lundi 31 mai 2010

Les 20 ans d'Océanopolis

Océanopolis fêtera ses vingt ans d'existence le 7 juin prochain !

Avant que la fête ne démarre, avec ses caméras, l'équipe de Littoral est partie sonder les entrailles de ce magnifique aquarium brestois.


Depuis 1990, plus de 8 millions de visiteurs se sont succédé ici pour admirer tous les poissons et les mammifères des pavillons polaires, tropicaux ou tempérés, mais très peu ont eu la chance de découvrir les coulisses de ces lieux.


Grâce à Littoral, et aux reportages de Philippe Abalan, vous vous rendrez d'abord dans les cuisines où se mitonne le meilleur du plancton et des algues en tous genres. Océanopolis dispose d'une cinquantaine d'aquariums, qui hébergent en tout près de 10 000 animaux qu'il faut nourrir !

Vous vous rendrez ensuite dans l'antichambre des aquariums où l'on ausculte les animaux blessés, et où l'on gère les effectifs au quotidien... Ainsi par exemple, comme les manchots se sentent particulièrement bien à Brest, ils font trop de bébés, à tel point qu'il faut régulièrement en donner à des aquariums étrangers pour éviter surpopulation et consanguinité. A l'inverse, au début de chaque hiver, les soigneurs finistériens recueillent et soignent des dizaines de jeunes phoques sauvages sur les plages, épuisés par les premiers coups de vent.


Enfin, vous pourrez vous plonger dans les traces des plus beaux fonds sous-marins filmés en caméra HD. En cette année 2010 où l'on célèbre la biodiversité, Littoral peut vous assurer que ce n'est pas un vain mot à Océanopolis… Des requins aux coraux tropicaux, des manchots aux phoques de l'Arctique, il y a ici toute une diversité marine à découvrir ou redécouvrir, jusqu'au Napoléon… le coup de cœur de l'émission !


Sont invités dans l'émission Eric Hussenot, directeur et cofondateur d'Océanopolis, ainsi que Sami Hassani, responsable du laboratoire de recherche sur les mammifères marins et oiseaux de mer.

http://rds.yahoo.com/_ylt=A0wNdJwipgNMjLoAGWZoAQx.;_ylu=X3oDMTBybjZoZHVsBHBvcwM0BHNlYwNzcgRjb2xvA2FjNAR2dGlkAw--/SIG=128a3dt1m/EXP=1275393954/**http%3a//ouest.france3.fr/emissions/quizz-2367230.html

dimanche 30 mai 2010

Que faire face à un oisillon tombé du nid ?

Pour de nombreuses espèces d'oiseaux, le printemps est synonyme de période de reproduction. Rien d'étonnant donc à ce que, cette année encore, la Ligue de protection des oiseaux (LPO) reçoive de nombreux appels de personnes démunies devant un oisillon tombé au sol. Dans un communiqué, elle rappelle les conseils à suivre face à ce genre de situation.
Tomber du nid fait partie des aléas de la vie d'oiseau et certains oisillons téméraires de plusieurs espèces (chouettes, grives, merles) quittent leur nid avant de savoir voler. La plupart du temps, leurs parents ne sont pas loin et attendent que nous nous soyons éloignés pour revenir s'en occuper. Avant d'agir, il faut donc s'assurer que l'oisillon est réellement en détresse. Dans un premier temps, conservez vos distances avant d'aller vers lui et regardez s'il est seul, blessé ou en danger.

S'il s'agit d'un oisillon en duvet ou peu emplumé, replacez-le dans son nid si ce dernier est intact et sinon, essayez d'en fabriquer un sommaire au même endroit.Si l'oisillon est bien emplumé, presque prêt à voler, qu'il sautille au sol sans réussir à décoller, il peut avoir quitté son nid trop tôt ou être à quelques jours de son envol. Laissez faire ses parents. Si vous l'avez déjà recueilli, remettez-le vite où vous l'avez trouvé. S'il se trouve en un lieu particulièrement exposé (chat, route...), essayez de le mettre en sûreté sur une branche, un muret, dans une haie ou un buisson et à proximité du lieu où vous l'avez recueilli. Les oiseaux, contrairement aux mammifères ont un odorat très peu développé. Le fait de les toucher n'entraînera donc aucun rejet de la part des parents.

