lundi 31 janvier 2011
dimanche 30 janvier 2011
vendredi 28 janvier 2011
jeudi 27 janvier 2011
Les éléphants de cirque bloqués au Maroc vont avoir du mal à rentrer en Europe
ANIMAUX - Leur propriétaire n'aurait pas respecté les règles en vigueur pour les animaux en voyage...
Une solution est envisageable pour démêler l'imbroglio administratif qui empêche actuellement quatre éléphants de cirque bloqués au Maroc de revenir dans l'Union européenne, pour peu que leur dresseur se soumette aux règles en vigueur, a indiqué jeudi la Commission européenne. «Les règles d'entrée d'animaux vivants en provenance de pays tiers sont très strictes, en particulier lorsque le pays en question est atteint par la fièvre aphteuse, ce qui est le cas du Maroc», a indiqué à l'AFP un porte-parole de la Commission.
Détour obligatoire par un pays ayant un accord avec l’Union européenne
Josef (Joy) Gartner, un artiste de cirque, a accusé l'UE de «prendre en otages» ses quatre éléphants qui sont bloqués depuis des mois à Casablanca faute d'autorisation administrative pour les ramener en France. Josef Gartner affirme s’être endetté pour nourrir ses animaux et n'avoir plus désormais les moyens de le faire. Il menace de les faire euthanasier.
«Selon les règles européennes, si les animaux ont passé plus de six mois hors de l'UE, ils acquièrent en quelque sorte la "nationalité" du pays où ils se trouvent», a expliqué le porte-parole de la Commission. Or, le Maroc n'a pas de législation sur les animaux compatible avec celle de l'UE. Une des solutions serait que le dresseur accepte de se rendre avec ses pachydermes dans un pays ayant un accord avec l'UE et où, après une période de quarantaine, ils pourraient de nouveau rejoindre l'Union. La Croatie est dans ce cas. Cette solution a été proposée au dresseur mais, selon une source proche du dossier, ce dernier a refusé en arguant que cela lui coûterait trop cher.
Josef Gartner est parti de Montauban (sud de la France) avec ses éléphants en 2005. Il s'est rendu en Roumanie avant de faire une tournée en Tunisie puis au Maroc où il est désormais bloqué. Il «ne semble pas avoir effectué toutes les vérifications nécessaires avant de partir», a dit le porte-parole de la Commission.
Les éléphants de cirque «condamnés à l’enfermement et à l’ennui»
Les quatre pachydermes objets de l'épreuve de force entre Josef Gartner et l'administration européenne sont des éléphantes d'Asie, une espèce menacée d'extinction immédiate et protégée par la Convention de Washington (Cites). De nombreuses organisations de défense des animaux, comme l'association One Voice, dénoncent depuis des années «la détention» des éléphants dans les cirques où «ils sont condamnés à l'enfermement et à l'ennui», voire soumis à de mauvais traitements.
Ainsi, selon Code Animal, une association pour la protection des animaux en captivité, «l'animal dans un cirque est contraint de survivre dans un milieu parfaitement inadapté à sa nature. L'exiguïté des cages, l'impossibilité de fuir, de former un groupe social équilibré et de développer une panoplie de comportements propres à son espèce, sont autant de facteurs de souffrances qui lui rendent l'existence particulièrement pénible».
http://www.20minutes.fr/article/660128/planete-les-elephants-cirque-bloques-maroc-vont-avoir-mal-rentrer-europe-
Une solution est envisageable pour démêler l'imbroglio administratif qui empêche actuellement quatre éléphants de cirque bloqués au Maroc de revenir dans l'Union européenne, pour peu que leur dresseur se soumette aux règles en vigueur, a indiqué jeudi la Commission européenne. «Les règles d'entrée d'animaux vivants en provenance de pays tiers sont très strictes, en particulier lorsque le pays en question est atteint par la fièvre aphteuse, ce qui est le cas du Maroc», a indiqué à l'AFP un porte-parole de la Commission.
