samedi 31 août 2013

Des louveteaux dans le massif

Décidément, le loup fait énormément parler de lui ces derniers jours. Surtout dans le massif vosgien.
Pas plus tard qu’en milieu de semaine, le préfet des Vosges Gilbert Payet annonçait que les comptages « par hurlements » menés dans le massif n’avaient pas permis de relever la présence de louveteaux. Si l’ONCFS (office national de la chasse et de la faune sauvage) n’a rien détecté jusqu’à cette annonce du préfet, les événements se sont ensuite accélérés. En effet, dans la nuit du 29 au 30 août, « des hurlements caractéristiques de louveteaux ont été entendus dans la zone de présence permanente des hautes Vosges, dans le département du Haut-Rhin » d’après un communiqué de la préfecture des Vosges. Mais à l’heure actuelle, le nombre précis de louveteaux ne peut pas être clairement précisé.
Autant dire que l’information inquiète de nombreux éleveurs de moutons du secteur. « C’est la plus mauvaise nouvelle de l’été », lâche le Bressaud Jean-Yves Poirot. Cette année, 14 de ces brebis ont été victimes de prédations. Et à l’annonce de cette portée, l’homme anticipe sur des prochaines années bien plus meurtrières, et pas que dans le milieu ovin. « Désormais, les moutons ne seront pas les seuls concernés. Car toutes les bêtes pourront être victimes du loup », déclare Jean-Yves Poirot qui, dès le mois de novembre dernier, annonçait des reproductions à partir de 2013. « Cela veut dire que les éleveurs ne sont pas si idiots que cela », ironise-t-il amèrement.
Appel à une mobilisation massive
Durant toute la journée d’hier, l’éleveur bressaud a été assailli par de nombreux coups de fil de collègues qui en appellent dorénavant à une mobilisation massive afin de faire évoluer la situation, notamment au niveau préfectoral.
Du côté des associations environnementales, l’information confirme que « le loup est désormais installé de façon durable sur le massif », avoue Anthony Kohler, animateur au sein du FERUS (association militant pour la sauvegarde du lynx, de l’ours et du loup).
Pour ce dernier, le renforcement des moyens de protection est encore plus d’actualité. L’accessibilité à certains systèmes encore trop peu présents dans les Vosges, comme le chien Patou, est devenue cruciale, même si pour l’heure il est encore difficile de connaître l’évolution à court terme du canidé dans les Vosges.
« Ces louveteaux seraient nés aux alentours du mois de mai. Une portée donne en moyenne trois à quatre louveteaux, sachant que le taux de mortalité est de 60 % au cours des six premiers mois (maladies, faiblesses physiques de certains jeunes…). En général, un ou deux loups arrivent à l’âge adulte », affirme Anthony Kohler qui s’interroge également sur une autre problématique impossible à anticiper : ces louveteaux resteront-ils plus tard aux côtés de leurs parents ou vont-ils se disperser ? Seul l’avenir le dira…

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/08/31/des-louveteaux-dans-le-massif

vendredi 30 août 2013

vendredi 23 août 2013

Une moto percute un ours, la police diffuse la vidéo pour sensibiliser

La police montée du Canada a diffusé sur internet la vidéo d’un motocycliste, caméra fixée sur le casque, percutant un ours, pour attirer l’attention des conducteurs sur les risques engendrés par la vitesse et le manque d’attention.
Sur la courte vidéo, le motard se lance à vive allure sur une route bordée d’arbres de Colombie-Britannique, dans l’ouest du Canada, lorsque surgit un jeune ours qui traverse la voie en courant. Le motard, qui va à140 kmh selon la police, est visiblement trop absorbé à regarder son compteur de vitesse, et ne peut éviter la collision avec l’ours.
La police précise que le conducteur a été légèrement blessé et que le jeune ours s’en est allé.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/08/23/une-moto-percute-un-ours-la-police-diffuse-la-video-pour-sensibiliser

