vendredi 31 janvier 2014

jeudi 30 janvier 2014

mercredi 29 janvier 2014

Trois éléphantes otages sur le rocher de Monaco

Les petits d’homme ne sont pas les seuls à souffrir des conflits familiaux… C’est une ordonnance bien singulière qui vient d’être rendue, fin décembre par le tribunal de grande instance de Toulouse. En lieu et place des habituels bambins déchirés entre papa et maman, les juges se sont penchés, cette fois, sur le sort de trois… éléphantes quasiment «kidnappées», il y a maintenant huit ans, par un dompteur sans scrupule, qui les a arrachées à leur vie d’artistes au sein du cirque Althoff, en Allemagne. Belinda, Pira et Diana (leurs noms de scène), trois femelles en pleine force de l’âge (soit environ 45 ans), avaient été louées par le propriétaire du cirque en question pour aller courir le vaste monde, à la condition d’un partage des honoraires. Mais le dompteur, une fois en possession des trois éléphantes, n’a pas jugé bon de s’acquitter de sa dette. Ni de rendre les animaux.

La princesse Stéphanie s'en mêle…

Avec leur nouveau mentor, par ailleurs reconnu dans le métier, Belinda, Pira et Dina ont voyagé et montré leur talent en Irlande, dans les Pays Baltes, au Maroc, avant de se poser ces jours-ci sur le rocher de Monaco pour le festival international du cirque. Une consécration. C’est là que leur avocat toulousain, Christophe Kremer, a réussi à les bloquer, fort d’une décision de la justice allemande, confirmée à Toulouse, enjoignant au dompteur de restituer les pachydermes,. «Elles sont en forme et campent au bord de la mer», explique-t-il. Suspendu à une décision des magistrats monégasques, l’avocat s’émeut du soutien de la princesse Stéphanie, passionnée d’éléphants, au dompteur indélicat. Pour l’heure, c’est le directeur du festival qui a en charge Belinda, Pira et Dina. Un poids financier non négligeable pour des artistes qui ont bon appétit. Et qui attendent désormais de rejoindre leur (vieux) maître en Allemagne.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/01/29/1805789-trois-elephantes-otages-sur-le-rocher-de-monaco.html

dimanche 26 janvier 2014

vendredi 24 janvier 2014

jeudi 23 janvier 2014

Zouzou le renard va couler des jours heureux dans sa famille humaine d'adoption

Tout est bien qui finit bien. Le renard apprivoisé Zouzou, objet d'une saga judiciaire remontant à 2011 autour de la possibilité de le garder comme animal domestique, pourra finalement rester avec sa famille humaine d'adoption, en Dordogne. La préfecture a donné son accord.  

"Nous venons de recevoir le certificat de capacité unique, document qui nous permettra de garder Zouzou jusqu'à sa mort", a déclaré Anne-Paul Delanes, qui avait recueilli le renard en 2011 auprès du cadavre de sa mère.  
"Cela fait trois ans et demi que l'on attendait cela", s'est-elle félicitée en assurant qu'elle allait "encadrer" le document. 
Le texte est une "décision relative à la délivrance d'un certificat de capacité pour la conduite d'élevage d'animaux de l'espèce renard roux", datée du 16 janvier. Il est accompagné d'un arrêté autorisant l'ouverture d'un établissement d'élevage pour Zouzou. 
Le certificat est délivré "jusqu'à la mort de l'animal dénommé Zouzou". 
La préfecture de Dordogne n'était pas immédiatement joignable pour commenter cette décision. 

L'affaire devant la cour de cassation

Le 11 juin 2013, la cour d'appel de Bordeaux avait condamné Anne-Paule Delanes et son époux Didier à verser une amende de 300 euros et à la confiscation du renard, déjà prononcée en première instance. 
L'arrêt, contre lequel ils s'étaient pourvus en cassation, faisait état notamment d'un refus de suivre la formation requise pour garder Zouzou, animal considéré par la loi comme sauvage. 
Le parquet général avait aussi épinglé "la mauvaise volonté" du couple, rappelant qu'une composition pénale avait d'abord été avancée par le parquet de Bergerac, avant que la cour d'appel de Bordeaux, dans un premier arrêt rendu en novembre 2012, n'octroie plus de quatre mois pour se procurer les autorisations nécessaires. 
En attendant que la Cour de cassation se penche sur le cas de Zouzou, les Delanes avaient continué leurs démarches auprès de la préfecture pour obtenir les autorisations nécessaires. 
Le renard, un temps caché par crainte d'une confiscation, était aussi resté avec la famille. 
"Il est très câlin, plus qu'un chien", a déclaré Mme Delanes à l'AFP. "Quand il nous voit, il se roule par terre et pousse des petits cris de joie", a-t-elle décrit, en précisant qu'il ne faisait preuve "d'aucune agressivité" et se montrait simplement craintif dans la maison, "où tous les bruits l'effraient". Zouzou aura quatre ans en mars, a-t-elle indiqué. 

