mardi 31 janvier 2012

Trois rhinocéros blancs attendus jeudi au zoo d’Amnéville (57)

Trois rhinocéros blancs, un mâle et deux femelles, doivent arriver jeudi au zoo d’Amnéville (Moselle) en provenance d’une ferme d’élevage d’Afrique du Sud, a annoncé mardi le parc animalier lorrain.
Deux autres rhinocéros devant être accueillis au zoo de La Boissière du Doré, près de Nantes, feront partie du voyage qui s’inscrit dans le cadre des programmes européens pour espèces en danger (EEP), a précisé le parc dans un communiqué.
Les cinq rhinocéros devaient quitter aujourd'hui l’Afrique du Sud pour rallier par avion Francfort (Allemagne) où ils seront examinés par une équipe de vétérinaires.
Ils seront ensuite transportés par camions en Moselle et en Loire-Atlantique.
Créés en 1985, les programmes européens EEP d’élevage et de conservation ont pour objectif de favoriser l’élevage d’espèces animales menacées avec, pour finalité, la réintroduction dans la nature de spécimens élevés en parcs zoologiques.
Ces programmes sont gérés par une association européenne qui regroupe 297 zoos et aquariums répartis dans 34 pays européens.

brochet géant

lundi 30 janvier 2012

dimanche 29 janvier 2012

Les manteaux pour animaux

Mettre un manteau à son chien, l'idée peut en déranger plus d'un. Mais que dire lorsque Rufo boude à mettre la truffe dehors les jours de pluie ? Selon ce site, six propriétaires de chiens sur dix (soit plus de la moitié !) ont déjà mis un manteau à leur chien. En tête des motivations : protéger son chien du froid, puis le garder au sec. La cause esthétique n'arrive qu'en dernière position des motivations. Parmi ceux qui s'y refusent, beaucoup d'entre eux trouvent cela ridicule... Alors, nécessité ou superflu ?
Différents modèles. Il en existe pour tous les goûts et pour toutes les humeurs, à tel point que le manteau pour animal est en passe de devenir un marché à part entière du secteur animalier ! Et de fait depuis quelques années, l'offre s'est diversifiée. Tout est fait pour le confort de nos fidèles animaux de compagnie : manteaux, imperméables, mais aussi pulls-over... On dépasse de loin, le modèle unique qui ressemble à une petite cape de pluie, ou encore le tapis matelassé que l'on voyait fréquemment sur le dos des caniches.
Mieux encore, si elle fait fureur chez les humains, la doudouneest également très tendance pour les chiens. Son prix dépend de la taille de votre chien. Comptez entre 20 et 45 euros pour cette doudoune dernier cri... Autre modèle original, le sweat à capuche, doté d'un petit col roulé. Idéal pour emmener votre toutou faire du sport par mauvais temps. L'avantage c'est qu'il est lavable en machine à 30°. En voici d'autres modèles ici.
Choisir la bonne taille. Vous trouverez ici,tous les renseignements pour choisir le bon modèle. Inutile de vous préciser qu'entre un basset nain et un rottweiler, il risque d'avoir une grande différence dans la taille du pull ou de l'imperméable.
Et les chats alors ? Les vêtements pour chats existent mais déclenchent nettement moins d'émulations que les manteaux pour chiens. Il faut savoir que cette idée est beaucoup moins répandue dans la mesure où les chats ne sont pas baladés en laisse, contrairement à leurs copains toutous. Difficile de trouver dans ces cas-là de vrais chats portant une doudoune ou un petit pull-over.
http://www.ma-news.com/Animaux_695/index.html

Le koala : La mascotte de l'Australie en danger

Ces deux dernières années, elle est partie à la rencontre des guépards en Namibie, des éléphants au Kenya, des ours bruns en Russie ou encore des gorilles en République du Congo. L'approche est la même : la réhabilitation des animaux, dont les territoires sont menacés par l'homme, dans leur milieu naturel.