lundi 19 août 2013

Montredon-Labessonnié. Bienvenue au zoo des 3 vallées

Depuis son ouverture le 1er juillet, le zoo des 3 vallées dans le Tarn a déjà accueilli près de 50 000 visiteurs. Près de 1300 animaux se partagent les 58 hectares de ce parc naturel hors du commun.
Nonchalants, les trois chameaux errent sur le plateau des hardes sauvages, passage obligatoire qui marque l’entrée du parc. La descente, en voiture ou en minibus jusqu’au parking aménagé au fond de la vallée, permet de croiser ici une chèvre naine, là un zébu repu ruminant à l’ombre d’un arbre, un poney shetland, un lama ou un émeu.
De la piste terreuse monte un nuage de poussière. On se croirait en plein safari dans la savane africaine. On est pourtant au cœur du Tarn, à Montredon-Labessonnié.
Le 1er juillet, Sauveur Ferrara a ouvert le zoo des 3 vallées. Un espace naturel de 58 hectares (10 autres sont encore à aménager) ou vivent près de 1 300 animaux représentant une centaine d’espèces.
Cinq ans de travaux pour un investissement de 10 millions d’euros «c’est beaucoup plus», relève Sauveur Ferrara, sans préciser le chiffre réel.
En arrivant au parking, la visite se poursuit à pied. Un petit détour par la volière géante est déjà une aventure originale puisqu’on pénètre dans la cage. On se retrouve alors au milieu des perruches multicolores. «Nous avons trouvé la semaine dernière le système du triple rideau de lames en plastique, c’est quand même mieux que de voir les oiseaux à travers les grilles», explique le boss du zoo.

Allée de Darwin et vallée des lacs

En sortant de la volière le regard se tourne vers la vallée où paissent tranquillement des watusi, des gnous, des zèbres, cerfs et autres élans. L’année prochaine la plaine africaine sera occupée par des éléphants, girafes, rhinocéros, phacochères, hippopotames.
En remontant l’allée de Darwin, le visiteur se familiarise avec les gibbons, les ratons laveurs, les renards polaires, les loutres cendrées, etc. La serre polaire juste à côté est l’univers des aras, cacatoès, perroquets et autres ouistiti. En poursuivant la montée on arrive sur le plateau des fauves où se prélassent tigres et tigres blancs, lions, guépards, hyènes et panthères. Dans la vallée des lacs, flamants roses, cygnes, grues, pélicans côtoient antilopes et kangourous. Pour voir les yacks blancs ou noirs et les mouflons à manchettes, il faut rejoindre la vallée tibétaine, alors qu’à l’espace rapaces, les chouettes, urubus, grands ducs, aigles surprennent toujours le visiteur.
Depuis le 1er juillet, jour de l’ouverture, le zoo des 3 vallées a accueilli près de 50 000 visiteurs, 4 200 pour la seule journée du 15 août. Cet afflux de visiteurs n’était pas vraiment prévu. Sauveur Ferrara d’augmenter la plage horaire d’ouverture. Une solution transitoire a d’ores et déjà été trouvée : les visiteurs se garent à l’extérieur et sont acheminés par quatre minibus dans le parc.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/08/19/1691869-montredon-labessonnie-bienvenue-au-zoo-des-3-vallees.html

dimanche 18 août 2013

Brigitte Bardot: «Parce que ce sont des cons...»