http://www.lexpress.fr/actualite/zouzou-le-renard-va-couler-des-jours-heureux-dans-sa-famille-humaine-d-adoption_1316733.html

Faune sous Marine montage Bretagne 2013

mardi 21 janvier 2014

Jura. Nouvelle apparition d’un loup dans le nord du département

Après qu’un agriculteur et des chasseurs ont raconté avoir vu un loup la semaine dernière près d’Etrépigney, c’est à nouveau un chasseur qui a croisé l’animal sauvage dimanche matin dans la forêt domaniale de Chaux, près de la commune d’Eclans-Nenons.

C’est lors d’une battue au gros gibier que le chasseur expérimenté l’a aperçu, à 20 mètres de lui. « Gris cendré, hirsute, c’est sûr c’est un loup. J’ai eu des bergers allemands pendant 25 ans, je sais à quoi ça ressemble ».
Une famille assure avoir vu l’animal le soir à 20 heures, près de la scierie d’Eclans. Contactée, la préfecture du Jura informe « poursuivre la recherche d’éléments qui permettront de dire qu’on est bien en présence d’un loup ».
L’Office national de la Chasse et de la Faune sauvage va mettre en place des pièges photographiques.


http://www.leprogres.fr/loire/2014/01/21/bonson-un-silo-en-feu-chez-unilin

Pyrénées-Orientales. Les internautes veulent savoir qui a tué la chienne Galak

C’est l’histoire sidérante de Galak, une chienne berger Suisse dont on a retrouvé la dépouille le 14 janvier dernier, sous des pierres à 400 mètres à peine de la maison de ses maîtres. Le corps de la jeune chienne, âgée de 18 mois, portait les traces d’un coup de feu tiré dans la cuisse avec du gros calibre. Et d’un second donné à bout touchant en pleine tête. Galak n’était pas une fugueuse, mais adorait se dégourdir les pattes à l’entrée du petit village de la Llagonne en pleine montagne. «Le 29 décembre dernier, elle a disparu. Nous l’avons cherchée, appelée longuement mais en vain. Nous ne comprenions pas pourquoi elle ne donnait plus signe de vie. Elle était très attachée à nous, à nos filles. C’était une chienne sensible qui faisait la grande joie de toute la famille.» raconte avec émotion Valérie la maîtresse.
Le 29 décembre était un jour de battue au grand gibier dans ce recoin du Capcir, ce grand et beau plateau de montage des Pyrénées-Orientales. Aujourd’hui les maîtres réclament que l’on retrouve le chasseur qui a exécuté Galak. Entre-temps, le Net s’est emparé de l’histoire. Hier soir, il y avait plus de 6 000 soutiens à Galak sur Facebook.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/01/21/1799701-pyrenees-orientales-internautes-veulent-savoir-tue-chienne-galak.html

lundi 20 janvier 2014

dimanche 19 janvier 2014

vendredi 17 janvier 2014

mercredi 15 janvier 2014

dimanche 12 janvier 2014

Rien n’est trop beau pour nos animaux de compagnie

Membres à part entière de la cellule familiale, les compagnons à quatre pattes requièrent de plus en plus l’attention de leurs maîtres.Parfois trop?En tout cas les budgets explosent.
Une société niçoise spécialisée dans la confection d’huiles essentielles pour animaux de compagnie.Une autre, à Cogolin, qui propose depuis peu à nos toutous des produits alimentaires bio 100 % « made in France ».Nos 63 millions d’amis à poils, plumes ou écailles font l’objet d’attentions de plus en plus délicates.Ils sont devenus un véritable enjeu économique. Depuis que l’animal s’est émancipé de sa fonction première, monter la garde ou chasser les rongeurs, il est devenu un membre à part entière de la famille.
Marina, ex-chanteuse de cabaret et propriétaire de D’Jakson le plus célèbre des cabots niçois, fête même l’anniversaire de son caniche star.Et elle n’a que l’embarras du choix pour le cadeau.
De la cravate aux bijoux, en passant par le vernis à griffe
Tout un merchandising spécialisé s’est développé autour de l’animal de compagnie : des vêtements, jusqu’à la cravate et la culotte, au vernis à griffe, en passant par les bijoux fantaisie, toute la palette des teintures au poil, les coussins à chiens et même les calendriers de l’Avent garnis de croquettes… On trouve de tout.Le secteur tertiaire n’est d’ailleurs pas en reste, avec des services spécialement destinés aux animaux : des comportementalistes pour les aider à gérer leur stress, des coach sportifs pour leur faire perdre du poids, des assurances maladies en cas de pépin, des sites de rencontre et même un service funéraire pour le jour où c’en sera véritablement fini de cette vie de chien.
L’animal est devenu un client à part entière dont il n’est pas question de négliger les besoins.À moins que tout ce business ne serve qu’à donner l’illusion d’une humanisation qui pour Sylvie Chantre, comportementaliste animalière azuréenne, relève parfois de l’absurdité.Forcément, ces 600 à 800 euros dépensés en moyenne chaque année par les propriétaires de chats ou chiens peuvent soulever l’indignation.
« Mais ça dérange qui au juste? interroge Fanny Lamarque, gérante d’une animalerie de luxe à Cannes.Chacun fait ce qu’il veut de son argent.Personnellement, je trouve aberrant que l’on puisse mettre des fortunes dans une voiture.Plutôt que de traiter de gagas ceux qui dépensent de l’argent pour leur animal on devrait plutôt se rebeller contre ceux qui les maltraitent. »

