mercredi 31 juillet 2013

Le chien qui avait mordu un enfant à Ramatuelle recueilli près de Nice

Le chien qui avait mordu au visage un petit garçon dans un camping de Ramatuelle dans le Var vient d'être placé dans un refuge de Saint-Laurent-du-Var, près de Nice.
"Jules", un golden retriever, devrait ainsi échapper à l'euthanasie, comme l'avait notamment réclamé Brigitte Bardot.
Le président de la Société de défense des animaux Patrick Villardry, pompier professionnel et éducateur canin reconnu, a obtenu du propriétaire de l'animal le droit de le prendre en charge. L'animal sera castré puis éduqué.

http://www.nicematin.com/cagnes-sur-mer/le-chien-qui-avait-mordu-un-enfant-a-ramatuelle-recueilli-pres-de-nice.1372976.html

lundi 29 juillet 2013

Baleines et dauphins reviennent en force dans la Méditerranée

Au large, la Méditerranée reprend lentement vie grâce notamment à la disparitiondes filets dérivants. Paré pour une immersion entre la Corse et le continent méconnu
Les amarres sont larguées. Les deux moteurs hors-bord de 300 CV propulsent le puissant semi-ridige au sommet des vagues à une vitesse de 30 nœuds. Direction l'horizon, pour une sortie whale watching. Car à l'intérieur du sanctuaire Pélagos (France, Monaco, Italie), la vie est intense et s'offre sans retenue à tous les amoureux de la mer. La Méditerranée reste fragile mais l'ensemble des données récoltées récemment laissent entrevoir une santé retrouvée. Pas moins de six espèces de mammifères marins sont régulièrement aperçues entre la Corse et le continent et parfois même très près des côtes.
>>DIAPO. Baleine et dauphins reviennent en force en Méditerranée
D'où un engouement certain actuellement pour découvrir ces animaux. En Méditerranée occidentale, les dauphins blanc-bleu seraient environ 250 000, les rorquals 3 000, les cachalots 2.500... et les globicéphales noirs un millier.
Raies manta, poissons-lunes, tortues marines, poissons volants, thons, espadons sont aussi de la partie. Sans oublier les nombreux oiseaux de mer qui « pistent » la moindre écaille d'anchois.
Certaines baleines sont reconnaissables à leurs cicatrices. Comme ce célèbre rorqual, d'une vingtaine de mètres, profondément meurtri par une hélice et connu de tous les passionnés. Ses blessures se sont lentement résorbées. Et l'animal a dorénavant retrouvé son rang au sein du groupe de géants des mers.
Durant cette matinée, guidé par Patrice Garziglia, expert en whale watching, pas moins d'une cinquantaine de dauphins blanc-bleu et deux rorquals - d'une longueur de 17 mètres - seront filmés et photographiés par les whale watchers du jour.
Une ombre et de l'écume
Une dizaine de minutes d'observation seulement sont accordées par le skipper afin de ne pas déranger ces mammifères lors de leurs évolutions en surface.
Selon leur humeur, ces animaux accepteront - ou non - de montrer leur agilité aquatique au public. Et ce jour-là, les dauphins assurent une fois encore le show. Ils viennent sans se faire prier. Le temps d'une apnée programmée, les baleines, quant à elles, sonderont les grandes profondeurs. Elles ne laissent en surface qu'une ombre dans un vaste bouillonnement d'écume sous des applaudissements nourris.
Les vagues se forment lentement au large. Les gaz sont remis. Il faut rallier sans plus tarder le port de plaisance de Beaulieu-sur-Mer avant que le vent d'ouest ne gâche cette belle matinée remplie d'émotions fortes. Une perception unique d'un monde mal connu, à découvrir sans modération.