Y a-t-il un véritable pic d’abandon l’été ?
Il y a un pic d’abandon à longueur d’année avec une accélération au moment des vacances.
Pourquoi les gens abandonnent ?
Parce que ce sont des cons, des inconscients, des égoïstes, des bornés qui ne pensent qu’à eux, qu’à leur confort, leurs vacances et pour eux l’animal est un produit jetable, on en reprendra un tout neuf à la rentrée… Et pourtant ils savent le sort réservé à l’animal abandonné, cela équivaut à une complicité de meurtre !!!
Comment procèdent-ils ? La majorité du temps est-ce sur la voie publique ? Avez-vous noté des abandons plus cruels ?
Ils abandonnent un peu partout. Le principal est de ne pas être attrapé car ils encourent une lourde sanction. Il y a des cas atroces d’abandons : attachés à des arbres loin de tout ou enfermés dans des appartements vides et isolés, des cabanes de forestiers visitées une fois par mois et encore. Dans ces cas-là les animaux sont retrouvés morts, squelettiques ou dans des états tellement détériorés qu’il est difficile de les sauver.
Les gens achètent-ils autant d’animaux qu’avant ?
Les refuges sont saturés d’animaux, souvent de race, de tous âges, de toutes tailles, tous abandonnés attendant, le désespoir au ventre, celui qui viendra le délivrer de cette incarcération à laquelle il ne comprend rien. Certains se laissent mourir de chagrin. Eh bien croyez-moi si vous voulez, il y a encore des imbéciles qui vont dans des animaleries ou dans des élevages payer la peau du cul le chien ou la chienne qu’ils trouveraient pour une bouchée de pain dans un refuge. Mais comme l’a dit Einstein : «Il y a deux infinis, l’univers et la connerie humaine».
Quand et pourquoi vous êtes vous engagée pour la cause animale, quel a été le déclic ?
Vous êtes rigolote vous ! Ça remonte au déluge, c’était en 1973 (ndlr : lorsqu’elle a arrêté sa carrière cinématographique) et depuis je ne suis jamais revenue sur ma décision. J’ai donné ma vie à la protection des animaux et elle ne sera pas encore assez longue, hélas, pour voir un réel résultat.
Faut-il accorder des droits aux animaux pour cesser de les traiter comme des objets ?
Il faut accorder des droits aux animaux. C'est révoltant qu’au XXIe siècle l’animal soit toujours considéré dans le code civil qui date de Napoléon comme un «objet pouvant se mouvoir par lui-même». Il faudrait faire évoluer ces vieux principes et remettre la juridiction de l’animal à la place qu’il mérite afin qu’il ne soit plus comparé à un objet dans les tribunaux ou lors des saisies à problèmes. Comment accorder le moindre respect et le moindre droit à un objet ?
Les questionnements concernant le traitement des animaux, leur exploitation par les humains, la problématique des droits des animaux- ne sont-ils pas en train de gagner du terrain, notamment avec la progression des militants végétariens ?
Il est très difficile de changer des habitudes millénaires, ancrées dans des traditions établies depuis la nuit des temps, mais le public semble se sensibiliser petit à petit à force de voir des images d’épouvante comme celles des abattoirs ou de l’expérimentation animale qui sont les pires que l’homme fasse subir à l’animal en accord parfait avec la législation. Les politiques eux n’en n’ont rien à cirer du moment que l’animal rapporte. Tout est industrialisé, l’élevage, les transports, la mort à la chaîne comme chez Renault. Vespasien disait «l’argent n’a pas d’odeur» aujourd’hui non seulement l’argent n’a pas d’odeur, mais le sang non plus !!! J’embrasse tous les végétariens et pas les bons à rien.

L'événement

Animaux : la saison des abandons

En dépit des campagnes de prévention et d’un important travail de sensibilisation réalisé par les associations de protection animale, l’été concentre chaque année de très nombreux abandons d’animaux domestiques.
En ce qui concerne les statistiques, il est très difficile de trouver des chiffres officiels et fiables, les animaux recueillis par les différentes structures indépendantes ne faisant pas l’objet d’un recensement national. Néanmoins, la Fondation 30 millions d’Amis estime qu’environ 274 animaux de compagnie sont abandonnés chaque jour en France. À l’échelle d’une année, la Fondation évalue à environ 100 000 le nombre d’animaux abandonnés dans l’hexagone, dont 60 000 l’été.
Ces chiffres édifiants et inquiétants font de la France la détentrice de ce triste record : celui du pays européen où l’on abandonne le plus d’animaux de compagnie. Pour Christophe Marie, directeur du B.P.A et porte-parole de la Fondation Brigitte Bardot, «s’il y a un pic l’été, les abandons d’animaux sont constants.»
Plusieurs causes sont mises en avant pour expliquer ce fléau. Certaines d’entre elles sont liées à des problèmes de société devenus courants : difficultés financières, précarité de l’emploi. D’autres relèvent de motifs privés : les divorces, l’arrivée d’un enfant, des ennuis de santé, un déménagement… Mais nombre de refuges sont également confrontés à des arguments qui n’en sont pas : «il est trop âgé, il est malade, il aboie tout le temps, il démolit tout, je n’ai plus envie de le sortir l’hiver…»

«Un objet de mode vite encombrant»

Pour Christophe Marie, les abandons sont surtout dus à la multiplication des réseaux de vente, y compris sur Internet. «Alors le chien, le chat mais aussi de nombreux animaux exotiques deviennent l’accessoire de mode qui, comme tout phénomène de mode, deviendra vite obsolète et encombrant» explique-t-il.
Dans bien des cas, la question du «Pourquoi ?» reste sans réponse. L’animal est retrouvé en divagation, abandonné en bord de route ou encore attaché à un arbre… On parle alors d’abandons sauvages.
En 2013, on estime qu’entre 50 000 et 80 000 animaux de compagnie sont déjà dans des refuges en attente d’une adoption.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/08/18/1691490-brigitte-bardot-parce-que-ce-sont-des-cons.html

vendredi 16 août 2013

Gourdon. Animal mystère : lynx ou lémurien ?