Ce dimanche, Olivia Mokiejewski termine un cycle de sept émissions avec les koalas, animaux qu'on ne trouve qu'en Australie et qui font la fierté de ce pays, même s'ils sont en voie de disparition. « Leur population est passée de plusieurs millions il y a un siècle à moins de 100 000 aujourd'hui. Et le phénomène continue de s'aggraver dans certaines régions depuis quinze ans. D'ici une vingtaine d'années, ils pourraient disparaître totalement. »

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Les villes remplacent les forêts

Cette ardente militante de la cause environnementale s'est rendue dans la banlieue de Brisbane où vivent les koalas de plus en plus présents dans les champs et dans les villes. « Avant, la côte est était couverte de forêts d'eucalyptus, explique Olivia. Aujourd'hui, tout le monde veut y vivre. Il y a un conflit de territoire et les koalas se retrouvent coincés. »

Face à cette problématique, la position des autorités est ambivalente. « D'un côté, ils défendent les koalas qui sont la mascotte du pays en même temps qu'une importante source de revenus (800 millions de dollars générés par le tourisme), de l'autre, ils favorisent la spéculation immobilière sous la pression des lobbies. »

Le soutien des bénévoles


Les koalas ne sont pas seulement inquiétés par l'homme, ils sont aussi victimes du réchauffement climatique, des inondations, des feux de forêts et autres catastrophes naturelles ou encore la chlamydiose, maladie développée à cause du stress.

Ils peuvent heureusement compter sur le soutien de la population. « En Australie, ce ne sont pas des ONG ou de grandes organisations, mais les particuliers, le plus souvent bénévoles, qui se mobilisent. Il y a un système d'ambulances dédiées aux animaux en détresse et même des hôpitaux spécialisés pour koalas. » Preuve que les Australiens ont pleinement conscience de leur exceptionnelle biodiversité.

Crocos préservés

La journaliste consacrera aussi une partie de l'émission aux crocodiles marins qui peuvent atteindre jusqu'à sept mètres de long. « Dans les années 1950, ils étaient en voie d'extinction. Les gens ont eu une prise de conscience. Aujourd'hui, la chasse est interdite. Apparus avant même les dinosaures, ils jouent un rôle important dans l'écosystème. »
Reste qu'Olivia a eu droit à son lot de frayeurs. « Pour greffer une puce électronique sur un croco afin de suivre ses déplacements, il faut le harponner et l'épuiser. Mais il peut aussi retourner le bateau et là, il y a tous ses copains dans l'eau qui t'attendent…»

Si elle a toujours dans l’idée de vivre un jour dans une réserve, Olivia Mokiejewski sera de retour dans les prochains mois sur France 2 pour trois documentaires animaliers, ainsi qu’un magazine d’investigation en deuxième partie de soirée.
http://www.francesoir.fr/people-tv/television-media/le-koala-la-mascotte-de-l-australie-en-danger-178780.html
SOS koalas, les orphelins du paradis, dimanche 29 janvier, 16 h 25

mercredi 18 janvier 2012

mardi 17 janvier 2012

Six pandas géants retrouvent leur liberté

Le centre des pandas de Chengdu, en Chine, va relâcher mercredi dans la nature six de ses pensionnaires...
Ce n’est pas encore totalement la vie sauvage, mais un environnement «demi-sauvage» qui attend six pandas géants chinois. Mercredi, ils vont être réintroduits dans leur milieu naturel après avoir passé plusieurs années en captivité dans le centre de Chengdu. De nombreuses célébrités chinoises et des politiques sont attendus pour cet événement, emblématique des efforts faits par la Chine pour réintroduire l’espèce dans la nature.

