mercredi 30 mars 2011

L'orque tueuse redevient une vedette de spectacle

Son retour comme vedette de show était annoncé ; il va désormais devenir officiel, assurent les médias de Floride : l'orque Tilikum, devenue célèbre pour avoir tué son entraîneuse en plein spectacle devant un public horrifié au parc d'attraction SeaWorld d'Orlando, va à nouveau participer à ce show un peu plus d'un an après la tragédie.
Le président de SeaWorld, Jim Atchison, a signé une autorisation pour que l'orque Tilikum participe au spectacle Believe mercredi, rapporte le journal Orlando Sentinel dans sa version en ligne. Il s'agira de la première apparition publique de Tilikum depuis le 24 février 2010, jour où l'animal, un mâle de cinq tonnes déjà impliqué dans la mort de deux personnes depuis 1991, avait saisi sa soigneuse Dawn Brancheau, âgée de 40 ans, par sa queue de cheval avant de la traîner au fond du bassin.
Pas de punition pour l'orque
"La participation aux spectacles ne constitue qu'une petite portion de la journée de Tilikum, mais nous pensons que c'est une composante importante de son enrichissement physique, social et mental", avait déjà expliqué dans un communiqué Kelly Flaherty Clark, chargée au sein du parc des spectacles impliquant des animaux.
SeaWorld assure avoir adopté une série de nouvelles mesures de sécurité depuis l'accident, pour mieux protéger les entraîneurs des animaux. Tilikum, qui vivait en captivité depuis 27 ans au moment de l'attaque, est l'orque la plus grosse du parc SeaWorld d'Orlando. Quelques jours après l'attaque, la direction du parc avait annoncé que l'animal continuerait à bénéficier des mêmes soins et ne serait pas puni pour son acte

mardi 29 mars 2011

Comment les défenseurs des animaux ont sauvé les agneaux de la « Condi »

Marie-Claude Lefebvre ne mange pas d'animaux. Elle préfère de loin les protéger avec son réseau des végétariens du Nord, Vegnord. Alors, quand elle a appris que les trois agneaux exposés à la Condition publique dans le cadre de l'exposition Zoonomia allaient peut-être prendre la direction de l'abattoir, la militante a tout de suite réagi. « Il fallait les sauver ! Ce sont des animaux qui appartiennent à la ferme de l'institut de Genech. J'ai donc contacté le responsable, et je lui ai proposé de les racheter au prix du marché. Il avait accepté. » Marie-Claude Lefebvre active donc son réseau de défenseurs des animaux et trouve un soutien auprès de l'association artésienne Oscar et Pillite. Ensemble, ils dégottent une famille d'accueil : les trois ovins iront tenir compagnie aux enfants du centre de loisirs de Paray-vieille-Poste, dans l'Essonne.
Voyant la fin de l'exposition se rapprocher à grands pas, elle tente de recontacter le directeur de la ferme pédagogique quelques semaines plus tard. « Il m'a alors dit qu'il avait décidé de les vendre à des bouchers ! » Les trois animaux sont en effet des agneaux boulonnais, une race que les éleveurs tentent de revaloriser auprès des gourmands. « L'hiver est une période critique où il manque des agneaux, explique Marc Leroy, responsable de l'exploitation de l'institut de Genech qui avait généreusement prêté les animaux. Ma priorité c'était de ravitailler cette filière que nous souhaitons développer. Nous travaillons dur pour sortir du revenu. » Sous la pression de Vegnord et des végétariens déterminés, l'homme se ravisera finalement.
Marie-Claude Lefebvre a payé de sa poche pour devenir propriétaire des animaux. À raison de 3 E le kilo, elle a déboursé 120 E par tête ! Hier, le petit groupe de végétariens est venu à la Condition publique récupérer les trois bêtes, qui ignorent tout de la bataille qui s'est jouée afin qu'elles aient la vie sauve. Entre-temps, les internautes du réseau d'Oscar et Pillite ont voté sur Facebook pour désigner les noms qui leur seront attribués : ce sera Clochette et Liberty, pour les deux femelles, et Pompon pour le mâle.
Christian Gonzenbach, l'artiste qui a conçu cette installation, jette un regard amusé sur les tractations autour de ces trois moutons. « Je voulais justement que les visiteurs aient une réflexion sur le devenir de ces animaux et sur la production animale », explique-t-il. Pari plus que réussi... L'artiste a tout de même essuyé les critiques des défenseurs des animaux qui l'ont accusé de « remettre dans le circuit des animaux qui ont reçu des caresses, de l'amour... » « Au moins, je leur avais offert trois mois de vie en plus, sourit-il, avant de conclure : À chacun son rôle. » L'un pose les bonnes questions, les autres trouvent des solutions. Voilà une oeuvre d'art contemporain qui aura au moins fait débat et réveillé les passions ! •
http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Tourcoing/actualite/Secteur_Tourcoing/2011/03/29/article_comment-les-defenseurs-des-animaux-ont-s.shtml