Mercredi 13 août, La Dépêche du Midi relatait le témoignage d’un Gourdonnais ayant aperçu un lynx devant chez lui. Depuis, d’autres personnes se sont manifestées, et leurs affirmations concordent. Ces différentes personnes, dignes de confiance, mais qui souhaitent conserver l’anonymat sont unanimes : l’étrange animal est plus gros qu’un chat, il a un museau pointu, sa fourrure est de couleur grise, ou marron foncé, et il a une longue queue arrondie, avec des cercles de couleur orange. Deux témoins l’ont vu mercredi et jeudi, 7 et 8 août, place Sainte-Claire ; il aurait passé la nuit sous un appentis. Un couple l’a croisé, mardi 13 août vers 20 heures au lieu-dit Coupiac près de Gourdon. Pour ces témoins, l’animal serait un maki catta, un lémurien originaire de Madagascar. D’autres évoquent la présence possible dans le secteur d’un chat «grand format» de race Maine Coon sans être affirmatif. Le mystère s’épaissit.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/08/16/1690048-gourdon-animal-mystere-lynx-ou-lemurien.html

mardi 13 août 2013

Vogna prend goût à la liberté

Le Centre Athénas a préparé le jeune lynx au relâcher pendant plusieurs mois. Il a retrouvé la liberté il y a un mois. L’équipe de Gilles Moyne continue de suivre ses déplacements et d’étudier le milieu dans lequel il évolue. Le Centre Athénas a préparé le jeune lynx au relâcher pendant plusieurs mois. Il a retrouvé la liberté il y a un mois. L’équipe de Gilles Moyne continue de suivre ses déplacements et d’étudier le milieu dans lequel il évolue.

Le Centre Athénas, l’association de soins des animaux sauvages basée à l’Étoile, dans le Jura, avait commencé à traquer Vogna le 16 octobre 2012. Ce jeune lynx, orphelin, avait été signalé à la structure ce jour-là car il venait de tuer un chat domestique dans un jardin. D’après des photographies de témoins, le félin semblait souffrir de dénutrition. Cinq jours après, le Centre Athénas avait obtenu une dérogation pour le capturer… et le sauver.
Gilles Moyne, le directeur du Centre Athénas, et son équipe, ont fini par mettre la main sur le lynx de cinq mois et demi le 12 novembre, à Vogna (d’où le nom qui lui a été attribué), près d’Arinthod. Préparé pendant sept mois à être relâché, Vogna a finalement recouvré la liberté le 29 juin dernier, sur la commune de Châtelblanc, dans le Doubs, à proximité de Foncine-le-Haut.
Le félidé n’est pas pour autant livré à lui-même. Un collier GPS permet au Centre Athénas de le localiser à intervalle régulier. « Les localisations sont plus rares en ce moment à cause de la couverture satellite du massif qui est mauvaise et en raison des conditions météorologiques », indique Gilles Moyne. Mais Vogna va bien. « On a une séquence de six jours où l’on constate qu’il est resté dans une zone restreinte donc cela est significatif de la consommation d’une proie. » Vogna se maintient en zone boisée et très à l’écart des activités humaines, observe également Gilles Moyne. Pour l’instant, le lynx évolue toujours en Franche-Comté car il s’est installé sur un territoire vacant. « Mais on n’est pas à l’abri d’un décantonnement s’il croise la route d’un mâle adulte. »
Une équipe du Centre Athénas se rend au moins une fois par semaine sur le terrain pour mieux appréhender le milieu dans lequel Vogna se trouve et aussi ses déplacements. Le Centre doit rester vigilant sur son évolution pendant plus d’un an. Le collier GPS se décrochera alors du cou de l’animal. « Vogna a aujourd’hui quatorze mois, il n’est pas tout à fait adulte , précise Gilles Moyne. Il aura sa taille définitive cet hiver et sa maturité sexuelle. »
Le Centre Athénas aura vécu deux ans de tension. « Le relâcher de Vogna a été un moment fort » , confirme le directeur.

http://www.republicain-lorrain.fr/actualite/2013/08/13/vogna-prend-gout-a-la-liberte

lundi 12 août 2013

Sacrée surprise

Sacrée surprise pour un agent de maîtrise d’Airbus, samedi matin. «J’allais à l’usine Jean-Luc Lagardère à Blagnac quand j’aperçois un animal qui court sur le pont de Blagnac, entre le Stade Ernest Wallon et l’aéroport. En me rapprochant, je découvre que c’est un chevreuil. Il galope, effrayé, devant ma voiture pendant environ 500mètres puis saute le parapet et se retrouve sur la voie en sens inverse !» raconte Romain Coletti, habitant à Bouloc.
Il a pu suivre l’animal un moment, «j’ai même ralenti afin de le protéger des autres véhicules en mettant les feux de détresse» poursuit Romain. Avait-il longé les berges de la Garonne avant de se perdre sur la rocade ? S’agit-il du chevreuil qui avait élu domicile dans des jardins privés, il y a deux ou trois ans, en bord de Garonne, à Blagnac ? Si les sangliers ne sont pas rares dans l’agglomération, les chevreuils le sont un peu plus.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/08/12/1688298-un-chevreuil-sur-la-rocade.html