Une phase d’entraînement avant la vraie vie sauvage

Toutefois, de nombreux spécialistes sont sceptiques sur l’efficacité du projet: comment des pandas élevés par des humains peuvent-ils survivre seuls? En 2007, un mâle âgé de cinq ans, Xiang-Xiang, mourait moins d’un an après avoir été lâché dans la nature, lors d’un combat avec des mâles rivaux. Pour éviter cette fin fâcheuse, les vétérinaires vont cette fois soumettre les six animaux à une phase d’entraînement dans une zone de vingt hectares qu’ils ont surnommé la «Vallée des pandas». Ils pourront y garder un œil sur Yingying, Zhizhi, Qiqi, les jumeaux Xingrong et Xingya, et Gongzai, les six pandas sélectionnés pour l’aventure.
Tous âgés de deux à quatre ans, les pandas adolescents devraient être assez âgés pour se défendre et s’alimenter, mais pas encore trop vieux pour pouvoir s’adapter à leur nouveau mode de vie. Ceux qui passeront avec succès le test de survie dans la nature seront ensuite relâchés dans une vraie forêt, loin de leurs anciens soigneurs. «La réussite de ces relâches ne pourra se voir que dans plusieurs générations, explique Qi Dunwu, scientifique du centre des pandas de Chengdu, car elle suppose que les pandas se reproduisent
http://www.20minutes.fr/article/857246/six-pandas-geants-retrouvent-liberte

dimanche 15 janvier 2012

samedi 14 janvier 2012

vendredi 13 janvier 2012

Un aigle royal sauvé par un employé municipal

Un employé du service technique de la commune des Houches a fait une découverte inattendue en fin de journée, ce vendredi.
Au cours du déneigement sur la route de Montvaut, il croit apercevoir une buse blessée sur une moraine en bordure de route. Il décide alors de prévenir les pompiers de Servoz, lesquels assistés d’un collègue volontaire des Houches, ont l’extraordinaire surprise de découvrir, non pas un simple rapace meurtri, mais un aigle royal.
Le rapace découvert dans un état inquiétant semble à bout de force et ne se tient plus debout, ce qui permet d’ailleurs, aux pompiers de le transférer sans problème dans une cage qu’ils apporteront à la caserne de Servoz. Alerté, le lieutenant de louveterie de Passy, Jacques Tony, découvre finalement un aigle royal revigoré par le chaud.
Plusieurs hypothèses sont envisagées, le rapace a pu être blessé au cours de la tempête de jeudi soir ou par une ligne électrique présente à cet endroit.
L’Office national de la chasse à Annecy est venu le récupérer pour le transférer à Lons-le-Saunier (Jura), où il sera examiné et soigné si besoin est.
Pensant qu’il s’agit de l’un des deux aigles royaux du secteur de Pormenaz, espérons que l’oiseau pourra être très prochainement relâché pour rejoindre son ou sa compagne.
http://www.ledauphine.com/haute-savoie/2012/01/07/un-aigle-royal-sauve-a-servoz