dimanche 27 mars 2011

Les soigneurs du zoo de Fort-Mardyck sont « les infirmiers des animaux

Ambiance studieuse chez les soigneurs animaliers du zoo de Fort-Mardyck. Toute la semaine, le parc accueillait l'assemblée générale de l'AFSA. En plus des conférences sur des thèmes comme la nutrition, l'aménagement des enclos ou la législation, c'était aussi l'occasion de partager ses expériences. « C'est intéressant de savoir ce qui se fait ailleurs, dans des parcs plus grands ou pour d'autres espèces », affirme Sabine Ketelers. La directrice du zoo, par ailleurs vétérinaire, se réjouit que l'AFSA ait choisi d'organiser son congrès à Fort-Mardyck. « C'est valorisant pour le parc. Ça prouve que notre travail est de qualité. »

Des journées chargées

Pour s'occuper au quotidien des 170 animaux, pas moins de dix soigneurs. Six femmes, quatre hommes passionnés par leur travail. Une passion indispendable, car la journée est bien remplie et les tâches pas toujours très agréables. « Le matin, on commence par une visite générale du parc, pour vérifier que tous les animaux vont bien, qu'il n'y a pas eu de souci particulier pendant la nuit. On suit les animaux au quotidien, on connaît leur comportement, donc on repère facilement les problèmes éventuels », explique Anthony Fournier, soigneur animalier à Fort-Mardyck depuis six ans.
Ensuite, il faut faire sortir les animaux de leurs box pour pouvoir nettoyer à l'intérieur, puis à l'extérieur. Vers 10 h, les soigneurs s'attellent à la préparation des plats pour un repas prévu à 11 h. Certains animaux, comme les loutres, sont nourris en public. Avec le repas des ours, c'est une des grandes animations de la journée pour les visiteurs. « Il y a également un repas en fin de journée. Par exemple, on donne des fruits aux ours en journée, mais le soir, ils mangent des protéines comme de la viande de boeuf, du poulet ou du rat. » C'est bien sûr le rôle des soigneurs de découper les mets en tous genres.
En fin de matinée, dernière tournée pour évaluer les nombreuses tâches de l'après-midi : nettoyage et aménagement des différents enclos, brossage des animaux de ferme, et de temps à autre, un peu de travail avec les phoques au bord du bassin.
Les soigneurs animaliers peuvent également prodiguer des soins, pour les petits bobos. « On est toujours en relation avec les vétérinaires. On leur signale tous les problèmes, si un animal est amorphe ou a un comportement anormal... Nous les informons aussi des saillies et des dates de mises bas.
» Si le vétérinaire s'occupe des actes médicaux plus importants, comme les opérations chirurgicales et les naissances, le soigneur peut par exemple s'occuper d'une petite plaie, changer un pansement. Anthony Fournier résume : « Le vétérinaire, c'est le médecin, et le soigneur, c'est l'infirmier ! » •
http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Dunkerque/actualite/Secteur_Dunkerque/2011/03/27/article_les-soigneurs-du-zoo-de-fort-mardyck-son.shtml