dimanche 11 août 2013

Insolite. Un grand cachalot tout près de la côte en Norvège

vendredi 9 août 2013

Un site pour géolocaliser les animaux perdus, malades, à adopter

Lancer un appel pour retrouver son chien, adopter un chat dans son quartier, savoir où sévit une épidémie dangereuse pour son petit compagnon... Un nouveau site lancé à Toulouse permet pour la première fois de géolocaliser toutes les annonces concernant les animaux de compagnie en .
Ce site -
http://animalerte.org/ - permet aux particuliers, vétérinaires, associations intéressés par la condition animale en général ou un animal en particulier de transmettre une information, qui est immédiatement localisée concrètement sur une carte de .
 
"De nombreux sites sur la condition animale existent en France, mais c'est le premier où l'on peut localiser l'événement", a déclaré à l'AFP son concepteur, le vétérinaire toulousain Jean-Yves Gauchet.
La personne qui souhaite mettre une "alerte" choisit parmi les rubriques - perdu, adoption, trouvé, maladies... - celle qui le concerne, et place son annonce qui s'inscrit sur la carte là où elle se trouve. D'autres internautes peuvent alors entrer en contact avec elle.
Parmi les rubriques figurent aussi les "coups de coeur" (bonnes adresses, promotions...) et les "coups de gueule" (mauvaises adresses, arnaques...).
"Le but est qu'à terme, de plus en plus de gens, d'associations, de professionnels, connaissent le site et qu'il serve de relais pour tous ceux qui travaillent à la protection de l'animal", précise Jean-Yves Gauchet.
Outre la situation des animaux de compagnie perdus ou adoptés, il serait ainsi possible de savoir si une épidémie dangereuse pour tel ou tel animal de compagnie se répand, ou si une pollution de rivière met en danger les animaux sauvages dans une région donnée.
Le site, mis en ligne il y a moins de deux mois, reçoit déjà une moyenne de 200 visites par jour, selon son concepteur.

http://www.leparisien.fr/high-tech/

jeudi 8 août 2013

Une chauve-souris porteuse de la rage découverte en Savoie

Une chauve-souris qui avait contacté la rage a été découverte dans un jardin en Savoie, il y a plus d'une semaine. Les deux enfants qui l'ont découverte et qui l'ont manipulée sont en bonne santé.
Une chauve-souris porteuse de la rage a été découverte par deux enfants dans un jardin en Savoie, il y a plus d'une semaine, un cas rare, a annoncé jeudi la préfecture de Savoie dans un communiqué.  L'animal trouvé sur la commune de La Bridoire a été envoyé pour analyse à l'Institut Pasteur de Paris qui a confirmé lundi que la chauve-souris était porteuse de la rage, précise la préfecture.
Les deux enfants ayant découvert et manipulé le cadavre de la chauve-souris il y a une dizaine de jours ont été aussitôt orientés vers le centre antirabique de l'hôpital de Chambéry pour être traités de manière préventive, informe la préfecture. "Leur état est normal et n'inspire pas d'inquiétude particulière", poursuit la même source. Les transmissions à d'autres espèces dont l'homme sont possibles mais elles n'ont été que très rarement observées en Europe, selon Didier Mamis, directeur départemental de la cohésion sociale et de la protection des populations (DDCSPP) et vétérinaire.
"Dans ce cas, aucun contact avec d'autres animaux a été avéré", a-t-il ajouté. Le réseau national de surveillance a permis de détecter 58 cas de rage sur des chauves-souris depuis 1989 sur plus de 2000 spécimens analysés. Il s'agit du premier cas détecté en Savoie. La préfecture de la Savoie rappelle qu'il est important de ne pas toucher, ni manipuler les chauves-souris, ni de chercher à les attraper, mais de prévenir en cas de découverte d'un spécimen blessé ou mort la DDCSPP.
 

L'exceptionnelle naissance d'un requin zèbre filmée par l'Océanopolis de Brest

Après 20 nuits de veille continue, les soigneurs de l'équipe d'aquariologie de l'Océanopolis, à Brest, ont pu pour la première fois au monde filmer la naissance d'un requin zèbre. Un événement exceptionnel qui n'avait jamais pu être observé auparavant.