Détour obligatoire par un pays ayant un accord avec l’Union européenne
Josef (Joy) Gartner, un artiste de cirque, a accusé l'UE de «prendre en otages» ses quatre éléphants qui sont bloqués depuis des mois à Casablanca faute d'autorisation administrative pour les ramener en France. Josef Gartner affirme s’être endetté pour nourrir ses animaux et n'avoir plus désormais les moyens de le faire. Il menace de les faire euthanasier.
«Selon les règles européennes, si les animaux ont passé plus de six mois hors de l'UE, ils acquièrent en quelque sorte la "nationalité" du pays où ils se trouvent», a expliqué le porte-parole de la Commission. Or, le Maroc n'a pas de législation sur les animaux compatible avec celle de l'UE. Une des solutions serait que le dresseur accepte de se rendre avec ses pachydermes dans un pays ayant un accord avec l'UE et où, après une période de quarantaine, ils pourraient de nouveau rejoindre l'Union. La Croatie est dans ce cas. Cette solution a été proposée au dresseur mais, selon une source proche du dossier, ce dernier a refusé en arguant que cela lui coûterait trop cher.
Josef Gartner est parti de Montauban (sud de la France) avec ses éléphants en 2005. Il s'est rendu en Roumanie avant de faire une tournée en Tunisie puis au Maroc où il est désormais bloqué. Il «ne semble pas avoir effectué toutes les vérifications nécessaires avant de partir», a dit le porte-parole de la Commission.
Les éléphants de cirque «condamnés à l’enfermement et à l’ennui»
Les quatre pachydermes objets de l'épreuve de force entre Josef Gartner et l'administration européenne sont des éléphantes d'Asie, une espèce menacée d'extinction immédiate et protégée par la Convention de Washington (Cites). De nombreuses organisations de défense des animaux, comme l'association One Voice, dénoncent depuis des années «la détention» des éléphants dans les cirques où «ils sont condamnés à l'enfermement et à l'ennui», voire soumis à de mauvais traitements.
Ainsi, selon Code Animal, une association pour la protection des animaux en captivité, «l'animal dans un cirque est contraint de survivre dans un milieu parfaitement inadapté à sa nature. L'exiguïté des cages, l'impossibilité de fuir, de former un groupe social équilibré et de développer une panoplie de comportements propres à son espèce, sont autant de facteurs de souffrances qui lui rendent l'existence particulièrement pénible».
http://www.20minutes.fr/article/660128/planete-les-elephants-cirque-bloques-maroc-vont-avoir-mal-rentrer-europe-
mercredi 26 janvier 2011
Naissance d'un rhinocéros noir aux USA
Un rhinocéros noir est né au zoo de Saint Louis (Missouri, centre des Etats-Unis), un événement rare pour cette espèce en danger, a-t-on appris auprès du zoo. Le bébé rhinocéros pesait 55 kilos à la naissance. C'est un "petit mâle qui est bien nourri et entouré de soins par sa mère".
Les rhinocéros noirs, une espèce en danger, ont frôlé l'extinction entre 1970 et 1992. Grâce à la lutte contre le braconnage, leur population à l'état sauvage en Afrique est passée d'environ 2.300 individus en 1993 à 4.240 aujourd'hui, selon l'International Rhino Fundation, qui lutte pour la préservation de cet animal.
Le zoo de Saint Louis fait partie de 37 institutions en Amérique du Nord qui essaient de faire se reproduire des rhinocéros noirs en captivité. Aucun n'était né dans ce zoo depuis 20 ans. Il reste à choisir un nom pour l'animal, dont la mère Kati Rain et le père Ajabu, tous les deux âgés de six ans et dont c'est le premier descendant, sont arrivés à Saint Louis en 2007 en provenance du Kansas (centre) et de Californie. La mère et le bébé, né le 14 janvier, restent pour l'instant au chaud et pourront sortir dès que la température sera plus clémente.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/01/26/97001-20110126FILWWW00650-naissance-d-un-rhinoceros-noir-aux-usa.php
Les rhinocéros noirs, une espèce en danger, ont frôlé l'extinction entre 1970 et 1992. Grâce à la lutte contre le braconnage, leur population à l'état sauvage en Afrique est passée d'environ 2.300 individus en 1993 à 4.240 aujourd'hui, selon l'International Rhino Fundation, qui lutte pour la préservation de cet animal.