mardi 10 janvier 2012

samedi 7 janvier 2012

vendredi 6 janvier 2012

jeudi 5 janvier 2012

mardi 3 janvier 2012

Des vétérinaires au chevet des chiens de chasse grièvement blessés

« C’est vrai, il y a des dimanches soir, ici c’est quelque chose… » Du sang, des cris, des gens inquiets. Mais aujourd’hui, nous sommes jeudi et Laurent Brisbois, vétérinaire spécialisé chiens et chats à la clinique vétérinaire du Clairmatin, à Bourg-en-Bresse, n’a pas un emploi du temps trop chargé.
Ces dimanches dont il parle, ce sont les jours de chasse, de battues. La clinique a alors l’apparence d’un hôpital militaire en temps de guerre, et il doit parfois faire appel à un collègue pour faire face à l’arrivée de chiens blessés par les sangliers.
« On fait de la chirurgie de guerre. On détermine d’abord un ordre de priorité pour soigner les plus gravement touchés. On anesthésie et on fait de la couture. »
Les blessures causées par les défenses des sangliers ou par les morsures des femelles peuvent être très graves. Des muscles percés surtout. « La semaine dernière, j’en ai soigné un où la blessure était si profonde qu’on voyait le cœur battre. »
Et les chasseurs doivent avoir le leur bien accroché quand Laurent Brisbois leur demande un coup de main pour maintenir le chien. « Heureusement, les chiens courants, comme les beagles ou les anglo-français, sont plutôt d’un naturel sociable, les teckels c’est tout ou rien. » Ensuite, la soirée peut être longue, le vétérinaire peut passer facilement deux heures sur une victime.
« Il y a le nombre de chiens, mais il faut aussi plusieurs trousses de soins. » Après la couture, c’est souvent, pour les chiens, une bonne nuit à la clinique pour se remettre de l’anesthésie dans l’une des 17 cages qui leur sont réservées.
Ce jeudi, René Tarrare, un chasseur de Villereversure, revient avec Clovis, un anglo-français affublé d’une belle collerette pour l’empêcher de lécher sa plaie. Il y a une quinzaine de jours, il a été sérieusement touché à l’intérieur de la cuisse par un sanglier. Depuis, la blessure s’est rouverte quand Clovis a sauté une clôture.
Aujourd’hui, les soins seront légers. « Il est un peu âgé et une anesthésie, ça fatigue, on va se contenter de continuer à soigner sa plaie avec de la poudre… » La blessure semble impressionnante, mais Clovis est solide. « C’est la troisième fois que je l’amène cette année après des blessures d’un sanglier.
J’ai déjà déboursé 2 200 euros, un chien comme lui, ça vaut 3 000 euros », explique René. Son épouse en profite pour glisser une petite question au véto. « Le chocolat c’est dangereux pour les chiens ? Il a attaqué une plaquette. » Laurent Brisbois est rassurant. « En dessous de 100 grammes pour un chien de 10 kilos, pas de troubles. De toute façon, des symptômes nerveux seraient apparus avec des convulsions impressionnantes. »
Clovis va à peu près bien, il va continuer à se remettre avec un petit traitement à base d’anti-inflammatoires. Sa saison de chasse est terminée. Mais en quittant la clinique, il frétille devant le vétérinaire. Comme s’il savait que s’il retourne un jour au sanglier, ce sera grâce à lui.

http://www.leprogres.fr/ain/2011/12/26/des-veterinaires-au-chevet-des-chiens-de-chasse-grievement-blesses

dimanche 1 janvier 2012

L'histoire a tenu en haleine la Dordogne pendant plusieurs semaines, et aujourd'hui encore, on ignore l'épilogue. Mais où est passé Zouzou le renardeau ? Depuis le 8 juillet, l'animal a mystérieusement disparu.
Ce jour-là, les gardes de l'office national de la chasse devaient venir chercher Zouzou au domicile de la famille Delanes à Gardonne (Dordogne). Ainsi en avait décidé trois jours plus tôt le tribunal de Bergerac, qui avait ordonné la confiscation de l'animal le temps que les propriétaires du bébé renard se mettent en règle et obtiennent un certificat pour le détenir.


Depuis un an, Didier Delanes et sa femme Anna-Paul s'occupaient à temps plein du renardeau. Didier Delanes avait trouvé ce bébé renard en avril 2010, au bord de la route, sur le cadavre de sa mère ; et l'avait emporté pour l'élever. Début mars, l'office national de la chasse avait découvert l'animal, et engagé les poursuites classiques dans ce cas : élever un tel animal sauvage est interdit.
Une décision que les Delanes ne comprenait pas. Il est doux "comme un chien", expliquait la famille en avril. "Je ne comprends pas qu'on m'empêche de garder un renard, alors que des gens ont le droit d'avoir des pythons chez eux", pestait aussi Didier. Un comité de soutien s'était alors créé, une pétition circulait dans le village. Un groupe Facebook réunit aujourd'hui plus de 10.000 membres.
Alors, où est passé le renardeau ? Le jour où les gardes de l'office national de la chasse étaient attendus pour le ramener, "quelqu'un l'avait pris dans la nuit", selon Didier Delanes. Fin août, les maîtres de Zouzou ont engagé un nouvel avocat, Me Patrice Guillon. L'homme n'est pas un inconnu. C'est lui qui, début juillet, avait réussi à faire relaxer Jean-Claude Martin, le propriétaire de Juliette, une laie de la Drôme, dans une histoire qui ressemble étrangement à celle vécue par la famille de Gardonne.
http://www.sudouest.fr/2011/12/14/le-plus-recherche-de-l-annee-wanted-zouzou-un-bebe-renard-581054-4776.php