Les requins zèbres sont des poissons qui peuvent atteindre plus de trois mètres de long. Les femelles pondent des oeufs d'environ 20 cm de long et l'embryon se développe à l'intérieur de l'enveloppe pendant 5 mois avant de la déchirer pour en sortir. Bien que les requins zèbres ne fassent pas partie des espèces en voie de disparition, il reste menacé par la surpêche et par le commerce des ailerons à destination du marché asiatique.
Sans danger pour les humains, le requin zèbre est toutefois un animal fragile en bassin. Aussi, c'est un évènement exceptionnel qui a eu lieu le 10 juin dernier au parc découverte des océans Océanopolis de Brest. Pour la toute première fois en Europe, trois requins zèbres ont vu le jour, le premier le 10 juin, les autres quelques semaines plus tard. Chose plus exceptionnelle encore, l'équipe d'aquariologie du parc est parvenue à filmer la scène, un moment inédit, après quelque vingt nuits de veille attentive. Une vidéo inédite que l'Océanopolis a publié sur son site internet.
Trois bébés nés, deux oeufs encore à éclore
"Il aura fallu plus de 20 nuits de veille pour finalement capter cet instant exceptionnel jamais filmé auparavant chez cette espèce de requin", indique le parc dans un communiqué. Le premier bébé requin peut être observé par le public dans le pavillon tropical du parc. Le deuxième requin né le 30 juillet et le troisième le 3 août sont en revanche encore un peu trop jeunes. Mais l'aventure ne s'arrête pas là puisque deux oeufs doivent encore éclore.
Les cinq oeufs ont été pondus par une femelle arrivée en 2002 à l'Océanopolis. Depuis cette date, elle pondait une quarantaine d'oeufs par an mais en (...)

Lire la suite sur maxisciences.com

Australie : un kangourou sauve un petit garçon perdu

mercredi 7 août 2013

Le bandit masqué repéré en Alsace-Lorraine

Il doit sa notoriété à un certain Davy Crockett, ce trappeur intrépide tombé en 1836 au côté d’une poignée de résistants sous les balles mexicaines lors du siège de Fort Alamo, au Texas. Le patriote américain, mort au combat, ne quittait jamais son bonnet de fourrure orné de la tête au regard masqué d’un raton laveur. La précieuse relique trône toujours au musée de ce haut fait d’armes à San Antonio. Un siècle plus tard, beaucoup de GI’s engagés dans la campagne de libération de la France avaient choisi l’animal comme mascotte de régiment. Après 1945, le déploiement de bases de l’O tan dans l’Hexagone accéléra l’implantation de l’espèce à proximité des installations yankee. Ces « racoons » ont survécu au départ du contingent américain dans les années soixante. L’exemple le plus connu est celui de l’ex- plate-forme aéroportée de l’US Air Force à Couvron, dans l’Aisne. Plutôt que de ramener leur animal fétiche au pays, les militaires ont préféré s’en débarrasser dans une forêt voisine devenue le principal repaire français du bandit masqué. Chaque année, le piégeage ou la chasse prélèvent une moyenne de 400 individus, un chiffre qui traduit une réelle expansion. Dans d’autres départements plus à l’Est, les mascottes de l’US Army n’ont pas eu le temps, ni la chance de faire souche une fois livrées à elles-mêmes. Mais quand ce client issu de la famille des plantigrades, — celle des ours ! — pointe son museau en Alsace-Lorraine, c’est cette fois en provenance d’Allemagne.

« Celui qui gratte avec les mains »