http://www.nicematin.com/cote-dazur/diapo-baleines-et-dauphins-reviennent-en-force-dans-la-mediterranee.1370076.html

dimanche 28 juillet 2013

L'histoire se termine bien pour le poney Tchad

INCROYABLE histoire que celle de ce poney retrouvé errant en plein cœur de Reims (voir l'union du 23 juillet), lâchement abandonné par son propriétaire qui avait déserté son campement de fortune le long la voie ferrée. Les riverains, intrigués par l'animal esseulé, ont approché la bête pour rapidement se rendre compte de son triste état : « Il tremblait. Il tenait à peine debout, ça faisait mal au cœur », confiait une riveraine.
Sauvé par les riverains
Fortement déshydraté et non soigné depuis un bon moment, tous craignaient pour sa survie… Recueilli par le centre équestre de Reims, l'animal va mieux. Un vétérinaire a pu soigner ses différents traumatismes et malgré l'état lamentable de ses sabots, le poney se porte bien. « Il n'avait pas vu de maréchal depuis au moins deux bonnes années. Nous avons soigné ses sabots et maintenant il va très bien, il mène enfin une vie normale de poney », observe Pascal Vanscoor, responsable du centre équestre de Reims.
Lors de sa visite, le vétérinaire a pu lire la puce implantée dans le cou de l'animal, et découvrir de précieuses informations : il est âgé de 15 ans et se nomme Tchad. Avant sa mésaventure rémoise, le poney se trouvait dans une ferme pédagogique dans l'Aisne et son ancien propriétaire est décédé. Difficile d'estimer précisément le temps écoulé entre le départ de la ferme et l'abandon, toutefois les recherches avancent : « On sait qu'il était dans une ferme découverte à proximité de Pontavert, il y a quatre ou cinq ans. Il a dû être donné ensuite. »
Poney pouponné
Après avoir été soigné, l'animal s'est refait une beauté. Au programme : taille des sabots, douche, brossage et coiffage. Les palefreniers, monitrices et jeunes cavaliers sont aux petits soins, le faisant marcher une quinzaine de minutes par jour afin qu'il retrouve toute sa motricité. Bichonné, nourri et logé, Tchad mène une vie de rêve au centre équestre où il sera encore hébergé quelque temps afin qu'il reprenne du poil de la bête : « En aucun cas il sera utilisé pour être monté », précise le responsable du centre équestre. Émues par son histoire, de nombreuses personnes ont proposé d'adopter le poney. Il devrait donc prochainement rejoindre ses congénères dans une pâture gorgée d'herbe fraîche où il coulera des jours paisibles, bien loin du calvaire qu'il a connu.

http://www.lunion.presse.fr/region/l-histoire-se-termine-bien-pour-le-poney-tchad-jna3b24n164948

Muret. Sylvie élève les plus gros chats du monde

Misou restera dans mon cœur pour toujours. C’était un chat de gouttière tigré que mes parents avaient et à la mort de mon père je me suis énormément attachée à lui. Du haut de mes 15 ans, je me suis toujours dit que j’aurai plusieurs chats et que j’en ferai mon métier.» Sylvie Charron-Brunet a réalisé son rêve d’adolescente. Après une formation d’auxiliaire de santé animale, elle est maintenant agricultrice, éleveuse de chats.

Mais tout n’a pas été simple. Sylvie raconte qu’un jour de grande tristesse, elle est allée dans une expo féline. «J’ai vu un éleveur qui brandissait un Maine Coon. Là, ça a été un véritable déclic,une révélation et un peu de fatalité aussi. Ma vie a commencé à ce moment-là» raconte-t-elle, son regard bleu illuminé et plein d’éclat au souvenir de cette rencontre avec celui qui est considéré comme le plus gros chat du monde.

Philou Premier !