Si, toutefois, l'oiseau vous paraît trop jeune ou faible, et dans l'éventualité où des dangers naturels (piscine, route, etc) ou des prédateurs domestiques (chat, chien) le menacent, vous pouvez tenter un sauvetage, surtout s'il s'agit d'une espèce menacée. Cependant, après l'avoir recueilli, vous devrez l'acheminer vers... lire la suite de l'article sur Maxisciences
http://www.maxisciences.com/oisillon/nature-que-faire-face-a-un-oisillon-tombe-du-nid_art7494.html

jeudi 27 mai 2010

Pyrénées: un ours descend vers la mer

Sans doute enhardi par la recherche d'une femelle, Balou, ours des Pyrénées, est descendu de sa montagne pour s'aventurer comme rarement aussi bas, des Corbières à une trentaine de km de Narbonne et de ses plages, selon l'équipe de suivi du plantigrade. Balou, 7 ans, a laissé des traces de son passage dans la nuit de samedi à dimanche près de Saint-Laurent-de-la-Cabrerisse (Aude), où on parle beaucoup de lui après avoir cru à une blague quand la nouvelle a été rapportée.

C'est un promeneur, retraité et chasseur, qui a découvert de bon matin les empreintes de pattes sur un chemin poussiéreux parcourant les magnifiques paysages de vignobles, de pinèdes et de garrigue autour de Saint-Laurent. Robert Rico a raconté dans la presse locale avoir immédiatement pensé à un ours, un jugement confirmé par les agents de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS). "Il n'y a pas de doute: il s'agit bien d'un ours, et vraisemblablement de Balou, le seul susceptible de se promener jusque dans ce secteur", a indiqué mercredi Christophe Tavin, chargé de mission ours à l'administration régionale de l'environnement et de l'aménagement.

Les agents de l'ONCFS et de son "équipe technique ours" ont essayé de localiser Balou, en voitures et en avion, mais ne l'ont pas retrouvé. D'autres traces, repérées lundi plus au sud, près de Villerouge-Termenès, font penser que Balou a rebroussé chemin pour remonter dans son massif, dit Tavin. S'il est "exceptionnel" que l'ours s'éloigne autant de chez lui, il a déjà pris le large en 2006 et en 2007 en Ariège, "en 2008 déjà il s'était rapproché des Corbières sans y pénétrer trop et, là, il est allé un petit peu plus loin", dit Tavin. "Ce n'est pas anormal, c'est sa façon de faire lui. Les autres sont moins vagabonds, mais il faut comprendre que c'est la période du rut et qu'il cherche désespérément une femelle", dit-il. "Il n'y a pas de danger car l'ours est naturellement craintif de l'homme, et celui-là encore plus. Il n'a quasiment jamais été observé directement, sauf un épisode de chasse malheureux où on lui avait tiré dessus", dit-il.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/05/26/97001-20100526FILWWW00516-pyrenees-un-ours-descend-vers-la-mer.php

mercredi 26 mai 2010

Des buffles en pâture à Berlin

Des buffles sont de retour à Berlin après 170 ans d'absence sur "l'île aux paons", une réserve naturelle inscrite au patrimoine naturel de l'Unesco et située sur la rivière Havel qui traverse la capitale allemande, a annoncé mercredi la fondation chargée du dossier. "Deux buffles d'eau femelles et leurs deux veaux" ont été mis en pâture mardi sur trois hectares dans cette île, où des buffles avaient élu domicile de 1803 à 1842, date de la disparition de la ménagerie insulaire royale, selon un communiqué de la fondation des châteaux et jardins de Prusse.

