mardi 26 août 2014

Haut-Doubs : le petit chamois blanc est-il condamné ?

Il n’a pas encore de nom, mais il est déjà connu comme… le loup blanc. Le petit chamois qui gambade au Pissoux, près de Villers-le-Lac (Doubs), a été repéré il y a quelques semaines par des promeneurs et des amoureux de la nature. Il est devenu une attraction particulière pour les photographes animaliers. Il est vrai qu’apercevoir un jeune chamois (il est né au printemps) immaculé est un spectacle rare. Pourtant, dès la prochaine ouverture de la chasse (le 14 septembre), le chamois blanc pourra être abattu. Des bracelets sont encore disponibles sur ce secteur et le côté très exceptionnel du trophée pourrait attirer des fusils...
.la suite sur ce lien .......... http://www.estrepublicain.fr/insolite/2014/08/25/le-petit-chamois-blanc-condamne

dimanche 24 août 2014

samedi 23 août 2014

Un été sous le signe des naissances au Marineland d'Antibes

C'est un véritable baby-boom qu'a vécu le parc Marineland d'Antibes au cours de ces derniers mois. En effet, dans les bassins, les naissances se sont multipliées.
Entre les mois de mai et de juillet, cinq otaries sont venues au monde. Quatre font partie de l'espèce dite de Californie et la cinquième de Patagonie. Des arrivées qui tombent bien puisque, cette année, le parc aquatique avait consenti un investissement d'un million d'euros pour réaménager l'habitat de ces animaux. Résidants actuels ou à venir...
Les bébés otaries peuvent donc profiter de ce nouvel espace pour grandir dans les meilleures conditions.
À leur naissance, chaque otarie pesait environ six kilos et mesurait quelque soixante-quinze centimètres. Les nouveau-nés ont besoin d'environ trois mois pour apprendre parfaitement à nager.
Avant le grand saut en bassin prévu en octobre ou novembre, les petites otaries resteront auprès de leurs mères, très protectrices. Il faut dire que chacune des mamans ne met au monde qu'un bébé par portée.
Autres naissances, cette fois dans la grande famille des requins gris. Le 27 juillet dernier un bébé squale a ainsi vu le jour. Une fierté pour la direction de Marineland: « Nous sommes un des rares parcs en Europe à permettre la reproduction de ce genre d'espèce. »
Kid's Island pas en reste
Mais les nouveau-nés ne l'ont pas seulement été dans l'eau. La ferme Kid's Island aussi a accueilli des nouveaux locataires puisque trois bébés chèvres, deux agneaux et cinq lapins ont vu le jour.
« Cela témoigne du bien-être des animaux. Si l'environnement est néfaste ou menaçant, les bêtes ne se reproduisent pas. Or, chez nous, les naissances sont très régulières. »
À Marineland, près de cinquante soigneurs veillent à la bonne santé des animaux.
Et quand de nouveaux arrivants se manifestent, ils sont d'autant plus attentifs...

http://www.nicematin.com/antibes/un-ete-sous-le-signe-des-naissances-au-marineland-dantibes.1874844.html

mercredi 20 août 2014

lundi 18 août 2014

dimanche 17 août 2014

Charnier canin près de Perpignan : des propriétaires de chiens inquiets

S uite à la découverte du charnier canin du Soler, les propriétaires de chiens dont les animaux ont disparu récemment se rongent les sangs. 
Nombre d'entre eux craignent en effet que leurs fidèles compagnons à quatre pattes fassent partie des huit cadavres calcinés retrouvés en état de putréfaction le jeudi 7 août dans un sous-bois.
C'est notamment le cas de l'Amélien Joël Liégeois, dont le caniche reste introuvable depuis le 8 juin dernier. "On pense qu'il a été enlevé, confie l'homme, qui a déposé plainte pour maltraitance sur animaux ce mardi. Les dates de la disparition concordent avec l'âge du charnier, qui semble être là depuis deux mois. De plus, selon mes informations, il y aurait bien des caniches dans le lot".
"On ne perd pas espoir"
Les circonstances dans lesquelles le caniche de Joël Liégeois, Nina, 17 ans, s'est volatilisé ? "Ce jour-là, elle est sortie comme elle le fait souvent le matin, se souvient le Lorrain d'origine. Le temps qu'on descende, elle n'était plus là. Elle revient toujours d'habitude. Nous n'avions jamais eu ce genre de problème".
Inquiet, le propriétaire de Nina se met alors à parcourir le département en quête de l'animal. "J'ai distribué des photos et collé des affiches un peu partout, relate-t-il. J'ai notamment rencontré du côté de Banyuls-dels-Aspres, d'Ortaffa et de Brouilla d'autres personnes dont les chiens semblent avoir été enlevés et qui pensent eux aussi qu'il y a un lien avec le charnier".
Quoi qu'il en soit, dans l'attente des résultats de l'enquête, diligentée par les gendarmes du Soler, l'inquiétude est de mise chez les Liégeois : "Nous les animaux, on les soigne. Ce sont des membres de la famille. Sans compter que Nina suit un traitement pour le cœur. Sans ses médicaments, elle ne pourra pas résister longtemps. Mais on n'a jamais perdu espoir de la retrouver vivante".
(SOURCE : L'INDEPENDANT)
 

samedi 16 août 2014

La pie n'a rien d'une voleuse selon une étude

La pie voleuse, qui vient chaparder bijoux et objets brillants pour les emmener dans son nid, est connue de tous. Il ne s'agirait pourtant que d'un mythe. Une étude publiée hier dans le journal Animal Cognition révèle que l'animal ne serait pas plus intéressé par un objet scintillant que par n'importe quel autre.