Malgré une vie pas très facile et une séparation familiale douloureuse Sylvie a réussi à acheter son premier Maine Coon. «C’était en 98 et il s’appelait Philou.» Pas de chance ! Le chat est mort d’une cardiomyopathie à 18 mois mais en même temps cela a été l’opportunité d’approfondir ses connaissances du félin. «J’ai ainsi commencé à me former aux soins vétérinaires. Puis grâce à une sélection faite en 3 ou 4 ans, j’ai réussi à obtenir une race saine, sans gêne de cardiomyopathie, qui est récurrente chez cette race de chat.» explique aussi l’éleveuse.
A partir de là, tout a souri à Sylvie. Son premier reproducteur «Misou 2» est au départ de la création de la chatterie. «J’ai maintenant 30 chats reproducteurs et 7 retraités.»
Une maison de chats…
Sylvie a aménagé sa vie, sa maison et son jardin de Mauressac autour des chats. Un espace extérieur et un autre intérieur, pour les mâles, un pour les femelles et un pour les femelles allaitantes. Et de préciser : «Il est important de mettre dans l’enclos des mâles, une femelle et vice-versa car il ou elle amène une sérénité et empêche les autres de se battre.»
Sylvie a maintenant 15 ans d’élevage derrière elle, des dizaines de chatons partis pour des destinations lointaines : Mayotte, Réunion, Brésil, Argentine, Canada… «Je suis un peu comme une maîtresse d’école et quand les parents viennent les chercher ça me fait toujours un pincement au cœur.»
«Mes chats m’ont permis de me reconstruire et ont atténué la souffrance de mon enfance. Ma persévérance a fait le reste et je partage maintenant cette passion du plus gros chat du monde avec les amoureux de la race».
Contact : 0 626 816 977 / sylvie.brunet@sfr.fr

http://www.ladepeche.fr/article/2013/07/28/1679656-sylvie-eleve-les-plus-gros-chats-du-monde.html

samedi 27 juillet 2013

Rhinocéros en danger d'extinction: un zoo américain va faire acccoupler un frère et une soeur

Ce projet suscite des controverses vu le risque d'anomalies génétiques...
Dans un effort désespéré pour sauvegarder une espèce de rhinocéros en danger extrême d'extinction, le zoo de Cincinnati (Ohio, nord) va tenter de faire accoupler début août deux animaux frère et soeur. L'accouplement de Harapan, un rhinocéros mâle de Sumatra (Indonésie) de six ans avec sa soeur Suci, âgée de près de neuf ans, pourrait se produire dès la semaine prochaine, ont indiqué des gardiens du zoo.
Ce projet suscite des controverses vu le risque d'anomalies génétiques et la pauvreté de la qualité du sperme des progénitures, reconnaît Terri Roth, directrice du Centre Lindner pour la conservation et la recherche sur les espèces en danger, mais affirme-t-elle à l'AFP, «il n'y a pas d'autres solutions». Selon les experts en conservation, il ne resterait qu'une centaine de rhinocéros de Sumatra à l'état sauvage en Indonésie et en Malaisie, et seulement dix en captivité dans le monde.

L'insémination artificielle n'a jamais donné de résultat

Quatre sont de la même famille, dont trois se trouvent depuis ces dernières années au zoo de Cincinnati et un quatrième est né en Indonésie en 2012. Pour Suci la seule option d'accouplement est son frère Harapan, car l'insémination artificielle n'a jamais donné de résultat chez les rhinocéros de Sumatra, donc pas question d'acheminer du sperme d'un mâle génétiquement compatible vivant ailleurs, explique Terri Roth. Harapan, qui a presque atteint l'âge adulte, a été transféré plus tôt en juillet du zoo de Los Angeles.
«A moins que les Indonésiens ne capturent plus de rhinocéros de Sumatra et qu'un mâle sans lien de parenté avec Suci ne devienne disponible, nous n'avons pas la diversité génétique dont nous avons besoin», relève-t-il. Les femelles rhinocéros doivent aussi engendrer pour éviter que leurs organes de reproduction ne développent des kystes, qui risquent de les rendre infertiles, indique Susie Ellis, directrice de l'International Rhino Foundation. Celle-ci souligne que la population de rhinocéros de Sumatra a fortement diminué à cause de la destruction de leur habitat et du braconnage pour leur corne, qui en Asie est considérée à tort comme dotée de vertus médicinales.
Le rhinocéros de Sumatra «n'est pas comme le panda géant que tout le monde connaît et je pense que le public doit savoir (...) ce qui arrive avec ces rhinocéros», commente Terri Roth. «Nous sommes en passe de perdre ce rhinocéros et je ne veux pas cela arrive», ajoute--t-elle.

http://www.20minutes.fr/sciences/1193265-20130727-rhinoceros-danger-extinction-zoo-americain-va-faire-acccoupler-frere-soeur

vendredi 26 juillet 2013

Un zébrâne, mélange d'âne et de zèbre, est né à Florence

Il est le seul spécimen de toute l'Italie... Un petit zébrâne, né de l'accouplement d'un zèbre et d'une ânesse, a récemment vu le jour dans une réserve animalière de Florence en Italie.

