et quatre infirmiers. Pour tuer les cellules cancéreuses des bêtes, Aurélia Klajer a suivi une formation en médecine humaine en cancérologie à l'Institut Gustave Roussy de Villejuif car il n'existe pas de diplôme en France pour les vétérinaires. L'Ordre des vétérinaires lui a donné l'autorisation d'exercer. "Nos clients sont issus de toutes les classes sociales. Ils consacrent une grande part de leur budget pour leur bête car en ces temps difficiles, l'animal est un bon antidépresseur", estime-t-elle.

Les mêmes produits que pour les humains

Les vétérinaires utilisent les mêmes produits qu'en médecine humaine, dont le prix est très élevé. Pour traiter le cancer de Médor, il faut prévoir 300 euros pour un examen au scanner - qui décèlera la présence ou pas d'une tumeur - et la facture peut monter jusqu'à plus de 3 000 €, selon le protocole de soins. Au sous-sol, depuis la salle de contrôle, Aurélia Klajer surveille sur un écran le rythme cardiaque et la respiration de la chatte anesthésiée, sous rayon X pendant quatre minutes, "pour attaquer son cancer très agressif".
A l'étage, dans la salle de chimiothérapie, une infirmière installe Bahia, un braque de Weimar de 8 ans, qui tremble comme une feuille. "Tout va bien se passer", lui dit Aurélia Klajer en lui caressant la tête. Elle enfile une blouse, met une charlotte sur la tête, un masque, des lunettes et une double paire de gants "pour éviter toute contamination par les produits chimiques". Bahia n'a pas bougé une oreille. "Le produit injecté n'est pas douloureux", affirme la vétérinaire.
"Les humains, cobayes pour les chiens"
Dans la salle d'attente, le boxer Angie, souffre du dos et doit passer un scanner. L'équipe médicale l'endort puis le sangle sur la table d'examen suivant les consignes du vétérinaire, Olivier Kéravel. "Angie, n'a pas de tumeur cancéreuse mais un problème de hanche", diagnostique-t-il. "Pour une fois, ce sont les humains qui servent de cobayes aux chiens et aux chats !", ironise le responsable du scanner, formé en cancérologie et imagerie aux Etats-Unis où les cancérologues travaillent de concert avec les vétérinaires. A Eiffelvet, on soigne toutes sortes de tumeurs. "Le lymphome, cancer des ganglions est très fréquent chez le chien.
Chez le chat, ce sont les tumeurs cérébrales, comme des méningiomes des tumeurs bénignes, que l'on opère dans certains cas ou que l'on irradie, et des fibrosarcomes qui peuvent +métastaser+ aux poumons", note Olivier Kéravel. Selon lui, les chiens sont aujourd'hui plus nombreux à développer des cancers que les hommes. "On estime que 30 % des chiens développeront un cancer dans leur vie", note-t-il, ajoutant que "les cancers du poumon, sont rares chez les chiens, excepté ceux exposés à la cigarette ou à l'amiante qui peuvent développer un mésothéliome, cancer de la plèvre". "Comme on a plus de connaissances en médecine vétérinaire, les animaux vivent plus vieux et on voit plus de cancers qu'avant", constate M. Kéravel. "Grâce à la chimio et la radiothérapie, certains chiens peuvent vivre deux ans avec leur cancer. Pour un chien qui vit en moyenne 12 ans, c'est énorme !", souligne-t-il. Depuis son ouverture en juin, la clinique parisienne a soigné une cinquantaine d'animaux atteints de cancers. Trois autres cliniques du même type existent déjà, à Lille, Créteil et Brive-La-Gaillarde. 

http://www.midilibre.fr//2014/09/25/herault-il-depense-2000-eur-en-radiotherapie-pour-sauver-sa-chatte-du-cancer,1056260.php

samedi 20 septembre 2014

120 personnes se sont mobilisées pour sauver «Doli», la chienne blessée par une voiture

Le 17 août, «Doli», la petite chienne de Marthe Delfau, était accrochée par une voiture sur la route qui relie Saint-Maurice à Montastruc, tout proche de son domicile. La petite-fille de Marthe Delfau, Mélanie, a vu sa «mamie» désespérée : elle n'avait pas les moyens de faire soigner sa petite chienne. Grâce à «La Dépêche du Midi», elle lançait un appel de solidarité.
L'animal était d'abord dirigé vers le vétérinaire de Lafrançaise, puis dans une clinique spécialisée à Castres où elle a passé quinze jours en soins intensifs.
«Doli» est aujourd'hui en vie et devra refaire un bilan le 28 octobre, à Castres.