"Ils servent de tondeuse à cornes", a déclaré leur propriétaire, Sonja Moor, citée dans la presse allemande, faisant valoir que les vaches n'aiment pas l'herbe qui pousse sur ce milieu humide et que les moutons s'enfonceraient dans la boue avec leurs longues pattes fragiles. La ménagerie royale de l'île, chère à Louise de Prusse (1776-1810), constitua avec ses centaines d'animaux de diverses espèces dont pour certaines exotiques, le fonds initial du jardin zoologique de Berlin.

L'île aux paons, déclarée réserve naturelle en 1923 et inscrite au patrimoine mondial de l'Unesco en 1990, doit son nom aux nombreux paons qui l'habitent depuis la fin du XVIIIe siècle. A l'occasion du bi-centenaire de la mort de la reine Louise de Prusse, les quatre bovidés vont pouvoir brouter jusqu'au 31 octobre sur cette île située dans le sud-ouest de Berlin.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/05/26/97001-20100526FILWWW00518-des-buffles-en-pature-a-berlin.php

Des lynx dans la nature suisse

Des lynx dans la nature suisse
Dans le cadre d'un programme de réintroduction du lynx en Suisse orientale, un couple de lynx provenant de régions de Suisse différentes a été relâché le 7 mai dans la nature. Grâce au suivi réalisé par une balise GPS, ce lâcher doit permettre de répartir plus harmonieusement les individus dans cette région. Longue vie à Noia et Wero !

Les lions de l'Akagera

la vie privée des animaux

mardi 25 mai 2010

Deux tigres blancs naissent au zoo de Maubeuge

Deux bébés tigres blancs, un animal rare qui n’existe plus qu’en captivité, sont nés le 9 mai au zoo de Maubeuge (Nord), a annoncé jeudi la direction du parc animalier. Les naissances de cet animal sont peu fréquentes.

Il existe une cinquantaine de tigres blancs répartis dans une dizaine d’institutions en France, selon Jimmy Ebel, directeur adjoint et biologiste du parc zoologique. Les deux petits, dont le poids est estimé à environ 1,7 kilo, se portent bien, tout comme leur mèree, Radjah, 7 ans, qui se montre «très maternelle», a indiqué M. Ebel.

On ignore pour l’heure le sexe des deux petits, car ils n’ont pas encore été manipulés par l’homme. Le zoo devrait organiser un concours auprès du public pour leur choisir leurs noms. Le père des deux bébés, Schilling, 6 ans, a été cantonné dans une autre cage, car il risquerait de les tuer.

Les deux petits doivent être visibles du public très prochainement grâce à une caméra, mais ils ne sortiront dans leur enclos qu’à l’âge de 2 mois.

Contrairement aux tigres albinos, les tigres blancs ont des rayures noires. Ils ont aussi des yeux bleus et non rouges. Selon la légende, tous les tigres blancs descendent d’un animal capturé en 1951 par le maharadjah de Rewa dans la forêt de Bandhavgarh, en Inde. Leur couleur est due à une anomalie génétique appelée leucisme, qui est un défaut du pigment de coloration du pelage, la mélanine.

Cette couleur blanche atypique le rend plus facilement repérable par ses proies, ce qui explique ses difficultés à survivre dans la nature. Les deux bébés devaient être présentés vendredi au zoo lors d’une conférence de presse à 9 heures.