Il s'appelle Ippo. Il a des rayures comme un zébre et des oreilles d'âne. Voici le petit né des amours d'un zèbre et d'une ânesse dans une réserve animalière de Florence en Italie et il est en bonne santé, rapporte l'agence italienne Ansa. Selon la propriétaire de la réserve, Serena Aglietti, "Ippo est le seul de son éspèce en Italie." Les zébrânes sont en effet très rare : on en retrouve en Allemagne, en Chine et en Georgie seulement.

Un spécimen d'autant plus unique que le petit n'est pas né d'une manipulation génétique. Il est le fruit de la détermination d'un zèbre, qui a escaladé une barrière pour pouvoir se rapprocher de l'ânesse de son cœur. Le père d'Ippo a été récupéré par la réserve après que le zoo auquel il appartenait a fait faillite, et sa mère provient d'une espèce en danger, l'âne de l'Amiata, relate Ansa.
 

Un kangourou s'échappe dans les rues de Lamagistère

C’est une intervention peu ordinaire qu’ont effectuée les pompiers valenciens hier vers 6 h 30. Appelés pour un kangourou qui venait de s’échapper de son enclos à Lamagistère, ils ont dû courir derrière l’animal pendant une bonne heure avant de pouvoir l’intercepter. «Il était sur la RD 813, il est passé devant la gare avant de prendre la direction du centre-ville, nous étions trois à courir derrière lui, il allait vite, quand il bondissait il était à peu près à hauteur d’homme», témoigne Fabrice Latapie l’un des trois pompiers qui tentaient de le rattraper. «Cela a fait pas mal de remue-ménage nous avons croisé des automobilistes surpris, le boulanger une baguette à la main qui s’est bien amusée. Le maire également Bernard Dousson a suivi la course-poursuite.» Enfermé dans une cage, le kangourou fugueur est revenu dans son enclos.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/07/26/1678629-un-kangourou-s-echappe-dans-les-rues-de-lamagistere.html

jeudi 25 juillet 2013

Haute-Loire. Une mygale retrouvée dans une jardinerie

Une mygale toxique a été découverte dans le tronc d'un olivier d'une jardinerie Tridôme de Vals-près-le-Puy, dans la Haute-Loire, ce mercredi.
Les sapeurs pompiers ont dû intervenir après qu'une cliente ait alerté la sécurité. Cette dernière a eu la mauvaise surprise de trouver la mygale dans le tronc de l'olivier qu'elle venait d'acheter. Les pompiers ont réussi à pieger l'araignée grâce à une boite. Cette dernière, qui n'a pas survécu à l'intervention, mesurait 3 centimètres.
Cette mygale est l'une des deux mygales européennes est connue pour ses morsures très dangereuses.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/07/25/1677990-haute-loire-une-mygale-retrouvee-dans-une-jardinerie.html

mercredi 24 juillet 2013

Un loup photographié dans le Jura

Un loup a été photographié dans le Jura, où il n'est pas officiellement implanté, après l'attaque d'un troupeau d'ovins lors de laquelle trois bêtes ont été tuées et deux autres blessées, a indiqué aujourd'hui la préfecture.

L'attaque a eu lieu le 17 juillet, à Foncine-le-Haut (Jura), à quelques kilomètres de la Suisse, où le loup est présent.
"Les personnels de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage sont venus voir les carcasses et tout laisse à penser qu'on s'inscrit dans le cadre d'une attaque de loup, qui reste à confirmer mais avec une marge d'erreur minime", a dit Thierry Humbert, directeur de cabinet du préfet du Jura.

"Un cliché pris dès le lendemain à partir d'un piège photographique installé à proximité du lieu de l'attaque a permis d'identifier un animal présentant toutes les caractéristiques" du loup, a par ailleurs déclaré la préfecture dans un communiqué.
Selon Thierry Humbert, cette attaque est "un cas isolé qui ne préfigure pas pour l'instant le retour de l'animal dans le département du Jura".