vendredi 25 mars 2011

20.000 manchots menacés par une marée noire sur une île de l'Atlantique sud

Une opération de sauvetage vient de commencer dans l'Atlantique Sud après le naufrage d'un cargo...Une opération de sauvetage est en cours ce jeudi pour venir en aide à quelque 20.000 manchots menacés par une marée noire près de l'archipel britannique Tristan Da Cunha, dans l'Atlantique sud, ont indiqué les autorités locales.
Le cargo MS Oliva a fait naufrage le 16 mars dans cet archipel situé à environ mi-distance de l'Afrique du Sud et de l'Argentine. Son équipage --un commandant grec et 21 marins philippins-- a été secouru mais le navire s'est depuis brisé en deux, répondant du pétrole sur trois îlots.
Or l'archipel abrite une large population de manchots à aigrette d'une espèce en danger, les gorfous sauteurs. Un bateau de sauvetage est arrivé lundi depuis l'Afrique du Sud pour les ramener sur l'île principale, les soigner et les nettoyer.
«Environ 500 gorfous sauteurs ont été ramené à terre sur Tristan ce matin», a déclaré l'administrateur de l'archipel Sean Burns, dans un communiqué sur internet.
Mais l'île ne dispose pas de liquide de nettoyage en quantité suffisante et les secouristes attendent l'arrivée d'un second bateau sud-africain.
«Une étape essentielle sera de confirmer le départ d'un bateau du Cap (à 2.800 km) dans les jours à venir pour transporter les équipements nécessaires au nettoyage des oiseaux», a ajouté M. Burns. «C'est une course contre la montre», a-t-il ajouté.
L'archipel Tristan Da Cunha compte plusieurs îles volcaniques et abrite 263 ressortissants britanniques, décrits comme la communauté la plus isolée au monde sur le site internet de l'île, qui n'a aucun hôtel, aéroport ou restaurant
http://www.20minutes.fr/article/693696/planete-20000-manchots-menaces-maree-noire-ile-atlantique-sud

mercredi 23 mars 2011

samedi 19 mars 2011

Knut, l'ours polaire, est mort à Berlin

Les circonstances de son décès ne sont pas claires...


L'ours polaire Knut, âgé de 4 ans, est décédé ce samedi au zoo international de Berlin, en Allemagne, indique le site Sueddeutsche.de


L'animal s'est effondré dans le bassin des ours. Les causes de sa mort ne sont pas déterminées et une autopsie doit avoir lieu.


La naissance de l'ours fin 2006 au zoo de Berlin avait créé un engouement inédit. A tel point que l'établissement avait déposé le nom «Knut» comme marque commerciale, offrant un large éventail de produits dérivés, tels que T-shirts, posters, cartes postales, peluches, bonbons. Grâce à lui, l'action du zoo en Bourse avait grimpé en flèche. L'ours Knut était deveu le héros d'une chanson intitulée «Knut ist gut» (Knut, c'est bien)
http://www.20minutes.fr/article/690266/monde-knut-ours-polaire-mort-berlin

vendredi 18 mars 2011

jeudi 17 mars 2011

Stop aux chimpanzés cobayes aux Etats-Unis

Aux Etats-Unis, les chimpanzés «retraités» sont encore utilisés pour la recherche médicale. Une association de défense des droits des animaux lutte pour que les Instituts nationaux de la santé (NIH) arrêtent d'étudier ces singes...


« En 2010, les NIH ont transféré illégalement 14 chimpanzés retraités dans un laboratoire de recherche controversé à San Antonio, au Texas, afin de les utiliser pour des expériences risquées», s’indigne le Dr John Pippin, un médecin de Dallas (Texas) auprès de l’AFP.