Car là-bas, les ratons laveurs avaient été importés en masse dans des fermes d’élevage qui se sont multipliées dans l’ex-RFA dans la seconde moitié du XXe siècle. Dopée par les besoins de la pelleterie, cette activité florissante a fini par sombrer sous la pression d’un marché trop concurrentiel. Les rescapés ont su parfaitement exploiter leur nouvelle terre d’accueil. Actuellement, la population germanique est estimée à plus de 100 000 sujets ! Et l’obstacle du Rhin n’en est pas un, pour cet animal aux intentions conquérantes. À Gerstheim, dans le Bas-Rhin, la cellule de recherche sur les animaux prédateurs et déprédateurs de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage suit de très près les velléités d’expansion du raton laveur. Attention particulière que ce colon partage avec le chien viverrin, autre petit carnivore opportuniste venu de la lointaine Russie, mais de plus en plus observé en Alsace, Lorraine et Franche-Comté. « La présence de cette espèce dans l’Est de la France est encore marginale et on ne peut pas parler d’installation durable pour l’instant, mais ce canidé est bien là », confie François Léger, de l’ONCFS. Ce suivi est lié aux conditions d’existence de ces deux espèces dites invasives. Digne des Rapetous de Walt Disney, le raton laveur est classé « nuisible » en raison de l’éclectisme de ses repas. Tout est bon à sa table où il a l’habitude de laver systématiquement le mets qu’il va croquer, qu’il soit propre ou souillé. D’où le sobriquet de « laveur ». Une étrange attitude qui, au passage, n’a jamais été éclaircie par les scientifiques. En France, la vie de « l’arakum », ou « celui qui gratte avec les mains », comme l’avaient autrefois baptisé les Indiens d’Amérique du Nord, n’a donc rien d’un long fleuve tranquille. Mais le brigand masqué a prouvé sa capacité à s’y maintenir…

http://www.republicain-lorrain.fr/actualite/2013/08/07/le-bandit-masque-repere-en-alsace-lorraine

mardi 6 août 2013

LIBRE!- Au Costa Rica, deux zoos relâchent les animaux

La République du Costa Rica, pays d'Amérique centrale, veut en finir avec les cages. D'ici à mai 2014, deux zoos seront transformés en jardin botanique et parc urbain. Singes, volatiles, jaguars, crocodiles, mais aussi lions et reptiles pourront donc gambader, voler ou rugir en toute liberté. Et ce, grâce à un "changement dans la conscience environnementale des Costariciens" , a déclaré le ministre de l'environnement et de l'énergie, Rene Castro.
"Nous ne voulons plus voir d’animaux en captivité ou enfermés d'une quelconque manière, sauf s’il s’agit de les sauver", a-t-il ajouté.
La vice-ministre de l'environnement, Ana Lorena Guevara, a expliqué qu'elle travaillait avec des associations de défense des animaux pour réimplanter certaines espèces dans les zoos. Celles à qui il conviendrait davantage d'être remises en liberté seront relâchées, a-t-elle dit. Au total, quelque quatre cents animaux de soixante espèces y sont regroupés.
Dans le zoo Simon Bolivar, prochainement transformé en jardin botanique, la ministre espère voir arriver naturellement certaines espèces de mammifères, de reptiles et d'oiseaux.
Le Costa Rica, très impliqué dans la protection de l'environnement, s'est fixé pour objectif d'avoir un bilan carbone neutre en 2021. Pour l'atteindre, le pays a lancé une importante campagne de reforestation : les surfaces boisées représentent désormais plus de 52 % de son territoire. Un quart du Costa Rica a été placé sous statut protégé.
http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2013/08/06/libre-au-costa-rica-deux-zoos-relachent-les-animaux/

lundi 5 août 2013

Deux loups à abattre dans les Alpes-Maritimes

A la suite de de nombreuses attaques de troupeaux, la Préfecture a autorisé le prélèvement...
C'était une demande récurrente des éleveurs: la préfecture des Alpes-Maritimes a autorisé ce lundi le prélèvement de deux loups sur les communes de Roquebillière et Belvédère. Le département est particulièrement touché par les attaques de troupeaux, qui ont occasionné près de 2.500 décès en 2012 et 1.300 depuis le début de l'année, rapporte Nice Matin. Sur les deux communes de Roquebillière et Belvédère, 60 attaques ont été recensées, et 200 animaux tués selon les services de la préfecture.

Deux loups pourront donc être tués. L'arrêté préfectural ne précise pas l'âge ni le sexe des animaux, et étend l’autorisation sur un mois, à partir du lundi 5 août. Les tirs peuvent être effectués de jour comme de nuit, par les agents du service départemental de l'ONCFS, les lieutenants de louveterie des Alpes-Maritimes nommés par arrêté préfectoral et les chasseurs habilités par le préfet à participer aux opérations de prélèvement de loups.
 

dimanche 4 août 2013

Web et garde d'animaux : je prends ton labrador si tu héberges Médor

Blandine Damour a lancé son portail spécialisé dans l'échange de garde d'animaux entre particuliers il y a un an. Elle compte à présent 3 000 adhérents dont une bonne centaine en Languedoc-Roussillon.
Elle a tout essayé. Sans trouver la solution pour partir sereine en laissant Bella, son labrador noir, en bonne compagnie. Claude Sabrié, basée sur Générac dans le Gard, n’a pu se résigner à amener sa chienne dans un chenil. "Je l’ai fait une fois mais je n’étais pas tranquille." Pas convaincue non plus par le service des pet-sitters qui pullulent sur la toile. "C’est cher et rien ne dit que celui qui officie sait appréhender les animaux."
3 000 adhérents dont une bonne centaine en Languedoc-Roussillon