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/07/24/97001-20130724FILWWW00503-un-loup-photographie-dans-le-jura.php

Zapping Best of : les animaux, des bêtes de scène à la télévision

mardi 23 juillet 2013

Les deux cigogneaux noirs nés dans le Jura ont pris leur envol

Le 26 septembre dernier c'était la découverte d’un nid de cigognes noires dans le Jura, une découverte exceptionnelle pour une espèce rare puisque moins de 50 couples sont connus chaque année en France.
Durant l’hiver, le couple avait quitté le département pour des pays plus chauds mais il y était revenu pour donner naissance à deux bébés. A la suite de cet heureux événement, les deux petits avaient été bagués le 5 juin dernier par un scientifique délégué par le Museum de Paris afin d’être suivi à distance. Sage précaution puisqu’ils ont aujourd’hui pris leur envol.
Rappelons que la découverte du nid était une première dans la région depuis trente-cinq ans.

http://www.leprogres.fr/jura/2013/07/22/les-deux-petits-cigogneaux-noirs-nes-dans-le-jura-ont-pris-leur-envol

lundi 22 juillet 2013

Un inventaire des animaux braconnés

Tortues, pangolins, hippocampes, rhinocéros... En seulement trois mois, 206 événements liés au braconnage et contrebande de milliers d'animaux menacés d'extinction ont été rapportés dans le monde, alerte l'ONG Robin des Bois, qui lance un inventaire trimestriel "A la trace".
En trois mois, 206 évènements liés à des braconnages, saisies, arrestations et condamnation en Afrique, Australie, Amérique, Europe et Asie ont été recensés. Et l'équivalent en ivoire de 707 éléphants a été saisi, ainsi que 3.600 pangolins, des mammifères ressemblant à des reptiles utilisés en Afrique et en Asie dans la médecine traditionnelle, ou encore près de 6.000 tortues terrestres et marines, notamment appréciées en soupe en Asie.
 

Bébés lion blancs 2013 au Zoo de Pont-Scorff

dimanche 21 juillet 2013

samedi 20 juillet 2013

Ferme pédagogique du Zoo d'Amnéville

Le lynx suspecté d’une nouvelle attaque sur des brebis aux portes de Lons

A Saint-Laurent-la-Roche, la famille Bozon élève des moutons depuis de très nombreuses années. Et s’il y a dix ans, elle a eu des soupçons sur une attaque de lynx, cette fois, le doute ne serait plus permis, selon elle. Un lynx aurait attaqué son troupeau en début de semaine : dans la nuit de lundi à mardi, l’animal aurait égorgé un agneau pour manger un gigot. Les représentants de l’Office de la chasse sont venus constater les faits et ont mis en place un piège photographique. Un lynx aurait pu être photographié et identifié en revenant finir son repas.
Mercredi matin c’est une brebis qui était retrouvée morte dénuquée, puis une autre vendredi matin, sans doute victime d’une crise cardiaque. « Un lourd bilan » pour les éleveurs, qui ne peuvent être indemnisés que sur les dégâts physiques apparents. « La brebis morte de crise cardiaque ne sera pas comptée comme dégât du lynx et c’est sans compter sur les agneaux qui se trouvent orphelins ». Dans le village et alentours la bête est « connue » : elle aurait déjà sévi en février, à une semaine d’intervalle, chez un autre éleveur, tuant une brebis puis une chèvre.
Les habitants parlent d’un lynx adulte « qui rôde entre Saint-Laurent-la-Roche, Gevingey et la banlieue de Lons » et aurait été également aperçu à Macornay et Courbouzon, à proximité des lotissements. Les chasseurs ne sont pas en reste : « Depuis quelque temps, il y a beaucoup moins de gibiers, chevreuils et chamois, preuve que l’animal fait des dégâts. »
Mais le plus étonnant pour tous vient du fait que « ces attaques se produisent en plein mois de juillet alors que d’habitude, elles ont plutôt lieu en hiver quand le lynx n’a rien d’autre à manger. »

http://www.leprogres.fr/jura/2013/07/19/le-lynx-suspecte-d-une-nouvelle-attaque-sur-des-brebis-aux-portes-de-lons