Une chaîne de solidarité incroyable

Quand nous avons rencontré Marthe Delfau, jeudi matin, toute tremblante, elle a sorti son petit cahier pour nous montrer la liste des personnes ayant répondu à l'appel de solidarité. L'appel lancé dans nos colonnes a dépassé ses espérances. Ils sont exactement 120 à y avoir répondu et à avoir envoyé un petit chèque et un petit message de soutien. Cela méritait bien d'être signalé.
Marthe Delfau, émue, ne trouvait pas les mots pour remercier chaleureusement toutes les personnes qui se sont manifestées pour sauver «Doli».
C'est chose faite à travers ces lignes.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/20/1955112-120-personnes-se-sont-mobilisees-pour-sauver-doli.html

mardi 16 septembre 2014

lundi 8 septembre 2014

Des animaux mal soignés au zoo de Fréjus?

Cible de violentes critiques sur les réseaux sociaux et accusé de maltraitance, le parc animalier n’entend pas se laisser abattre sans combattre. Propriétaire et chef soigneur montent au créneau
Le parc zoologique de Fréjus est-il un mouroir pour animaux, mal entretenu, et doté d'un personnel incompétent et négligent ? C'est ce que tout au long de l'été des défenseurs de la cause animalière ont laissé entendre à travers blogs et pages Facebook, photos à l'appui... La puissance des réseaux sociaux amplifiant un phénomène qui aujourd'hui prend la forme d'une pétition sur le Net intitulée « Non au zoo de Fréjus » et qui a déjà recueilli 26.000 signatures.
De quoi agiter la cité romaine et jeter l'opprobre sur ce parc animalier de 16 hectares ouvert en 1971 et qui accueille entre 500 et 600 animaux représentant 110 espèces. De quoi aussi désespérer le personnel du zoo, objet de toutes les vindictes depuis le début de l'été.
Une explication à chaque accusation
« Ce n'est plus supportable, ni même tolérable »,soupire la chef soigneuse*. Révoltée par les lettres d'insultes ou autres menaces de mort qu'elle reçoit régulièrement, elle n'accepte pas d'être jugée « par des gens qui n'ont pour certains jamais mis les pieds dans le parc ou d'autres qui, intentionnellement, travestissent la réalité pour nous enfoncer. »
Elle dit « faire ce métier par passion et avec passion », passer « plus de temps avec [ses] animaux qu'avec [sa] famille » et tient coûte que coûte à apporter des éclaircissements sur les accusations dont ses sept soigneurs et l'ensemble du zoo font l'objet dans un blog édité par une certaine Lisa.
Et la chef soigneuse d'expliquer en préambule « que le zoo a perdu 4 hectares repris par la ville de Fréjus. Du coup, nous sommes en complète restructuration. Et nous réaménageons petit à petit les espaces d'accueil des animaux, en respectant évidemment leurs rythmes.»Quant au prétendu manque de soins ou d'attention apportés aux animaux, elle a une explication pour tout.
« Cette dame prétend que notre hippopotame Milka nage dans ses excréments. Sait-elle qu'un hippo fait 20 kilos de crottes par jour et que même en nettoyant régulièrement le bassin il ne peut être parfaitement limpide ?»
Et les tortues qui n'ont soi-disant pas d'eau dans leur bassin ?« C'est de la manipulation. La photo a été prise lorsque j'étais en train de nettoyer en personne ce bassin après l'avoir provisoirement vidé. Mais bien entendu, on m'a volontairement occultée sur la photo pour faire croire qu'on laissait nos tortues sans eaux... »
Et quid de ces éléphants qui tournent en rond dans de minuscules enclos ?« Là encore, c'est de la désinformation. Le mâle Kim, devenant trop agressif avec notre femelle, nous avons décidé de les séparer. En attendant de placer Kim dans un autre parc et de récupérer un mâle plus doux, nous avons isolé Gina, 50 ans, dans un plus petit enclos, certes, mais aux normes. Elle y dispose d'un abreuvoir et reçoit la visite de Mahmoud, son soigneur qui la douche, lui fait les pieds et s'occupe d'elle jusqu'à cinq fois par jour. Bien évidemment, les deux enclos seront à nouveau reliés lorsque le nouveau mâle sera arrivé et le danger écarté pour Gina.»
« Faut-il cacher le perroquet ? »
Quant au loup du zoo « qui a les oreilles en piteux état et une plaie suintante sur le dos » si l'on en croit la blogueuse, Valérie Mandier explique que l'animal fait de l'eczéma depuis plusieurs années tous les étés et serait stressé par le regard des hommes et la mort de sa femelle. « Nous allons bientôt récupérer un couple de loups qui lui permettra de retrouver ses habitudes de meutes ».
Enfin, à la visiteuse qui se disait choquée d'avoir trouvé un ara à qui il manque trois doigts, Valérie Mandier répond « que le perroquet est arrivé comme ça au zoo. Faut-il le soustraire du regard des hommes pour cause de malformation ? »
Croisé devant la mare à l'hippopotame (dont l'eau était propre !), un groupe de jeunes vacanciers originaires d'Arras ne semblait pas partager le « dégoût » exprimé par Lisa la blogueuse. Ignorant la polémique estivale, les Chti's semblaient ravis de leur visite : « C'est un chouette zoo, les animaux sont propres et n'ont pas l'air ni stressés, ni malheureux.» Valérie Mandier a esquissé un léger sourire en entendant le compliment...
*Ethologue de formation, Valérie Mandier est détentrice de la capacité délivrée par le ministère de l'Agriculture, obligatoire dans chaque parc animalier.
 