(Source AFP)
Libération.fr


lundi 24 mai 2010

Découvrez les nouveaux petits pensionnaires du zoo

Le carnet rose 2010 du zoo de Thoiry ferait rougir d’envie n’importe quelle maternité réputée. Depuis plusieurs semaines, le zoo le plus célèbre de France ouvert aujourd’hui est confronté à un boom des naissances qui ravit ses responsables. Difficilement chiffrable d’ailleurs… « C’est un bon départ.
Les naissances sont arrivées plus tard cette année que l’an passé, et sur une période plus courte, mais c’est bien parti », se félicite Paul de La Panouse, fondateur du zoo de Thoiry. Le livret de famille animalier s’est ainsi enrichi d’un ourson baribal, que les soigneurs essaient de protéger des mâles, de loutres, de macaques, de bisons ou d’élans du Cap… Ce regain de naissances n’était pourtant pas évident, lorsqu’au coeur de l’hiver, alors que le thermomètre frôlait les - 15 o C, les soigneurs surveillaient de près la santé de leur millier de pensionnaires. Mais le froid et la neige ont paradoxalement entraîné des effets positifs sur le bien-être des résidants. « Un hiver froid et sec n’est pas du tout mauvais. Cela élimine les bactéries et les virus. C’est beaucoup moins néfaste qu’une longue période humide et froide », explique ce spécialiste de la faune. L’autre effet inattendu concerne la neige. « L’eau de neige est excellente pour la nature. Chimiquement, elle est de meilleure qualité. Cela rend les plantes plus riches, donc plus nutritives pour les animaux », ajoute Paul de La Panouse.
Malgré ces excellentes nouvelles, le patron du zoo se désespère toujours d’enregistrer la naissance d’un éléphanteau. Car son unique mâle est stérile. Et contre ce handicap, la neige et le froid n’y pourront jamais rien…

La réserve et le parc sont ouverts aujourd’hui de 10 heures à 18 heures, le château de 11 heures à 12 h 45 et de 13 h 30 à 19 h 15. Tarifs : 26 à 12 €. Tél. 01.34.87.53.76 ou Internet, www.thoiry.net.
Le Parisien

La main au collet !

Fin février, des infractions sont constatées sur la commune d'Agen d'Aveyron pour une utilisation non conforme de pièges. Ces derniers étaient destinés à capturer les espèces classées nuisibles, susceptibles de porter préjudice à un élevage de gibier. Le piégeur a utilisé une espèce protégée en guise d'appât pour faciliter la capture d'animaux lui étant indésirables.
En avril, sur la commune de Saint-Affrique, les agents de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage sont amenés à contrôler un collet sur une propriété. Accompagnés du propriétaire, ils en découvrent plusieurs, dont la pose est non conforme aux textes en vigueur. Au cours de la visite, d'autres engins, non homologués par le ministère chargé de l'Environnement, sont trouvés tendus. Leur détention