Des psychologues du Centre de recherche en comportement animal (CRAB) de l'université d'Exeter ont mené une série d'expériences avec une moitié de pies issues de centre de soins et une autre moitié de pies sauvages. Dans des conditions bien précises, elles ont été exposées à des objets brillants et non-brillants.

Deux objets brillants attrapés sur 64 tests

Résultat: aucun comportement particulier à l'égard des objets brillants n'a été noté. Au cours des 64 tests, les pies ont attrapé un objet brillant à seulement deux reprises, avant de le relâcher immédiatement. En ce qui concerne les oiseaux captifs, aucun n'a attrapé d'objet, qu'il soit brillant ou non. "Nous n'avons pas trouvé de preuve d'une attirance inconditionnelle envers les objets brillants chez les pies", confirme le docteur Toni Shephard, l'un des auteurs de l'étude. "Il apparaît donc probable que le folklore autour des pies soit le résultat d'une généralité culturelle et d'anecdotes plutôt que d'un fait."

Le Dr Natalie Hempel, co-auteur de l'article, explique que "peu de recherches ont été menées sur les mécanismes cognitifs du comportement de la pie". Cette étude montre pourtant, "une fois de plus, qu'elles sont intelligentes", et que bien loin d'être "attirées de manière compulsive vers les objets brillants, les pies décident de conserver une distance de sécurité à l'égard des objets nouveaux et inattendus".


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/08/16/97001-20140816FILWWW00040-la-pie-n-a-rien-d-une-voleuse-selon-une-etude.php

mercredi 13 août 2014

Des sangliers atteints de tuberculose en Corse

À deux jours de l'ouverture de la chasse en Haute-Corse, on s'inquiète des risques de transmission à l'homme de la tuberculose bovine, maladie de l'élevage passée à la faune sauvage, notamment aux sangliers.
En l'absence d'une réglementation officielle sur les déchets de chasse, des conseils d'hygiène stricte et d'enfouissement ou d'incinération des viscères et peaux de sangliers sont donnés par la fédération départementale de chasse.
Tout comme une cuisson comprise entre 70 et 100 °C ou une congélation d'au moins quarante-huit heures à -8 °C minimum, supprimant ainsi tout risque de contamination.
« La contagion est possible au moment d'ouvrir l'animal, car la tuberculose peut être contractée par simple inhalation. C'est pourquoi l'utilisation des gants est conseillée, de même qu'un couteau consacré quand on éviscère un sanglier », explique un technicien fédéral de chasse, qui préconise également un lavage soigné des mains.
« L'année dernière, un tiers des sangliers abattus a été suspecté de contamination », explique un représentant de la fédération de chasse.
À noter que les personnes vaccinées par le BCG (à condition qu'elles effectuent leur rappel) sont protégées de tout risque infectieux

http://www.nicematin.com/derniere-minute/des-sangliers-atteints-de-tuberculose-en-corse.1861892.html

mardi 12 août 2014

Les premiers triplés pandas du monde voient le jour en Chine

Des triplés pandas sont nés fin juillet dans un zoo chinois. Un événement rarissime, considéré comme un "miracle" compte tenu de l'extrême difficulté de l'ursidé à se reproduire.

Un zoo chinois a présenté mardi des triplés pandas, vraisemblablement la seule portée de trois ayant survécu, un "miracle" compte tenu de l'extrême difficulté de l'ursidé à se reproduire.
Les trois bébés panda sont nés aux petites heures le 29 juillet au Safari Park Chimelong de Guangzhou, ou Canton (sud). D'abord placés en couveuse, ils ont été rendus à leur mère, Juxiao, pour l'allaitement. "Ils seraient les seuls triplés pandas (en captivité) à avoir survécu", a indiqué le parc animalier dans un communiqué. Juxiao, dont le nom signifie littéralement "sourire de chrysanthème", provient du Centre chinois de protection et de recherche sur le panda géant.
"Il est trop tôt pour considérer les bébés hors de danger"
"Ces triplés sont une nouvelle merveille du monde", s'est réjoui le parc, en rappelant que le taux de mortalité du panda à la naissance était "extrêmement élevé". Des photos transmises à l'AFP au début du mois montrent les bébés panda au pelage rosâtre, les yeux fermés dans leur couveuse sous une épaisse couverture blanche. Le sexe des petits pandas n'a pas été précisé et leur nom sera rendu public ultérieurement.
Une responsable de la réserve naturelle de Wolong, dans le Sichuan, autorité en matière de pandas, estime qu'il est trop tôt pour crier victoire et considérer les bébés hors de danger. "On pourra dire qu'ils sont sortis d'affaire quand ils auront atteint l'âge de six mois", a indiqué Mme Zhao. Les pandas vivent à l'état naturel essentiellement dans les montagnes du sud-ouest de la Chine. Environ 1.600 individus en liberté ont été recensés
 

vendredi 8 août 2014

jeudi 7 août 2014