Principal représentant de l’Association des praticiens pour une médecine responsable (PCRM), John Pippin milite pour que la recherche médicale soit plus éthique. Accompagné de quatorze autres médecins de l’association, il s’attaque aux NIH à travers une procédure pénale. Le but? Faire cesser l’utilisation des chimpanzés de laboratoire déjà retraités.


«Il n’y a aucune valeur scientifique à faire ces expériences avec des chimpanzés et la meilleure preuve c’est qu’après avoir étudié ces singes pendant des décennies nous n’avons toujours pas de vaccin contre l’hépatite C, le sida ou le paludisme», ajoute t-il.


Le débat sur l’utilité des expériences sur les singes étant relancé, de nombreux chercheurs montrent leur désaccord et rappellent l’importance des animaux de laboratoire comme les souris ou les chimpanzés pour faire avancer la médecine. «Nous avons fait beaucoup de progrès dans la recherche sur l’hépatite B et C grâce aux expériences sur les chimpanzés», argumente John VandeBerg, directeur du NIH sur les primates du sud-ouest (Texas) cité par le Washington Post. D’autant que leur utilisation est contrôlée puisque la reproduction et l’importation de ces singes sont interdites, permettant l’arrêt progressif de leur emploi.


Si en 2010 l’Union européenne, le Japon, ou encore l’Australie ont interdit l’utilisation de ces singes dans la recherche médicale, les Etats-Unis restent le seul pays industrialisé à encore étudier les chimpanzés
http://www.20minutes.fr/article/688986/planete-stop-chimpanzes-cobayes-etats-unis

mercredi 16 mars 2011

dimanche 13 mars 2011

jeudi 10 mars 2011

La doyenne des albatros pond encore à 60 ans

Une femelle albatros vivant aux Etats-Unis et âgée de 60 ans a donné naissance à un oisillon...
L'oiseau sauvage le plus vieux connu aux Etats-Unis, une femelle albatros de Laysan d'environ 60 ans, qui paraît éternellement jeune, a pondu un oeuf dont est né récemment un oisillon, ont fait part les autorités fédérales surprises de ce phénomène. Cet albatros appelée Wisdom (sagesse en anglais) a été repéré avec sa progéniture dans l'Atoll Midway, une petite île du Pacifique et réserve naturelle appartenant aux Etats-Unis. Cette découverte a été faite il y a quelques semaines par John Klavitter, un biologiste des services américains de la pêche et de la vie sauvage «U.S. Fish and Wildlife Service» (USGC).


En pleine forme grâce à l’huile de poisson?
Wisdom détient le record de longévité des espèces sauvages d'oiseaux documentées durant les 90 années d'existence de ce programme de recherche américano-canadien. L'ornithologue Chandler Robbins, du U.S. Geological Survey (USGC), avait bagué Wisdom pour la première fois en 1956 quand elle avait au moins cinq ans et alors qu'elle couvait un oeuf, le premier probablement. Les albatros pondent seulement un oeuf par an et il faut quasiment une année pour l'incuber et élever l'oisillon. «Elle est en pleine forme», note Bruce Peterjohn, le responsable du programme de baguage des oiseaux d'Amérique du Nord au centre de recherche de la vie sauvage de l'USGC à Laurel dans le Maryland (est). «Ca pourrait s'expliquer par toute l'huile de poisson qu'elle consomme car Wisdom ne fait pas son âge», ajoute-il.