lundi 15 juillet 2013

Une quarantaine de brebis tuées dans la Bévéra: le loup en accusation

C'est un véritable ras-le-bol qu'exprime une famille de bergers de La Bévéra. Depuis le 25 mai, date à laquelle ils ont monté leur troupeau en altitude, ce ne sont pas moins de 62 bêtes sur 250 qui sont mortes. 
Si une vingtaine a disparu, plus de quarante ont été dévorées par les loups.
C'est en tous cas la thérie défendue par ces éleveurs qui avaient déjà été gravement touchés en 2002.
En juillet , ils avaient perdu 400 de leurs moutons qui, effrayés par le prédateurs, s'étaient jetés dans le vide.

http://www.nicematin.com/menton/une-quarantaine-de-brebis-tuees-dans-la-bevera-le-loup-en-accusation.1349281.html

vendredi 12 juillet 2013

Besançon: les babouins expulsés du zoo

Le jardin zoologique de la citadelle de Besançon (Franche-Comté) a décidé de se débarrasser de ses babouins de Guinée, qui vandalisaient les murs de ce monument inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco. "Ils ne font rien d'anormal: dans la nature aussi, ils bricolent, ils arrachent des brins d'herbe, mais là, ils se sont mis à retirer des petites pierres, à grattouiller les joints de la muraille... Et on est quand même dans un monument classé Unesco", a déclaré Gérard Galliot, directeur du Muséum d'histoire naturelle.

"Tout tient encore debout, les remparts de la citadelle de Vauban ont résisté durant bien des siècles, mais cette espèce n'est pas adaptée à ces lieux", conclut Gérard Galliot. Quelques-uns ont déjà été envoyés en Algérie et d'autres dans un zoo du sud-ouest de la France, mais il en reste encore 13 à recaser, précise-t-il.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/07/12/97001-20130712FILWWW00295-babouins-expulses-du-zoo-de-besancon.php

jeudi 11 juillet 2013

Un bébé okapi naît au zoo de Beauval

Un bébé okapi, animal mystérieux à la morphologie étrange évoquant à la fois le zèbre et la girafe, est né le 27 juin au zoo de Beauval, dans le Loir-et-Cher, a annoncé jeudi le zoo dans un communiqué. Mbuti, une femelle, "tête bien sa mère, Kamina, et continuera à le faire encore jusqu'à cet hiver. Elle va bien et nos vétérinaires n'ont même pas eu besoin d'intervenir lors de sa naissance", s'est félicité le parc animalier qui compte deux mâles et quatre femelles parmi ses pensionnaires.

http://www.lejdd.fr/Societe/Depeches/Un-bebe-okapi-nait-au-zoo-de-Beauval-618640

mardi 9 juillet 2013

Météo : les abeilles ont le bourdon

Apiculteur à Apach, Florent Leg éprouve parfois la nostalgie d’un temps révolu. Comme si abeilles et modernité ne faisaient pas toujours bon ménage. On prête à Albert Einstein d’avoir lié le sort des hommes à celui des premières… Voire. Mais si elles ne sont pas les seuls insectes pollinisateurs, les butineuses rayées de la surface du globe laisseraient un goût amer aux souvenirs d’enfance privés d’un bon pot de miel à convoiter. Les menaces sont nombreuses qui pèsent sur le destin des abeilles (lire ci-contre), mais cette fois l’urgence est d’une autre nature, et pour tout dire d’ordre météorologique. « Il faut savoir qu’au-dessous d’une température de 12 °C, ou en cas de pluie, les abeilles ne sortent pas de la ruche et ne butinent pas s’il ne fait pas 18 à 20 °C » rapporte Florent Leg. A contrario, des températures trop élevées et un temps trop sec privent les fleurs de nectar. Autant dire que l’instabilité météorologique de ce millésime ne favorise guère la production de miel.