http://www.nicematin.com/derniere-minute/rien-n%E2%80%99est-trop-beau-pour-nos-animaux-de-compagnie.1581940.html

vendredi 10 janvier 2014

dimanche 5 janvier 2014

Hérault : 1 200 animaux attendus au futur parc zoologique de Saint-Thibéry

Damie Lerasle aimerait ouvrir son zoo avant l'été à Saint-Thibéry, près de Béziers dans l'Hérault. Un parc de 15 ha avec 1 200 animaux du monde entier, 300 espèces, quasiment toutes menacées et protégées, dont 80 % d’oiseaux, répartis sur cinq zones !
À seulement 21 ans, Damien Lerasle, originaire de Vierzon, sait déjà depuis fort longtemps ce qu’il veut : vivre de sa passion, les animaux. Et plus exactement diriger un parc zoologique.
Une propriété de 50 ha


Vaste projet qu’il est en train de mener à terme sur Saint-Thibéry, au domaine viticole de la Serre, qu’il a acquis avec son associé, le docteur Moulin, gériatre à Perréal, à Béziers. Les permis de construire et d’aménager les 15 ha sur les 50 que compte la propriété sont en cours d’instruction

L'ancien PDG de Vuitton
"Si tout va bien, le zoo pourrait ouvrir cet été", indique celui qui est désormais le PDG de la SAS Zoo et parc du Val d’Hérault, dans laquelle est aussi actionnaire l’ancien PDG de Vuitton, Yves Carcelle.
Perroquets, grues, loriquet d’Australie et bien d’autres oiseaux d’ici et d’ailleurs, mais aussi des mammifères comme des wallabys, des buffles d’eau ou des watusis, des reptiles, des papillons.... Le projet de Damien Lerasle prévoit 1 200 animaux du monde entier, 300 espèces, quasiment toutes menacées et protégées, dont 80 % d’oiseaux, répartis sur cinq zones : Europe, Asie, Amérique du sud, Afrique et Australie-Indonésie avec volières, serres, enclos et espace Nature.
Les écosystèmes de chaque continent y seront recréés. Le projet prévoit aussi deux serres "Indonésie et Papillons", une nurserie, une partie spectacle, un musée, une mini-ferme et un local d’accueil.
Un zoo contact
"Il s’agit d’un zoo “contact” : les visiteurs pénètrent dans des volières ou des serres, quasiment invisibles puisque très hautes, et découvrent les écosystèmes sous forme, entre autres, d’un parcours ludique et éducatif". Le jeune entrepreneur prévoit aussi une douzaine d’animations par jour, et un spectacle d’oiseaux en vol libre. Ces volatiles proviendront de structures associatives animalières, européennes et internationales, participant au programme d’élevage européen pour les espèces menacées.
Et là, Damien Lerasle baigne dans son élément puisqu’il préside, depuis ses 15 ans, l’association “Conservation sauvage internationale”, qui s’occupe, entre autres, d’espèces menacées. Il a agi dans diverses associations, dont la LPO, et travaille toujours pour l’Union internationale pour la conservation de la nature à l’Onu. Son réseau est donc dense. "Les animaux proviendront donc de dons, d’échanges, de prêts entre parcs zoologiques du monde entier".
Projet d'envergure
Les élus, locaux et intercommunaux, accueillent ce projet d’envergure avec enthousiasme. Il faut dire que tout élément supplémentaire qui contribue à l’attractivité du territoire en matière touristique est toujours le bienvenu. "Les riverains n’y voient aucun inconvénient", ajoute le maire de la commune, Guy Amiel.

http://www.midilibre.fr/2014/01/04/un-parc-zoologique-pour-proteger-les-especes,804191.php