et leur utilisation sont totalement prohibées. Un lapin de garenne pris dans l'un d'eux, est relâché. Ce dispositif avait également pour objectif de capturer des rapaces, espèces protégées ; un piège à mâchoires était posé sur un poteau, poste d'observation de ces oiseaux pour un repérage plus facile des micro-mammifères.
En mai, la commune de Saint-Hippolyte fut le cadre de nouvelles infractions à la réglementation sur le piégeage constatées par les agents de l'ONCFS. Deux pièges interdits d'utilisation étaient tendus dans un bois, non loin d'une route. Appâtés à l'aide d'oeufs, d'un lapin domestique mort et d'une panse de chevreau, tout animal carnivore était visé. Après quelques jours de surveillance, le tendeur découvert a avoué vouloir protéger ses volailles d'éventuels prédateurs.
Le piégeage a toujours été pratiqué par l'homme. Dans un premier temps pour se nourrir puis pour capturer des espèces animales pouvant lui porter dommage. Des pièges de toutes sortes étaient employés, capturant tout animal, sauvage ou domestique, qui subissait parfois des mutilations irréversibles. Vis-à-vis des nombreux abus relevés et pour limiter la souffrance animale, un premier arrêté ministériel apparaît en 1984 mentionnant les pièges autorisés et les conditions d'utilisation. En 2007, une nouvelle réglementation, abrogeant la précédente entre en vigueur et durcit les conditions de piégeage des animaux nuisibles. Elle cadre de façon beaucoup plus stricte l'utilisation des engins, et surtout oblige l'emploi de pièges de plus en plus sélectifs avec des consignes draconiennes quant aux lieux, distances de pose vis-à-vis des routes, , chemins, habitations, heures de visites... Elle confirme également que l'utilisation de pièges n'est autorisée qu'après avoir bénéficié d'une formation et être titulaire d'un numéro d'agrément délivré par la préfecture (excepté pour les cages-pièges tendues en bordure de cours d'eau, pour la capture du ragondin et du rat musqué. La déclaration de piégeage et la visite quotidienne dans la matinée restent obligatoires). En Aveyron, cette formation est organisée et dispensée par la Fédération départementale des chasseurs en partenariat avec le service départemental de l'ONCFS. Elle permet à chaque candidat d'acquérir des connaissances sur la législation sur le piégeage (différentes catégories de pièges, les conditions d'utilisation...) mais également sur la biologie des espèces concernées (habitat, régime alimentaire...), et sur les techniques utilisées pour éviter la souffrance des animaux capturés. Malgré la législation, la formation donnée, des piégeurs agréés ou non bravent les interdits aux mépris des lourdes conséquences que peuvent avoir leurs actes. Pour les trois dossiers cités plus haut, chaque infraction constatée est passible d'une amende pouvant aller jusqu'à 1 500 €. Certaines relèveront du tribunal correctionnel.
Midi Libre

Ours Brun du Quebec ( NATURELS, PAS DANS UN ZOO )

dimanche 23 mai 2010

Ours : ses défenseurs réclament de nouveaux lâchers dans les Pyrénées

Les défenseurs de l'ours brun ont fait campagne à Toulouse mercredi afin de sensibiliser la population à la nécessité de procéder à de nouvelles réintroductions. Les militants réclament de nouveaux et réguliers lâchers d'ours dans les Pyrénées.
Plusieurs militants des associations Férus et Adet-Pays de l'ours ont plaidé la cause des plantigrades à Toulouse, proposant de la documentation et appelant les passants à signer une pétition en faveur de nouvelles réintroductions, prioritairement en Béarn, mais aussi en Pyrénées centrales.

Déplorant que le milieu agricole "refuse d'en discuter", Alain Reynes, le directeur de l'association Adet-Pays de l'ours estime qu'il "faut lâcher un ou deux ours par an jusqu'à ce que la population soit effectivement viable". Et d'expliquer : "On préconise un rythme lent mais régulier pour que chacun ait le temps de s'adapter".

Alors que les défenseurs de l'ours disent attendre une prise de position de la part du gouvernement, la secrétaire d'État à l'Écologie Chantal Jouanno devrait, d'après son cabinet, profiter d'un déplacement dans le Sud-Ouest en juin prochain pour s'exprimer sur la question de la réintroduction de l'ours.

Les associations pro-ours assurent avoir déjà recueilli 10.000 signatures en faveur de nouveaux lâchers. Après deux naissances en 2009, la population pyrénéenne d'ours compte une vingtaine d'individus. Alain Reynes estime que la population d'ours doit passer à une cinquantaine d'individus, aussi bien pour des raisons démographiques que génétiques. "L'urgence, c'est d'avoir deux femelles à l'ouest mais il faudra aussi lâcher de nouveaux mâles pour diversifier la population génétiquement, et limiter la consanguinité" explique-t-il.

Pour rassurer les éleveurs, Alain Reynes évoque le développement des mesures de protection des troupeaux, et se dit prêt à "de nouvelles mesures d'accompagnement", insistant sur le fait que "l'ours n'est pas un prédateur mais un opportuniste, mangeant ce qui est à sa... lire la suite de l'article sur Maxisciences
http://www.maxisciences.com/ours/ours-ses-defenseurs-reclament-de-nouveaux-lachers-dans-les-pyrenees_art7433.html