Vols nuptiaux

Professionnel installé, depuis 1998, en Gaec à Apach avec son épouse Géraldine, l’apiculteur évalue le manque de production à un tiers d’une récolte normale. Soit une année catastrophique, après une récolte 2012 déjà mauvaise. Même constat au rucher école du Saulcy à Metz : « Non, seulement le temps constitue un frein à la récolte mais en plus il porte préjudice à la reconstitution des populations d’abeilles », souligne Martine Clausset. Pour remplir sa fonction reproductrice qui fonde la nouvelle colonie, la reine doit être fécondée au cours de vols nuptiaux par les faux-bourdons. « Elle garnit ainsi sa spermatique de spermatozoïdes lui permettant de pondre pendant plusieurs années, jusqu’à 2 000 œufs par jour », explicite Martine Clausset. « Les vols nuptiaux se déroulent dans les cinq à six jours après la naissance de la reine fille qui remplace la reine mère en partance de la ruche avec une partie des ouvrières. Si elle ne quitte pas la ruche assez rapidement, pour des raisons météo par exemple, la nouvelle reine en perd l’envie et cela peut entraîner la mort de la ruche. »
Si « avant » l’apiculture, « ça allait tout seul », le monde des abeilles se pique désormais d’« optimisation », sans laquelle la récolte est vouée à boire le bouillon. Il a beau déplorer, « ce qui est perdu est perdu », Florent Leg court tout de même après l’espoir d’un rayon de soleil. Hier matin à l’aube, il a embarqué 32 ruches, avant de rouler vers les sommets de l’Isère. « Elles vont y stationner un mois, le temps de la floraison des châtaigniers », précise le Mosellan. Lequel espère ainsi compléter la gamme de ce millésime pour l’heure principalement constituée de miel de printemps (colza, aubépine, fruitiers, pissenlit) et de miel d’acacia. Dimanche, son Gaec ouvrira ses portes au public, au 106 rue de Belmach à Apach. L’occasion d’une plongée dans la société des ouvrières. Fascinantes abeilles.
*
http://www.republicain-lorrain.fr/actualite/2013/07/09/meteo-les-abeilles-ont-le-bourdon

samedi 6 juillet 2013

La police à la recherche d'une Panthère noire à Toulon

Des patrouilles de police étaient en cours jeudi près de Toulon pour tenter de repérer une ou deux panthères noires, à la suite de signalements de la population. La police nationale réalise des patrouilles dans le secteur de Pomets entre Toulon et la commune du Revest-les-Eaux, indique la Préfecture du Var. Une bête aurait été aperçue une première fois dimanche par des habitants, avant de réapparaître mardi soir et ce mercredi après-midi, selon Var Matin.

"Cela ne fait aucun doute"
Si le zoo du Mont Faron, situé non loin, a indiqué ne pas avoir enregistré une quelconque fuite de ses félins, son chef animalier, Jean-Pierre Georges, qui s'est rendu sur place, a en revanche relevé la présence d'une trace. "Cela ne fait aucun doute, il s'agit d'un félin, probablement une panthère noire. C'est certain car les traces sont facilement identifiables, les félins possèdent des griffes rétractables, contrairement aux chiens. Or dans la trace que j'ai pu voir sur le sol, il n'y avait que les trous formés par les coussinets et pas de marque de griffes ", a-t-il déclaré.

La police attend un nouveau témoignage pour "déclencher immédiatement un hélicoptère afin de survoler la zone ", a annoncé la Préfecture du Var.
 

lundi 1 juillet 2013

Le lynx Vogna a été relâché

Lors d’une consultation publique, 83% des 15000 personnes avaient voté pour que le jeune lynx jurassien baptisé Vogna soit relâché. Il l’a été ce week-end dans le plus grand secret, sur le territoire du Doubs
La consultation publique sur le relâcher de jeunes lynx par Athénas s’était achevée le 22 mai à minuit. Près de 83,8% des participants s’étaient prononcés favorablement sur la dérogation triennale (2013-2016) qu’espèrait obtenir le centre pour le sauvetage de jeunes lynx en difficulté et le relâcher de ces spécimens après élevage.

L’objectif, pour Athénas, est de les élever jusqu’à l’âge de 11 mois aux fins de les relâcher dans leur milieu.


Vogna avait été capturé dénutri en novembre en Petite montagne.  Il a été relâché ce week-end.


http://www.leprogres.fr/jura/2013/07/01/le-lynx-vogna-a-ete-relache