Alors la Gardoise cherche, bien déterminée à prendre des vacances. Finit par trouver animal-futé, un site qui met en relation les propriétaires d’animaux domestiques dans le même cas qu’elle. Le principe de ce service pensé par Blandine Damour, à Aix-en-Provence, est simple. C’est un échange de bons procédés. De l’entraide. On confie durant son absence son animal domestique à un particulier, et à charge de revanche, on lui garde son chien ou son chat dès qu’il y a nécessité. Blandine Damour a lancé son portail il y a un an et compte à présent 3 000 adhérents dont une bonne centaine en Languedoc-Roussillon.
"Sans que cela les ruine et en toute confiance"
Tous les animaux ont droit au gardiennage entre particuliers sur le site : les chevaux, les lapins, les rongeurs, les visons, et même les poissons rouges. "Il n’y avait aucun site de ce style en France alors que c’est répandu chez les Anflo- saxons." 69 % des propriétaires d’animaux ont besoin d’une solution de garde pendant les vacances, les week-ends, lors de déplacements professionnels ou d’hospitalisation. "Sans que cela les ruine et en toute confiance."
"On le sent tout de suite si ça va faire l’affaire"
L’adhésion au site est de 30 € à l’année et les adhérents d’animal-futé et leurs compagnons domestiques se rencontrent dans un premier temps pour voir si tout le monde se correspond. "On le sent tout de suite si ça va faire l’affaire", observe Claude Sabrié, qui vient de prendre une dizaine de jours Ishka, le petit chien d’une Nîmoise, et garde à présent Scott le beauceron de deux Héraultais en congés. Son labrador Bella a de la compagnie pour jouer et en septembre, quand sa propriétaire partira en vacances, elle aura un foyer pour l’accueillir.

http://www.midilibre.fr/2013/08/03/je-garde-ton-labrador-si-tu-heberges-medor,742008.php

vendredi 2 août 2013

jeudi 1 août 2013

Une raie à points bleus vient de naître à Océanopolis

Depuis quelques mois, le nouvel aquarium du pavillon tropical, le Lagon, héberge un couple de raies à points bleus, Taeniura lymna. Originaire des récifs tropicaux, l'espèce est délicate à acclimater et fait l’objet depuis quelques années d’un programme d’étude européen (European Studbook), explique-t-on à Océanopolis. Objectif ? Favoriser la reproduction en captivité de cette espèce au sein des aquariums publics membres de l’Union Européenne des conservateurs d’aquariums (EUAC), afin d’éviter les prélèvements dans le milieu naturel.
 

Et voilà que le couple de raies s’est agrandi ce jeudi avec la naissance d’un petit mâle la nuit dernière. Il ne mesure pour l'heure "que" 31 centimètres, pour un poids de 185 grammes.
La reproduction en captivité de cette espèce est encore un évènement peu courant, souligne le parc brestois. "Seuls trois aquariums en Europe l’ont menée à bien avant Océanopolis".
Le nouveau pensionnaire devrait être très vite dans les bassins pour que le public le découvre.

http://www.letelegramme.fr/local/finistere-nord/brest/ville/brest-une-raie-a-points-bleus-vient-de-naitre-a-oceanopolis-01-08-2013-2190484.php

Bordeaux. Le boa de 2 mètres s’échappe et se glisse dans une voiture

Grosse surprise pour un habitant du quartier de Caudéran à Bordeaux, mercredi matin : les pompiers sont venus sonner à sa porte car un boa de plus de 2 mètres venait de se glisser dans sa voiture en stationnement, comme le rapporte ce jeudi Sud-Ouest.
L’un de ses voisins avait en effet alerté les secours après avoir aperçu un long reptile se baladant dans la rue. Le temps que les pompiers arrivent, le serpent s’était glissé dans le moteur d’un véhicule, en passant par la boîte à gants.
Après avoir mis la voiture sur cric, les pompiers sont parvenus à déloger l’intrus, au bout d’une heure trente d’efforts. Il s’agissait d’un boa constrictor de 2,10 mètres, appartenant à un autre voisin qui avait oublié de fermer la porte de son vivarium. Même si l’animal n’est pas venimeux, il reste tout de même dangereux.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/08/01/1682256-bordeaux-boa-2-metres-echappe-glisse-voiture.html