Son âge avancé pourrait être le double ou le triple de l'espérance de vie des albatros de laysan mais les biologistes continuent à recueillir des informations et à apprendre sur ces espèces d'oiseaux, explique-t-il à l'AFP. En fait, les ornithologues ne l'ont tout d'abord pas reconnue car «cette vieille dame albatros» ne porte pas les stigmates de l'âge. «Cinquante-cinq ans après qu'elle ait été initialement baguée avec une identification, elle paraît la même», souligne Bruce Peterjohn. «Ce qui est phénoménal c'est que cet oiseau d'au moins 60 ans qui n'a quasiment pas pris une ride peut sans aucun problème procréer et élever un oisillon», ajoute-t-il. Selon lui, Wisdom a probablement élevé au moins 30 à 35 oisillons durant ses années de reproduction.


Une recette de jeunesse gardée secrète
La plupart des albatros vivant sur les îles de la chaîne hawaïenne du nord-ouest ont une espérance de vie allant au plus de 30 à 40 ans. Mais la longévité exceptionnelle de Wisdom pourrait susciter davantage d'intérêt dans l'étude de ces albatros, juge Bruce Peterjohn. «Le cas de Wisdom soulève beaucoup de questions comme celle de savoir si son âge avancé est vraiment exceptionnelle pour ces albatros?», dit-il. «Si davantage de ces oiseaux étaient bagués et suivis de près durant de longues périodes il est possible que nous trouvions un plus grand nombre d'albatros atteignant ces âges avancés», ajoute le scientifique.


Toutefois la recette des Albatros pour rester jeune aussi longtemps «demeurera probablement un secret», estime Chandler Robbins, 92 ans, un ornithologue reconnu. Ce scientifique explique que les chercheurs savent depuis 2002 que Wisdom connaît une longévité exceptionnelle. C'est l'année où ils ont consulté leurs archives après l'avoir de nouveau baguée et découvert alors que la première bague lui avait été posée par Chandler Robbins en 1956.


http://www.20minutes.fr/article/684554/planete-la-doyenne-albatros-pond-encore-60-ans

jeudi 3 mars 2011

Les cougars ont officiellement disparu

Le puma de l'est américain a été déclaré mercredi officiellement éteint...
Le puma, aussi appelé cougar aux Etats-Unis, était sur la liste des espèces menacées depuis 1973 mais sa disparition était suspectée depuis longtemps. Il a été déclaré mercredi officiellement éteint par les Etats-Unis, son extinction remontant probablement aux années 1930.


Les félins observés récemment ne sont pas des cougars
Les services américains de la pêche et de la faune (U.S. Fish and Wildlife Service) ont passé en revue toutes les informations disponibles et conclu mercredi que le puma de l'est américain était effectivement éteint. Ils ont recommandé que ses sous-espèces ne figurent plus sur la liste des animaux menacés d'extinction. Selon Mark McColough, le principal scientifique des services, l'extinction daterait probablement des années 1930.


«Nous reconnaissons que de nombreuses personnes disent avoir vu des cougars dans la nature ces dernières décennies mais nous ne pensons pas que ces félins soient des cougars de l'est américain et nous n'avons trouvé aucune information qui confirmerait son existence», a expliqué dans un communiqué Martin Miller, le responsable de la région nord-est du service des espèces menacées.


Les pumas sauvages observés par les différents témoins appartenaient à d'autres sous-espèces, souvent sud-américaines, qui étaient en captivité et se seraient échappées ou auraient été lâchées dans la nature. D'autres appartenaient à des sous-espèces de l'ouest américain et auraient migré à l'est et dans le Midwest, a ajouté Martin Miller.


La décision fédérale de déclarer le puma de l'est américain éteint n'affecte pas le statut de la panthère de Floride (sud-est), une autre sous-espèce de félins figurant sur la liste d'animaux menacés. Alors que cette panthère avait autrefois un habitat qui s'étendait à l'ensemble du sud-est, elle occupe désormais moins de 5% de son territoire historique. Sa population ne compte plus que 120 à 160 animaux dans le sud-ouest de la Floride, selon les services américains de la pêche et de la faune.


http://www.20minutes.fr/article/680250/planete-les-couguars-officiellement-disparu
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Le tigre de Sibérie