vendredi 5 septembre 2014

mercredi 3 septembre 2014

Besançon : des lionceaux très secrets

Besançon. Motus et bouche cousue… Seule une indiscrétion a permis de connaître une nouvelle que le zoo de la Citadelle ne voulait pas diffuser.
Il y a un mois, trois lionceaux d’Asie sont nés en toute discrétion. Cette espèce rarissime (350 individus en liberté), considérée « en danger », fait l’objet d’un programme d’élevage en captivité mené à l’échelle européenne. Shiva, la mère qui a donné naissance aux trois lionceaux, est depuis totalement invisible. Elle reste enfermée dans une salle chauffée avec les trois petits qu’elle allaite.

Complètement isolés

« Même le personnel ne l’approche pas, précisait hier Mélanie Berthet, vétérinaire à la Citadelle. Ils ne sont observés que par le biais d’une caméra de surveillance. Aujourd’hui, tout se passe bien pour la lionne et les lionceaux. »
Leur première sortie face au public n’est pas imaginable, pour la direction du site, avant un bon mois.
Malgré la distance imposée pour le bien-être de la petite famille, le personnel de la Citadelle reste très attentif au destin des lionceaux, jusqu’à entretenir le secret autour de leur naissance.
Il est vrai qu’un drame avait marqué les esprits, surtout parmi les soigneurs il y a seulement quelques mois. Une portée précédente avait en partie été dévorée par le couple, Shiva, la femelle, et Téjas, le mâle.

Les lionceaux dévorés par leurs parents

Le 17 mars dernier, c’est lui qui avait tué d’un coup de mâchoire l’un des trois petits, âgé de deux mois et demi, alors que des rencontres précédentes s’étaient passées sans incident.
Quelques jours plus tard, la femelle, très stressée par le comportement agressif du mâle, tuait à son tour l’un des petits. Seule une femelle pouvait être sauvée in extremis. « J’ai assisté à cet événement, rappelait, hier, Mélanie Berthet. Le personnel a été très affecté par cet événement. Nous ne savons même pas si les nouveaux-nés sont des mâles ou des femelles. Nous ne voulons pas non plus leur donner de nom pour l’instant. »
La Citadelle attend désormais les consignes précises de la direction du programme de reproduction. Il n’est pas prévu pour l’instant que le mâle approche les trois lionceaux dont il est le père.
Au-delà de ses précautions particulières, la naissance de ces trois petits lions d’Asie représente un succès exceptionnel pour le zoo de Besançon.

http://www.estrepublicain.fr/insolite/2014/09/02/besancon-des-lionceaux-tres-secrets