Le zoo de Saint Louis fait partie de 37 institutions en Amérique du Nord qui essaient de faire se reproduire des rhinocéros noirs en captivité. Aucun n'était né dans ce zoo depuis 20 ans. Il reste à choisir un nom pour l'animal, dont la mère Kati Rain et le père Ajabu, tous les deux âgés de six ans et dont c'est le premier descendant, sont arrivés à Saint Louis en 2007 en provenance du Kansas (centre) et de Californie. La mère et le bébé, né le 14 janvier, restent pour l'instant au chaud et pourront sortir dès que la température sera plus clémente.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/01/26/97001-20110126FILWWW00650-naissance-d-un-rhinoceros-noir-aux-usa.php
dimanche 23 janvier 2011
vendredi 7 janvier 2011
Dans les Pyrénées, les ourses font des oursonnes
Carnet rose très rose chez les ours des Pyrénées. Les analyses génétiques révèlent que les six oursons nés ces deux dernières années sont cinq femelles et un mâle, a annoncé jeudi l'association Pays de l'Ours-Adet, qui se félicite de la "bonne nouvelle".
En 2010, Caramelle a donné naissance à une femelle et un mâle en Couserans, dans l'Ariège. Bambou, fille de Hvala, a de son côté donné naissance à deux oursonnes en en Espagne. A cela, il faut ajouter les deux oursons Nheu et Noisette, nés de Hvala en 2009, et dont les analyses ont révélé qu'il s'agissait de deux femelles et non de mâles.
Trois mères pour un seul père
Le bon taux de survie des oursons, la précocité de certaines femelles et un faible intervalle entre les portées soulignent la bonne adaptation des ours lâchés à leur nouveau territoire. Un bémol toutefois, le mâle Pyros étant le seul père de ces six oursons "les caractéristiques démographiques et génétiques de la population d'ours ne permettent toujours pas d'espérer son maintien à long terme", précise le communiqué.
L'Etat a annoncé en juillet l'introduction d'une nouvelle ourse, probablement slovène, pour remplacer Franska, tuée en 2007 lors d'un accident de la route. Elle tiendra compagnie aux deux mâles esseulés de l'ouest des Pyrénées. Une décision qui ne satisfait personne car condamnée par les anti-ours et jugée insuffisante par les partisans des ursidés.
On compte actuellement entre 19 à 22 ours dans les Pyrénées. La dernière réintroduction date de 2006, avec cinq ours en provenance de Slovénie, date de 2006.
http://lci.tf1.fr/science/environnement/2011-01/dans-les-pyrenees-les-ourses-font-des-oursonnes-6216064.html
En 2010, Caramelle a donné naissance à une femelle et un mâle en Couserans, dans l'Ariège. Bambou, fille de Hvala, a de son côté donné naissance à deux oursonnes en en Espagne. A cela, il faut ajouter les deux oursons Nheu et Noisette, nés de Hvala en 2009, et dont les analyses ont révélé qu'il s'agissait de deux femelles et non de mâles.
Trois mères pour un seul père
Le bon taux de survie des oursons, la précocité de certaines femelles et un faible intervalle entre les portées soulignent la bonne adaptation des ours lâchés à leur nouveau territoire. Un bémol toutefois, le mâle Pyros étant le seul père de ces six oursons "les caractéristiques démographiques et génétiques de la population d'ours ne permettent toujours pas d'espérer son maintien à long terme", précise le communiqué.
L'Etat a annoncé en juillet l'introduction d'une nouvelle ourse, probablement slovène, pour remplacer Franska, tuée en 2007 lors d'un accident de la route. Elle tiendra compagnie aux deux mâles esseulés de l'ouest des Pyrénées. Une décision qui ne satisfait personne car condamnée par les anti-ours et jugée insuffisante par les partisans des ursidés.
On compte actuellement entre 19 à 22 ours dans les Pyrénées. La dernière réintroduction date de 2006, avec cinq ours en provenance de Slovénie, date de 2006.
http://lci.tf1.fr/science/environnement/2011-01/dans-les-pyrenees-les-ourses-font-des-oursonnes-6216064.html
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